Bravo à toi Philippe et respect : ce que tu fais est courageux et digne.
http://www.franceinfo.fr/justice/au-proces-kerviel-le-temoin-qui-accuse-
la-societe-generale-645835-2012-06-14
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Hello Dominique !
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Le problème actuellement, est que si la responsabilité de la banque est engagée aux côtés de Kerviel, les clients lésés pourront s'adresser à la Société Générale pour être indemnisés; tandis que si Kerviel seul est recommu coupable (comme c'est le cas en première instance), les clients lésés ne peuvent s'adresser qu'à lui et il est insolvable vu qu'on lui réclame près de cinq milliards.
Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en serait aperçu? C'est risible.
Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont chargé quelqu'un de déboucler les positions (c.a.d. finaliser les transactions) en deux jours, ce qui s'est soldé par une perte de près de cinq milliards.
Quoi qu'il en soit, cette affaire a montré qu'aucune confiance ne pouvait être faite aux cadres des banques, pas seulement la SG mais toutes. Ils jouent au casino avec l'argent des épargnants.
La confiance a été durablement compromise, et le restera aussi longtemps que le système ne s'auto-régulera pas. Or aucun signe d'amendement n'existe, au contraire, les banques se sont lancées dans un nouveau business qui est le chantage aux États: "Reflouez-moi ou je me mets en faillite".
Actuellement, les États et l'Europe cèdent au chantage car ils pensent préserver les avoirs des épargnants. Il est vraisemblable que la solution est autre, et qu'il faille procéder à des nationalisations des avoirs avec dissolution de l'institution bancaire fautive, tout le personnel se retrouvant au chômage. De cette façon, un signal clair serait donné, chaque agent sachant qu'il ne peut plus se réfugier derrière les instructions reçues de sa hiérarchie pour excuser les manoeuvres dolentes réalisées à
l'égard de la clientèle et de son épargne.
Hello Dominique !
dmkgbt@free.invalid (Dominique) wrote:
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Le problème actuellement, est que si la responsabilité de la banque est engagée aux côtés de Kerviel, les clients lésés pourront s'adresser à la Société Générale pour être indemnisés; tandis que si Kerviel seul est recommu coupable (comme c'est le cas en première instance), les clients lésés ne peuvent s'adresser qu'à lui et il est insolvable vu qu'on lui réclame près de cinq milliards.
Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en serait aperçu? C'est risible.
Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont chargé quelqu'un de déboucler les positions (c.a.d. finaliser les transactions) en deux jours, ce qui s'est soldé par une perte de près de cinq milliards.
Quoi qu'il en soit, cette affaire a montré qu'aucune confiance ne pouvait être faite aux cadres des banques, pas seulement la SG mais toutes. Ils jouent au casino avec l'argent des épargnants.
La confiance a été durablement compromise, et le restera aussi longtemps que le système ne s'auto-régulera pas. Or aucun signe d'amendement n'existe, au contraire, les banques se sont lancées dans un nouveau business qui est le chantage aux États: "Reflouez-moi ou je me mets en faillite".
Actuellement, les États et l'Europe cèdent au chantage car ils pensent préserver les avoirs des épargnants. Il est vraisemblable que la solution est autre, et qu'il faille procéder à des nationalisations des avoirs avec dissolution de l'institution bancaire fautive, tout le personnel se retrouvant au chômage. De cette façon, un signal clair serait donné, chaque agent sachant qu'il ne peut plus se réfugier derrière les instructions reçues de sa hiérarchie pour excuser les manoeuvres dolentes réalisées à
l'égard de la clientèle et de son épargne.
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(Dominique) wrote:Bravo à toi Philippe et respect : ce que tu fais est courageux et digne.
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Le problème actuellement, est que si la responsabilité de la banque est engagée aux côtés de Kerviel, les clients lésés pourront s'adresser à la Société Générale pour être indemnisés; tandis que si Kerviel seul est recommu coupable (comme c'est le cas en première instance), les clients lésés ne peuvent s'adresser qu'à lui et il est insolvable vu qu'on lui réclame près de cinq milliards.
Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en serait aperçu? C'est risible.
Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont chargé quelqu'un de déboucler les positions (c.a.d. finaliser les transactions) en deux jours, ce qui s'est soldé par une perte de près de cinq milliards.
Quoi qu'il en soit, cette affaire a montré qu'aucune confiance ne pouvait être faite aux cadres des banques, pas seulement la SG mais toutes. Ils jouent au casino avec l'argent des épargnants.
La confiance a été durablement compromise, et le restera aussi longtemps que le système ne s'auto-régulera pas. Or aucun signe d'amendement n'existe, au contraire, les banques se sont lancées dans un nouveau business qui est le chantage aux États: "Reflouez-moi ou je me mets en faillite".
Actuellement, les États et l'Europe cèdent au chantage car ils pensent préserver les avoirs des épargnants. Il est vraisemblable que la solution est autre, et qu'il faille procéder à des nationalisations des avoirs avec dissolution de l'institution bancaire fautive, tout le personnel se retrouvant au chômage. De cette façon, un signal clair serait donné, chaque agent sachant qu'il ne peut plus se réfugier derrière les instructions reçues de sa hiérarchie pour excuser les manoeuvres dolentes réalisées à
l'égard de la clientèle et de son épargne.
Le problème actuellement, est que si la responsabilité de la banque est
engagée aux côtés de Kerviel, les clients lésés pourront s'adresser à la
Société Générale pour être indemnisés; tandis que si Kerviel seul est recommu
coupable (comme c'est le cas en première instance), les clients lésés ne
peuvent s'adresser qu'à lui et il est insolvable vu qu'on lui réclame près de
cinq milliards.
Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant
largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en
serait aperçu? C'est risible. Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont
chargé quelqu'un de déboucler les positions (c.a.d. finaliser les
transactions) en deux jours, ce qui s'est soldé par une perte de près de cinq
milliards.
Quoi qu'il en soit, cette affaire a montré qu'aucune confiance ne pouvait
être faite aux cadres des banques, pas seulement la SG mais toutes. Ils
jouent au casino avec l'argent des épargnants. La confiance a été
durablement compromise, et le restera aussi longtemps que le système ne
s'auto-régulera pas. Or aucun signe d'amendement n'existe, au contraire, les
banques se sont lancées dans un nouveau business qui est le chantage aux
États: "Reflouez-moi ou je me mets en faillite". Actuellement, les États
et l'Europe cèdent au chantage car ils pensent préserver les avoirs des
épargnants. Il est vraisemblable que la solution est autre, et qu'il faille
procéder à des nationalisations des avoirs avec dissolution de l'institution
bancaire fautive, tout le personnel se retrouvant au chômage. De cette façon,
un signal clair serait donné, chaque agent sachant qu'il ne peut plus se
réfugier derrière les instructions reçues de sa hiérarchie pour excuser les
manoeuvres dolentes réalisées à l'égard de la clientèle et de son épargne.
Le problème actuellement, est que si la responsabilité de la banque est
engagée aux côtés de Kerviel, les clients lésés pourront s'adresser à la
Société Générale pour être indemnisés; tandis que si Kerviel seul est recommu
coupable (comme c'est le cas en première instance), les clients lésés ne
peuvent s'adresser qu'à lui et il est insolvable vu qu'on lui réclame près de
cinq milliards.
Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant
largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en
serait aperçu? C'est risible. Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont
chargé quelqu'un de déboucler les positions (c.a.d. finaliser les
transactions) en deux jours, ce qui s'est soldé par une perte de près de cinq
milliards.
Quoi qu'il en soit, cette affaire a montré qu'aucune confiance ne pouvait
être faite aux cadres des banques, pas seulement la SG mais toutes. Ils
jouent au casino avec l'argent des épargnants. La confiance a été
durablement compromise, et le restera aussi longtemps que le système ne
s'auto-régulera pas. Or aucun signe d'amendement n'existe, au contraire, les
banques se sont lancées dans un nouveau business qui est le chantage aux
États: "Reflouez-moi ou je me mets en faillite". Actuellement, les États
et l'Europe cèdent au chantage car ils pensent préserver les avoirs des
épargnants. Il est vraisemblable que la solution est autre, et qu'il faille
procéder à des nationalisations des avoirs avec dissolution de l'institution
bancaire fautive, tout le personnel se retrouvant au chômage. De cette façon,
un signal clair serait donné, chaque agent sachant qu'il ne peut plus se
réfugier derrière les instructions reçues de sa hiérarchie pour excuser les
manoeuvres dolentes réalisées à l'égard de la clientèle et de son épargne.
Le problème actuellement, est que si la responsabilité de la banque est
engagée aux côtés de Kerviel, les clients lésés pourront s'adresser à la
Société Générale pour être indemnisés; tandis que si Kerviel seul est recommu
coupable (comme c'est le cas en première instance), les clients lésés ne
peuvent s'adresser qu'à lui et il est insolvable vu qu'on lui réclame près de
cinq milliards.
Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant
largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en
serait aperçu? C'est risible. Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont
chargé quelqu'un de déboucler les positions (c.a.d. finaliser les
transactions) en deux jours, ce qui s'est soldé par une perte de près de cinq
milliards.
Quoi qu'il en soit, cette affaire a montré qu'aucune confiance ne pouvait
être faite aux cadres des banques, pas seulement la SG mais toutes. Ils
jouent au casino avec l'argent des épargnants. La confiance a été
durablement compromise, et le restera aussi longtemps que le système ne
s'auto-régulera pas. Or aucun signe d'amendement n'existe, au contraire, les
banques se sont lancées dans un nouveau business qui est le chantage aux
États: "Reflouez-moi ou je me mets en faillite". Actuellement, les États
et l'Europe cèdent au chantage car ils pensent préserver les avoirs des
épargnants. Il est vraisemblable que la solution est autre, et qu'il faille
procéder à des nationalisations des avoirs avec dissolution de l'institution
bancaire fautive, tout le personnel se retrouvant au chômage. De cette façon,
un signal clair serait donné, chaque agent sachant qu'il ne peut plus se
réfugier derrière les instructions reçues de sa hiérarchie pour excuser les
manoeuvres dolentes réalisées à l'égard de la clientèle et de son épargne.
Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant
largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en
serait aperçu? C'est risible.
Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont chargé quelqu'un de déboucler
les positions (c.a.d. finaliser les transactions) en deux jours, ce qui
s'est soldé par une perte de près de cinq milliards.
en pratique, ils faisaient l'autruche tant que ca rapportait... c'est
quand ils ont perdu qu'ils ont "débouclé". donc les pertes ne sont pas
liées au fameux débouclage uniquement, mais aussi au fait qu'on s'en est
"aperçu" parce qu'il y avait des pertes importantes..
Actuellement, les États et l'Europe cèdent au chantage car ils
pensent préserver les avoirs des épargnants. Il est vraisemblable que la
solution est autre, et qu'il faille procéder à des nationalisations des
avoirs avec dissolution de l'institution bancaire fautive, tout le
personnel se retrouvant au chômage. De cette façon, un signal clair serait
donné, chaque agent sachant qu'il ne peut plus se réfugier derrière les
instructions reçues de sa hiérarchie pour excuser les manoeuvres dolentes
réalisées à
cout des chomeur, des milliers d'agence, de tout l'infra énorme
informatique, des données historisées ? quelles répercussions pour les
autres filiales ? ou vont les clients car les autres banques ne sont pas
prete à les accueillir massivement ? pis y'a pas une banque meilleure
que l'autre sur ces points...
Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant
largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en
serait aperçu? C'est risible.
Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont chargé quelqu'un de déboucler
les positions (c.a.d. finaliser les transactions) en deux jours, ce qui
s'est soldé par une perte de près de cinq milliards.
en pratique, ils faisaient l'autruche tant que ca rapportait... c'est
quand ils ont perdu qu'ils ont "débouclé". donc les pertes ne sont pas
liées au fameux débouclage uniquement, mais aussi au fait qu'on s'en est
"aperçu" parce qu'il y avait des pertes importantes..
Actuellement, les États et l'Europe cèdent au chantage car ils
pensent préserver les avoirs des épargnants. Il est vraisemblable que la
solution est autre, et qu'il faille procéder à des nationalisations des
avoirs avec dissolution de l'institution bancaire fautive, tout le
personnel se retrouvant au chômage. De cette façon, un signal clair serait
donné, chaque agent sachant qu'il ne peut plus se réfugier derrière les
instructions reçues de sa hiérarchie pour excuser les manoeuvres dolentes
réalisées à
cout des chomeur, des milliers d'agence, de tout l'infra énorme
informatique, des données historisées ? quelles répercussions pour les
autres filiales ? ou vont les clients car les autres banques ne sont pas
prete à les accueillir massivement ? pis y'a pas une banque meilleure
que l'autre sur ces points...
Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant
largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en
serait aperçu? C'est risible.
Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont chargé quelqu'un de déboucler
les positions (c.a.d. finaliser les transactions) en deux jours, ce qui
s'est soldé par une perte de près de cinq milliards.
en pratique, ils faisaient l'autruche tant que ca rapportait... c'est
quand ils ont perdu qu'ils ont "débouclé". donc les pertes ne sont pas
liées au fameux débouclage uniquement, mais aussi au fait qu'on s'en est
"aperçu" parce qu'il y avait des pertes importantes..
Actuellement, les États et l'Europe cèdent au chantage car ils
pensent préserver les avoirs des épargnants. Il est vraisemblable que la
solution est autre, et qu'il faille procéder à des nationalisations des
avoirs avec dissolution de l'institution bancaire fautive, tout le
personnel se retrouvant au chômage. De cette façon, un signal clair serait
donné, chaque agent sachant qu'il ne peut plus se réfugier derrière les
instructions reçues de sa hiérarchie pour excuser les manoeuvres dolentes
réalisées à
cout des chomeur, des milliers d'agence, de tout l'infra énorme
informatique, des données historisées ? quelles répercussions pour les
autres filiales ? ou vont les clients car les autres banques ne sont pas
prete à les accueillir massivement ? pis y'a pas une banque meilleure
que l'autre sur ces points...
Hello pif34 !
pif34 wrote:Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant
largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en
serait aperçu? C'est risible.
Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont chargé quelqu'un de déboucler
les positions (c.a.d. finaliser les transactions) en deux jours, ce qui
s'est soldé par une perte de près de cinq milliards.en pratique, ils faisaient l'autruche tant que ca rapportait... c'est
quand ils ont perdu qu'ils ont "débouclé". donc les pertes ne sont pas
liées au fameux débouclage uniquement, mais aussi au fait qu'on s'en est
"aperçu" parce qu'il y avait des pertes importantes..
Il n'y avait pas encore de pertes au moment de la décision de déboucler les
positions; les pertes ont résulté du débouclage hâtif. La SG a craint de faire
l'objet, si cela se savait, d'une spéculation contre elle par les autres
acteurs boursiers.
Hello pif34 !
pif34 <pif34@nospam.fr.invalid> wrote:
Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant
largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en
serait aperçu? C'est risible.
Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont chargé quelqu'un de déboucler
les positions (c.a.d. finaliser les transactions) en deux jours, ce qui
s'est soldé par une perte de près de cinq milliards.
en pratique, ils faisaient l'autruche tant que ca rapportait... c'est
quand ils ont perdu qu'ils ont "débouclé". donc les pertes ne sont pas
liées au fameux débouclage uniquement, mais aussi au fait qu'on s'en est
"aperçu" parce qu'il y avait des pertes importantes..
Il n'y avait pas encore de pertes au moment de la décision de déboucler les
positions; les pertes ont résulté du débouclage hâtif. La SG a craint de faire
l'objet, si cela se savait, d'une spéculation contre elle par les autres
acteurs boursiers.
Hello pif34 !
pif34 wrote:Dans la réalité, Kerviel avait pris des positions pour un motant
largement supérieur aux avoirs totaux de la banque: et personne ne s'en
serait aperçu? C'est risible.
Quand ils s'en sont "aperçus", ils ont chargé quelqu'un de déboucler
les positions (c.a.d. finaliser les transactions) en deux jours, ce qui
s'est soldé par une perte de près de cinq milliards.en pratique, ils faisaient l'autruche tant que ca rapportait... c'est
quand ils ont perdu qu'ils ont "débouclé". donc les pertes ne sont pas
liées au fameux débouclage uniquement, mais aussi au fait qu'on s'en est
"aperçu" parce qu'il y avait des pertes importantes..
Il n'y avait pas encore de pertes au moment de la décision de déboucler les
positions; les pertes ont résulté du débouclage hâtif. La SG a craint de faire
l'objet, si cela se savait, d'une spéculation contre elle par les autres
acteurs boursiers.