Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Nous avons demandé 10 euros aux parents pour financer les différentes
activités (sorties, expositions, etc.).
Certains enseignants, ont décidé de faire acheter, en plus, par les parents,
et sans passer par la coopérative, des fichiers et du matériel scolaire
(cahiers, stylos, etc.). Ils ne m'en ont donc pas informé. Ils ont reçu
l'argent des parents et iront ensuite payer le libraire - il n'y aura pas de
factures !
Certains parents ont payé en monnaie, mais d'autres parents ont donné *un
seul chèque pour payer en même temps la coopérative et les fichiers*...
Il y a donc des chèques de 10 euros et aussi des chèques de 28 euros, 26
euros, 32 euros. C'est selon les collègues, car ils n'ont pas les mêmes
demandes.
Voici ce qui me pose problème : les collègues veulent me remettre les
chèques de 28 euros, 26 euros, 32 euros, pour que je les encaisse en tant
que cotisations des parents.
Mais cela me dérange, car le montant des chèques ne correspond pas à celui
demandé par la coopérative de l'école (soit 10 euros). Est-ce un problème
pour la comptabilité, et sur le plan légal ?
Que penser du fait que ces enseignants demandent de l'argent aux parents,
vont acheter chez le libraire et n'obtiennent pas de facture pour les
parents ?
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Nous avons demandé 10 euros aux parents pour financer les différentes
activités (sorties, expositions, etc.).
Certains enseignants, ont décidé de faire acheter, en plus, par les parents,
et sans passer par la coopérative, des fichiers et du matériel scolaire
(cahiers, stylos, etc.). Ils ne m'en ont donc pas informé. Ils ont reçu
l'argent des parents et iront ensuite payer le libraire - il n'y aura pas de
factures !
Certains parents ont payé en monnaie, mais d'autres parents ont donné *un
seul chèque pour payer en même temps la coopérative et les fichiers*...
Il y a donc des chèques de 10 euros et aussi des chèques de 28 euros, 26
euros, 32 euros. C'est selon les collègues, car ils n'ont pas les mêmes
demandes.
Voici ce qui me pose problème : les collègues veulent me remettre les
chèques de 28 euros, 26 euros, 32 euros, pour que je les encaisse en tant
que cotisations des parents.
Mais cela me dérange, car le montant des chèques ne correspond pas à celui
demandé par la coopérative de l'école (soit 10 euros). Est-ce un problème
pour la comptabilité, et sur le plan légal ?
Que penser du fait que ces enseignants demandent de l'argent aux parents,
vont acheter chez le libraire et n'obtiennent pas de facture pour les
parents ?
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Nous avons demandé 10 euros aux parents pour financer les différentes
activités (sorties, expositions, etc.).
Certains enseignants, ont décidé de faire acheter, en plus, par les parents,
et sans passer par la coopérative, des fichiers et du matériel scolaire
(cahiers, stylos, etc.). Ils ne m'en ont donc pas informé. Ils ont reçu
l'argent des parents et iront ensuite payer le libraire - il n'y aura pas de
factures !
Certains parents ont payé en monnaie, mais d'autres parents ont donné *un
seul chèque pour payer en même temps la coopérative et les fichiers*...
Il y a donc des chèques de 10 euros et aussi des chèques de 28 euros, 26
euros, 32 euros. C'est selon les collègues, car ils n'ont pas les mêmes
demandes.
Voici ce qui me pose problème : les collègues veulent me remettre les
chèques de 28 euros, 26 euros, 32 euros, pour que je les encaisse en tant
que cotisations des parents.
Mais cela me dérange, car le montant des chèques ne correspond pas à celui
demandé par la coopérative de l'école (soit 10 euros). Est-ce un problème
pour la comptabilité, et sur le plan légal ?
Que penser du fait que ces enseignants demandent de l'argent aux parents,
vont acheter chez le libraire et n'obtiennent pas de facture pour les
parents ?
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
SecondSight a écrit :Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Nous avons demandé 10 euros aux parents pour financer les différentes
activités (sorties, expositions, etc.).
Certains enseignants, ont décidé de faire acheter, en plus, par les
parents, et sans passer par la coopérative, des fichiers et du
matériel scolaire (cahiers, stylos, etc.). Ils ne m'en ont donc pas
informé. Ils ont reçu l'argent des parents et iront ensuite payer le
libraire - il n'y aura pas de factures !
Certains parents ont payé en monnaie, mais d'autres parents ont donné
*un seul chèque pour payer en même temps la coopérative et les
fichiers*...
Il y a donc des chèques de 10 euros et aussi des chèques de 28 euros,
26 euros, 32 euros. C'est selon les collègues, car ils n'ont pas les
mêmes demandes.
Voici ce qui me pose problème : les collègues veulent me remettre les
chèques de 28 euros, 26 euros, 32 euros, pour que je les encaisse en
tant que cotisations des parents.
Mais cela me dérange, car le montant des chèques ne correspond pas à
celui demandé par la coopérative de l'école (soit 10 euros). Est-ce un
problème pour la comptabilité, et sur le plan légal ?
Que penser du fait que ces enseignants demandent de l'argent aux
parents, vont acheter chez le libraire et n'obtiennent pas de facture
pour les parents ?
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
allez donc voir cette page pour avoir une meilleure vision de ce qu'est
une coopérative scolaires : droits et obligations
Puis revenez nous faire part de vos observations et questions
Emma
SecondSight a écrit :
Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Nous avons demandé 10 euros aux parents pour financer les différentes
activités (sorties, expositions, etc.).
Certains enseignants, ont décidé de faire acheter, en plus, par les
parents, et sans passer par la coopérative, des fichiers et du
matériel scolaire (cahiers, stylos, etc.). Ils ne m'en ont donc pas
informé. Ils ont reçu l'argent des parents et iront ensuite payer le
libraire - il n'y aura pas de factures !
Certains parents ont payé en monnaie, mais d'autres parents ont donné
*un seul chèque pour payer en même temps la coopérative et les
fichiers*...
Il y a donc des chèques de 10 euros et aussi des chèques de 28 euros,
26 euros, 32 euros. C'est selon les collègues, car ils n'ont pas les
mêmes demandes.
Voici ce qui me pose problème : les collègues veulent me remettre les
chèques de 28 euros, 26 euros, 32 euros, pour que je les encaisse en
tant que cotisations des parents.
Mais cela me dérange, car le montant des chèques ne correspond pas à
celui demandé par la coopérative de l'école (soit 10 euros). Est-ce un
problème pour la comptabilité, et sur le plan légal ?
Que penser du fait que ces enseignants demandent de l'argent aux
parents, vont acheter chez le libraire et n'obtiennent pas de facture
pour les parents ?
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
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Emma
SecondSight a écrit :Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Nous avons demandé 10 euros aux parents pour financer les différentes
activités (sorties, expositions, etc.).
Certains enseignants, ont décidé de faire acheter, en plus, par les
parents, et sans passer par la coopérative, des fichiers et du
matériel scolaire (cahiers, stylos, etc.). Ils ne m'en ont donc pas
informé. Ils ont reçu l'argent des parents et iront ensuite payer le
libraire - il n'y aura pas de factures !
Certains parents ont payé en monnaie, mais d'autres parents ont donné
*un seul chèque pour payer en même temps la coopérative et les
fichiers*...
Il y a donc des chèques de 10 euros et aussi des chèques de 28 euros,
26 euros, 32 euros. C'est selon les collègues, car ils n'ont pas les
mêmes demandes.
Voici ce qui me pose problème : les collègues veulent me remettre les
chèques de 28 euros, 26 euros, 32 euros, pour que je les encaisse en
tant que cotisations des parents.
Mais cela me dérange, car le montant des chèques ne correspond pas à
celui demandé par la coopérative de l'école (soit 10 euros). Est-ce un
problème pour la comptabilité, et sur le plan légal ?
Que penser du fait que ces enseignants demandent de l'argent aux
parents, vont acheter chez le libraire et n'obtiennent pas de facture
pour les parents ?
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
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Puis revenez nous faire part de vos observations et questions
Emma
Emma : avec le lien c'est mieux ;-)
Emma : avec le lien c'est mieux ;-)
Emma : avec le lien c'est mieux ;-)
Bonjour.
Je veux bien le lien concernant la coopérative scolaire, car il est vrai que
c'est encore un peu flou. Merci. :)
Mon problème en ce moment concerne surtout les chèques :
Par exemple, sur 5 parents qui décident de payer la coopérative (10 euros
par enfant), il y en a deux qui font un chèque de 25 euros.
Puis-je alors encaisser les deux chèques de 25 euros émis par deux parents,
comme cotisations de 5 parents ?
Merci ! :)
SecondSight
Bonjour.
Je veux bien le lien concernant la coopérative scolaire, car il est vrai que
c'est encore un peu flou. Merci. :)
Mon problème en ce moment concerne surtout les chèques :
Par exemple, sur 5 parents qui décident de payer la coopérative (10 euros
par enfant), il y en a deux qui font un chèque de 25 euros.
Puis-je alors encaisser les deux chèques de 25 euros émis par deux parents,
comme cotisations de 5 parents ?
Merci ! :)
SecondSight
Bonjour.
Je veux bien le lien concernant la coopérative scolaire, car il est vrai que
c'est encore un peu flou. Merci. :)
Mon problème en ce moment concerne surtout les chèques :
Par exemple, sur 5 parents qui décident de payer la coopérative (10 euros
par enfant), il y en a deux qui font un chèque de 25 euros.
Puis-je alors encaisser les deux chèques de 25 euros émis par deux parents,
comme cotisations de 5 parents ?
Merci ! :)
SecondSight
Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
Bonjour !
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Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Nous avons demandé 10 euros aux parents pour financer les différentes
activités (sorties, expositions, etc.).
Certains enseignants, ont décidé de faire acheter, en plus, par les
parents, et sans passer par la coopérative, des fichiers et du matériel
scolaire (cahiers, stylos, etc.). Ils ne m'en ont donc pas informé. Ils
ont reçu l'argent des parents et iront ensuite payer le libraire - il n'y
aura pas de factures !
Certains parents ont payé en monnaie, mais d'autres parents ont donné *un
seul chèque pour payer en même temps la coopérative et les fichiers*...
Il y a donc des chèques de 10 euros et aussi des chèques de 28 euros, 26
euros, 32 euros. C'est selon les collègues, car ils n'ont pas les mêmes
demandes.
Voici ce qui me pose problème : les collègues veulent me remettre les
chèques de 28 euros, 26 euros, 32 euros, pour que je les encaisse en tant
que cotisations des parents.
Mais cela me dérange, car le montant des chèques ne correspond pas à celui
demandé par la coopérative de l'école (soit 10 euros). Est-ce un problème
pour la comptabilité, et sur le plan légal ?
Que penser du fait que ces enseignants demandent de l'argent aux parents,
vont acheter chez le libraire et n'obtiennent pas de facture pour les
parents ?
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Nous avons demandé 10 euros aux parents pour financer les différentes
activités (sorties, expositions, etc.).
Certains enseignants, ont décidé de faire acheter, en plus, par les
parents, et sans passer par la coopérative, des fichiers et du matériel
scolaire (cahiers, stylos, etc.). Ils ne m'en ont donc pas informé. Ils
ont reçu l'argent des parents et iront ensuite payer le libraire - il n'y
aura pas de factures !
Certains parents ont payé en monnaie, mais d'autres parents ont donné *un
seul chèque pour payer en même temps la coopérative et les fichiers*...
Il y a donc des chèques de 10 euros et aussi des chèques de 28 euros, 26
euros, 32 euros. C'est selon les collègues, car ils n'ont pas les mêmes
demandes.
Voici ce qui me pose problème : les collègues veulent me remettre les
chèques de 28 euros, 26 euros, 32 euros, pour que je les encaisse en tant
que cotisations des parents.
Mais cela me dérange, car le montant des chèques ne correspond pas à celui
demandé par la coopérative de l'école (soit 10 euros). Est-ce un problème
pour la comptabilité, et sur le plan légal ?
Que penser du fait que ces enseignants demandent de l'argent aux parents,
vont acheter chez le libraire et n'obtiennent pas de facture pour les
parents ?
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
Bonjour !
Je suis mandataire de la coopérative scolaire d'une école primaire.
Nous avons demandé 10 euros aux parents pour financer les différentes
activités (sorties, expositions, etc.).
Certains enseignants, ont décidé de faire acheter, en plus, par les
parents, et sans passer par la coopérative, des fichiers et du matériel
scolaire (cahiers, stylos, etc.). Ils ne m'en ont donc pas informé. Ils
ont reçu l'argent des parents et iront ensuite payer le libraire - il n'y
aura pas de factures !
Certains parents ont payé en monnaie, mais d'autres parents ont donné *un
seul chèque pour payer en même temps la coopérative et les fichiers*...
Il y a donc des chèques de 10 euros et aussi des chèques de 28 euros, 26
euros, 32 euros. C'est selon les collègues, car ils n'ont pas les mêmes
demandes.
Voici ce qui me pose problème : les collègues veulent me remettre les
chèques de 28 euros, 26 euros, 32 euros, pour que je les encaisse en tant
que cotisations des parents.
Mais cela me dérange, car le montant des chèques ne correspond pas à celui
demandé par la coopérative de l'école (soit 10 euros). Est-ce un problème
pour la comptabilité, et sur le plan légal ?
Que penser du fait que ces enseignants demandent de l'argent aux parents,
vont acheter chez le libraire et n'obtiennent pas de facture pour les
parents ?
Merci pour votre aide ! :)
SecondSight
Par contre, concernant tes collègues enseignants, ça ne va pas du
tout. En France l'école publique est laique et gratuite.
encaissés par les instits hors d'un organisme préconstitué comme ta
coopé les rend comptables publics de fait. Le rectorat doit connaître
cette grave erreur et la sanctionner.
De plus, je voudrais être sûr que les fournitures achetées sont tout à
la fois indispensables, tellement spécifiques que seul l'enseignant
peut les trouver, au coût le plus bas offert dans le commerce, et
revendues sans aucun bénéfice (un simple arrondi de 10,75 euros à 11
enros constituant le début du profit). L'achat de cahiers et stylos,
en vente libre France entière, me paraît parfaitement incongru.
L'absence de reddition de compte au franc le franc pour chaque élève,
avec factures justificatives, est encore plus choquant.
Je peux affirmer que "mes" parents d'élèves de l'époque n'auraient pas
manqué de réagir vivement et immédiatement auprès de l'autorité
hiérarchique.
En conclusion, nous sommes une fois de plus en face de la maniaquerie
tracassière de nombre de profs, lesquels exigent des cahiers avec ou
sans pirale, avec lignure sieyes ou grands carreaux, classeurs au
format scolaire ou A4, des copies doubles ou simples, etc., etc.
Par contre, concernant tes collègues enseignants, ça ne va pas du
tout. En France l'école publique est laique et gratuite.
encaissés par les instits hors d'un organisme préconstitué comme ta
coopé les rend comptables publics de fait. Le rectorat doit connaître
cette grave erreur et la sanctionner.
De plus, je voudrais être sûr que les fournitures achetées sont tout à
la fois indispensables, tellement spécifiques que seul l'enseignant
peut les trouver, au coût le plus bas offert dans le commerce, et
revendues sans aucun bénéfice (un simple arrondi de 10,75 euros à 11
enros constituant le début du profit). L'achat de cahiers et stylos,
en vente libre France entière, me paraît parfaitement incongru.
L'absence de reddition de compte au franc le franc pour chaque élève,
avec factures justificatives, est encore plus choquant.
Je peux affirmer que "mes" parents d'élèves de l'époque n'auraient pas
manqué de réagir vivement et immédiatement auprès de l'autorité
hiérarchique.
En conclusion, nous sommes une fois de plus en face de la maniaquerie
tracassière de nombre de profs, lesquels exigent des cahiers avec ou
sans pirale, avec lignure sieyes ou grands carreaux, classeurs au
format scolaire ou A4, des copies doubles ou simples, etc., etc.
Par contre, concernant tes collègues enseignants, ça ne va pas du
tout. En France l'école publique est laique et gratuite.
encaissés par les instits hors d'un organisme préconstitué comme ta
coopé les rend comptables publics de fait. Le rectorat doit connaître
cette grave erreur et la sanctionner.
De plus, je voudrais être sûr que les fournitures achetées sont tout à
la fois indispensables, tellement spécifiques que seul l'enseignant
peut les trouver, au coût le plus bas offert dans le commerce, et
revendues sans aucun bénéfice (un simple arrondi de 10,75 euros à 11
enros constituant le début du profit). L'achat de cahiers et stylos,
en vente libre France entière, me paraît parfaitement incongru.
L'absence de reddition de compte au franc le franc pour chaque élève,
avec factures justificatives, est encore plus choquant.
Je peux affirmer que "mes" parents d'élèves de l'époque n'auraient pas
manqué de réagir vivement et immédiatement auprès de l'autorité
hiérarchique.
En conclusion, nous sommes une fois de plus en face de la maniaquerie
tracassière de nombre de profs, lesquels exigent des cahiers avec ou
sans pirale, avec lignure sieyes ou grands carreaux, classeurs au
format scolaire ou A4, des copies doubles ou simples, etc., etc.
Les sousencaissés par les instits hors d'un organisme préconstitué comme ta
coopé les rend comptables publics de fait. Le rectorat doit connaître
cette grave erreur et la sanctionner.
Grave erreur, faut peut-être pas déconner. Je vois plutôt un truc qui
rend service...
je me dis que si l'enseignant le fait lui-même
en dehors de ses heures de travail pour que tous les élèves disposent du
même matériel, ce n'est pas plus mal. Non ?
Ah ben oui. Si l'enseignant se fout 25 cts par an dans les poches, c'est
choquant (tu dois être souvent choqué, non ?). Ca mérite un procès. En
même temps, parmi les professeurs des écoles que je connais, ils en sont
plus souvent pour leur poche que l'inverse.
En même temps, c'est vrai que si ça
vous retombe systématiquement sur la gueule quand vous rendez service,
y'a plus de raisons de se décarcasser.
Merveilleux
monde constitué de droits mais pas de devoirs.
Perso, je n'y vois que des avantages. Mais tu vas
peut-être nous expliquer ?
Les sous
encaissés par les instits hors d'un organisme préconstitué comme ta
coopé les rend comptables publics de fait. Le rectorat doit connaître
cette grave erreur et la sanctionner.
Grave erreur, faut peut-être pas déconner. Je vois plutôt un truc qui
rend service...
je me dis que si l'enseignant le fait lui-même
en dehors de ses heures de travail pour que tous les élèves disposent du
même matériel, ce n'est pas plus mal. Non ?
Ah ben oui. Si l'enseignant se fout 25 cts par an dans les poches, c'est
choquant (tu dois être souvent choqué, non ?). Ca mérite un procès. En
même temps, parmi les professeurs des écoles que je connais, ils en sont
plus souvent pour leur poche que l'inverse.
En même temps, c'est vrai que si ça
vous retombe systématiquement sur la gueule quand vous rendez service,
y'a plus de raisons de se décarcasser.
Merveilleux
monde constitué de droits mais pas de devoirs.
Perso, je n'y vois que des avantages. Mais tu vas
peut-être nous expliquer ?
Les sousencaissés par les instits hors d'un organisme préconstitué comme ta
coopé les rend comptables publics de fait. Le rectorat doit connaître
cette grave erreur et la sanctionner.
Grave erreur, faut peut-être pas déconner. Je vois plutôt un truc qui
rend service...
je me dis que si l'enseignant le fait lui-même
en dehors de ses heures de travail pour que tous les élèves disposent du
même matériel, ce n'est pas plus mal. Non ?
Ah ben oui. Si l'enseignant se fout 25 cts par an dans les poches, c'est
choquant (tu dois être souvent choqué, non ?). Ca mérite un procès. En
même temps, parmi les professeurs des écoles que je connais, ils en sont
plus souvent pour leur poche que l'inverse.
En même temps, c'est vrai que si ça
vous retombe systématiquement sur la gueule quand vous rendez service,
y'a plus de raisons de se décarcasser.
Merveilleux
monde constitué de droits mais pas de devoirs.
Perso, je n'y vois que des avantages. Mais tu vas
peut-être nous expliquer ?
"JLC" wrote in
news:450b0644$0$24472$:
Bonjour,
> Par contre, concernant tes collègues enseignants, ça ne va pas du
> tout. En France l'école publique est laique et gratuite.
Y compris les fournitures scolaires ? C'est nouveau ?
Les sous
> encaissés par les instits hors d'un organisme préconstitué comme ta
> coopé les rend comptables publics de fait. Le rectorat doit connaît re
> cette grave erreur et la sanctionner.
Grave erreur, faut peut-être pas déconner. Je vois plutôt un truc q ui
rend service...
> De plus, je voudrais être sûr que les fournitures achetées sont t out à
> la fois indispensables, tellement spécifiques que seul l'enseignant
> peut les trouver, au coût le plus bas offert dans le commerce, et
> revendues sans aucun bénéfice (un simple arrondi de 10,75 euros à 11
> enros constituant le début du profit). L'achat de cahiers et stylos,
> en vente libre France entière, me paraît parfaitement incongru.
En même temps, quand je vois les parents se plaindre du temps passé à
acheter les fournitures scolaires (sujet de discussion qui commence vers
la mi-août tous les ans), je me dis que si l'enseignant le fait lui-m ême
en dehors de ses heures de travail pour que tous les élèves disposent du
même matériel, ce n'est pas plus mal. Non ?
> L'absence de reddition de compte au franc le franc pour chaque élèv e,
> avec factures justificatives, est encore plus choquant.
Ah ben oui. Si l'enseignant se fout 25 cts par an dans les poches, c'est
choquant (tu dois être souvent choqué, non ?). Ca mérite un procè s. En
même temps, parmi les professeurs des écoles que je connais, ils en s ont
plus souvent pour leur poche que l'inverse.
> Je peux affirmer que "mes" parents d'élèves de l'époque n'auraien t pas
> manqué de réagir vivement et immédiatement auprès de l'autorit é
> hiérarchique.
Les emmerdeurs sont en effet légion. En même temps, c'est vrai que s i ça
vous retombe systématiquement sur la gueule quand vous rendez service,
y'a plus de raisons de se décarcasser. Je connais des établissements qui
ont un mal fou à organiser quelque sortie que ce soit, tellement ils ont
de problèmes. Mébon, heureusement, les mêmes qui l'ont ramenée l' année
précédente pour faire valoir leurs droits, rappellent que les sorties
sont obligatoires et que ça va chauffer s'il n'y en a pas. Merveilleux
monde constitué de droits mais pas de devoirs.
> En conclusion, nous sommes une fois de plus en face de la maniaquerie
> tracassière de nombre de profs, lesquels exigent des cahiers avec ou
> sans pirale, avec lignure sieyes ou grands carreaux, classeurs au
> format scolaire ou A4, des copies doubles ou simples, etc., etc.
Justement. Dans ce cas là, le professeur des écoles n'exige pas des
parents de trouver un matériel spécifique, puisqu'il se le procure lu i-
même, moyennant le prix des articles. Alors bon, maintenant, qu'est-ce
que ça change pour le parent, d'aller acheter les articles (donc se
déplacer, perdre du temps, etc.) ou laisser l'enseignant faire (sur son
temps, à ses frais) ? Perso, je n'y vois que des avantages. Mais tu vas
peut-être nous expliquer ?
Au passage, demander 20 euro pour les fournitures, ça fait quand-même une
économie de l'ordre de 240 euro sur le coût d'une rentrée scolaire
(calculé sur la base de l'allocation du même nom qui "n'est pas
suffisante"), par rapport à si le parent avait dû tout acheter lui-m ême :
pas de quoi se plaindre, donc...
--
Céd, pas prof et qui ne voudrait l'être pour rien au monde.
"JLC" <lukejohn@free.fr> wrote in
news:450b0644$0$24472$626a54ce@news.free.fr:
Bonjour,
> Par contre, concernant tes collègues enseignants, ça ne va pas du
> tout. En France l'école publique est laique et gratuite.
Y compris les fournitures scolaires ? C'est nouveau ?
Les sous
> encaissés par les instits hors d'un organisme préconstitué comme ta
> coopé les rend comptables publics de fait. Le rectorat doit connaît re
> cette grave erreur et la sanctionner.
Grave erreur, faut peut-être pas déconner. Je vois plutôt un truc q ui
rend service...
> De plus, je voudrais être sûr que les fournitures achetées sont t out à
> la fois indispensables, tellement spécifiques que seul l'enseignant
> peut les trouver, au coût le plus bas offert dans le commerce, et
> revendues sans aucun bénéfice (un simple arrondi de 10,75 euros à 11
> enros constituant le début du profit). L'achat de cahiers et stylos,
> en vente libre France entière, me paraît parfaitement incongru.
En même temps, quand je vois les parents se plaindre du temps passé à
acheter les fournitures scolaires (sujet de discussion qui commence vers
la mi-août tous les ans), je me dis que si l'enseignant le fait lui-m ême
en dehors de ses heures de travail pour que tous les élèves disposent du
même matériel, ce n'est pas plus mal. Non ?
> L'absence de reddition de compte au franc le franc pour chaque élèv e,
> avec factures justificatives, est encore plus choquant.
Ah ben oui. Si l'enseignant se fout 25 cts par an dans les poches, c'est
choquant (tu dois être souvent choqué, non ?). Ca mérite un procè s. En
même temps, parmi les professeurs des écoles que je connais, ils en s ont
plus souvent pour leur poche que l'inverse.
> Je peux affirmer que "mes" parents d'élèves de l'époque n'auraien t pas
> manqué de réagir vivement et immédiatement auprès de l'autorit é
> hiérarchique.
Les emmerdeurs sont en effet légion. En même temps, c'est vrai que s i ça
vous retombe systématiquement sur la gueule quand vous rendez service,
y'a plus de raisons de se décarcasser. Je connais des établissements qui
ont un mal fou à organiser quelque sortie que ce soit, tellement ils ont
de problèmes. Mébon, heureusement, les mêmes qui l'ont ramenée l' année
précédente pour faire valoir leurs droits, rappellent que les sorties
sont obligatoires et que ça va chauffer s'il n'y en a pas. Merveilleux
monde constitué de droits mais pas de devoirs.
> En conclusion, nous sommes une fois de plus en face de la maniaquerie
> tracassière de nombre de profs, lesquels exigent des cahiers avec ou
> sans pirale, avec lignure sieyes ou grands carreaux, classeurs au
> format scolaire ou A4, des copies doubles ou simples, etc., etc.
Justement. Dans ce cas là, le professeur des écoles n'exige pas des
parents de trouver un matériel spécifique, puisqu'il se le procure lu i-
même, moyennant le prix des articles. Alors bon, maintenant, qu'est-ce
que ça change pour le parent, d'aller acheter les articles (donc se
déplacer, perdre du temps, etc.) ou laisser l'enseignant faire (sur son
temps, à ses frais) ? Perso, je n'y vois que des avantages. Mais tu vas
peut-être nous expliquer ?
Au passage, demander 20 euro pour les fournitures, ça fait quand-même une
économie de l'ordre de 240 euro sur le coût d'une rentrée scolaire
(calculé sur la base de l'allocation du même nom qui "n'est pas
suffisante"), par rapport à si le parent avait dû tout acheter lui-m ême :
pas de quoi se plaindre, donc...
--
Céd, pas prof et qui ne voudrait l'être pour rien au monde.
"JLC" wrote in
news:450b0644$0$24472$:
Bonjour,
> Par contre, concernant tes collègues enseignants, ça ne va pas du
> tout. En France l'école publique est laique et gratuite.
Y compris les fournitures scolaires ? C'est nouveau ?
Les sous
> encaissés par les instits hors d'un organisme préconstitué comme ta
> coopé les rend comptables publics de fait. Le rectorat doit connaît re
> cette grave erreur et la sanctionner.
Grave erreur, faut peut-être pas déconner. Je vois plutôt un truc q ui
rend service...
> De plus, je voudrais être sûr que les fournitures achetées sont t out à
> la fois indispensables, tellement spécifiques que seul l'enseignant
> peut les trouver, au coût le plus bas offert dans le commerce, et
> revendues sans aucun bénéfice (un simple arrondi de 10,75 euros à 11
> enros constituant le début du profit). L'achat de cahiers et stylos,
> en vente libre France entière, me paraît parfaitement incongru.
En même temps, quand je vois les parents se plaindre du temps passé à
acheter les fournitures scolaires (sujet de discussion qui commence vers
la mi-août tous les ans), je me dis que si l'enseignant le fait lui-m ême
en dehors de ses heures de travail pour que tous les élèves disposent du
même matériel, ce n'est pas plus mal. Non ?
> L'absence de reddition de compte au franc le franc pour chaque élèv e,
> avec factures justificatives, est encore plus choquant.
Ah ben oui. Si l'enseignant se fout 25 cts par an dans les poches, c'est
choquant (tu dois être souvent choqué, non ?). Ca mérite un procè s. En
même temps, parmi les professeurs des écoles que je connais, ils en s ont
plus souvent pour leur poche que l'inverse.
> Je peux affirmer que "mes" parents d'élèves de l'époque n'auraien t pas
> manqué de réagir vivement et immédiatement auprès de l'autorit é
> hiérarchique.
Les emmerdeurs sont en effet légion. En même temps, c'est vrai que s i ça
vous retombe systématiquement sur la gueule quand vous rendez service,
y'a plus de raisons de se décarcasser. Je connais des établissements qui
ont un mal fou à organiser quelque sortie que ce soit, tellement ils ont
de problèmes. Mébon, heureusement, les mêmes qui l'ont ramenée l' année
précédente pour faire valoir leurs droits, rappellent que les sorties
sont obligatoires et que ça va chauffer s'il n'y en a pas. Merveilleux
monde constitué de droits mais pas de devoirs.
> En conclusion, nous sommes une fois de plus en face de la maniaquerie
> tracassière de nombre de profs, lesquels exigent des cahiers avec ou
> sans pirale, avec lignure sieyes ou grands carreaux, classeurs au
> format scolaire ou A4, des copies doubles ou simples, etc., etc.
Justement. Dans ce cas là, le professeur des écoles n'exige pas des
parents de trouver un matériel spécifique, puisqu'il se le procure lu i-
même, moyennant le prix des articles. Alors bon, maintenant, qu'est-ce
que ça change pour le parent, d'aller acheter les articles (donc se
déplacer, perdre du temps, etc.) ou laisser l'enseignant faire (sur son
temps, à ses frais) ? Perso, je n'y vois que des avantages. Mais tu vas
peut-être nous expliquer ?
Au passage, demander 20 euro pour les fournitures, ça fait quand-même une
économie de l'ordre de 240 euro sur le coût d'une rentrée scolaire
(calculé sur la base de l'allocation du même nom qui "n'est pas
suffisante"), par rapport à si le parent avait dû tout acheter lui-m ême :
pas de quoi se plaindre, donc...
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Céd, pas prof et qui ne voudrait l'être pour rien au monde.