Les législateurs allemands ont en effet en tête une loi qui pourrait forcer les fournisseurs d'accès à Internet et les entreprises du Web comme Google à dévoiler l'identité des internautes utilisant leurs services.
Selon le quotidien Spiegel relayé par Betanews, cette loi qui doit encore passer au parlement allemand devrait inciter la firme de Mountain View à fermer son service de messagerie électronique GMail, conformément à sa politique de protection des internautes.
Si cette loi venait à être adoptée, elle devrait être mise en place dès l'année prochaine, les comptes de messagerie anonymes - on peut citer par exemple le service Jetable.org - deviendraient illégaux, de même que les navigateurs permettant de surfer sur Internet de manière anonyme; Torpark en est un exemple.
Les informations de connexion à Internet, relatives aux appels téléphoniques et à l'utilisation de SMS devront également, selon cette loi, être archivées durant six mois et rendues disponibles aux autorités si elles en font la demande. Google a d'ores et déjà indiqué que cela irait à l'encontre de sa politique de vie privée des internautes utilisant ses services. Rappelons que ce dernier archive cependant pendant 18 mois les données relatives aux recherches sur son moteur.
Selon le quotidien Spiegel relayé par Betanews, cette loi qui doit encore passer au parlement allemand devrait inciter la firme de Mountain View à fermer son service de messagerie électronique GMail, conformément à sa politique de protection des internautes.
Si cette loi venait à être adoptée, elle devrait être mise en place dès l'année prochaine, les comptes de messagerie anonymes - on peut citer par exemple le service Jetable.org - deviendraient illégaux, de même que les navigateurs permettant de surfer sur Internet de manière anonyme; Torpark en est un exemple.
Les informations de connexion à Internet, relatives aux appels téléphoniques et à l'utilisation de SMS devront également, selon cette loi, être archivées durant six mois et rendues disponibles aux autorités si elles en font la demande. Google a d'ores et déjà indiqué que cela irait à l'encontre de sa politique de vie privée des internautes utilisant ses services. Rappelons que ce dernier archive cependant pendant 18 mois les données relatives aux recherches sur son moteur.