Comme nous vous en parlions dans cette actualité, Microsoft visual studio
la firme de Redmond avait dévoilé plus tôt cette année un outil nommé Atlas, qui servait aux développeurs souhaitant travailler sous AJAX ou la méthode de développement Web combinant de l'Asynchronous JavaScript and XML. Le codename officiel de l'outil développé par Microsoft était jusqu'à présent celui d'Atlas.

Microsoft avait alors initié, par le biais d'un de ses développeurs, une démarche peu fréquente dans le domaine mais intéressante par son concept, qui était de laisser les clients Microsoft et n'importe qui avec un peu d'imagination déposer leur avis sur ce que son nom  pourrait et devrait être.

Cette interaction aurait pu se révéler amusante, avec des noms un peu différents qui seraient venus agrémenter le quotidien terne des noms de produits d'entreprise qui sont trop souvent rédhibitoires, avec des appellations plus ou moins barbares composées de séries de lettres et de chiffres absolument pas mémorisables par le commun des mortels.


Dénomination officielle
Atlas
, dont la famille de produit est divisée en trois catégories, verra la fonctionnalité serveur appelée du doux nom d' ASP.NET 2.0 AJAX Extensions. Du côté client, la technologie sera connue sous le nom de Microsoft AJAX Library, qui sera entièrement intégrée aux Extensions basées sur les serveurs. Microsoft a aussi renommé le pack d'outils de contrôle d'Atlas en ASP.NET AJAX Control Toolkit.

Ces outils serviront principalement à simplifier la création de sites web basés sur le standard ASP 2.0, qui utiliseront toutes les fonctionnalités avancées des Javascripts et du langage XML. Microsoft à d'ores et déjà annoncé que les Extensions seront intégrées dans la prochaine version du programme Visual Studio, (codename Orcas) qui sera disponible en fin d'année.
 
Les versions finales sont censées être distribuées d'ici à la fin de l'année. Nous ne pensons pas que les suggestions déposées aient vraiment été celles-là, mais il est fort possible de croire qu'elles auraient été trop farfelues pour l'entreprise Microsoft, qui est revenu sur sa décision et les a nommées elle-même, ceci sûrement dans un souci d'efficacité.