La semaine dernière, le Tribunal Correctionnel de Paris avait débouté Nintendo concernant la commercialisation des linkers DS. Selon le juge, la distribution de ces cartes flash se doit d'être légale, étant donné que la firme de Kyoto a intentionnellement bridé son système en verrouillant ses utilisateurs. Ainsi, la société française Divineo a obtenu gain de cause.

Bien évidemment, le constructeur japonais ne compte pas en rester là et fait appel en s'associant au Procureur de la République. Il est rappelé que Divineo avait été précédemment condamnée au Tribunal de Hong Kong pour avoir produit, vendu et exporté des linkers DS. Les dommages et intérêts s'élevaient alors à 44.605.082 €. La suite au prochain épisode.