Rien ne semble inverser la tendance, pas même les poursuites
incessantes des représentants des Majors vers les utilisateurs des
réseaux peer-to-peer.
C'est que, selon l'étude de Big Champagne, les échanges ont repris de plus belle en novembre après une relative accalmie en septembre et octobre. Doit-on y voir un phénomène conjoncturel lié à la consommation accrue en cette période de fin d'année '
Big Champagne est une société californienne spécialiste de l'audit des réseaux P2P. Si son champ d'action est mondial, les seuls chiffres du territoire américain illustrent à eux seuls l'ampleur du phénomène.
Ainsi, en novembre, les internautes américains ont été presque 7 millions à s'échanger des fichiers, soit un bon million supplémentaire par rapport à novembre 2004.
La RIAA, l'association américaine de l'industrie du disque à donc encore du pain sur la planche. Les 751 internautes récemment inculpés ( lire cette news ) ne représentent vraiment qu'une infime partie des adeptes des réseaux d'échanges.
En France, en pleine discussion de la Loi DADVSI à l'assemblée nationale, loi censée, rappellons-le faire respecter les droits d'auteur et les droits voisins, voilà des arguments supplémentaires que n'hésiteront pas à exploiter les industries de biens culturels et leurs représentants.
C'est que, selon l'étude de Big Champagne, les échanges ont repris de plus belle en novembre après une relative accalmie en septembre et octobre. Doit-on y voir un phénomène conjoncturel lié à la consommation accrue en cette période de fin d'année '
Big Champagne est une société californienne spécialiste de l'audit des réseaux P2P. Si son champ d'action est mondial, les seuls chiffres du territoire américain illustrent à eux seuls l'ampleur du phénomène.
Ainsi, en novembre, les internautes américains ont été presque 7 millions à s'échanger des fichiers, soit un bon million supplémentaire par rapport à novembre 2004.
La RIAA, l'association américaine de l'industrie du disque à donc encore du pain sur la planche. Les 751 internautes récemment inculpés ( lire cette news ) ne représentent vraiment qu'une infime partie des adeptes des réseaux d'échanges.
En France, en pleine discussion de la Loi DADVSI à l'assemblée nationale, loi censée, rappellons-le faire respecter les droits d'auteur et les droits voisins, voilà des arguments supplémentaires que n'hésiteront pas à exploiter les industries de biens culturels et leurs représentants.
°°°°°°°
Source :
Ratiatum