capcom joueurs ont bien évidemment râlé en masse. Il se fait de plus en plus loin, le temps où de l'acharnement nous faisait débloquer des vêtements ou personnages en sus dans certains jeux. Désormais, du moins dans les productions Capcom, il faut s'attendre à ce que ces bonus ne s'acquièrent plus par la sueur, mais bien par le contenu de votre carte bancaire.

Désignés du doigt, des costumes inédits pour les combattants de Street Fighter IV, ainsi que les modes multijoueur de Resident Evil 5, responsables d'une polémique.


Et c'est reparti pour un tour
On aurait pu penser que Capcom "retiendrait la leçon", mais ça aurait été mal connaître l'éditeur nippon. Quand on regarde ses intentions pour le second trimestre fiscal de l'année (celui se terminant fin mars 2010), on se rend compte qu'aucun changement n'est au programme, au contraire d'une continuité dans la manière de gérer les Downloadable Content.

  • Utiliser la distribution numérique pour maximiser les opportunités de vendre des logiciels.
  • Vendre des jeux en se servant des téléchargements en réseau afin de donner plus d'options aux utilisateurs.
  • "Marvel Vs. Capcom 2", "Fate / unlimited codes" (à l'étranger), et d'autres.
  • Offrir constamment des mises à niveau et gagner des profits en utilisant le PSN et le XLA [sic] pour distribuer du contenu supplémentaire.
  • Vendre constamment "Resident Evil 5", "Street Fighter IV", et autres contenus additionnels.

Tant de franchise d'un seul coup, voilà qui fait froid dans le dos. Ce n'est toutefois pas pour autant que Capcom nous révélera combien lui ont rapporté ces DLC bien discutables. Avec les sorties à venir de Super Street Fighter IV et de Resident Evil 5 Alternative Edition, on se doute bien que des plans pour de futurs téléchargements les concernant commencent à se mettre en place.