Au delà de la gentille interface communautaire sur laquelle surfent chaque jour des milliers d'utilsateurs, se joue sur la scène boursière un réel évènement. Les sommes brassées par la société de Mark Zuckerberg atteignent des records et les milliards de dollars évoqués sont vertigineux.

Peu de temps après son entrée en bourse, Facebook a été évalué entre 50 et 100 milliards de dollars. Mark Zuckerberg relève le défi encore une fois avec succès, d'autant plus que le fondateur de Facebook s'apprête à exercer son option d'achat. Signé en 2005 avec les autres membres décisionnaires de la société, cette option lui permet de disposer de 120 millions d'actions de son entreprise, à seulement 6 centimes l'unité. A l'heure actuelle, l'action Facebook est échangée entre 40 et 50 dollars.

Mark-Zuckerberg Mark Zuckerberg réaliserait alors une plus-value d'un montant plus ou moins égale à 6 milliards de dollars. Une belle opération là encore, qui devrait cependant intéresser le FISC américain. Zuckerberg n'est pas à l'abri des impôts et devra donc être taxé à hauteur de 35 % de cette somme et donc payer à l'Etat près de 2 milliards d'impôts.

Une imposition qui ne mettra en rien en péril la fortune de Mark Zuckerberg estimée à 30 milliards de dollars. Et pendant ce temps-là sur Facebook, on se plaint du temps.