L'objectif : accéder à la puissance de nos cartes graphiques
Peakstram annonce avoir développé une plate forme logicielle qui permet de créer des super calculateurs en combinant la puissance des processeurs à celle des cartes graphiques modernes. La société affirme que l'utilisation de la puissance de la carte graphique permet de multiplier par vingt la puissance du système initial.
Les cartes graphiques modernes sont des monstres de puissances
Comparés à celle des GPUs, la puissance de calcul en virgule flottante des processeurs centraux a progressé lentement. Si l'on prend l'exemple du Pentium 4 3 Ghz, sa puissance de calcul est estimée à 6 GFLOPs (millions d'opérations par seconde) ; elle est de 24 GFLOPs pour le Woodcrest, évolution serveur du Core 2 Duo.
Les GPUs mènent le jeu au moins en ce qui concerne les calculs en virgule flottante : ATI a récemment annoncé une puissance de 375 GFLOPs pour le Radeon X1950XTX. Le Nvidia GeForce 7950GX2 offre lui 384 GFLOPs et le processeur physique de Ageia 96 GFLOPs.
Une utilisation plus large de la puissance des GPUs
Il existe de nombreuses manières de tirer parti de cette puissance de calcul lorsqu'elle n'est pas entièrement accaparée par un jeu vidéo. Pour les calculs physique par exemple, comme le montre les projets de ATI et Nvidia en la matière.
Peakstream suit le même concept et offre aux développeurs d'applications une interface pour profiter de la puissance des cartes graphiques. L'interface, codée en C et C++, et la machine virtuelle de la société gèrent l'organisation et la gestion de la mémoire et offrent au programmeur un accès simplifié à un système combinant processeur et GPUs. La plate-forme est facile à prendre en main. Elle peut être utilisée avec des outils de développement standard tels que Microsoft Visual Studio et reste capable de lancer les systèmes d'exploitaion Linux et Windows sans aucune modification de ces derniers.
Peakstram annonce avoir développé une plate forme logicielle qui permet de créer des super calculateurs en combinant la puissance des processeurs à celle des cartes graphiques modernes. La société affirme que l'utilisation de la puissance de la carte graphique permet de multiplier par vingt la puissance du système initial.Les cartes graphiques modernes sont des monstres de puissances
Comparés à celle des GPUs, la puissance de calcul en virgule flottante des processeurs centraux a progressé lentement. Si l'on prend l'exemple du Pentium 4 3 Ghz, sa puissance de calcul est estimée à 6 GFLOPs (millions d'opérations par seconde) ; elle est de 24 GFLOPs pour le Woodcrest, évolution serveur du Core 2 Duo.
Les GPUs mènent le jeu au moins en ce qui concerne les calculs en virgule flottante : ATI a récemment annoncé une puissance de 375 GFLOPs pour le Radeon X1950XTX. Le Nvidia GeForce 7950GX2 offre lui 384 GFLOPs et le processeur physique de Ageia 96 GFLOPs.
Une utilisation plus large de la puissance des GPUs
Il existe de nombreuses manières de tirer parti de cette puissance de calcul lorsqu'elle n'est pas entièrement accaparée par un jeu vidéo. Pour les calculs physique par exemple, comme le montre les projets de ATI et Nvidia en la matière.
Peakstream suit le même concept et offre aux développeurs d'applications une interface pour profiter de la puissance des cartes graphiques. L'interface, codée en C et C++, et la machine virtuelle de la société gèrent l'organisation et la gestion de la mémoire et offrent au programmeur un accès simplifié à un système combinant processeur et GPUs. La plate-forme est facile à prendre en main. Elle peut être utilisée avec des outils de développement standard tels que Microsoft Visual Studio et reste capable de lancer les systèmes d'exploitaion Linux et Windows sans aucune modification de ces derniers.
Cliquez pour agrandir (DR)
La performance a un prix
En théorie, cette plate forme devrait permettre à toute personne disposant d'une expérience en programmation de transformer son ordinateur en super calculateur. Cependant, Peakstream vise plutôt le secteur gazier et pétrolifère, les services financiers, et la défense.
La société prévoit de commercialiser sa plate forme 2000$ par système de calcul, mais a également annoncé des tarifs dégressifs en cas d'un utilisation au sein de gros clusters.
