Merci de m'aider à comprendre le processus de packaging ! ;-)
Merci de m'aider à comprendre le processus de packaging ! ;-)
Merci de m'aider à comprendre le processus de packaging ! ;-)
Qu'arrive-t-il avec Clamav dans Debian? La version 0.98 est sortie depuis
le 19 septembre 2013 et elle n'est toujours pas intégrée dans Debian.
Il me semble que d'habitude, sur le site de Debian Package tracking system
( http://packages.qa.debian.org/c/clamav.html ), l'intégration n'est pas
aussi longue et il est bien indiqué dans la page "A new upstream versio n is
available:
0.98<http://qa.debian.org/watch/sf.php/clamav/clamav-0.98.tar.gz>, you
should consider packaging it."
Merci de m'aider à comprendre le processus de packaging ! ;-)
Qu'arrive-t-il avec Clamav dans Debian? La version 0.98 est sortie depuis
le 19 septembre 2013 et elle n'est toujours pas intégrée dans Debian.
Il me semble que d'habitude, sur le site de Debian Package tracking system
( http://packages.qa.debian.org/c/clamav.html ), l'intégration n'est pas
aussi longue et il est bien indiqué dans la page "A new upstream versio n is
available:
0.98<http://qa.debian.org/watch/sf.php/clamav/clamav-0.98.tar.gz>, you
should consider packaging it."
Merci de m'aider à comprendre le processus de packaging ! ;-)
Qu'arrive-t-il avec Clamav dans Debian? La version 0.98 est sortie depuis
le 19 septembre 2013 et elle n'est toujours pas intégrée dans Debian.
Il me semble que d'habitude, sur le site de Debian Package tracking system
( http://packages.qa.debian.org/c/clamav.html ), l'intégration n'est pas
aussi longue et il est bien indiqué dans la page "A new upstream versio n is
available:
0.98<http://qa.debian.org/watch/sf.php/clamav/clamav-0.98.tar.gz>, you
should consider packaging it."
Merci de m'aider à comprendre le processus de packaging ! ;-)
Il faut télécharger la dernière version depuis le site de Clamav
et l'installer à la mano par compilation, après avoir retirà ©
l'ancienne version de Clamav.
Il faut télécharger la dernière version depuis le site de Clamav
et l'installer à la mano par compilation, après avoir retirà ©
l'ancienne version de Clamav.
Il faut télécharger la dernière version depuis le site de Clamav
et l'installer à la mano par compilation, après avoir retirà ©
l'ancienne version de Clamav.
J'avais un collègue qui me répétait à l'envie:
"Quand ça tombe en marche, on ne touche plus!" ;)
J'avais un collègue qui me répétait à l'envie:
"Quand ça tombe en marche, on ne touche plus!" ;)
J'avais un collègue qui me répétait à l'envie:
"Quand ça tombe en marche, on ne touche plus!" ;)
1- en informatique, quand ça marche on ne touche plus (pour éviter
une incursion de la loi de Murphy dans son univers),
1- en informatique, quand ça marche on ne touche plus (pour éviter
une incursion de la loi de Murphy dans son univers),
1- en informatique, quand ça marche on ne touche plus (pour éviter
une incursion de la loi de Murphy dans son univers),
wrote:
> Il faut télécharger la dernière version depuis le site d e Clamav
> et l'installer à la mano par compilation, après avoir retir é
> l'ancienne version de Clamav.
Réflexe pour le moins Pavlovien et surtout windozienâ¦
"Ãvoluer" tjrs vers la dernière version ne peut se comprendre
que si la précédente mouture présente des lacunes &| des b ugs
insurmontables, ce qui ne semble pas être le cas.
Si pas mal de professionnels attendent la dernière minute
(fin des Mà J de sécurité) pour faire évoluer la branc he de leurs
installations, c'est tout bonnement par ce que:
1- en informatique, quand ça marche on ne touche plus (pour évi ter
une incursion de la loi de Murphy dans son univers),
2- qd on a du monde dont le travail dépend du nôtre, on marche
sur des Åufs (et des fois sur l'eau, mais ceci est une autre
histoire).
Ãtonnement, tout un tas de gens semblent ignorer ces deux points
et passent leur temps à recoller les morceaux; ça peut se compr endre
si l'on a que ça à faire ou qu'on collabore pour améliorer la
qualité des logiciels. Beaucoup moins dans le cadre d'une utilisation
journalière normale.
J'avais un collègue qui me répétait à l'envie:
"Quand ça tombe en marche, on ne touche plus!"
andre_debian@numericable.fr wrote:
> Il faut télécharger la dernière version depuis le site d e Clamav
> et l'installer à la mano par compilation, après avoir retir é
> l'ancienne version de Clamav.
Réflexe pour le moins Pavlovien et surtout windozienâ¦
"Ãvoluer" tjrs vers la dernière version ne peut se comprendre
que si la précédente mouture présente des lacunes &| des b ugs
insurmontables, ce qui ne semble pas être le cas.
Si pas mal de professionnels attendent la dernière minute
(fin des Mà J de sécurité) pour faire évoluer la branc he de leurs
installations, c'est tout bonnement par ce que:
1- en informatique, quand ça marche on ne touche plus (pour évi ter
une incursion de la loi de Murphy dans son univers),
2- qd on a du monde dont le travail dépend du nôtre, on marche
sur des Åufs (et des fois sur l'eau, mais ceci est une autre
histoire).
Ãtonnement, tout un tas de gens semblent ignorer ces deux points
et passent leur temps à recoller les morceaux; ça peut se compr endre
si l'on a que ça à faire ou qu'on collabore pour améliorer la
qualité des logiciels. Beaucoup moins dans le cadre d'une utilisation
journalière normale.
J'avais un collègue qui me répétait à l'envie:
"Quand ça tombe en marche, on ne touche plus!"
wrote:
> Il faut télécharger la dernière version depuis le site d e Clamav
> et l'installer à la mano par compilation, après avoir retir é
> l'ancienne version de Clamav.
Réflexe pour le moins Pavlovien et surtout windozienâ¦
"Ãvoluer" tjrs vers la dernière version ne peut se comprendre
que si la précédente mouture présente des lacunes &| des b ugs
insurmontables, ce qui ne semble pas être le cas.
Si pas mal de professionnels attendent la dernière minute
(fin des Mà J de sécurité) pour faire évoluer la branc he de leurs
installations, c'est tout bonnement par ce que:
1- en informatique, quand ça marche on ne touche plus (pour évi ter
une incursion de la loi de Murphy dans son univers),
2- qd on a du monde dont le travail dépend du nôtre, on marche
sur des Åufs (et des fois sur l'eau, mais ceci est une autre
histoire).
Ãtonnement, tout un tas de gens semblent ignorer ces deux points
et passent leur temps à recoller les morceaux; ça peut se compr endre
si l'on a que ça à faire ou qu'on collabore pour améliorer la
qualité des logiciels. Beaucoup moins dans le cadre d'une utilisation
journalière normale.
J'avais un collègue qui me répétait à l'envie:
"Quand ça tombe en marche, on ne touche plus!"
Cette politique du "non dernier cri" peut se comprendre,
mais pas pour un antivirus, nécessaire d'avoir la toute dernièr e
version pour se prémunir, c'est important.
(les fabricants de virus trouvent tous les jours de nouvelles
astuces pour nous polluer).
Cette politique du "non dernier cri" peut se comprendre,
mais pas pour un antivirus, nécessaire d'avoir la toute dernièr e
version pour se prémunir, c'est important.
(les fabricants de virus trouvent tous les jours de nouvelles
astuces pour nous polluer).
Cette politique du "non dernier cri" peut se comprendre,
mais pas pour un antivirus, nécessaire d'avoir la toute dernièr e
version pour se prémunir, c'est important.
(les fabricants de virus trouvent tous les jours de nouvelles
astuces pour nous polluer).
On Mon, 23 Dec 2013 19:38:45 +0100
wrote:
> Cette politique du "non dernier cri" peut se comprendre,
> mais pas pour un antivirus, nécessaire d'avoir la toute dernià ¨re
> version pour se prémunir, c'est important.
> (les fabricants de virus trouvent tous les jours de nouvelles
> astuces pour nous polluer).
Autre mauvais réflexe: il ne faut pas confondre menaces réelles
avec effets d'annonces des fabricants.
Depuis que le pain béni existe pour eux (w$, parce qu'avant, il
n'y avait guère de "menaces"²), ces fabricants ont soigneusement
entretenu le FUD pour développer leur fond de commerce.
Hors, lorsqu'on examine soigneusement lesdites menaces et les
réponses apportées, on s'aperçoit que dans 99.99% des cas ces
réponses sont apportées à posteriori; même les heuris tiques
soit disant évolués ne servent pas à grand chose.
Pour faire un parallèle, en voiture, on peut de prémunir des cl ous
mais pas d'un tireur qui vise les pneus ou d'un gus qui tire une
herse au moment où l'on passe⦠tout simplement parce personne
n'avait pensé que ça arrive.
En l'occurrence (et à ma connaissance), clamav n'intègre aucun
heuristique, c'est juste un moyen d'analyse.
En tout état de cause, aucun antivirus ne protégera d'un
dépassement de tampon ou autre joyeuseté; et si d'aventure
un compte utilisateur était compromis, cela ne remettrait
en cause que les fichier de cet utilisateur.
Fort heureusement, la structure même des systèmes dérivà ©s d'UNIX
nous met à l'abri de la majeure partie des problèmes rencontr és
par par les utilisateurs de w$.
² D'ailleurs, si on était un tant soit peu méchant et si l 'on avait
un esprit "mal tourné, on pourrait croire que cela a été fait
exprès tant ça a donné du travail à des tas de gens et généré
de revenus pour les fabricantsâ¦
Et comme j'ai l'esprit mal tourné, j'en veux pour preuve les frasques
de w$7 que je découvre au gré des PBs qu'un de mes amis d'enfan ce
rencontre dans son entreprise: par ex., un utilisateur-administrateur
peut créer un dir, mais ne peut rien y mettre directement, sauf avec
un drag'n'drop ou à modifier les droits d'org du dir.
En réseau, c'est encore mieux: si on veut y écrire, il faut don ner
tous les droits au groupe "tout le monde" (on a pas poussé au-delÃ
de 2H d'arrachage de tifs: comme ça marchait avec cette solution
trouvée sur le web, on s'est arrêté là ; donc, il est possible
qu'une manip plus orthodoxe (mais bien cachée) puisse faire le
boulot).
Tout ça pour dire que l'expression "conception de la sécurità ©" chez
w$ est aux antipodes de celle des *IX, et que par conséquent dans
notre monde, upgrader pour upgrader n'a pas de sens, fut-ce un
antivirus.
On Mon, 23 Dec 2013 19:38:45 +0100
andre_debian@numericable.fr wrote:
> Cette politique du "non dernier cri" peut se comprendre,
> mais pas pour un antivirus, nécessaire d'avoir la toute dernià ¨re
> version pour se prémunir, c'est important.
> (les fabricants de virus trouvent tous les jours de nouvelles
> astuces pour nous polluer).
Autre mauvais réflexe: il ne faut pas confondre menaces réelles
avec effets d'annonces des fabricants.
Depuis que le pain béni existe pour eux (w$, parce qu'avant, il
n'y avait guère de "menaces"²), ces fabricants ont soigneusement
entretenu le FUD pour développer leur fond de commerce.
Hors, lorsqu'on examine soigneusement lesdites menaces et les
réponses apportées, on s'aperçoit que dans 99.99% des cas ces
réponses sont apportées à posteriori; même les heuris tiques
soit disant évolués ne servent pas à grand chose.
Pour faire un parallèle, en voiture, on peut de prémunir des cl ous
mais pas d'un tireur qui vise les pneus ou d'un gus qui tire une
herse au moment où l'on passe⦠tout simplement parce personne
n'avait pensé que ça arrive.
En l'occurrence (et à ma connaissance), clamav n'intègre aucun
heuristique, c'est juste un moyen d'analyse.
En tout état de cause, aucun antivirus ne protégera d'un
dépassement de tampon ou autre joyeuseté; et si d'aventure
un compte utilisateur était compromis, cela ne remettrait
en cause que les fichier de cet utilisateur.
Fort heureusement, la structure même des systèmes dérivà ©s d'UNIX
nous met à l'abri de la majeure partie des problèmes rencontr és
par par les utilisateurs de w$.
² D'ailleurs, si on était un tant soit peu méchant et si l 'on avait
un esprit "mal tourné, on pourrait croire que cela a été fait
exprès tant ça a donné du travail à des tas de gens et généré
de revenus pour les fabricantsâ¦
Et comme j'ai l'esprit mal tourné, j'en veux pour preuve les frasques
de w$7 que je découvre au gré des PBs qu'un de mes amis d'enfan ce
rencontre dans son entreprise: par ex., un utilisateur-administrateur
peut créer un dir, mais ne peut rien y mettre directement, sauf avec
un drag'n'drop ou à modifier les droits d'org du dir.
En réseau, c'est encore mieux: si on veut y écrire, il faut don ner
tous les droits au groupe "tout le monde" (on a pas poussé au-delÃ
de 2H d'arrachage de tifs: comme ça marchait avec cette solution
trouvée sur le web, on s'est arrêté là ; donc, il est possible
qu'une manip plus orthodoxe (mais bien cachée) puisse faire le
boulot).
Tout ça pour dire que l'expression "conception de la sécurità ©" chez
w$ est aux antipodes de celle des *IX, et que par conséquent dans
notre monde, upgrader pour upgrader n'a pas de sens, fut-ce un
antivirus.
On Mon, 23 Dec 2013 19:38:45 +0100
wrote:
> Cette politique du "non dernier cri" peut se comprendre,
> mais pas pour un antivirus, nécessaire d'avoir la toute dernià ¨re
> version pour se prémunir, c'est important.
> (les fabricants de virus trouvent tous les jours de nouvelles
> astuces pour nous polluer).
Autre mauvais réflexe: il ne faut pas confondre menaces réelles
avec effets d'annonces des fabricants.
Depuis que le pain béni existe pour eux (w$, parce qu'avant, il
n'y avait guère de "menaces"²), ces fabricants ont soigneusement
entretenu le FUD pour développer leur fond de commerce.
Hors, lorsqu'on examine soigneusement lesdites menaces et les
réponses apportées, on s'aperçoit que dans 99.99% des cas ces
réponses sont apportées à posteriori; même les heuris tiques
soit disant évolués ne servent pas à grand chose.
Pour faire un parallèle, en voiture, on peut de prémunir des cl ous
mais pas d'un tireur qui vise les pneus ou d'un gus qui tire une
herse au moment où l'on passe⦠tout simplement parce personne
n'avait pensé que ça arrive.
En l'occurrence (et à ma connaissance), clamav n'intègre aucun
heuristique, c'est juste un moyen d'analyse.
En tout état de cause, aucun antivirus ne protégera d'un
dépassement de tampon ou autre joyeuseté; et si d'aventure
un compte utilisateur était compromis, cela ne remettrait
en cause que les fichier de cet utilisateur.
Fort heureusement, la structure même des systèmes dérivà ©s d'UNIX
nous met à l'abri de la majeure partie des problèmes rencontr és
par par les utilisateurs de w$.
² D'ailleurs, si on était un tant soit peu méchant et si l 'on avait
un esprit "mal tourné, on pourrait croire que cela a été fait
exprès tant ça a donné du travail à des tas de gens et généré
de revenus pour les fabricantsâ¦
Et comme j'ai l'esprit mal tourné, j'en veux pour preuve les frasques
de w$7 que je découvre au gré des PBs qu'un de mes amis d'enfan ce
rencontre dans son entreprise: par ex., un utilisateur-administrateur
peut créer un dir, mais ne peut rien y mettre directement, sauf avec
un drag'n'drop ou à modifier les droits d'org du dir.
En réseau, c'est encore mieux: si on veut y écrire, il faut don ner
tous les droits au groupe "tout le monde" (on a pas poussé au-delÃ
de 2H d'arrachage de tifs: comme ça marchait avec cette solution
trouvée sur le web, on s'est arrêté là ; donc, il est possible
qu'une manip plus orthodoxe (mais bien cachée) puisse faire le
boulot).
Tout ça pour dire que l'expression "conception de la sécurità ©" chez
w$ est aux antipodes de celle des *IX, et que par conséquent dans
notre monde, upgrader pour upgrader n'a pas de sens, fut-ce un
antivirus.