Le PDG et cofondateur de Facebook douche les espoirs de ceux qui demandent un bouton " Je n'aime pas " sur Facebook. C'est non. Face à l'émotion positive que permet d'exprimer le bouton J'aime, Mark Zuckerberg considère que son opposé le plus direct n'est " pas quelque chose qui est bon pour le monde ". Oui… Facebook c'est le monde.

Le trentenaire milliardaire estime qu'un mécanisme de vote pour dire si un post est bien ou pas n'est pas nécessaire. C'est un peu la philosophie de Facebook depuis ses débuts qui consiste à véhiculer un sentiment à connotation positive.

Si les commentaires laissés par les utilisateurs peuvent largement mettre à mal ce vœu pieux, ce n'est pas aussi brutal qu'un clic sur J'aime ou Je n'aime pas. Encore que, à défaut de réelle argumentation la différence ne saute pas toujours forcément aux yeux.

Par contre, Mark Zuckerberg n'exclut pas l'idée d'intégrer une palette plus large de sentiments sur Facebook. " Nous devons trouver la bonne façon de le faire afin que cela aboutisse à une force pour le bien, pas une force pour le mal et humiliante ". Mark Zuckerberg est-il un fan de Star Wars ? Pas d'annonce dans l'immédiat. C'est un sujet de réflexion.

Au cours d'une séance de questions et réponses, l'homme a par ailleurs indiqué que le moteur de recherche interne Graph Search permettant de poser des questions en langage naturel et exploitant toutes les données de Facebook va être proposé dans d'autres langues que l'anglais US.