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Francis dreyfus nous écrit :

«Depuis ma plus tendre enfance, je suis un fou du jazz. C'est pour
transmettre cette passion toujours neuve que j'ai décodé de créer
Dreyfus Jazz.
Aujourd'hui, pour faire découvrir "autrement" les chefs-d'½uvre de
cette langue incorrigiblement vivante, je lance une collection des plus
belles pages enregistrées avant 1950 (en 78 tours et en mono) par ses
plus grands et irréfutables créateurs ; d'Armstrong à Parker, de Duke à
Count Basie, de Django à Dizzy Gillespie, sans oublier ces "génies"
moins médiatisés mais pourtant essentiels que sont Charlie Christian,
Nat King Cole, Woody Herman ou Don Byas.

Pour tous ceux qui aiment déjà le jazz et auront un immense plaisir à
le redécouvrir grâce à une qualité sonore inespée et inégalée. Mais
aussi pour ceux et surtout les jeunes, qui ne avent pas encore qu'ils
vont aimer cette musique qui a incendié de sa violence créatrice et de
son swing jubilatoire tout le XXe siècle.

Im me fallait d'abord réussir un pari presque impossible :"franchir le
mur du son", pour offrir des conditions nouvelles et optimales d'écoute
de sublimes cires d'antan. . Comme si elles avaient été enregistrées
hier. Grâce à la magie de la technologie informatique, et aux
recherches obstinées d'un ingénieur du son d'exception, René Ameline,
il a été possible avec infiniment de passion et de patience, en partant
des mêmes sources (les meilleurs titres et les meilleurs documents) de
donner une nouvelle jeunesse à la voix d'Alla et de Billie, d'offrir
une fraîcheur jusqu'alors inouië aux géniales improvisations de Louis
Armstrong et de Coleman HAwkins.

Mon idée était de partir du signal originel inscrit au plus profond de
la cire, d'élargir et de valoriser tout le spectre sonore jusqu'alors
inaudible et muet, pour faire (re)découvrir le meilleur du jazz
classique et du be-bop. Il a fallu soigneusement "denoiser" chaque
titre amoureusement choisi, c'est-à-dire nettoyernchaque plage de tout
scratch inutile et de tout clic agaçant, tout en veillant à ne pas trop
gommer le souffle originel. Afin de jouer vraiment sur la
spacialisation du son. Afin d'inventer une stéréo subtilement
équilibrée, ni choquante, ni forcée. Afin de proposer une qualité
jusqu'à présent inconnue, une richesse de relief et une profondeur
sonor encore jamais réalisées à partir de documents tirés de 78 tours
de collection. Le résultat est vraiment spectaculaire.

Cette collection est vraiment unique : par la volonté de
perfectionnisme passionné qui aanimé sa conception comme son
enfantement ; par la personnalité de ses pochettes inspirées de ½uvres
du peintre hollandais Mark Brusse ; par le concours d'une équipe de
"spécialistes" amoureux du jazz dans toutes ses dimensions, Claude
Carrière, Noël Hervé et Daniel Nevers. Pour vraiment définir l'esprit
de cette aventure qui a exigé près de deux ans de travail, je ne peux
mieux faire que de citer Claude Debussy : "Enfin de la musique sauvage
avec tout le confort moderne".»

J'ai ça va de Moi dans MMD les 30 CD de cette _fabuleuse_ collection :

http://tinyurl.com/oefy5yw

Je puis vous assurer, ô Amis mélosiciens, que vous allez prendre votre
pied, si vous osez passer la rampe...
Sur une installation de (très) haut niveau, l'écoute s'avère d'un
richesse somptueuse, d'une vérité incroyable, d'une foudroyante
beauté...

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Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant