Hello !
Comme j'ai un doute (et que j'ai vu qu'haveur tra nait ses gu tres dans l es
parages ;-) ), j'aimerais bien quelques claircissements...
Je d veloppe actuellement un spectacle qui va tourner dans des petites
communes. Ce spectacle a un entracte.
Pour ne pas laisser les spectateurs en plan durant l'entracte, nous
souhaiterions leur proposer une boisson. D'o buvette (comprendre d bit de
boisson temporaire).
Or une association n'a la possibilit de mettre en place que 5 buvettes pa r
an.
Or, je vais faire beaucoup plus de repr sentations que cela (enfin...
j'esp re !)
Je sais que certaines structures contournent l'obstacle en faisant adh re r
les spectateurs l'association => on tombe alors dans le cadre du cercle
priv et il n'y a plus v ritablement de limite. Mais ces assos ignorent qu e
c'est double tranchant : en cas de contr le, on regardera si les
adh rents sont bien convoqu s participer la vie de l'association (AG
par ex), si les modalit s d'adh sion sont bien conformes aux statuts, si
ces membres sont bien membres part enti re, etc. Si tel n'est pas le cas,
il y aura redressement.
De plus, faire adh rer tout va, n'importe qui et n'importe comment, sans
pr senter les statuts ou autre, c'est du grand n'importe quoi qui risque de
retomber sur le groin des administrateurs t t ou tard. Sans parler du fai t
de faire remplir un formulaire d'inscription chaque spectateur
l'entr e. Bref, on oublie.
Pour autant que je sache, le fait de distribuer gratuitement les boissons
ou de les faire payer n'a pas d'incidence.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l' tablissement d'un d bit de
boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1 re cat gorie.
Dois-je d s lors prendre une licence 1 re cat gorie, puisque je d passe l es
5 buvettes ? probl matique puisque je serai "ambulant", non ? pour autant ,
c'est bien " consommer sur place".
Et quid si j'offre une part de tarte avec ? je passe la "petite licence
restauration" ? (qui soit dit en passant est une aberration, puisque la
demande doit se faire en douane, ceci en vertu de textes abrog s depuis
belle lurette !!!)
Bref, merci de me faire part de vos lumi res sur la question.
PS : merci aussi de nous faire gr ce de l'avis du cousin par alliance de la
femme du facteur, quand bien m me il serait vice-tr sorier adjoint d'un
comit des f tes depuis 1956.
Cordialement,
Herv LOTH
--
LE LOUP THEATREwww.lelouptheatre.fr
ET TROIS SONT LES VAISSEAUX...www.3vaisseaux.fr
PICARDIE THEATREwww.picardietheatre.fr
Hello !
Comme j'ai un doute (et que j'ai vu qu'haveur tra nait ses gu tres dans l es
parages ;-) ), j'aimerais bien quelques claircissements...
Je d veloppe actuellement un spectacle qui va tourner dans des petites
communes. Ce spectacle a un entracte.
Pour ne pas laisser les spectateurs en plan durant l'entracte, nous
souhaiterions leur proposer une boisson. D'o buvette (comprendre d bit de
boisson temporaire).
Or une association n'a la possibilit de mettre en place que 5 buvettes pa r
an.
Or, je vais faire beaucoup plus de repr sentations que cela (enfin...
j'esp re !)
Je sais que certaines structures contournent l'obstacle en faisant adh re r
les spectateurs l'association => on tombe alors dans le cadre du cercle
priv et il n'y a plus v ritablement de limite. Mais ces assos ignorent qu e
c'est double tranchant : en cas de contr le, on regardera si les
adh rents sont bien convoqu s participer la vie de l'association (AG
par ex), si les modalit s d'adh sion sont bien conformes aux statuts, si
ces membres sont bien membres part enti re, etc. Si tel n'est pas le cas,
il y aura redressement.
De plus, faire adh rer tout va, n'importe qui et n'importe comment, sans
pr senter les statuts ou autre, c'est du grand n'importe quoi qui risque de
retomber sur le groin des administrateurs t t ou tard. Sans parler du fai t
de faire remplir un formulaire d'inscription chaque spectateur
l'entr e. Bref, on oublie.
Pour autant que je sache, le fait de distribuer gratuitement les boissons
ou de les faire payer n'a pas d'incidence.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l' tablissement d'un d bit de
boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1 re cat gorie.
Dois-je d s lors prendre une licence 1 re cat gorie, puisque je d passe l es
5 buvettes ? probl matique puisque je serai "ambulant", non ? pour autant ,
c'est bien " consommer sur place".
Et quid si j'offre une part de tarte avec ? je passe la "petite licence
restauration" ? (qui soit dit en passant est une aberration, puisque la
demande doit se faire en douane, ceci en vertu de textes abrog s depuis
belle lurette !!!)
Bref, merci de me faire part de vos lumi res sur la question.
PS : merci aussi de nous faire gr ce de l'avis du cousin par alliance de la
femme du facteur, quand bien m me il serait vice-tr sorier adjoint d'un
comit des f tes depuis 1956.
Cordialement,
Herv LOTH
--
LE LOUP THEATREwww.lelouptheatre.fr
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Hello !
Comme j'ai un doute (et que j'ai vu qu'haveur tra nait ses gu tres dans l es
parages ;-) ), j'aimerais bien quelques claircissements...
Je d veloppe actuellement un spectacle qui va tourner dans des petites
communes. Ce spectacle a un entracte.
Pour ne pas laisser les spectateurs en plan durant l'entracte, nous
souhaiterions leur proposer une boisson. D'o buvette (comprendre d bit de
boisson temporaire).
Or une association n'a la possibilit de mettre en place que 5 buvettes pa r
an.
Or, je vais faire beaucoup plus de repr sentations que cela (enfin...
j'esp re !)
Je sais que certaines structures contournent l'obstacle en faisant adh re r
les spectateurs l'association => on tombe alors dans le cadre du cercle
priv et il n'y a plus v ritablement de limite. Mais ces assos ignorent qu e
c'est double tranchant : en cas de contr le, on regardera si les
adh rents sont bien convoqu s participer la vie de l'association (AG
par ex), si les modalit s d'adh sion sont bien conformes aux statuts, si
ces membres sont bien membres part enti re, etc. Si tel n'est pas le cas,
il y aura redressement.
De plus, faire adh rer tout va, n'importe qui et n'importe comment, sans
pr senter les statuts ou autre, c'est du grand n'importe quoi qui risque de
retomber sur le groin des administrateurs t t ou tard. Sans parler du fai t
de faire remplir un formulaire d'inscription chaque spectateur
l'entr e. Bref, on oublie.
Pour autant que je sache, le fait de distribuer gratuitement les boissons
ou de les faire payer n'a pas d'incidence.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l' tablissement d'un d bit de
boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1 re cat gorie.
Dois-je d s lors prendre une licence 1 re cat gorie, puisque je d passe l es
5 buvettes ? probl matique puisque je serai "ambulant", non ? pour autant ,
c'est bien " consommer sur place".
Et quid si j'offre une part de tarte avec ? je passe la "petite licence
restauration" ? (qui soit dit en passant est une aberration, puisque la
demande doit se faire en douane, ceci en vertu de textes abrog s depuis
belle lurette !!!)
Bref, merci de me faire part de vos lumi res sur la question.
PS : merci aussi de nous faire gr ce de l'avis du cousin par alliance de la
femme du facteur, quand bien m me il serait vice-tr sorier adjoint d'un
comit des f tes depuis 1956.
Cordialement,
Herv LOTH
--
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ET TROIS SONT LES VAISSEAUX...www.3vaisseaux.fr
PICARDIE THEATREwww.picardietheatre.fr
Le comité des fêtes au équivalent des petites communes où vous passez
ne peut pas s'occuper de la buvette ?
Le comité des fêtes au équivalent des petites communes où vous passez
ne peut pas s'occuper de la buvette ?
Le comité des fêtes au équivalent des petites communes où vous passez
ne peut pas s'occuper de la buvette ?
Pour autant que je sache, le fait de distribuer gratuitement les boissons
ou de les faire payer n'a pas d'incidence.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit de
boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère catégorie.
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je dépasse
les
5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant", non ? pour autant,
c'est bien "à consommer sur place".
Et quid si j'offre une part de tarte avec ? je passe à la "petite licence
restauration" ? (qui soit dit en passant est une aberration, puisque la
demande doit se faire en douane, ceci en vertu de textes abrogés depuis
belle lurette !!!)
Bref, merci de me faire part de vos lumières sur la question.
PS : merci aussi de nous faire grâce de l'avis du cousin par alliance de
la
femme du facteur, quand bien même il serait vice-trésorier adjoint d'un
comité des fêtes depuis 1956.
Pour autant que je sache, le fait de distribuer gratuitement les boissons
ou de les faire payer n'a pas d'incidence.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit de
boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère catégorie.
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je dépasse
les
5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant", non ? pour autant,
c'est bien "à consommer sur place".
Et quid si j'offre une part de tarte avec ? je passe à la "petite licence
restauration" ? (qui soit dit en passant est une aberration, puisque la
demande doit se faire en douane, ceci en vertu de textes abrogés depuis
belle lurette !!!)
Bref, merci de me faire part de vos lumières sur la question.
PS : merci aussi de nous faire grâce de l'avis du cousin par alliance de
la
femme du facteur, quand bien même il serait vice-trésorier adjoint d'un
comité des fêtes depuis 1956.
Pour autant que je sache, le fait de distribuer gratuitement les boissons
ou de les faire payer n'a pas d'incidence.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit de
boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère catégorie.
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je dépasse
les
5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant", non ? pour autant,
c'est bien "à consommer sur place".
Et quid si j'offre une part de tarte avec ? je passe à la "petite licence
restauration" ? (qui soit dit en passant est une aberration, puisque la
demande doit se faire en douane, ceci en vertu de textes abrogés depuis
belle lurette !!!)
Bref, merci de me faire part de vos lumières sur la question.
PS : merci aussi de nous faire grâce de l'avis du cousin par alliance de
la
femme du facteur, quand bien même il serait vice-trésorier adjoint d'un
comité des fêtes depuis 1956.
Le 14 juin 2010, enzo diver a tapoté ce qui suit :Le comité des fêtes au équivalent des petites communes où vous passez
ne peut pas s'occuper de la buvette ?
j'y avais pensé, mais outre que c'est compliqué à gérer, c'est surtout a
priori interdit (art L3334-2 du Code de Santé publique)
Cordialement,
Hervé LOTH
Le 14 juin 2010, enzo diver <enzodiver@gmail.com> a tapoté ce qui suit :
Le comité des fêtes au équivalent des petites communes où vous passez
ne peut pas s'occuper de la buvette ?
j'y avais pensé, mais outre que c'est compliqué à gérer, c'est surtout a
priori interdit (art L3334-2 du Code de Santé publique)
Cordialement,
Hervé LOTH
Le 14 juin 2010, enzo diver a tapoté ce qui suit :Le comité des fêtes au équivalent des petites communes où vous passez
ne peut pas s'occuper de la buvette ?
j'y avais pensé, mais outre que c'est compliqué à gérer, c'est surtout a
priori interdit (art L3334-2 du Code de Santé publique)
Cordialement,
Hervé LOTH
Hello !
Comme j'ai un doute (et que j'ai vu qu'haveur traînait ses guêtres dans les
parages ;-) ), j'aimerais bien quelques éclaircissements...
Je développe actuellement un spectacle qui va tourner dans des petites
communes. Ce spectacle a un entracte.
Pour ne pas laisser les spectateurs en plan durant l'entracte, nous
souhaiterions leur proposer une boisson. D'où buvette (comprendre débit de
boisson temporaire).
Or une association n'a la possibilité de mettre en place que 5 buvettes par
an.
Or, je vais faire beaucoup plus de représentations que cela (enfin...
j'espère !)
Je sais que certaines structures contournent l'obstacle en faisant adhérer
les spectateurs à l'association => on tombe alors dans le cadre du cercle
privé et il n'y a plus véritablement de limite.
c'est à double tranchant : en cas de contrôle, on regardera si les
adhérents sont bien convoqués à participer à la vie de l'association (AG
par ex), si les modalités d'adhésion sont bien conformes aux statuts, si
ces membres sont bien membres à part entière, etc. Si tel n'est pas le cas,
il y aura redressement.
De plus, faire adhérer à tout va, n'importe qui et n'importe comment, sans
présenter les statuts ou autre, c'est du grand n'importe quoi qui risque de
retomber sur le groin des administrateurs tôt ou tard. Sans parler du fait
de faire remplir un formulaire d'inscription à chaque spectateur à
l'entrée. Bref, on oublie.
Pour autant que je sache, le fait de distribuer gratuitement les boissons
ou de les faire payer n'a pas d'incidence.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit de
boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère catégorie.
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je dépasse les
5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant", non ? pour autant,
c'est bien "à consommer sur place".
Et quid si j'offre une part de tarte avec ? je passe à la "petite licence
restauration" ? (qui soit dit en passant est une aberration, puisque la
demande doit se faire en douane, ceci en vertu de textes abrogés depuis
belle lurette !!!)
Bref, merci de me faire part de vos lumières sur la question.
PS : merci aussi de nous faire grâce de l'avis du cousin par alliance de la
femme du facteur, quand bien même il serait vice-trésorier adjoint d'un
comité des fêtes depuis 1956.
Cordialement,
Hervé LOTH
Hello !
Comme j'ai un doute (et que j'ai vu qu'haveur traînait ses guêtres dans les
parages ;-) ), j'aimerais bien quelques éclaircissements...
Je développe actuellement un spectacle qui va tourner dans des petites
communes. Ce spectacle a un entracte.
Pour ne pas laisser les spectateurs en plan durant l'entracte, nous
souhaiterions leur proposer une boisson. D'où buvette (comprendre débit de
boisson temporaire).
Or une association n'a la possibilité de mettre en place que 5 buvettes par
an.
Or, je vais faire beaucoup plus de représentations que cela (enfin...
j'espère !)
Je sais que certaines structures contournent l'obstacle en faisant adhérer
les spectateurs à l'association => on tombe alors dans le cadre du cercle
privé et il n'y a plus véritablement de limite.
c'est à double tranchant : en cas de contrôle, on regardera si les
adhérents sont bien convoqués à participer à la vie de l'association (AG
par ex), si les modalités d'adhésion sont bien conformes aux statuts, si
ces membres sont bien membres à part entière, etc. Si tel n'est pas le cas,
il y aura redressement.
De plus, faire adhérer à tout va, n'importe qui et n'importe comment, sans
présenter les statuts ou autre, c'est du grand n'importe quoi qui risque de
retomber sur le groin des administrateurs tôt ou tard. Sans parler du fait
de faire remplir un formulaire d'inscription à chaque spectateur à
l'entrée. Bref, on oublie.
Pour autant que je sache, le fait de distribuer gratuitement les boissons
ou de les faire payer n'a pas d'incidence.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit de
boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère catégorie.
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je dépasse les
5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant", non ? pour autant,
c'est bien "à consommer sur place".
Et quid si j'offre une part de tarte avec ? je passe à la "petite licence
restauration" ? (qui soit dit en passant est une aberration, puisque la
demande doit se faire en douane, ceci en vertu de textes abrogés depuis
belle lurette !!!)
Bref, merci de me faire part de vos lumières sur la question.
PS : merci aussi de nous faire grâce de l'avis du cousin par alliance de la
femme du facteur, quand bien même il serait vice-trésorier adjoint d'un
comité des fêtes depuis 1956.
Cordialement,
Hervé LOTH
Hello !
Comme j'ai un doute (et que j'ai vu qu'haveur traînait ses guêtres dans les
parages ;-) ), j'aimerais bien quelques éclaircissements...
Je développe actuellement un spectacle qui va tourner dans des petites
communes. Ce spectacle a un entracte.
Pour ne pas laisser les spectateurs en plan durant l'entracte, nous
souhaiterions leur proposer une boisson. D'où buvette (comprendre débit de
boisson temporaire).
Or une association n'a la possibilité de mettre en place que 5 buvettes par
an.
Or, je vais faire beaucoup plus de représentations que cela (enfin...
j'espère !)
Je sais que certaines structures contournent l'obstacle en faisant adhérer
les spectateurs à l'association => on tombe alors dans le cadre du cercle
privé et il n'y a plus véritablement de limite.
c'est à double tranchant : en cas de contrôle, on regardera si les
adhérents sont bien convoqués à participer à la vie de l'association (AG
par ex), si les modalités d'adhésion sont bien conformes aux statuts, si
ces membres sont bien membres à part entière, etc. Si tel n'est pas le cas,
il y aura redressement.
De plus, faire adhérer à tout va, n'importe qui et n'importe comment, sans
présenter les statuts ou autre, c'est du grand n'importe quoi qui risque de
retomber sur le groin des administrateurs tôt ou tard. Sans parler du fait
de faire remplir un formulaire d'inscription à chaque spectateur à
l'entrée. Bref, on oublie.
Pour autant que je sache, le fait de distribuer gratuitement les boissons
ou de les faire payer n'a pas d'incidence.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit de
boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère catégorie.
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je dépasse les
5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant", non ? pour autant,
c'est bien "à consommer sur place".
Et quid si j'offre une part de tarte avec ? je passe à la "petite licence
restauration" ? (qui soit dit en passant est une aberration, puisque la
demande doit se faire en douane, ceci en vertu de textes abrogés depuis
belle lurette !!!)
Bref, merci de me faire part de vos lumières sur la question.
PS : merci aussi de nous faire grâce de l'avis du cousin par alliance de la
femme du facteur, quand bien même il serait vice-trésorier adjoint d'un
comité des fêtes depuis 1956.
Cordialement,
Hervé LOTH
bonjour
je fais partie du comite des fetes de ma petite commune de 700 habitants
nous organisons dans l'année
1 vide grenier, 1 fete de village qui dure 2 jours et le reveillon du
nouvel an!
il y a donc vente de boissons systematiquement
parallelement a ca, la mairie dispose d'une commission d'animation avec
un budget qui lui est propre et 1 fois /mois, l'animateur communal
oragnise une animation qui peut etre du karting, une sortie dans un parc
de loisir, une troupe de theatre, 1 café concert, etc........
dans le cadre des 2 dernieres activités par exemple, une buvette est
organisée, mais qui passe sous l'egide du comité des fetes, la mairie
n'ayant pas le droit de commerce
par contre nous n'avons pas le droit de vendre du vin, vu que nous ne
servons pas de repas
au bas mot je dirais qeu nous effectuons ce genre de buvette 5 ou 6 fois
dans l'année, en + des notres!
ca sera meme un peu plus cette année avec la coupe du monde, car c'est
retropojecteur sur grand ecran a la salle des fetes si la france est en
1/2 finale et finale!
bonjour
je fais partie du comite des fetes de ma petite commune de 700 habitants
nous organisons dans l'année
1 vide grenier, 1 fete de village qui dure 2 jours et le reveillon du
nouvel an!
il y a donc vente de boissons systematiquement
parallelement a ca, la mairie dispose d'une commission d'animation avec
un budget qui lui est propre et 1 fois /mois, l'animateur communal
oragnise une animation qui peut etre du karting, une sortie dans un parc
de loisir, une troupe de theatre, 1 café concert, etc........
dans le cadre des 2 dernieres activités par exemple, une buvette est
organisée, mais qui passe sous l'egide du comité des fetes, la mairie
n'ayant pas le droit de commerce
par contre nous n'avons pas le droit de vendre du vin, vu que nous ne
servons pas de repas
au bas mot je dirais qeu nous effectuons ce genre de buvette 5 ou 6 fois
dans l'année, en + des notres!
ca sera meme un peu plus cette année avec la coupe du monde, car c'est
retropojecteur sur grand ecran a la salle des fetes si la france est en
1/2 finale et finale!
bonjour
je fais partie du comite des fetes de ma petite commune de 700 habitants
nous organisons dans l'année
1 vide grenier, 1 fete de village qui dure 2 jours et le reveillon du
nouvel an!
il y a donc vente de boissons systematiquement
parallelement a ca, la mairie dispose d'une commission d'animation avec
un budget qui lui est propre et 1 fois /mois, l'animateur communal
oragnise une animation qui peut etre du karting, une sortie dans un parc
de loisir, une troupe de theatre, 1 café concert, etc........
dans le cadre des 2 dernieres activités par exemple, une buvette est
organisée, mais qui passe sous l'egide du comité des fetes, la mairie
n'ayant pas le droit de commerce
par contre nous n'avons pas le droit de vendre du vin, vu que nous ne
servons pas de repas
au bas mot je dirais qeu nous effectuons ce genre de buvette 5 ou 6 fois
dans l'année, en + des notres!
ca sera meme un peu plus cette année avec la coupe du monde, car c'est
retropojecteur sur grand ecran a la salle des fetes si la france est en
1/2 finale et finale!
Donc vous êtes en infraction soir parce que:
- un service municipal n'a pas le droit de faire commerce;
- que l'association dépasse le quota maximum prévu par la loi.
Dans les deux cas votre exemple met en lumière ce qui est très fréquent,
y compris dans les grandes communes, l'ignorance par les services
municipaux des réalités juridiques des associations.
ca sera meme un peu plus cette année avec la coupe du monde, car c'est
retropojecteur sur grand ecran a la salle des fetes si la france est en
1/2 finale et finale!
Donc vous êtes en infraction soir parce que:
- un service municipal n'a pas le droit de faire commerce;
- que l'association dépasse le quota maximum prévu par la loi.
Dans les deux cas votre exemple met en lumière ce qui est très fréquent,
y compris dans les grandes communes, l'ignorance par les services
municipaux des réalités juridiques des associations.
ca sera meme un peu plus cette année avec la coupe du monde, car c'est
retropojecteur sur grand ecran a la salle des fetes si la france est en
1/2 finale et finale!
Donc vous êtes en infraction soir parce que:
- un service municipal n'a pas le droit de faire commerce;
- que l'association dépasse le quota maximum prévu par la loi.
Dans les deux cas votre exemple met en lumière ce qui est très fréquent,
y compris dans les grandes communes, l'ignorance par les services
municipaux des réalités juridiques des associations.
ca sera meme un peu plus cette année avec la coupe du monde, car c'est
retropojecteur sur grand ecran a la salle des fetes si la france est en
1/2 finale et finale!
Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit
de boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère
catégorie.
Bien sûr que si puisqu'il s'agit d'une licence première catégorie:
elle doit faire l'objet d'une demande d'autorisation...
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je
dépasse les 5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant",
non ? pour autant, c'est bien "à consommer sur place".
Ce serait alors un supplément de gestion administrative financière et
fiscale démesuré puisqu'il s'agirait d'une licence de type commercial
donc lucrative...
La seule réponse envisageable est celle suggérée par Enzo Diver :
passer par une association de la localité où se déroulera le
spectacle: - Pour officiellement co-organiser le spectacle (la
manifestation) avec elle et pour cela au préalable passer avec elle
une convention (bien sur, écrite!) précisant le rôle et les
fonctionnements incombant à chacun; - cette convention prévoyant
qu'elle prenne à sa charge la gestion, l'installation et le
fonctionnement de la buvette, avec est en particulier qu'elle se
charge de la demande auprès de la municipalité. Eventuellement la
répartition des bénéfices financiers s'il en existe.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit
de boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère
catégorie.
Bien sûr que si puisqu'il s'agit d'une licence première catégorie:
elle doit faire l'objet d'une demande d'autorisation...
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je
dépasse les 5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant",
non ? pour autant, c'est bien "à consommer sur place".
Ce serait alors un supplément de gestion administrative financière et
fiscale démesuré puisqu'il s'agirait d'une licence de type commercial
donc lucrative...
La seule réponse envisageable est celle suggérée par Enzo Diver :
passer par une association de la localité où se déroulera le
spectacle: - Pour officiellement co-organiser le spectacle (la
manifestation) avec elle et pour cela au préalable passer avec elle
une convention (bien sur, écrite!) précisant le rôle et les
fonctionnements incombant à chacun; - cette convention prévoyant
qu'elle prenne à sa charge la gestion, l'installation et le
fonctionnement de la buvette, avec est en particulier qu'elle se
charge de la demande auprès de la municipalité. Eventuellement la
répartition des bénéfices financiers s'il en existe.
Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit
de boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère
catégorie.
Bien sûr que si puisqu'il s'agit d'une licence première catégorie:
elle doit faire l'objet d'une demande d'autorisation...
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je
dépasse les 5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant",
non ? pour autant, c'est bien "à consommer sur place".
Ce serait alors un supplément de gestion administrative financière et
fiscale démesuré puisqu'il s'agirait d'une licence de type commercial
donc lucrative...
La seule réponse envisageable est celle suggérée par Enzo Diver :
passer par une association de la localité où se déroulera le
spectacle: - Pour officiellement co-organiser le spectacle (la
manifestation) avec elle et pour cela au préalable passer avec elle
une convention (bien sur, écrite!) précisant le rôle et les
fonctionnements incombant à chacun; - cette convention prévoyant
qu'elle prenne à sa charge la gestion, l'installation et le
fonctionnement de la buvette, avec est en particulier qu'elle se
charge de la demande auprès de la municipalité. Eventuellement la
répartition des bénéfices financiers s'il en existe.
Le 15 juin 2010, haveur a tapoté ce qui suit :Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit
de boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère
catégorie.
Bien sûr que si puisqu'il s'agit d'une licence première catégorie:
elle doit faire l'objet d'une demande d'autorisation...
oui mais elle ne peut être refusée (sauf dans les cas mentionnés par les
art. 3336-1 et suiv. du Code de Santé publique)
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je
dépasse les 5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant",
non ? pour autant, c'est bien "à consommer sur place".
Ce serait alors un supplément de gestion administrative financière et
fiscale démesuré puisqu'il s'agirait d'une licence de type commercial
donc lucrative...
En soi ça ne me gêne pas trop, puisque une compagnie de théâtre pro relève
forcément du champ lucratif, donc fiscalisable.
Qui plus est, payer des impôts sur une non-vente ne me gêne pas trop.
Mais ça me ferait un peu mal quelque part d'avoir une licence commerciale
pour distribuer des boissons sans alcool gratuitement !
La seule réponse envisageable est celle suggérée par Enzo Diver :
passer par une association de la localité où se déroulera le
spectacle: - Pour officiellement co-organiser le spectacle (la
manifestation) avec elle et pour cela au préalable passer avec elle
une convention (bien sur, écrite!) précisant le rôle et les
fonctionnements incombant à chacun; - cette convention prévoyant
qu'elle prenne à sa charge la gestion, l'installation et le
fonctionnement de la buvette, avec est en particulier qu'elle se
charge de la demande auprès de la municipalité. Eventuellement la
répartition des bénéfices financiers s'il en existe.
sauf que c'est quasiment irréalisable en pratique dans le cadre d'une
tournée (théâtrale, j'entends, pas d'apéro)
Aujourd'hui, Légifrance propose la version du Code de la Santé publique qui
sera en vigueur le 2 février 2222... M'est avis qu'il y en a qui boivent !
Cordialement,
Hervé LOTH
Le 15 juin 2010, haveur<haveur@free.fr> a tapoté ce qui suit :
Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit
de boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère
catégorie.
Bien sûr que si puisqu'il s'agit d'une licence première catégorie:
elle doit faire l'objet d'une demande d'autorisation...
oui mais elle ne peut être refusée (sauf dans les cas mentionnés par les
art. 3336-1 et suiv. du Code de Santé publique)
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je
dépasse les 5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant",
non ? pour autant, c'est bien "à consommer sur place".
Ce serait alors un supplément de gestion administrative financière et
fiscale démesuré puisqu'il s'agirait d'une licence de type commercial
donc lucrative...
En soi ça ne me gêne pas trop, puisque une compagnie de théâtre pro relève
forcément du champ lucratif, donc fiscalisable.
Qui plus est, payer des impôts sur une non-vente ne me gêne pas trop.
Mais ça me ferait un peu mal quelque part d'avoir une licence commerciale
pour distribuer des boissons sans alcool gratuitement !
La seule réponse envisageable est celle suggérée par Enzo Diver :
passer par une association de la localité où se déroulera le
spectacle: - Pour officiellement co-organiser le spectacle (la
manifestation) avec elle et pour cela au préalable passer avec elle
une convention (bien sur, écrite!) précisant le rôle et les
fonctionnements incombant à chacun; - cette convention prévoyant
qu'elle prenne à sa charge la gestion, l'installation et le
fonctionnement de la buvette, avec est en particulier qu'elle se
charge de la demande auprès de la municipalité. Eventuellement la
répartition des bénéfices financiers s'il en existe.
sauf que c'est quasiment irréalisable en pratique dans le cadre d'une
tournée (théâtrale, j'entends, pas d'apéro)
Aujourd'hui, Légifrance propose la version du Code de la Santé publique qui
sera en vigueur le 2 février 2222... M'est avis qu'il y en a qui boivent !
Cordialement,
Hervé LOTH
Le 15 juin 2010, haveur a tapoté ce qui suit :Par contre, a priori, on ne peut refuser l'établissement d'un débit
de boisson temporaire qui ne proposerait que des boissons de 1ère
catégorie.
Bien sûr que si puisqu'il s'agit d'une licence première catégorie:
elle doit faire l'objet d'une demande d'autorisation...
oui mais elle ne peut être refusée (sauf dans les cas mentionnés par les
art. 3336-1 et suiv. du Code de Santé publique)
Dois-je dès lors prendre une licence 1ère catégorie, puisque je
dépasse les 5 buvettes ? problématique puisque je serai "ambulant",
non ? pour autant, c'est bien "à consommer sur place".
Ce serait alors un supplément de gestion administrative financière et
fiscale démesuré puisqu'il s'agirait d'une licence de type commercial
donc lucrative...
En soi ça ne me gêne pas trop, puisque une compagnie de théâtre pro relève
forcément du champ lucratif, donc fiscalisable.
Qui plus est, payer des impôts sur une non-vente ne me gêne pas trop.
Mais ça me ferait un peu mal quelque part d'avoir une licence commerciale
pour distribuer des boissons sans alcool gratuitement !
La seule réponse envisageable est celle suggérée par Enzo Diver :
passer par une association de la localité où se déroulera le
spectacle: - Pour officiellement co-organiser le spectacle (la
manifestation) avec elle et pour cela au préalable passer avec elle
une convention (bien sur, écrite!) précisant le rôle et les
fonctionnements incombant à chacun; - cette convention prévoyant
qu'elle prenne à sa charge la gestion, l'installation et le
fonctionnement de la buvette, avec est en particulier qu'elle se
charge de la demande auprès de la municipalité. Eventuellement la
répartition des bénéfices financiers s'il en existe.
sauf que c'est quasiment irréalisable en pratique dans le cadre d'une
tournée (théâtrale, j'entends, pas d'apéro)
Aujourd'hui, Légifrance propose la version du Code de la Santé publique qui
sera en vigueur le 2 février 2222... M'est avis qu'il y en a qui boivent !
Cordialement,
Hervé LOTH
Bof comme de toute façon le royaume d'UBU est encore sur terre ...
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