Une étude conjointe réalisée par le King's College de Londres et Hewlett-Packard doit nous alerter et nous faire réviser notre habitude de l'utilisation des mails.


En effet, les deux sociétés viennent de mettre en évidence que répondre à ses mails est plus nocif que fumer de l'herbe.

Ainsi :

  • 62 % des adultes sont considérés comme de véritables drogués du courrier électronique
  • 50 % des salariés s'obligent à répondre en moins d'une heure à leur correspondance virtuelle.


L'étude montre également que le mail affecte gravement les performances de notre cerveau en provoquant une baisse significative de l'attention portée à une tâche en cours.

L'étude montre une baisse de 10 point sur le quotient intellectuel de l'"accro" aux mails alors que cette baisse ne représente que 4 points chez un drogué à la marijuana.

La combinaison des deux se révèlerait alors un vrai cocktail détonant '