EEDAR - rapport joueurs DLC Dans le fond, ce qu'on appelle DLC (pour Downloadable Content) n'est pas néfaste en soi. Il permet d'allonger la durée de vie d'un jeu à la base, en lui ajoutant des personnages, paysages, quêtes supplémentaires. Le souci provient davantage de la manière dont ces contenus téléchargeables sont gérés par les éditeurs.

Mais au final, nous nous sommes rendu compte que les consommateurs étaient quasiment toujours présents pour se procurer ces ajouts, même quand les circonstances nous inciteraient plutôt à les éviter.


L'offre et la demande
Greg Short de l'EEDAR a publié un rapport dans lequel est indiqué que 32% des consommateurs désirent du DLC un mois après la sortie d'un titre. Ils sont 25% à attendre trois mois avant d'en vouloir. On remarquera que 17% demandent du contenu téléchargeable au lancement d'un jeu, et seulement 3% d'entre eux sont intéressés par du DLC un an après que le jeu est sorti.

Il apparaît également que 35% des joueurs ne partent jamais à la recherche de DLC payant, contre 29% qui se désintéressent aussi de savoir s'il existe du DLC gratuit pour leur jeu. Et pour ce qui est des consommateurs qui vont eux regarder si du DLC (qu'il soit payant ou non) est disponible pour leur titre, ils sont 20%.

Au final, qu'il faille devoir mettre la main à la poche ou pas pour acquérir des DLC, les joueurs ont tendance à se ruer sur ces derniers sans trop se poser de questions. Aucun risque alors que la machine s'arrête sous peu.

Source : Joystiq