Intel aime prendre des risques, et pas seulement sur le plan
technique, puisque le fondeur va installer un centre de recherche dans
la bande de Gaza.
Intel va prochainement installer un centre de recherche dans la bande de Gaza, soit la partie attenante à l'Egypte des territoires autonomes palestiniens. Ce projet, conduit avec l'appui de l'organisation non-gouvernementale ANERA (American Near East Refugee Aid ; association américaine d'aide aux réfugiés du Proche-Orient), a pour but de promouvoir les métiers de l'informatique et de l'électronique dans cette partie du monde où les conditions de vie sont particulièrement difficiles, où le chômage est endémique, et où la densité de population est l'une des plus élevées du monde.
Selon Intel, le futur Centre d'Excellence des Technologies de l'Information qui sera fondé à Gaza est tout sauf un coup de tête, et le fondeur affirme avoir "tenu compte du contexte politique et de la tension qui règne dans cette région du monde."
Un porte-parole de l'ANERA déclare de son côté : "La meilleure façon de soutenir les efforts de paix dans cette partie du monde est de redonner espoir aux gens qui y vivent, de leur donner foi dans le futur, ce qui implique de leur rendre leur dignité et leur liberté. Le Centre comblera les besoins de la population palestinienne en matière de nouvelles technologies, surtout dans cet environnement difficile."
On ne peut pas dire que cette initiative va ruiner Intel, car la facture globale devrait à peine dépasser le million de dollars US, mais le fondeur californien espère encourager les vocations, outre-Atlantique. Le Centre--avouez que ce serait amusant si on nommait un Monsieur Rains à sa tête--accueillera principalement des employés palestiniens, et sera bâti à proximité (d'aucuns diraient : "à un jet de pierre" ) de la ville de Gaza. Sa construction devrait démarrer avant la fin du printemps, pour s'achever dans le courant du premier trimestre 2007.
Intel va prochainement installer un centre de recherche dans la bande de Gaza, soit la partie attenante à l'Egypte des territoires autonomes palestiniens. Ce projet, conduit avec l'appui de l'organisation non-gouvernementale ANERA (American Near East Refugee Aid ; association américaine d'aide aux réfugiés du Proche-Orient), a pour but de promouvoir les métiers de l'informatique et de l'électronique dans cette partie du monde où les conditions de vie sont particulièrement difficiles, où le chômage est endémique, et où la densité de population est l'une des plus élevées du monde.
Selon Intel, le futur Centre d'Excellence des Technologies de l'Information qui sera fondé à Gaza est tout sauf un coup de tête, et le fondeur affirme avoir "tenu compte du contexte politique et de la tension qui règne dans cette région du monde."
Un porte-parole de l'ANERA déclare de son côté : "La meilleure façon de soutenir les efforts de paix dans cette partie du monde est de redonner espoir aux gens qui y vivent, de leur donner foi dans le futur, ce qui implique de leur rendre leur dignité et leur liberté. Le Centre comblera les besoins de la population palestinienne en matière de nouvelles technologies, surtout dans cet environnement difficile."
On ne peut pas dire que cette initiative va ruiner Intel, car la facture globale devrait à peine dépasser le million de dollars US, mais le fondeur californien espère encourager les vocations, outre-Atlantique. Le Centre--avouez que ce serait amusant si on nommait un Monsieur Rains à sa tête--accueillera principalement des employés palestiniens, et sera bâti à proximité (d'aucuns diraient : "à un jet de pierre" ) de la ville de Gaza. Sa construction devrait démarrer avant la fin du printemps, pour s'achever dans le courant du premier trimestre 2007.
Source :
Forbes
