Il y en a un qui me rappelle mes vacances à Bedous quand j'avais 8 ou 9 ans.
Mais j'aime beaucoup les failles du début.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave <octavoctav@wanadoo.fr> wrote:
Pour signaler une page. Je suis toujours à la
poursuite de l'image.
Voilà, à vous de voir :
Il y en a un qui me rappelle mes vacances à Bedous quand j'avais 8 ou 9
ans.
Mais j'aime beaucoup les failles du début.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Il y en a un qui me rappelle mes vacances à Bedous quand j'avais 8 ou 9 ans.
Mais j'aime beaucoup les failles du début.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean Chris
FiLH a écrit dans le message :
Il y en a un qui me rappelle.......
encore du radotage issu des abimes....
Mais j'aime beaucoup les failles du début.
normal que tu aimes les failles puisque t'en es une grosse, toi !... ....avec une petite quéquette rabougrie :)))))))
FiLH <filh@filh.orgie> a écrit dans le message :
Il y en a un qui me rappelle.......
encore du radotage issu des abimes....
Mais j'aime beaucoup les failles du début.
normal que tu aimes les failles puisque t'en es une grosse, toi !...
....avec une petite quéquette rabougrie :)))))))
normal que tu aimes les failles puisque t'en es une grosse, toi !... ....avec une petite quéquette rabougrie :)))))))
filh
Jean Chris wrote:
FiLH a écrit dans le message :
Il y en a un qui me rappelle.......
encore du radotage issu des abimes....
Mais j'aime beaucoup les failles du début.
normal que tu aimes les failles puisque t'en es une grosse, toi !...
Oui les failles permettent à la lumière de pénétrer dans les lieux.
Alors que toi t'es étanche....
....avec une petite quéquette rabougrie :)))))))
Hum... t'en es encore à jouer à mesurer la taille de ta bite ?
Tu vois je disais que t'étais étanche...
Maintenant tu rend le clavier à ton père, tu vas encore faire des conneries...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Jean Chris <jean.chris.hinaulterant2@free.fr> wrote:
FiLH <filh@filh.orgie> a écrit dans le message :
Il y en a un qui me rappelle.......
encore du radotage issu des abimes....
Mais j'aime beaucoup les failles du début.
normal que tu aimes les failles puisque t'en es une grosse, toi !...
Oui les failles permettent à la lumière de pénétrer dans les lieux.
Alors que toi t'es étanche....
....avec une petite quéquette rabougrie :)))))))
Hum... t'en es encore à jouer à mesurer la taille de ta bite ?
Tu vois je disais que t'étais étanche...
Maintenant tu rend le clavier à ton père, tu vas encore faire des
conneries...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
normal que tu aimes les failles puisque t'en es une grosse, toi !...
Oui les failles permettent à la lumière de pénétrer dans les lieux.
Alors que toi t'es étanche....
....avec une petite quéquette rabougrie :)))))))
Hum... t'en es encore à jouer à mesurer la taille de ta bite ?
Tu vois je disais que t'étais étanche...
Maintenant tu rend le clavier à ton père, tu vas encore faire des conneries...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Octave
Vincent Becker a couché sur son écran :
Minimaliste. La démarche est intéressante. J'apprécie bien les 2, 5, 8 et 14. Le reste manque de substance à mon goût.
C'est déjà beaucoup! Je ne sais pas trop si ça peut avoir un intérêt. J'essaye d'imaginer une de ces photos en poster dans la chambre d'un adolescent ?! pas évident quand-même... (mes préférées : 9-16-17. La 17 me fait penser à de la calligraphie ?!)
Octave
Vincent Becker a couché sur son écran :
Minimaliste. La démarche est intéressante. J'apprécie bien les 2, 5, 8 et 14.
Le reste manque de substance à mon goût.
C'est déjà beaucoup!
Je ne sais pas trop si ça peut avoir un intérêt. J'essaye d'imaginer
une
de ces photos en poster dans la chambre d'un adolescent ?! pas évident
quand-même...
(mes préférées : 9-16-17. La 17 me fait penser à de la calligraphie ?!)
Minimaliste. La démarche est intéressante. J'apprécie bien les 2, 5, 8 et 14. Le reste manque de substance à mon goût.
C'est déjà beaucoup! Je ne sais pas trop si ça peut avoir un intérêt. J'essaye d'imaginer une de ces photos en poster dans la chambre d'un adolescent ?! pas évident quand-même... (mes préférées : 9-16-17. La 17 me fait penser à de la calligraphie ?!)
Octave
Octave
FiLH a formulé ce vendredi :
Il y en a un qui me rappelle mes vacances à Bedous quand j'avais 8 ou 9 ans.
Oui, je t'écoute...
Mais j'aime beaucoup les failles du début.
Bon, finalement le sujet a de l'importance, par la négation. Là, le bitume joue le rôle du sujet quelconque, commun, sans aucun attrait visuel. Le meilleur bitume, c'est le plus plat, le plus lisse. En plus, c'est sale, avec des tâches d'huile, avec toutes sortes de choses ou d'animaux tombés dessus et écrasés, imprimés avec le temps et les pneus. Le jeu c'est de trouver plein de signes de vie (herbes), de signes graphiques (tâches), des signes de vie et d'usure de ce bitume lui-même, etc... sur ce non-espace.
Octave
FiLH a formulé ce vendredi :
Il y en a un qui me rappelle mes vacances à Bedous quand j'avais 8 ou 9
ans.
Oui, je t'écoute...
Mais j'aime beaucoup les failles du début.
Bon, finalement le sujet a de l'importance, par la négation. Là, le
bitume joue le rôle du sujet quelconque, commun, sans aucun attrait
visuel. Le meilleur bitume, c'est le plus plat, le plus lisse. En plus,
c'est sale, avec des tâches d'huile, avec toutes sortes de choses ou
d'animaux tombés dessus et écrasés, imprimés avec le temps et les
pneus.
Le jeu c'est de trouver plein de signes de vie (herbes), de signes
graphiques (tâches), des signes de vie et d'usure de ce bitume
lui-même,
etc... sur ce non-espace.
Il y en a un qui me rappelle mes vacances à Bedous quand j'avais 8 ou 9 ans.
Oui, je t'écoute...
Mais j'aime beaucoup les failles du début.
Bon, finalement le sujet a de l'importance, par la négation. Là, le bitume joue le rôle du sujet quelconque, commun, sans aucun attrait visuel. Le meilleur bitume, c'est le plus plat, le plus lisse. En plus, c'est sale, avec des tâches d'huile, avec toutes sortes de choses ou d'animaux tombés dessus et écrasés, imprimés avec le temps et les pneus. Le jeu c'est de trouver plein de signes de vie (herbes), de signes graphiques (tâches), des signes de vie et d'usure de ce bitume lui-même, etc... sur ce non-espace.
Octave
Octave
Jean Chris a pensé très fort :
encore du radotage issu des abimes....
normal que tu aimes les failles puisque t'en es une grosse, toi !... ....avec une petite quéquette rabougrie :)))))))
et sinon, pour les photos de bitume, Jean Chris ?!
Octave
Jean Chris a pensé très fort :
encore du radotage issu des abimes....
normal que tu aimes les failles puisque t'en es une grosse, toi !...
....avec une petite quéquette rabougrie :)))))))
et sinon, pour les photos de bitume, Jean Chris ?!
ca pourrait servir a faire des textures pour les softs de retouche, sans avoir a se deplacer, quoiqu en vingt mètres dans n'importe quelle rue, tu en fais trois cent cinquante
-- Ricco d.francoise32[NOPouriel]@aliceadsl.fr
Pour signaler une page. Je suis toujours à la
poursuite de l'image.
Voilà, à vous de voir :
ca pourrait servir a faire des textures pour les softs de retouche, sans
avoir a se deplacer, quoiqu en vingt mètres dans n'importe quelle rue, tu en
fais trois cent cinquante
ca pourrait servir a faire des textures pour les softs de retouche, sans avoir a se deplacer, quoiqu en vingt mètres dans n'importe quelle rue, tu en fais trois cent cinquante
-- Ricco d.francoise32[NOPouriel]@aliceadsl.fr
Octave
Ricco avait prétendu :
quoiqu en vingt mètres dans n'importe quelle rue, tu en fais trois cent cinquante
C'est sûr, c'est comme l'herbe au bord des routes ou chemins, toujours pareille et toujours différente. Et encore, on pourrait laisser l'appareil sur pied et faire des dizaines de photos au cours de la journée du même carré de bitume.
Octave
Ricco avait prétendu :
quoiqu en vingt mètres dans n'importe quelle rue, tu en
fais trois cent cinquante
C'est sûr, c'est comme l'herbe au bord des routes ou chemins, toujours
pareille et toujours différente. Et encore, on pourrait laisser
l'appareil sur pied et faire des dizaines de photos au cours de la
journée du même carré de bitume.
quoiqu en vingt mètres dans n'importe quelle rue, tu en fais trois cent cinquante
C'est sûr, c'est comme l'herbe au bord des routes ou chemins, toujours pareille et toujours différente. Et encore, on pourrait laisser l'appareil sur pied et faire des dizaines de photos au cours de la journée du même carré de bitume.
Octave
Ricco
Ricco avait prétendu :
quoiqu en vingt mètres dans n'importe quelle rue, tu en fais trois cent cinquante
C'est sûr, c'est comme l'herbe au bord des routes ou chemins, toujours pareille et toujours différente. Et encore, on pourrait laisser l'appareil sur pied et faire des dizaines de photos au cours de la journée du même carré de bitume.
Octave
oui, on peut le faire et puis ?
-- Ricco d.francoise32[NOPouriel]@aliceadsl.fr
Ricco avait prétendu :
quoiqu en vingt mètres dans n'importe quelle rue, tu en
fais trois cent cinquante
C'est sûr, c'est comme l'herbe au bord des routes ou chemins, toujours
pareille et toujours différente. Et encore, on pourrait laisser
l'appareil sur pied et faire des dizaines de photos au cours de la
journée du même carré de bitume.
quoiqu en vingt mètres dans n'importe quelle rue, tu en fais trois cent cinquante
C'est sûr, c'est comme l'herbe au bord des routes ou chemins, toujours pareille et toujours différente. Et encore, on pourrait laisser l'appareil sur pied et faire des dizaines de photos au cours de la journée du même carré de bitume.