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Comportement anormal de Webroot Spy Sweeper

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Oreste Hétoudabord
Bonjour,

Depuis peu, l'auto-protect de Spy Sweeper vire de mon système tous les
exécutables liés au p2p. Pas les exe téléchargés via p2p, non; les exe genre
emule.exe, linkcreator.exe + tous les fichiers d'installation de programmes
p2p. Je possède un disque dur externe et, bien qu'il soit connecté en
permanence à mon système, les fichiers en questions y sont à l'abri. Mais
que j'ose en faire une copie sur mon disque interne, si Spy Sweeper Shield
est actif, paf, ils disparaissent.

Outre Arovax, j'ai Ad-Aware et Ewido, j'ai NAV 2006 à jour et j'ai effectué
bon nombre de scans en ligne avec des antivirus et des anti-spyware en ligne
(trendmicro, Panda, Pest Patrol et j'en passe), j'ai scanné mon système avec
Blacklight des fois que j'aurais chopé un rootkit, tout cela en vain.

Bref, d'un point de vue strictement empirique et technique, tout se passe
comme si c'était Webroot qui avait ajouté à Spy Sweeper Shield un patch
anti-p2p, sauf qu'il n'en est fait état nulle part dans aucun forum (en tout
cas, je n'ai rien trouvé).

Qu'il s'agisse d'un patch induit par Webroot ou d'une crasse décidément
indécelable que j'aurais chopée "à l'insu de mon plein gré", si je génère un
log Hijackthis, croyez-vous pouvoir déceler ce qui est suspect ? Si oui,
tant que j'y suis, à part qu'il faut démarrer en mode sans échec avec F8, en
quoi consiste concrètement l'opération visant à "fixer" tel ou tel élément
suspect révélé par le Hijackthis ? (oui, je sais, je suis inculte !)

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Roland Garcia

Depuis peu, l'auto-protect de Spy Sweeper vire de mon système tous les
exécutables liés au p2p.


Peut-être un rapport avec ça ?


A. La guerre aux éditeurs de logiciels permettant la contrefaçon en réseau

Le nouvel article L.335-2-1 CPI permet d’atteindre les éditeurs et
exploitants de logiciels qui mettent à disposition des œuvres protégées
sans autorisation des ayants-droits. En pratique, un grand nombre de ces
systèmes sont concernés. La sanction du délit est lourde puisque le juge
pourra prononcer jusqu’à 3 ans de prisons et 300 000 € d’amendes.

Le but de cet article est le suivant : Il s’agit de poursuivre les
éditeurs et exploitants qui proposent des logiciels de PtoP sans inclure
la gestion des mesures de protection technique.

http://www.droit-technologie.org/1_2.asp?actu_id04

--
Roland Garcia