Par ailleurs, il dément tout velléité de rachat de sociétés comme CapGemini ou Atos : " D'abord, nous avons, avec les acquisitions de Diwan, Neocles et Silicomp, achevé notre programme d'acquisitions. Surtout, la majeure partie de sociétés comme Atos ou Cap Gemini sont des services informatiques généraux. Or nous ne voulons pas aller jusque-là. Nous voulons nous limiter aux services directement liés aux télécoms. ", a t-il déclaré aux Echos.
La stratégie de France Télécom s'articulera autour des contenus, même si le groupe ne compte pas en produire lui-même. " Les contenus sont devenus essentiels. Sans contenu, plus de client. " a t-il indiqué ajoutant : " Nous l'avons constaté en Espagne, où, pendant quelques semaines, notre offre de télévision sur ADSL s'est retrouvée privée de contenus. (...) Donc il est impératif, aujourd'hui, pour un opérateur comme nous, d'avoir accès à des contenus. Mais pas pour autant de produire ces contenus ".
Enfin, l'opérateur historique ne prévoit pas non plus d'acheter des droits sportifs prochainement : " Nous voulons juste répondre aux besoins de nos clients : par exemple, sur le mobile, le client souhaite juste de courts extraits avec les buts par exemple. Donc nous cherchons juste à acquérir les droits correspondants à ces besoins. " a précisé Didier Lombard.
