Les supports informatiques on le sait sont périssables. A plus ou moins
long terme, ils se détériorent et deviennent inutilisables à jamais.
Tous les messages des sites web, des blogs et les emails stockés
quelquepart sur un disque dur ou sauvegardés sur DVD auront bel et bien
disparus d'ici quelques dizaines d'années. Mais peut-être pas tous !
C'est un projet un peu fou qui se prépare actuellement et chacun d'entre nous peut en être l'acteur. Il s'appelle Keo, c'est un satellite et il sera pour 50 000 ans le gardien de notre mémoire. Puis il redescendra sur Terre avec les milliers de messages que nous lui aurons fournis.
Oui, car il s'agit par l'intermédiaire d'Internet de lui envoyer un message. On a droit à 6000 caractères maximum. C'est peu et beaucoup à la fois quand chaque mot compte. Nous disposons d'un espace libre de toute censure pour témoigner de sa vie, confier ses aspirations, ses révoltes, exprimer ses interrogations ou ses croyances.
Les concepteurs du projet on choisi l'espace plutôt que l'enfouissement car l'espace appartient à tous. La seule incertitude est le risque d'une collision avec un objet celleste. Mais chaque aventure comporte des risques...
Alors s'il n'y avait qu'un seul message que l'on voudrait transmettre aux générations futures ou à nos arrières-arrières petits enfants quel serait-il '
Keo, c'est de la technologie, de la science fiction mais c'est aussi un projet à l'échelle de la planète.
L'opération est gratuite, ouverte à tous. Tous les messages reçus, après avoir été rendus anonymes, sont destinés à être librement publiés.
Alors, à nos claviers ! Et soignons l'écriture !
Keo Technique : Keo est un satellite qui sera lancé en 2007 ou 2008 autour de la Terre, résistant aux conditions extrêmes de l'espace grâce à ses nombreux boucliers protecteurs ( du tungstène, du titane et de l'aluminium, séparés par du vide ). Les données seront stockées sur un disque de verre quasi indestructible et sousmit aux tests de résistance les plus intenses. KEO est un petit satellite muni d'ailes, dit "passif" qui fait appel à des technologies de pointe. Il fonctionne sans énergie, sans instrumentation, ni électronique. Keo est un " projet du 21ème siècle " soutenu par l' UNESCO.
C'est un projet un peu fou qui se prépare actuellement et chacun d'entre nous peut en être l'acteur. Il s'appelle Keo, c'est un satellite et il sera pour 50 000 ans le gardien de notre mémoire. Puis il redescendra sur Terre avec les milliers de messages que nous lui aurons fournis.
Oui, car il s'agit par l'intermédiaire d'Internet de lui envoyer un message. On a droit à 6000 caractères maximum. C'est peu et beaucoup à la fois quand chaque mot compte. Nous disposons d'un espace libre de toute censure pour témoigner de sa vie, confier ses aspirations, ses révoltes, exprimer ses interrogations ou ses croyances.
Les concepteurs du projet on choisi l'espace plutôt que l'enfouissement car l'espace appartient à tous. La seule incertitude est le risque d'une collision avec un objet celleste. Mais chaque aventure comporte des risques...
Alors s'il n'y avait qu'un seul message que l'on voudrait transmettre aux générations futures ou à nos arrières-arrières petits enfants quel serait-il '
Keo, c'est de la technologie, de la science fiction mais c'est aussi un projet à l'échelle de la planète.
L'opération est gratuite, ouverte à tous. Tous les messages reçus, après avoir été rendus anonymes, sont destinés à être librement publiés.
Alors, à nos claviers ! Et soignons l'écriture !
Keo Technique : Keo est un satellite qui sera lancé en 2007 ou 2008 autour de la Terre, résistant aux conditions extrêmes de l'espace grâce à ses nombreux boucliers protecteurs ( du tungstène, du titane et de l'aluminium, séparés par du vide ). Les données seront stockées sur un disque de verre quasi indestructible et sousmit aux tests de résistance les plus intenses. KEO est un petit satellite muni d'ailes, dit "passif" qui fait appel à des technologies de pointe. Il fonctionne sans énergie, sans instrumentation, ni électronique. Keo est un " projet du 21ème siècle " soutenu par l' UNESCO.
Source :
Arkius
