Ce Californien, en poursuivant Motorola en justice, voudrait que le fabricant de téléphones et autres systèmes liés à la mobilité, reconnaisse qu’il savait pertinemment bien que son accessoire Bluetooth comportait des risques pour la santé.
En effet, le plaignant, Martin Alpert, clame devant la cour de Chicago que Motorola était au courant que son oreillette Bluetooth pouvait endommager l'ouïe des utilisateurs et causer « une perte d'audition sérieuse ».
Martin Alpert affirme aussi que Motorola n’a pas pris les dispositions nécessaires pour prévenir les consommateurs qui auraient acheté cette oreillette Bluetooth. On ne sait pas si Motorola n’a pas pu ou n’a pas voulu prévenir ses clients.
Pourtant, la firme avait « une réelle et concrète connaissance » du risque qu’encourraient les utilisateurs. A cet effet, dans la plainte, on comprend que le danger proviendrait d’un mauvais réglage du niveau sonore car « un risque sérieux de perte d'audition en mode normal d'utilisation » est lié à l’utilisation de cette oreillette Bluetooth particulière.
Hélas, à l’heure qu’il est, nous ne disposons pas d’informations additionnelles à propos du modèle d’oreillette concerné ni à propos des développements qui seraient survenus au cours du procès. Seule certitude : la batterie d’avocats qu’a contactée Martin Alpert essaye d’assimiler ce procès à une « class action ». En cas de jugement défavorable pour la société de l’Illinois, cette dernière devra certainement sortir le chéquier…
En effet, le plaignant, Martin Alpert, clame devant la cour de Chicago que Motorola était au courant que son oreillette Bluetooth pouvait endommager l'ouïe des utilisateurs et causer « une perte d'audition sérieuse ».
Martin Alpert affirme aussi que Motorola n’a pas pris les dispositions nécessaires pour prévenir les consommateurs qui auraient acheté cette oreillette Bluetooth. On ne sait pas si Motorola n’a pas pu ou n’a pas voulu prévenir ses clients.
Pourtant, la firme avait « une réelle et concrète connaissance » du risque qu’encourraient les utilisateurs. A cet effet, dans la plainte, on comprend que le danger proviendrait d’un mauvais réglage du niveau sonore car « un risque sérieux de perte d'audition en mode normal d'utilisation » est lié à l’utilisation de cette oreillette Bluetooth particulière.
Hélas, à l’heure qu’il est, nous ne disposons pas d’informations additionnelles à propos du modèle d’oreillette concerné ni à propos des développements qui seraient survenus au cours du procès. Seule certitude : la batterie d’avocats qu’a contactée Martin Alpert essaye d’assimiler ce procès à une « class action ». En cas de jugement défavorable pour la société de l’Illinois, cette dernière devra certainement sortir le chéquier…
