USA-FBI-Chine-officiers-hackers-Sun-Kailiang En début de mois, le gouvernement américain a annoncé la compromission des données personnelles de près de 4 millions d'employés (anciens et actuels) fédéraux. Un piratage massif qui pourrait être de plus grande ampleur que les discours officiels ne le disent. Quelque 18 millions d'Américains seraient ainsi concernés.

Les " hackers " à l'origine de cette cyberattaque n'auraient pas seulement volé des données personnelles basiques mais également des données sensibles dont des antécédents fédéraux. La crainte de futurs chantages est omniprésente.

Et si ce ne sont pas les hackers russes, les États-Unis pointent immanquablement du doigt les hackers chinois. Pas d'accusation formelle mais on peut penser que cela ne devrait pas tarder. Directeur du renseignement américain, James Clapper fait de la Chine le " principal suspect " dans cette affaire. L'enquête se poursuit néanmoins.

Rappelons que parmi les cybercriminels les plus recherchés par le FBI, la liste comprend toujours cinq officiers chinois pour du cyberespionnage. L'inculpation par le département de la Justice des États-Unis de ces cinq hackers très singuliers avait rendu la Chine furieuse.