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Bruit de voisinage et insultes

23 réponses
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vilma
Bonjour,

Il y a quelques jours j'ai été très violemment prise à partie par des
voisins à cause d'un problème de bruit de leur part (ils ne savent tout
simplement pas ce qu'est la discrétion et surtout, ils s'en moquent
ouvertement et le disent). J'ai été traitée de tout: tutoiement ordurier,
insultes, obscénités, considérations sur ma personne et ma vie, ordres de me
taire, menaces de me tabasser ("on s'en fout que tu ailles à la gendarmerie
ils vont rigoler, j'assume"), etc. Difficile de tomber plus bas.

Pour la gendarmerie ce n'est pas tout à fait faux car elle n'a daigné
enregistrer qu'une main courante insuffisamment renseignée et on m'a
fortement découragée à porter plainte. Je ne peux donc pas faire jouer cela
auprès du syndic, car j'aimerais faire parvenir une lettre recommandée à
leur propriétaire pour les informer.

A partir du moment où il ne m'a pas été possible de déposer une vraie
plainte, est-ce que je risque des poursuites pour diffamation ?

Je précise que tout le voisinage a entendu les hurlements hystériques des
individus concernés, mais je ne compte pas sur un quelconque témoigage car
soit ils sont indifférents soit ils ont peur de représailles. Ca peut au
mieux intervenir s'il y a enquête de voisinage un jour, et encore.

Merci pour vos conseils.

10 réponses

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yitzhak isaac goldstein
In article <489045f5$0$14060$,
"vilma" wrote:

Il y a quelques jours j'ai été très violemment prise à partie par des
voisins à cause d'un problème de bruit de leur part (ils ne savent tout
simplement pas ce qu'est la discrétion et surtout, ils s'en moquent
ouvertement et le disent). J'ai été traitée de tout: tutoiement ordurier,
insultes, obscénités, considérations sur ma personne et ma vie, ordres de me
taire, menaces de me tabasser ("on s'en fout que tu ailles à la gendarmerie
ils vont rigoler, j'assume"), etc. Difficile de tomber plus bas.

Pour la gendarmerie ce n'est pas tout à fait faux car elle n'a daigné
enregistrer qu'une main courante insuffisamment renseignée et on m'a
fortement découragée à porter plainte. Je ne peux donc pas faire jouer cela
auprès du syndic, car j'aimerais faire parvenir une lettre recommandée à
leur propriétaire pour les informer.



J'ai le même problème: j'appelle le commissariat tous les jours. Soit
c'est "on est très occupé ce soir, m'sieur", soit ils se déplacent et me
disent après qu'ils n'ont pu entrer dans l'immeuble (il y a deux portes
avec des codes différents, mais j'ose espérer que si quelqu'un est en
train de se faire agresser, les policiers ne partiraient pas sous
prétexte que "la porte est fermée...").

Mon conseil: LRAR au commandant de la caserne de gendarmerie dont dépend
votre domicile, et une copie de la lettre envoyée au Ministre de la
Défense. Et pourquoi pas, une copie envoyé à _Le Monde_, à
_Libération_, et au journal local de votre département.

Pour le coup du LRAR aux proprios, laissez béton. Déjà vos voisins ont
démontré qu'ils n'ont aucun respect pour autrui (guère étonnant, vu que
le gouvernement actuel se croit au-dessus de la loi), alors rien ne les
empêche de venir chez vous, vous exploser la tronche, si jamais ça se
savait que vous aviez envoyé des lettres.

Sinon .. http://www.sos-bruit.com/

Y.

--
Yitzhak Isaac Goldstein | 'gu-ay hey lihyote yehoudi'
'AADP's Left-Wing Jewish Intellectual'
Long Live Israel! http://minilien.fr/a0k7p5
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Corinne
> Mon conseil: LRAR au commandant de la caserne de gendarmerie dont dépend
votre domicile, et une copie de la lettre envoyée au Ministre de la
Défense.



Merci, mais je ne sais pas si eux apprécieront, ou la gendarmerie si ça leur
retombe "d'en haut". J'habite une petite commune...

Et pourquoi pas, une copie envoyé à _Le Monde_, à
_Libération_, et au journal local de votre département.



Je l'ai fait une fois pour un autre problème de tapage qui empoisonnait la
vie de tout le quartier, mais tout ce qu'ils pouvaient faire c'était de le
publier au courrier des lecteurs, ce qu'ils ont fait d'ailleurs. Après...

Pour le coup du LRAR aux proprios, laissez béton. Déjà vos voisins ont
démontré qu'ils n'ont aucun respect pour autrui (guère étonnant, vu que
le gouvernement actuel se croit au-dessus de la loi), alors rien ne les
empêche de venir chez vous, vous exploser la tronche, si jamais ça se
savait que vous aviez envoyé des lettres.



C'est possible car ils ont démontré une sauvagerie de premier ordre. D'un
autre côté, ils veulent se faire passer pour des gens bien alors ils devront
limiter leurs ardeurs. Même si ma plainte est enregistrée ce sera ma parole
contre la leur comme on m'a expliqué, puisque les témoins ne se mouillent
jamais. Conclusion: on peut traiter quelqu'un comme un chien, le menacer de
tout et à la carte en toute impunité dans ce pays.

Sinon .. http://www.sos-bruit.com/



Merci.

Y.

--
Yitzhak Isaac Goldstein | 'gu-ay hey lihyote yehoudi'
'AADP's Left-Wing Jewish Intellectual'
Long Live Israel! http://minilien.fr/a0k7p5


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anon
J'ai des voisins bruyants également, mais pas au point de dépasser les
limites légales: lorsque quelqu'un marche pied nus sur ses talons au
dessus de votre tête, cela n'est pas illégal, le bruit reste
"raisonnable juridiquement", mais le "toc toc dong dong " régulier
durant la nuit vous empêche de fermer l'oeil. Aucune aide de la police
n'est possible, car les gens ne font rien de mal vis à vis de la loi,
mais vous empêchent tout de même de dormir. Il fallait donc que j'aille
leur parler.

Mais lorsque je les ai surpris jeter leurs mégots dans mon balcon (sans
faire exprès certes), j'ai vite compris le genre de personnes: peu
civilisés, genre la femme négligée avec un époux affaissé devant sa télé
buvant une bière pendant que le bébé braille.

Avec des gens pareils, il ne faut pas aller discuter en tête à tête car
cela leur semblerait une agression: ils ne savent pas s'exprimer
correctement, cela leur fait des complexes et les rend nerveux. Préférez
une attitude diplomatique courtoise et discrète.
Par exemple, je leur ai rédigé une lettre anonyme soignée, avec
courtoisie, sans reproche direct, sans signature, mise dans leur boite
aux lettres. Les bruits n'ont pas tout à fait disparu mais au moins j'ai
constaté de sérieux efforts. Je peux maintenant dormir et c'est l'essentiel.

La courtoisie paye parfois. Et lorsqu'on envoie une lettre anonyme bien
écrite, sans agression, cela intrigue le braillard et le pousse à faire
des efforts car il ne sait pas vraiment d'où vient la lettre: les gens
peu civilisés ont peur de l'inconnu :)
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Cassandre
x-no-archive: yes
Dans les news : 489045f5$0$14060$,
vilma écrivit :

Bonjour,

Il y a quelques jours j'ai été très violemment prise à partie par des
voisins à cause d'un problème de bruit de leur part (ils ne savent
tout simplement pas ce qu'est la discrétion et surtout, ils s'en
moquent ouvertement et le disent). J'ai été traitée de tout:
tutoiement ordurier, insultes, obscénités, considérations sur ma
personne et ma vie, ordres de me taire, menaces de me tabasser ("on
s'en fout que tu ailles à la gendarmerie ils vont rigoler,
j'assume"), etc. Difficile de tomber plus bas.


En somme vous avez eu ce que vous méritiez non ?
Avatar
vilma
> Par exemple, je leur ai rédigé une lettre anonyme soignée, avec
courtoisie, sans reproche direct, sans signature, mise dans leur boite aux
lettres. Les bruits n'ont pas tout à fait disparu mais au moins j'ai
constaté de sérieux efforts. Je peux maintenant dormir et c'est
l'essentiel.



Je vous souhaite que ça dure, car chassez le naturel et il revient vite au
galop. Et puis j'ai déjà eu affaire à des gens "bien sous tout rapport",
propres sur eux et tout mais qui étaient de véritables ordures, ça se
passait simplement à un autre niveau de "discussion", davantage orienté sur
la perfidie, les mensonges et les coups bas; et à des personnes plus
"suspectes" qui ont été excellentes de courtoisie, je me rappellerai
toujours la gentillesse de ce couple que les bien-pensants de mon ancienne
résidence avaient classés comme "cas sociaux" et qui avaient accepté sans
rechigner de faire moins de bruit. Je les ai beaucoup regrettés vu ce que
j'avais récolté à leur place...

La courtoisie paye parfois. Et lorsqu'on envoie une lettre anonyme bien
écrite, sans agression, cela intrigue le braillard et le pousse à faire
des efforts car il ne sait pas vraiment d'où vient la lettre: les gens peu
civilisés ont peur de l'inconnu :)



C'est une bonne idée que je me mets de côté, mais ici ça vient trop tard. Du
reste, ils auraient deviné facilement l'identité de l'expéditeur.
La réaction que j'ai obtenue était de toutes manières largement
disproportionnée par rapport à une quelconque "agression" qu'ils auraient pu
ressentir de ma part, ce qui laisse entrevoir une très grande pratique des
conflits. Et la haine, puisqu'il n'y a pas d'autre mot, qu'ils ont exprimée
se serait manifestée tôt ou tard d'une autre manière.
Avatar
yitzhak isaac goldstein
In article <g6pkuq$j6n$, anon
wrote:

J'ai des voisins bruyants également, mais pas au point de dépasser les
limites légales: lorsque quelqu'un marche pied nus sur ses talons au
dessus de votre tête, cela n'est pas illégal, le bruit reste
"raisonnable juridiquement", mais le "toc toc dong dong " régulier
durant la nuit vous empêche de fermer l'oeil. Aucune aide de la police
n'est possible, car les gens ne font rien de mal vis à vis de la loi,
mais vous empêchent tout de même de dormir.



Moi je ne suis pas d'accord. A mon avis, Paris est déjà suffisament
bruyant, et quant aux bruits des voisins, je pars du principe que si je
les entends, c'est que c'est trop fort.

Quelqu'un dans l'immeuble m'a fait le commentaire l'autre jour que s'ils
ne me voyaient pas entrer et sortir, ils ne sauraient même pas que je
suis là. L'autre soir, j'ai eu envie de regarder un DVD, et sans même y
réfléchir, j'ai mis les oreillettes dans mon Mac.

On appelle ça le respect. Je ne claque pas ma porte, j'ôte mes
chaussures quand je suis chez moi, je ne mets pas la musique fort, ou
bien si j'ai envie de monter le son un peu, ce sont les oreillettes qui
s'imposent.

Le respect.

Il y a dix ans un voisin qui foutait le boucan (ça existait, bien sûr),
on va chez lui, on en discute, il dit qu'il va faire un effort.
Aujourd'hui, je n'oserais même pas aller frapper chez lui, de peur qu'il
ne me foute un couteau dans le ventre.

Tant mieux pour vous si vous arrivez à régler ça. Il doit y avoir moins
que racaille que dans cet immeuble pourri où j'ai eu le malheur
d'attérir.

Y.
--
Yitzhak Isaac Goldstein | 'gu-ay hey lihyote yehoudi'
'AADP's Left-Wing Jewish Intellectual'
Long Live Israel! http://minilien.fr/a0k7p5
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yitzhak isaac goldstein
In article <g6pkuq$j6n$, anon
wrote:

J'ai des voisins bruyants également, mais pas au point de dépasser les
limites légales: lorsque quelqu'un marche pied nus sur ses talons au
dessus de votre tête, cela n'est pas illégal, le bruit reste
"raisonnable juridiquement", mais le "toc toc dong dong " régulier
durant la nuit vous empêche de fermer l'oeil. Aucune aide de la police
n'est possible, car les gens ne font rien de mal vis à vis de la loi,
mais vous empêchent tout de même de dormir.



Moi je ne suis pas d'accord. A mon avis, Paris est déjà suffisament
bruyant, et quant aux bruits des voisins, je pars du principe que si je
les entends, c'est que c'est trop fort.

Quelqu'un dans l'immeuble m'a fait le commentaire l'autre jour que s'ils
ne me voyaient pas entrer et sortir, ils ne sauraient même pas que je
suis là. L'autre soir, j'ai eu envie de regarder un DVD, et sans même y
réfléchir, j'ai mis les oreillettes dans mon Mac.

On appelle ça le respect. Je ne claque pas ma porte, j'ôte mes
chaussures quand je suis chez moi, je ne mets pas la musique fort, ou
bien si j'ai envie de monter le son un peu, ce sont les oreillettes qui
s'imposent.

Le respect.

Il y a dix ans un voisin qui foutait le boucan (ça existait, bien sûr),
on va chez lui, on en discute, il dit qu'il va faire un effort.
Aujourd'hui, je n'oserais même pas aller frapper chez lui, de peur qu'il
ne me foute un couteau dans le ventre.

Tant mieux pour vous si vous arrivez à régler ça. Il doit y avoir moins
de racaille que dans cet immeuble pourri où j'ai eu le malheur
d'attérir.

Y.


--
Yitzhak Isaac Goldstein | 'gu-ay hey lihyote yehoudi'
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Long Live Israel! http://minilien.fr/a0k7p5
Avatar
Gérard
Bonjour.

Je ne suis pas juriste, mais voici les informations dont je dispose :

Les troubles de voisinages tels que les bruits ou tapages injurieux ou
nocturnes
sont effectivement prévus et réprimés par le Code Pénal (Art R623-2).
Vous pouvez donc effectivement porter plainte.

Mais il s'agit là de simple contravention, et non de délit.

Aussi vous avez deux possibilités : une plainte simple ou la citation
directe.
- Plainte simple : puisque la gendarmerie n'a pas voulu la recevoir (ce qui
est anormal), vous pouvez envoyer une lettre AR au procureur du tribunal de
grande instance dont vous dépendez. Ceci dans le but que l'auteur de
l'infraction soit puni. L'avantage est qu'il n'y a pas de somme d'argent à
consigner, l'inconvénient est que la plupart des affaires sont classées sans
suite par le procureur.
- Citation directe : si vous estimez avoir subi un préjudice réel, qui doit
être prouvable et estimé, choisissez cette procédure. Avantage : c'est
rapide et vous êtes sûr que la personne sera poursuivie. Inconvénients : il
vous faudra au moins un huissier pour signifier la citation, un avocat pour
monter le dossier et plaider, car c'est une procédure très formaliste, et il
peut y avoir de multiples audiences, etc ...

Gérard.

P.S. : tout çà ne fera pas avancer le schmilblic et risque de conforter les
uns et les autres dans des positions encore plus radicales qu'avant.
C'est pourquoi il est préférable d'envisager d'autres méthodes.


... Pour la gendarmerie ce n'est pas tout à fait faux car elle n'a daigné
enregistrer qu'une main courante insuffisamment renseignée et on m'a
fortement découragée à porter plainte.
...


Avatar
Séb.
vilma a écrit :
Bonjour,

Il y a quelques jours j'ai été très violemment prise à   partie par des
voisins à cause d'un problème de bruit de leur part (ils ne s avent tout
simplement pas ce qu'est la discrétion et surtout, ils s'en moquen t
ouvertement et le disent). J'ai été traitée de tout: tut oiement ordurier,
insultes, obscénités, considérations sur ma personne et ma vie, ordres de me
taire, menaces de me tabasser ("on s'en fout que tu ailles à la ge ndarmerie
ils vont rigoler, j'assume"), etc. Difficile de tomber plus bas.

Pour la gendarmerie ce n'est pas tout à fait faux car elle n'a dai gné
enregistrer qu'une main courante insuffisamment renseignée et on m 'a
fortement découragée à porter plainte. Je ne peux donc p as faire jouer cela
auprès du syndic, car j'aimerais faire parvenir une lettre recomma ndée à
leur propriétaire pour les informer.

A partir du moment où il ne m'a pas été possible de dà ©poser une vraie
plainte, est-ce que je risque des poursuites pour diffamation ?

Je précise que tout le voisinage a entendu les hurlements hysté riques des
individus concernés, mais je ne compte pas sur un quelconque té moigage car
soit ils sont indifférents soit ils ont peur de représailles. Ca peut au
mieux intervenir s'il y a enquête de voisinage un jour, et encore.

Merci pour vos conseils.





il y a une dizaine d'années, dans l'immeuble ou je vivais, le couple au
dessus de mon appartement était particulièrement bruyant (talon s aiguilles,
aspirateur le dimanche à 6H du matin, monsieur qui pisse en visant b ien
l'eau au fond pour faire des bulles...)
je suis monté un soir leur dire que quand même on aimerait dorm ir. réponse :
ok, mais bon ca a continué pareil
un dimanche, repas tranquille au soleil sur les balcons, on les entendait se
hurler dessus (motif : steak trop cuit etc)
le lendemain, un papier était scotché dans le hall à l'att ention "de ceux
qui s'engueulent pour un steack trop cuit" détaillant nombres de bru its qui
leur étaient imputables (j'étais pas le seul à me plaindre de leurs bruits)
réponse au feutre rouge : que la personne qui a marqué ça sonne au numéro...

mais les bruits ont cessé donc tout le monde s'en est trouvé mi eux
Avatar
vilma
"Gérard" a écrit dans le message de news:
48907350$0$867$
Bonjour.

Je ne suis pas juriste, mais voici les informations dont je dispose :

Les troubles de voisinages tels que les bruits ou tapages injurieux ou
nocturnes
sont effectivement prévus et réprimés par le Code Pénal (Art R623-2).
Vous pouvez donc effectivement porter plainte.

Mais il s'agit là de simple contravention, et non de délit.

Aussi vous avez deux possibilités : une plainte simple ou la citation
directe.
- Plainte simple : puisque la gendarmerie n'a pas voulu la recevoir (ce
qui est anormal), vous pouvez envoyer une lettre AR au procureur du
tribunal de grande instance dont vous dépendez. Ceci dans le but que
l'auteur de l'infraction soit puni. L'avantage est qu'il n'y a pas de
somme d'argent à consigner, l'inconvénient est que la plupart des affaires
sont classées sans suite par le procureur.
- Citation directe : si vous estimez avoir subi un préjudice réel, qui
doit être prouvable et estimé, choisissez cette procédure. Avantage :
c'est rapide et vous êtes sûr que la personne sera poursuivie.
Inconvénients : il vous faudra au moins un huissier pour signifier la
citation, un avocat pour monter le dossier et plaider, car c'est une
procédure très formaliste, et il peut y avoir de multiples audiences, etc
...



Merci pour ces infos, mais là il s'agit plus de déposer plainte pour les
insultes ordurières et les menaces que pour le bruit proprement dit.
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