Conséquence directe du récent accord passé entre les deux firmes ou non, Google et AOL vont rendre leurs messageries instantanées respectives compatibles.
On sait depuis quelques jours que Google va s’adjuger 5% du capital d’AOL, à travers un accord tournant autour des retombées publicitaires que le moteur de recherche californien retirera du fournisseur d’accès de la banlieue de Washington, DC.
On apprend désormais que la messagerie instantanée Google Talk et son homologue chez AOL, AIM (AOL Instant Messenger) vont devenir compatibles, à l’image de ce qu’on mis en place Microsoft (MSN Messenger) et Yahoo (Yahoo Messenger) voici quelques semaines. En d’autres termes, d’ici quelques mois (dans le courant du second trimestre 2006), les utilisateurs des deux réseaux pourront communiquer entre eux par messages instantanés sans avoir à changer d’interface. Des fonctionnalités de discussion audio y seront associées. Pour la vidéo, il faudra patienter un peu.
La fusion des deux réseaux n’est pas pour autant à l’ordre du jour, car elle supposerait le partage d’informations relatives aux clients des deux firmes, que ces dernières entendent garder jalousement pour elles seules…
On sait depuis quelques jours que Google va s’adjuger 5% du capital d’AOL, à travers un accord tournant autour des retombées publicitaires que le moteur de recherche californien retirera du fournisseur d’accès de la banlieue de Washington, DC.
On apprend désormais que la messagerie instantanée Google Talk et son homologue chez AOL, AIM (AOL Instant Messenger) vont devenir compatibles, à l’image de ce qu’on mis en place Microsoft (MSN Messenger) et Yahoo (Yahoo Messenger) voici quelques semaines. En d’autres termes, d’ici quelques mois (dans le courant du second trimestre 2006), les utilisateurs des deux réseaux pourront communiquer entre eux par messages instantanés sans avoir à changer d’interface. Des fonctionnalités de discussion audio y seront associées. Pour la vidéo, il faudra patienter un peu.
La fusion des deux réseaux n’est pas pour autant à l’ordre du jour, car elle supposerait le partage d’informations relatives aux clients des deux firmes, que ces dernières entendent garder jalousement pour elles seules…
Source :
eWeek
