En droit, le contrat est le principal acte juridique,
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
En droit, le contrat est le principal acte juridique,
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
En droit, le contrat est le principal acte juridique,
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
Et ne vaut-il pas mieux un contrat de travail
flexible plutôt que se retrouver au chômage ?
Et ne vaut-il pas mieux un contrat de travail
flexible plutôt que se retrouver au chômage ?
Et ne vaut-il pas mieux un contrat de travail
flexible plutôt que se retrouver au chômage ?
Un contrat de travail rigide n'empêche pas une négociation et la signature
d'un avenant.
C'est à mon sens préférable à une modification unilatérale.
Un contrat de travail rigide n'empêche pas une négociation et la signature
d'un avenant.
C'est à mon sens préférable à une modification unilatérale.
Un contrat de travail rigide n'empêche pas une négociation et la signature
d'un avenant.
C'est à mon sens préférable à une modification unilatérale.
Le 14/06/2014, Ricazerty a supposé :En droit, le contrat est le principal acte juridique,
Le contrat est un des actes produisant un effet juridique.
Sous réserve de ne pas déroger aux dispositions d'ordre
public, et de ne pas contenir de clauses léonines.
D'autres actes de disposition ou d'administration peuvent
être unilatéraux.nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
Si vous êtes attaché à l'intangibilité des conventions,
héritée du droit romain, peut-être...
Mais depuis environ 4 décennies en France, l'extension
de la pratique de la renégociation (parce qu'on préfère
gagner moins plutôt que risquer de tout perdre) et la
banalisation de l'arbitrage à la révision ont ouvert une
première brèche dans le monde des affaires, pour s'adapter
aux aléas de la conjoncture.
Ensuite des textes et la jurisprudence se sont orientés peu
à peu vers une conception du contrat adaptable (ne pas
confondre avec les conventions aléatoires qui sont une
autre catégorie).
Parce qu'en cours d'exécution, les conditions peuvent
avoir énormément changé et créé un déséquilibre important
par rapport à la situation d'origine.
Les premiers ont été les prêts immobiliers à taux évolutif
suivis des swaps interentreprises pour prendre en compte
la variabilité des changes quand on commerce ou emprunte
hors U.Ehttp://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
Cet arrêt marque en effet une évolution jurisprudentielle
mais celle-ci s'inscrit dans un cadre plus général, celui d'une
société bousculée où plus rien n'est pérenne... Et ne vaut-il
pas mieux un contrat de travail flexible plutôt que se
retrouver au chômage ?
D'alleurs, l'État a donné l'exemple en révisant un certain
nombre de dispositions des statuts de la fonction publique,
allongement des cotisations-retraite et étalement des seuils
d'avancement, devenues différentes de celles du jour où les
gens ont été recrutés.
Le 14/06/2014, Ricazerty a supposé :
En droit, le contrat est le principal acte juridique,
Le contrat est un des actes produisant un effet juridique.
Sous réserve de ne pas déroger aux dispositions d'ordre
public, et de ne pas contenir de clauses léonines.
D'autres actes de disposition ou d'administration peuvent
être unilatéraux.
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
Si vous êtes attaché à l'intangibilité des conventions,
héritée du droit romain, peut-être...
Mais depuis environ 4 décennies en France, l'extension
de la pratique de la renégociation (parce qu'on préfère
gagner moins plutôt que risquer de tout perdre) et la
banalisation de l'arbitrage à la révision ont ouvert une
première brèche dans le monde des affaires, pour s'adapter
aux aléas de la conjoncture.
Ensuite des textes et la jurisprudence se sont orientés peu
à peu vers une conception du contrat adaptable (ne pas
confondre avec les conventions aléatoires qui sont une
autre catégorie).
Parce qu'en cours d'exécution, les conditions peuvent
avoir énormément changé et créé un déséquilibre important
par rapport à la situation d'origine.
Les premiers ont été les prêts immobiliers à taux évolutif
suivis des swaps interentreprises pour prendre en compte
la variabilité des changes quand on commerce ou emprunte
hors U.E
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
Cet arrêt marque en effet une évolution jurisprudentielle
mais celle-ci s'inscrit dans un cadre plus général, celui d'une
société bousculée où plus rien n'est pérenne... Et ne vaut-il
pas mieux un contrat de travail flexible plutôt que se
retrouver au chômage ?
D'alleurs, l'État a donné l'exemple en révisant un certain
nombre de dispositions des statuts de la fonction publique,
allongement des cotisations-retraite et étalement des seuils
d'avancement, devenues différentes de celles du jour où les
gens ont été recrutés.
Le 14/06/2014, Ricazerty a supposé :En droit, le contrat est le principal acte juridique,
Le contrat est un des actes produisant un effet juridique.
Sous réserve de ne pas déroger aux dispositions d'ordre
public, et de ne pas contenir de clauses léonines.
D'autres actes de disposition ou d'administration peuvent
être unilatéraux.nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
Si vous êtes attaché à l'intangibilité des conventions,
héritée du droit romain, peut-être...
Mais depuis environ 4 décennies en France, l'extension
de la pratique de la renégociation (parce qu'on préfère
gagner moins plutôt que risquer de tout perdre) et la
banalisation de l'arbitrage à la révision ont ouvert une
première brèche dans le monde des affaires, pour s'adapter
aux aléas de la conjoncture.
Ensuite des textes et la jurisprudence se sont orientés peu
à peu vers une conception du contrat adaptable (ne pas
confondre avec les conventions aléatoires qui sont une
autre catégorie).
Parce qu'en cours d'exécution, les conditions peuvent
avoir énormément changé et créé un déséquilibre important
par rapport à la situation d'origine.
Les premiers ont été les prêts immobiliers à taux évolutif
suivis des swaps interentreprises pour prendre en compte
la variabilité des changes quand on commerce ou emprunte
hors U.Ehttp://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
Cet arrêt marque en effet une évolution jurisprudentielle
mais celle-ci s'inscrit dans un cadre plus général, celui d'une
société bousculée où plus rien n'est pérenne... Et ne vaut-il
pas mieux un contrat de travail flexible plutôt que se
retrouver au chômage ?
D'alleurs, l'État a donné l'exemple en révisant un certain
nombre de dispositions des statuts de la fonction publique,
allongement des cotisations-retraite et étalement des seuils
d'avancement, devenues différentes de celles du jour où les
gens ont été recrutés.
En droit, le contrat est le principal acte juridique,
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
En droit, le contrat est le principal acte juridique,
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
En droit, le contrat est le principal acte juridique,
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
"D'ailleurs, l'État a donné l'exemple..." Est-ce un bon argument?
Aucune société n'a jamais été pérenne, elles sont toutes assises
sur des consensus plus ou moins solides qui finissent toujours
par s'étioler pour se transformer ou disparaitre.
Il en est ainsi pour la nôtre qui enregistre une offensive tous azimuts
de la classe dominante capitaliste débarrassée du contre-pouvoir de
l'URSS et d'autre part confrontée à une grave mais tout à fait
prévisible crise systémique.
"D'ailleurs, l'État a donné l'exemple..." Est-ce un bon argument?
Aucune société n'a jamais été pérenne, elles sont toutes assises
sur des consensus plus ou moins solides qui finissent toujours
par s'étioler pour se transformer ou disparaitre.
Il en est ainsi pour la nôtre qui enregistre une offensive tous azimuts
de la classe dominante capitaliste débarrassée du contre-pouvoir de
l'URSS et d'autre part confrontée à une grave mais tout à fait
prévisible crise systémique.
"D'ailleurs, l'État a donné l'exemple..." Est-ce un bon argument?
Aucune société n'a jamais été pérenne, elles sont toutes assises
sur des consensus plus ou moins solides qui finissent toujours
par s'étioler pour se transformer ou disparaitre.
Il en est ainsi pour la nôtre qui enregistre une offensive tous azimuts
de la classe dominante capitaliste débarrassée du contre-pouvoir de
l'URSS et d'autre part confrontée à une grave mais tout à fait
prévisible crise systémique.
Ricazerty avait prétendu :"D'ailleurs, l'État a donné l'exemple..." Est-ce un bon argument?
L'État est à la fois la principale source de droit puisqu'il produit
les lois et réglements (la coutume est marginale) et aussi parce
que sa justice et ses administrations veillent à l'application du
droit et parfois secrètent des interprétations ou des pratiques.Aucune société n'a jamais été pérenne, elles sont toutes assises
sur des consensus plus ou moins solides qui finissent toujours
par s'étioler pour se transformer ou disparaitre.
C'est exactement le cas du contrat de travail à la française,
adapté aux "30 glorieuses" quand le pays connaissait la
croissance, le plein emploi et découvrait la société de
consommation...Il en est ainsi pour la nôtre qui enregistre une offensive tous
azimuts de la classe dominante capitaliste débarrassée du
contre-pouvoir de l'URSS et d'autre part confrontée à une
grave mais tout à fait prévisible crise systémique.
Vous êtes un nostalgique du stalinisme ? :-(
Ricazerty avait prétendu :
"D'ailleurs, l'État a donné l'exemple..." Est-ce un bon argument?
L'État est à la fois la principale source de droit puisqu'il produit
les lois et réglements (la coutume est marginale) et aussi parce
que sa justice et ses administrations veillent à l'application du
droit et parfois secrètent des interprétations ou des pratiques.
Aucune société n'a jamais été pérenne, elles sont toutes assises
sur des consensus plus ou moins solides qui finissent toujours
par s'étioler pour se transformer ou disparaitre.
C'est exactement le cas du contrat de travail à la française,
adapté aux "30 glorieuses" quand le pays connaissait la
croissance, le plein emploi et découvrait la société de
consommation...
Il en est ainsi pour la nôtre qui enregistre une offensive tous
azimuts de la classe dominante capitaliste débarrassée du
contre-pouvoir de l'URSS et d'autre part confrontée à une
grave mais tout à fait prévisible crise systémique.
Vous êtes un nostalgique du stalinisme ? :-(
Ricazerty avait prétendu :"D'ailleurs, l'État a donné l'exemple..." Est-ce un bon argument?
L'État est à la fois la principale source de droit puisqu'il produit
les lois et réglements (la coutume est marginale) et aussi parce
que sa justice et ses administrations veillent à l'application du
droit et parfois secrètent des interprétations ou des pratiques.Aucune société n'a jamais été pérenne, elles sont toutes assises
sur des consensus plus ou moins solides qui finissent toujours
par s'étioler pour se transformer ou disparaitre.
C'est exactement le cas du contrat de travail à la française,
adapté aux "30 glorieuses" quand le pays connaissait la
croissance, le plein emploi et découvrait la société de
consommation...Il en est ainsi pour la nôtre qui enregistre une offensive tous
azimuts de la classe dominante capitaliste débarrassée du
contre-pouvoir de l'URSS et d'autre part confrontée à une
grave mais tout à fait prévisible crise systémique.
Vous êtes un nostalgique du stalinisme ? :-(
A découper les interventions de vos interlocuteurs en tranche
vous n'aurez jamais raison que sur les tranches et n'apporterez
rien à l'ensemble.
Mais là où votre procédé est franchement
malhonnête c'est lorsque vous en profitez pour éliminer ce
qui ne convient pas.
A découper les interventions de vos interlocuteurs en tranche
vous n'aurez jamais raison que sur les tranches et n'apporterez
rien à l'ensemble.
Mais là où votre procédé est franchement
malhonnête c'est lorsque vous en profitez pour éliminer ce
qui ne convient pas.
A découper les interventions de vos interlocuteurs en tranche
vous n'aurez jamais raison que sur les tranches et n'apporterez
rien à l'ensemble.
Mais là où votre procédé est franchement
malhonnête c'est lorsque vous en profitez pour éliminer ce
qui ne convient pas.
En droit, le contrat est le principal acte juridique,
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-
modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
En droit, le contrat est le principal acte juridique,
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-
modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
En droit, le contrat est le principal acte juridique,
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
http://www.lexpress.fr/emploi/gestion-carriere/votre-patron-va-pouvoir-
modifier-votre-contrat-de-travail_1550849.html#J2rJktQTQ5071GLV.01
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
C'est bien ce que je pensais, vous dites n'importe quoi, au hasard :-(
Nous vivons dans une civilisation où chaque acte de la vie (ou presque
chaque acte, quoique je ne vois pas d'exemple pour le moment) est régi
par le droit.
Nous croulons littéralement sous les règles de droit, notamment en
France.
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
C'est bien ce que je pensais, vous dites n'importe quoi, au hasard :-(
Nous vivons dans une civilisation où chaque acte de la vie (ou presque
chaque acte, quoique je ne vois pas d'exemple pour le moment) est régi
par le droit.
Nous croulons littéralement sous les règles de droit, notamment en
France.
nous ne sommes donc plus dans une société de droit.
C'est bien ce que je pensais, vous dites n'importe quoi, au hasard :-(
Nous vivons dans une civilisation où chaque acte de la vie (ou presque
chaque acte, quoique je ne vois pas d'exemple pour le moment) est régi
par le droit.
Nous croulons littéralement sous les règles de droit, notamment en
France.