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Le 18/01/2017 à 14:40, Alf92 a écrit :
http://frpn.online.fr/0divers/James_Barnor.jpg James Barnor
Je dis quelque chose pour dire quelque chose, mais tout ce que cela m'évoque, à première vue, ce sont les gros bidons de révélateur, de bain d'arrêt et de fixateur du club photo, les mêmes quasiment, simplement, ils n'étaient pas en couleurs parce que nous, au photo-club, on savait écrire les étiquettes et les lire ensuite. On pourrait y chercher une dimension sociale : le continent africain empoisonné par les déchets chimiques que lui envoient les pays anciennement colonialistes (allusion au trust capitaliste de la chimie allemande) et tout et tout mais il faudrait que la laborantine ait une dégaine plus locale. Ou bien alors, on peut y voir une sur-dimension sociale : le continent africain qui se libère de l'emprise des pays anciennement colonialistes et qui parvient à développer ses propres photos, avec un accroissement concomitant du niveau de vie, subtilement révélé par la robe occidentale et la coupe de cheveux de la fille mais aussi par la présence de la montre, dénonciation de l'asservissement de celle-ci aux folles cadences qu'on lui impose.
Le 18/01/2017 à 14:40, Alf92 a écrit :
http://frpn.online.fr/0divers/James_Barnor.jpg
James Barnor
Je dis quelque chose pour dire quelque chose, mais tout ce que cela
m'évoque, à première vue, ce sont les gros bidons de révélateur, de bain
d'arrêt et de fixateur du club photo, les mêmes quasiment, simplement,
ils n'étaient pas en couleurs parce que nous, au photo-club, on savait
écrire les étiquettes et les lire ensuite.
On pourrait y chercher une dimension sociale : le continent africain
empoisonné par les déchets chimiques que lui envoient les pays
anciennement colonialistes (allusion au trust capitaliste de la chimie
allemande) et tout et tout mais il faudrait que la laborantine ait une
dégaine plus locale.
Ou bien alors, on peut y voir une sur-dimension sociale : le continent
africain qui se libère de l'emprise des pays anciennement colonialistes
et qui parvient à développer ses propres photos, avec un accroissement
concomitant du niveau de vie, subtilement révélé par la robe occidentale
et la coupe de cheveux de la fille mais aussi par la présence de la
montre, dénonciation de l'asservissement de celle-ci aux folles cadences
qu'on lui impose.
http://frpn.online.fr/0divers/James_Barnor.jpg James Barnor
Je dis quelque chose pour dire quelque chose, mais tout ce que cela m'évoque, à première vue, ce sont les gros bidons de révélateur, de bain d'arrêt et de fixateur du club photo, les mêmes quasiment, simplement, ils n'étaient pas en couleurs parce que nous, au photo-club, on savait écrire les étiquettes et les lire ensuite. On pourrait y chercher une dimension sociale : le continent africain empoisonné par les déchets chimiques que lui envoient les pays anciennement colonialistes (allusion au trust capitaliste de la chimie allemande) et tout et tout mais il faudrait que la laborantine ait une dégaine plus locale. Ou bien alors, on peut y voir une sur-dimension sociale : le continent africain qui se libère de l'emprise des pays anciennement colonialistes et qui parvient à développer ses propres photos, avec un accroissement concomitant du niveau de vie, subtilement révélé par la robe occidentale et la coupe de cheveux de la fille mais aussi par la présence de la montre, dénonciation de l'asservissement de celle-ci aux folles cadences qu'on lui impose.
Alf92
GhostRaider :
Le 18/01/2017 à 14:40, Alf92 a écrit :
http://frpn.online.fr/0divers/James_Barnor.jpg James Barnor
Je dis quelque chose pour dire quelque chose, mais tout ce que cela m'évoque, à première vue, ce sont les gros bidons de révélateur, de bain d'arrêt et de fixateur du club photo, les mêmes quasiment, simplement, ils n'étaient pas en couleurs parce que nous, au photo-club, on savait écrire les étiquettes et les lire ensuite. On pourrait y chercher une dimension sociale : le continent africain empoisonné par les déchets chimiques que lui envoient les pays anciennement colonialistes (allusion au trust capitaliste de la chimie allemande) et tout et tout mais il faudrait que la laborantine ait une dégaine plus locale. Ou bien alors, on peut y voir une sur-dimension sociale : le continent africain qui se libère de l'emprise des pays anciennement colonialistes et qui parvient à développer ses propres photos, avec un accroissement concomitant du niveau de vie, subtilement révélé par la robe occidentale et la coupe de cheveux de la fille mais aussi par la présence de la montre, dénonciation de l'asservissement de celle-ci aux folles cadences qu'on lui impose.
j'ai eu à peu près le même cheminiement de pensée à la vue de cette photo, mais j'ai été plus loin. plus loin pour m'apercevoir que Barnor justement n'était pas allé plus loin que l'esthétique de la composition. finalement pourquoi chercher un sens ? le but n'est-il pas simplement le plaisir de l'oeil ?
GhostRaider :
Le 18/01/2017 à 14:40, Alf92 a écrit :
http://frpn.online.fr/0divers/James_Barnor.jpg
James Barnor
Je dis quelque chose pour dire quelque chose, mais tout ce que cela
m'évoque, à première vue, ce sont les gros bidons de révélateur, de bain
d'arrêt et de fixateur du club photo, les mêmes quasiment, simplement,
ils n'étaient pas en couleurs parce que nous, au photo-club, on savait
écrire les étiquettes et les lire ensuite.
On pourrait y chercher une dimension sociale : le continent africain
empoisonné par les déchets chimiques que lui envoient les pays
anciennement colonialistes (allusion au trust capitaliste de la chimie
allemande) et tout et tout mais il faudrait que la laborantine ait une
dégaine plus locale.
Ou bien alors, on peut y voir une sur-dimension sociale : le continent
africain qui se libère de l'emprise des pays anciennement colonialistes
et qui parvient à développer ses propres photos, avec un accroissement
concomitant du niveau de vie, subtilement révélé par la robe occidentale
et la coupe de cheveux de la fille mais aussi par la présence de la
montre, dénonciation de l'asservissement de celle-ci aux folles cadences
qu'on lui impose.
j'ai eu à peu près le même cheminiement de pensée à la vue de cette
photo, mais j'ai été plus loin.
plus loin pour m'apercevoir que Barnor justement n'était pas allé plus
loin que l'esthétique de la composition.
finalement pourquoi chercher un sens ? le but n'est-il pas simplement
le plaisir de l'oeil ?
http://frpn.online.fr/0divers/James_Barnor.jpg James Barnor
Je dis quelque chose pour dire quelque chose, mais tout ce que cela m'évoque, à première vue, ce sont les gros bidons de révélateur, de bain d'arrêt et de fixateur du club photo, les mêmes quasiment, simplement, ils n'étaient pas en couleurs parce que nous, au photo-club, on savait écrire les étiquettes et les lire ensuite. On pourrait y chercher une dimension sociale : le continent africain empoisonné par les déchets chimiques que lui envoient les pays anciennement colonialistes (allusion au trust capitaliste de la chimie allemande) et tout et tout mais il faudrait que la laborantine ait une dégaine plus locale. Ou bien alors, on peut y voir une sur-dimension sociale : le continent africain qui se libère de l'emprise des pays anciennement colonialistes et qui parvient à développer ses propres photos, avec un accroissement concomitant du niveau de vie, subtilement révélé par la robe occidentale et la coupe de cheveux de la fille mais aussi par la présence de la montre, dénonciation de l'asservissement de celle-ci aux folles cadences qu'on lui impose.
j'ai eu à peu près le même cheminiement de pensée à la vue de cette photo, mais j'ai été plus loin. plus loin pour m'apercevoir que Barnor justement n'était pas allé plus loin que l'esthétique de la composition. finalement pourquoi chercher un sens ? le but n'est-il pas simplement le plaisir de l'oeil ?
GhostRaider
Le 19/01/2017 à 14:48, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 18/01/2017 à 14:40, Alf92 a écrit :
http://frpn.online.fr/0divers/James_Barnor.jpg James Barnor
Je dis quelque chose pour dire quelque chose, mais tout ce que cela m'évoque, à première vue, ce sont les gros bidons de révélateur, de bain d'arrêt et de fixateur du club photo, les mêmes quasiment, simplement, ils n'étaient pas en couleurs parce que nous, au photo-club, on savait écrire les étiquettes et les lire ensuite. On pourrait y chercher une dimension sociale : le continent africain empoisonné par les déchets chimiques que lui envoient les pays anciennement colonialistes (allusion au trust capitaliste de la chimie allemande) et tout et tout mais il faudrait que la laborantine ait une dégaine plus locale. Ou bien alors, on peut y voir une sur-dimension sociale : le continent africain qui se libère de l'emprise des pays anciennement colonialistes et qui parvient à développer ses propres photos, avec un accroissement concomitant du niveau de vie, subtilement révélé par la robe occidentale et la coupe de cheveux de la fille mais aussi par la présence de la montre, dénonciation de l'asservissement de celle-ci aux folles cadences qu'on lui impose.
j'ai eu à peu près le même cheminiement de pensée à la vue de cette photo, mais j'ai été plus loin. plus loin pour m'apercevoir que Barnor justement n'était pas allé plus loin que l'esthétique de la composition. finalement pourquoi chercher un sens ? le but n'est-il pas simplement le plaisir de l'oeil ?
C'est bien parce que la composition de cette photo ne me frappe pas, mais alors pas tout, c'est le moins que je puisse dire, que j'ai cherché à révéler toutes ces significations tirées par les cheveux. Mais à la réflexion, on voit un éventail de 3 couleurs répétées plusieurs fois : blanc, vert, rouge, plus la Noire, les quatre couleurs du drapeau palestinien, sens caché de cette photo anti-sioniste.
Le 19/01/2017 à 14:48, Alf92 a écrit :
GhostRaider :
Le 18/01/2017 à 14:40, Alf92 a écrit :
http://frpn.online.fr/0divers/James_Barnor.jpg
James Barnor
Je dis quelque chose pour dire quelque chose, mais tout ce que cela
m'évoque, à première vue, ce sont les gros bidons de révélateur, de bain
d'arrêt et de fixateur du club photo, les mêmes quasiment, simplement,
ils n'étaient pas en couleurs parce que nous, au photo-club, on savait
écrire les étiquettes et les lire ensuite.
On pourrait y chercher une dimension sociale : le continent africain
empoisonné par les déchets chimiques que lui envoient les pays
anciennement colonialistes (allusion au trust capitaliste de la chimie
allemande) et tout et tout mais il faudrait que la laborantine ait une
dégaine plus locale.
Ou bien alors, on peut y voir une sur-dimension sociale : le continent
africain qui se libère de l'emprise des pays anciennement colonialistes
et qui parvient à développer ses propres photos, avec un accroissement
concomitant du niveau de vie, subtilement révélé par la robe occidentale
et la coupe de cheveux de la fille mais aussi par la présence de la
montre, dénonciation de l'asservissement de celle-ci aux folles cadences
qu'on lui impose.
j'ai eu à peu près le même cheminiement de pensée à la vue de cette
photo, mais j'ai été plus loin.
plus loin pour m'apercevoir que Barnor justement n'était pas allé plus
loin que l'esthétique de la composition.
finalement pourquoi chercher un sens ? le but n'est-il pas simplement
le plaisir de l'oeil ?
C'est bien parce que la composition de cette photo ne me frappe pas,
mais alors pas tout, c'est le moins que je puisse dire, que j'ai cherché
à révéler toutes ces significations tirées par les cheveux.
Mais à la réflexion, on voit un éventail de 3 couleurs répétées
plusieurs fois : blanc, vert, rouge, plus la Noire, les quatre couleurs
du drapeau palestinien, sens caché de cette photo anti-sioniste.
http://frpn.online.fr/0divers/James_Barnor.jpg James Barnor
Je dis quelque chose pour dire quelque chose, mais tout ce que cela m'évoque, à première vue, ce sont les gros bidons de révélateur, de bain d'arrêt et de fixateur du club photo, les mêmes quasiment, simplement, ils n'étaient pas en couleurs parce que nous, au photo-club, on savait écrire les étiquettes et les lire ensuite. On pourrait y chercher une dimension sociale : le continent africain empoisonné par les déchets chimiques que lui envoient les pays anciennement colonialistes (allusion au trust capitaliste de la chimie allemande) et tout et tout mais il faudrait que la laborantine ait une dégaine plus locale. Ou bien alors, on peut y voir une sur-dimension sociale : le continent africain qui se libère de l'emprise des pays anciennement colonialistes et qui parvient à développer ses propres photos, avec un accroissement concomitant du niveau de vie, subtilement révélé par la robe occidentale et la coupe de cheveux de la fille mais aussi par la présence de la montre, dénonciation de l'asservissement de celle-ci aux folles cadences qu'on lui impose.
j'ai eu à peu près le même cheminiement de pensée à la vue de cette photo, mais j'ai été plus loin. plus loin pour m'apercevoir que Barnor justement n'était pas allé plus loin que l'esthétique de la composition. finalement pourquoi chercher un sens ? le but n'est-il pas simplement le plaisir de l'oeil ?
C'est bien parce que la composition de cette photo ne me frappe pas, mais alors pas tout, c'est le moins que je puisse dire, que j'ai cherché à révéler toutes ces significations tirées par les cheveux. Mais à la réflexion, on voit un éventail de 3 couleurs répétées plusieurs fois : blanc, vert, rouge, plus la Noire, les quatre couleurs du drapeau palestinien, sens caché de cette photo anti-sioniste.