L'IFPI annonce 1200 plaintes pour mise à disposition de fichiers musicaux sur les réseaux P2P.
La RIAA ( Recording Industry Association of America ) n'est pas la seule à s'acharner sur les internautes qui ont la mauvaise idée de partager des fichiers musicaux illicites sur les réseaux peer-to-peer. L' IFPI ( International Fédération Phonographique Industrie ), son équivalent européen, a lancé une vague de 1200 plaintes.
Ces 1200 plaintes concernent l'Europe, l'Asie et l'Amérique du Sud. Plus précisement les internautes, mis en cause pour mise à disposition de fichiers sur les réseaux d'échange, résident en Argentine, à Hong Kong, à Singapour, en Suède et en Suisse et risquent 3.000 dollars d'amende.
Des chiffres, selon l'IFPI :
Ce qu'en pense Cornelia Kutterer, conseillère juridique de l'association bruxelloise BEUC ( Bureau européen des unions de consommateurs ) :
" Nous ne soutenons pas ceux qui enfreignent le droit d'auteur mais nous souhaiterions plus d'équilibre dans les arguments. "
Gare à ceux qui oseraient mettre des fichiers à disposition, l'IFPI rôde ...
La RIAA ( Recording Industry Association of America ) n'est pas la seule à s'acharner sur les internautes qui ont la mauvaise idée de partager des fichiers musicaux illicites sur les réseaux peer-to-peer. L' IFPI ( International Fédération Phonographique Industrie ), son équivalent européen, a lancé une vague de 1200 plaintes.
Ces 1200 plaintes concernent l'Europe, l'Asie et l'Amérique du Sud. Plus précisement les internautes, mis en cause pour mise à disposition de fichiers sur les réseaux d'échange, résident en Argentine, à Hong Kong, à Singapour, en Suède et en Suisse et risquent 3.000 dollars d'amende.
Des chiffres, selon l'IFPI :
- 900 millions de fichiers musicaux pirates circulent sur les réseaux d'échange
- 3.000 plaintes déposées à ce jour
- 16 pays (hors Etats-Unis) concernés par ces plaintes
- 20 à 30 ans : c'est l'âge moyen des personnes qui font l'objet de ces plaintes
- 3.000 dollars : c'est en général l'amende qui est décidée
Ce qu'en pense Cornelia Kutterer, conseillère juridique de l'association bruxelloise BEUC ( Bureau européen des unions de consommateurs ) :
" Nous ne soutenons pas ceux qui enfreignent le droit d'auteur mais nous souhaiterions plus d'équilibre dans les arguments. "
Gare à ceux qui oseraient mettre des fichiers à disposition, l'IFPI rôde ...
Source :
Reuters
