Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
je ne comprend absolument rien au débat sur l'euthanasie. Qu'est ce qui
empêcherait une personne de se suicider par elle même ?
Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Légalement, les personnes seraient étaient à côté du suicidé ne peuvent
pas être poursuivies, puisqu'il s'agit d'un suicide. A moins qu'il
existe un loi qui punit les personnes qui ne tentent pas de sauver un
suicidé (non assistance à personne en danger par ex), je ne vois pas où
est le soucis du point de vue légal.
Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
je ne comprend absolument rien au débat sur l'euthanasie. Qu'est ce qui
empêcherait une personne de se suicider par elle même ?
Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Légalement, les personnes seraient étaient à côté du suicidé ne peuvent
pas être poursuivies, puisqu'il s'agit d'un suicide. A moins qu'il
existe un loi qui punit les personnes qui ne tentent pas de sauver un
suicidé (non assistance à personne en danger par ex), je ne vois pas où
est le soucis du point de vue légal.
Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
je ne comprend absolument rien au débat sur l'euthanasie. Qu'est ce qui
empêcherait une personne de se suicider par elle même ?
Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Légalement, les personnes seraient étaient à côté du suicidé ne peuvent
pas être poursuivies, puisqu'il s'agit d'un suicide. A moins qu'il
existe un loi qui punit les personnes qui ne tentent pas de sauver un
suicidé (non assistance à personne en danger par ex), je ne vois pas où
est le soucis du point de vue légal.
Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
anon wrote:Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Waow, l'argument qui tue... Tout ramener au pognon, c'est finalement
assez prtaique pour cacher son ignorance ou son mépris.Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
Faus débat, faux débat, c'est toi qui le dit. Quant au verbe "polluer",
je t'en laisse la responsabilité.
Si tu avais mieux écouté ce que dit la dame en question, tu aurais
compris qu'elle veut faire de son cas personnel l'occasion d'un débat
sur la légalisation de l'euthanasie pour les personnes condamnées
lorsqu'elles sont pleinement conscientes et consentantes. Ce serait
certainement plus humain de le faire avec une assistance médicale qu'en
avalant n'importe quoi n'importe comment au risque de se réveiller comme
un légume ou d'augmenter encore ses souffrances et celles de ses
proches.
anon <anon@gmail.com> wrote:
Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Waow, l'argument qui tue... Tout ramener au pognon, c'est finalement
assez prtaique pour cacher son ignorance ou son mépris.
Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
Faus débat, faux débat, c'est toi qui le dit. Quant au verbe "polluer",
je t'en laisse la responsabilité.
Si tu avais mieux écouté ce que dit la dame en question, tu aurais
compris qu'elle veut faire de son cas personnel l'occasion d'un débat
sur la légalisation de l'euthanasie pour les personnes condamnées
lorsqu'elles sont pleinement conscientes et consentantes. Ce serait
certainement plus humain de le faire avec une assistance médicale qu'en
avalant n'importe quoi n'importe comment au risque de se réveiller comme
un légume ou d'augmenter encore ses souffrances et celles de ses
proches.
anon wrote:Elle peut très bien rassembler ses proches autour d'elle et avaler une
boite de somnifères. Non ? Cela ne coûterait rien à la sécu...
Waow, l'argument qui tue... Tout ramener au pognon, c'est finalement
assez prtaique pour cacher son ignorance ou son mépris.Je comprend bien que certains malades à un stade terminal, ou à un âge
très avancé, ne peuvent même pas bouger le doigt pour se suicider. Dans
ces cas, un suicide "assisté" est requis, mais interdit par la loi. Par
contre, si une personne a encore toutes ses forces pour appuyer sur une
gâchette, y a pas à demander l'autorisation. Et surtout, qu'on ne pollue
pas l'espace public avec de faux débats.
Faus débat, faux débat, c'est toi qui le dit. Quant au verbe "polluer",
je t'en laisse la responsabilité.
Si tu avais mieux écouté ce que dit la dame en question, tu aurais
compris qu'elle veut faire de son cas personnel l'occasion d'un débat
sur la légalisation de l'euthanasie pour les personnes condamnées
lorsqu'elles sont pleinement conscientes et consentantes. Ce serait
certainement plus humain de le faire avec une assistance médicale qu'en
avalant n'importe quoi n'importe comment au risque de se réveiller comme
un légume ou d'augmenter encore ses souffrances et celles de ses
proches.
Si tu avais mieux écouté ce que dit la dame en question, tu aurais
compris qu'elle veut faire de son cas personnel l'occasion d'un débat
sur la légalisation de l'euthanasie pour les personnes condamnées
lorsqu'elles sont pleinement conscientes et consentantes. Ce serait
certainement plus humain de le faire avec une assistance médicale
avalant n'importe quoi n'importe comment au risque de se réveiller
un légume ou d'augmenter encore ses souffrances et celles de ses
proches.
Si tu avais mieux écouté ce que dit la dame en question, tu aurais
compris qu'elle veut faire de son cas personnel l'occasion d'un débat
sur la légalisation de l'euthanasie pour les personnes condamnées
lorsqu'elles sont pleinement conscientes et consentantes. Ce serait
certainement plus humain de le faire avec une assistance médicale
avalant n'importe quoi n'importe comment au risque de se réveiller
un légume ou d'augmenter encore ses souffrances et celles de ses
proches.
Si tu avais mieux écouté ce que dit la dame en question, tu aurais
compris qu'elle veut faire de son cas personnel l'occasion d'un débat
sur la légalisation de l'euthanasie pour les personnes condamnées
lorsqu'elles sont pleinement conscientes et consentantes. Ce serait
certainement plus humain de le faire avec une assistance médicale
avalant n'importe quoi n'importe comment au risque de se réveiller
un légume ou d'augmenter encore ses souffrances et celles de ses
proches.
"Tardigradus" a écrit dans le message
de news: 1idqp4b.1xg52oumqre3tN%Si tu avais mieux écouté ce que dit la dame en question, tu aurais
compris qu'elle veut faire de son cas personnel l'occasion d'un débat
sur la légalisation de l'euthanasie pour les personnes condamnées
lorsqu'elles sont pleinement conscientes et consentantes. Ce serait
certainement plus humain de le faire avec une assistance médicale
qu'enavalant n'importe quoi n'importe comment au risque de se réveiller
commeun légume ou d'augmenter encore ses souffrances et celles de ses
proches.
Sans doute a-t-elle raison de susciter un débat et c'est courageux de sa
part, cependant ce n'est pas un problème judiciaire mais législatif.
C'est à la loi de définir ce qui est admissible pour s'assurer notamment
du désir de la personne (et non de ses héritiers ou de l'intérêt de
récupérer un lit d'hopital). Je pense que le droit de la personne
concernée de décider de sa vie doit primer sur les considérations
éthiques que chacun peut avoir sur l'euthanasie. Il doit y avoir des
règles pour que ce droit puisse être respecté.
"Tardigradus" <patrick.1200RTcazaux@cadratin.fr> a écrit dans le message
de news: 1idqp4b.1xg52oumqre3tN%patrick.1200RTcazaux@cadratin.fr...
Si tu avais mieux écouté ce que dit la dame en question, tu aurais
compris qu'elle veut faire de son cas personnel l'occasion d'un débat
sur la légalisation de l'euthanasie pour les personnes condamnées
lorsqu'elles sont pleinement conscientes et consentantes. Ce serait
certainement plus humain de le faire avec une assistance médicale
qu'en
avalant n'importe quoi n'importe comment au risque de se réveiller
comme
un légume ou d'augmenter encore ses souffrances et celles de ses
proches.
Sans doute a-t-elle raison de susciter un débat et c'est courageux de sa
part, cependant ce n'est pas un problème judiciaire mais législatif.
C'est à la loi de définir ce qui est admissible pour s'assurer notamment
du désir de la personne (et non de ses héritiers ou de l'intérêt de
récupérer un lit d'hopital). Je pense que le droit de la personne
concernée de décider de sa vie doit primer sur les considérations
éthiques que chacun peut avoir sur l'euthanasie. Il doit y avoir des
règles pour que ce droit puisse être respecté.
"Tardigradus" a écrit dans le message
de news: 1idqp4b.1xg52oumqre3tN%Si tu avais mieux écouté ce que dit la dame en question, tu aurais
compris qu'elle veut faire de son cas personnel l'occasion d'un débat
sur la légalisation de l'euthanasie pour les personnes condamnées
lorsqu'elles sont pleinement conscientes et consentantes. Ce serait
certainement plus humain de le faire avec une assistance médicale
qu'enavalant n'importe quoi n'importe comment au risque de se réveiller
commeun légume ou d'augmenter encore ses souffrances et celles de ses
proches.
Sans doute a-t-elle raison de susciter un débat et c'est courageux de sa
part, cependant ce n'est pas un problème judiciaire mais législatif.
C'est à la loi de définir ce qui est admissible pour s'assurer notamment
du désir de la personne (et non de ses héritiers ou de l'intérêt de
récupérer un lit d'hopital). Je pense que le droit de la personne
concernée de décider de sa vie doit primer sur les considérations
éthiques que chacun peut avoir sur l'euthanasie. Il doit y avoir des
règles pour que ce droit puisse être respecté.
Ils n'ont administré aucun anti douleur
ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
interdit par les lois républicaines et chrétiennes.
Ils n'ont administré aucun anti douleur
ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
interdit par les lois républicaines et chrétiennes.
Ils n'ont administré aucun anti douleur
ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
interdit par les lois républicaines et chrétiennes.
Jacquouille14 a écrit :
> Ils n'ont administré aucun anti douleur
> ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
> interdit par les lois républicaines et chrétiennes.
J'imagine que tu as voulu écrire "les recommandations chrétiennes" car
il ne saurait être question de hisser des préférences religieuses au
même niveau que nos lois républicaines.
Jacquouille14 a écrit :
> Ils n'ont administré aucun anti douleur
> ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
> interdit par les lois républicaines et chrétiennes.
J'imagine que tu as voulu écrire "les recommandations chrétiennes" car
il ne saurait être question de hisser des préférences religieuses au
même niveau que nos lois républicaines.
Jacquouille14 a écrit :
> Ils n'ont administré aucun anti douleur
> ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
> interdit par les lois républicaines et chrétiennes.
J'imagine que tu as voulu écrire "les recommandations chrétiennes" car
il ne saurait être question de hisser des préférences religieuses au
même niveau que nos lois républicaines.
Rémi Fasollasi a écrit :
Ils n'ont administré aucun anti douleur
ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
interdit par les lois républicaines et chrétiennes. A sa mort, le
malade ne pesait pas plus de 38 kgs.
Rémi Fasollasi a écrit :
Ils n'ont administré aucun anti douleur
ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
interdit par les lois républicaines et chrétiennes. A sa mort, le
malade ne pesait pas plus de 38 kgs.
Rémi Fasollasi a écrit :
Ils n'ont administré aucun anti douleur
ni autre chose car cela aurait pu raccourcir le délai et c'est
interdit par les lois républicaines et chrétiennes. A sa mort, le
malade ne pesait pas plus de 38 kgs.
LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent
parfois à
appliquer la loi.
Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:
LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent
parfois à
appliquer la loi.
Jean <contactCHEZmoi.org> wrote:LA Loi n'aurait donc pas été respectée et se serait lamentable.
Il y a des établissement ou des soignants, qui, sous couvert d'une
conviction religieuse qu'ils imposent aux autres, se refusent
parfois à
appliquer la loi.