Vous rappelez-vous le pr=E9sident Obama mettant en garde des adolescents=20
sur ce qu'ils publiaient d'eux sur Facebook ? Il pensait plut=F4t au=20
risque de voir p=E9r=E9nniser des incartades de jeunesse, mais ici, il=20
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"MONTREAL ? Une Qu=E9b=E9coise en cong=E9 de longue maladie pour d=E9pressi=
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Nathalie Blanchard, 29 ans, a quitt=E9 il y a plus d'un an son emploi chez=
=20
IBM =E0 Bromont, au Qu=E9bec, en raison d'une d=E9pression profonde.
Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a d=E9crit=20
plusieurs photos affich=E9es sur Facebook qui la montrent en train de=20
s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, de=20
f=EAter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour=20
justifier la suspension de ses allocations."
Vous rappelez-vous le président Obama mettant en garde des adolescents sur ce qu'ils publiaient d'eux sur Facebook ? Il pensait plutôt au risque de voir pérénniser des incartades de jeunesse, mais ici, il s'agit plutôt de sauver les apparences lorsqu'on est censé être malade:
"MONTREAL ? Une Québécoise en congé de longue maladie pour dépression a vu son assureur lui supprimer ses allocations parce qu'elle avait diffusé sur le site de socialisation Facebook des photos qui la montrent en train de s'amuser lors d'un spectacle de Chippendales et en vacances.
Nathalie Blanchard, 29 ans, a quitté il y a plus d'un an son emploi chez IBM à Bromont, au Québec, en raison d'une dépression profonde.
Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a décrit plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, de fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour justifier la suspension de ses allocations."
Vous rappelez-vous le président Obama mettant en garde des adolescents
sur ce qu'ils publiaient d'eux sur Facebook ? Il pensait plutôt au
risque de voir pérénniser des incartades de jeunesse, mais ici, il
s'agit plutôt de sauver les apparences lorsqu'on est censé être malade:
"MONTREAL ? Une Québécoise en congé de longue maladie pour dépression a
vu son assureur lui supprimer ses allocations parce qu'elle avait
diffusé sur le site de socialisation Facebook des photos qui la montrent
en train de s'amuser lors d'un spectacle de Chippendales et en vacances.
Nathalie Blanchard, 29 ans, a quitté il y a plus d'un an son emploi chez
IBM à Bromont, au Québec, en raison d'une dépression profonde.
Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a décrit
plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de
s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, de
fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour
justifier la suspension de ses allocations."
Vous rappelez-vous le président Obama mettant en garde des adolescents sur ce qu'ils publiaient d'eux sur Facebook ? Il pensait plutôt au risque de voir pérénniser des incartades de jeunesse, mais ici, il s'agit plutôt de sauver les apparences lorsqu'on est censé être malade:
"MONTREAL ? Une Québécoise en congé de longue maladie pour dépression a vu son assureur lui supprimer ses allocations parce qu'elle avait diffusé sur le site de socialisation Facebook des photos qui la montrent en train de s'amuser lors d'un spectacle de Chippendales et en vacances.
Nathalie Blanchard, 29 ans, a quitté il y a plus d'un an son emploi chez IBM à Bromont, au Québec, en raison d'une dépression profonde.
Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a décrit plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, de fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour justifier la suspension de ses allocations."
> Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a
décrit
> plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de > s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, d e > fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour > justifier la suspension de ses allocations." > > http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iMHMzVn69jvWvfO7S_wZ F > MzoO0JQ
Serait-ce transposable en France ?
Je ne saurais le dire.
A mon sens, votre question en induit deux:
- est-ce que le site Facebook a force probante en France ? Sauf avis contraire, je ne vois pas pourquoi il en aurait moins qu'au Québec.
- qui a intérêt à agir ? Je crois comprendre qu'en l'occurrence il s'agit d'une compagnie d'assurance privée. Or, je crois qu'en France ce type d'allocation est versé par des organismes publics ? Ceux-ci seraient-il aussi motivés que des compagnies financières pour épargne r leurs deniers ?
En définitive, je laisse la parole à plus informés.
In article <hec08a$283q$1@cabale.usenet-fr.net>,
craverdy@ailleurs.invalid says...
> Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a
décrit
> plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de
> s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, d e
> fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour
> justifier la suspension de ses allocations."
>
> http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iMHMzVn69jvWvfO7S_wZ F
> MzoO0JQ
Serait-ce transposable en France ?
Je ne saurais le dire.
A mon sens, votre question en induit deux:
- est-ce que le site Facebook a force probante en France ? Sauf avis
contraire, je ne vois pas pourquoi il en aurait moins qu'au Québec.
- qui a intérêt à agir ? Je crois comprendre qu'en l'occurrence il
s'agit d'une compagnie d'assurance privée. Or, je crois qu'en France ce
type d'allocation est versé par des organismes publics ? Ceux-ci
seraient-il aussi motivés que des compagnies financières pour épargne r
leurs deniers ?
En définitive, je laisse la parole à plus informés.
> Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a
décrit
> plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de > s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, d e > fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour > justifier la suspension de ses allocations." > > http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iMHMzVn69jvWvfO7S_wZ F > MzoO0JQ
Serait-ce transposable en France ?
Je ne saurais le dire.
A mon sens, votre question en induit deux:
- est-ce que le site Facebook a force probante en France ? Sauf avis contraire, je ne vois pas pourquoi il en aurait moins qu'au Québec.
- qui a intérêt à agir ? Je crois comprendre qu'en l'occurrence il s'agit d'une compagnie d'assurance privée. Or, je crois qu'en France ce type d'allocation est versé par des organismes publics ? Ceux-ci seraient-il aussi motivés que des compagnies financières pour épargne r leurs deniers ?
En définitive, je laisse la parole à plus informés.
La corse c'est pas la france, ça ne présenterait donc pas d'intéret !!!
--
VP
Christophe Raverdy a écrit :
Serait-ce transposable en France ?
En tout cas une chose est sûre : les employeurs ou autres font tout pour en savoir plus en tapant des noms sur google, donc par le fait ils cliquent beaucoup sur des liens facebook.
La prudence s'impose, comme par exemple ouvrir un compte à son nom, avec une date de naissance bidon, dès la mise en place d'une nouvelle plateforme de ce type. Ne rien y inscrire d'important, ajuster toutes les options pour que personne ne puisse y accéder en lecture, et basta.
Oui je sais, dans ce cas on ne peut pas se servir de ce compte pour l'usage pour lequel il est prévue. (pour ma part c'est l'unique but : ne surtout pas l'utiliser).
Je suis à peu près certain que ceux qui racontent leur vie sur facebook ou qui y mettent des photos personnelles sont les premiers à gueuler quand le gouvernement parle d'un nouveau "fichier". Faudrait savoir ...
Christophe Raverdy a écrit :
Serait-ce transposable en France ?
En tout cas une chose est sûre : les employeurs ou autres font tout pour
en savoir plus en tapant des noms sur google, donc par le fait ils
cliquent beaucoup sur des liens facebook.
La prudence s'impose, comme par exemple ouvrir un compte à son nom, avec
une date de naissance bidon, dès la mise en place d'une nouvelle
plateforme de ce type. Ne rien y inscrire d'important, ajuster toutes
les options pour que personne ne puisse y accéder en lecture, et basta.
Oui je sais, dans ce cas on ne peut pas se servir de ce compte pour
l'usage pour lequel il est prévue. (pour ma part c'est l'unique but : ne
surtout pas l'utiliser).
Je suis à peu près certain que ceux qui racontent leur vie sur facebook
ou qui y mettent des photos personnelles sont les premiers à gueuler
quand le gouvernement parle d'un nouveau "fichier".
Faudrait savoir ...
En tout cas une chose est sûre : les employeurs ou autres font tout pour en savoir plus en tapant des noms sur google, donc par le fait ils cliquent beaucoup sur des liens facebook.
La prudence s'impose, comme par exemple ouvrir un compte à son nom, avec une date de naissance bidon, dès la mise en place d'une nouvelle plateforme de ce type. Ne rien y inscrire d'important, ajuster toutes les options pour que personne ne puisse y accéder en lecture, et basta.
Oui je sais, dans ce cas on ne peut pas se servir de ce compte pour l'usage pour lequel il est prévue. (pour ma part c'est l'unique but : ne surtout pas l'utiliser).
Je suis à peu près certain que ceux qui racontent leur vie sur facebook ou qui y mettent des photos personnelles sont les premiers à gueuler quand le gouvernement parle d'un nouveau "fichier". Faudrait savoir ...
highvalue.fr
VP wrote:
Christophe Raverdy a écrit :
Serait-ce transposable en France ?
En tout cas une chose est sûre : les employeurs ou autres font tout pour en savoir plus en tapant des noms sur google, donc par le fait ils cliquent beaucoup sur des liens facebook.
La prudence s'impose, comme par exemple ouvrir un compte à son nom, avec une date de naissance bidon, dès la mise en place d'une nouvelle plateforme de ce type. Ne rien y inscrire d'important, ajuster toutes les options pour que personne ne puisse y accéder en lecture, et basta. Oui je sais, dans ce cas on ne peut pas se servir de ce compte pour l'usage pour lequel il est prévue. (pour ma part c'est l'unique but : ne surtout pas l'utiliser).
Je suis à peu près certain que ceux qui racontent leur vie sur facebook ou qui y mettent des photos personnelles sont les premiers à gueuler quand le gouvernement parle d'un nouveau "fichier". Faudrait savoir ...
et de toute manière, tout est défendable et son contraire :
peut-on reprocher à quelqu'un de dépressif de faire la fête ? ne peut on pas y voir des vertus thérapeutiques ?
ou bien est-il préférable qu'un dépressif reste dans son 3 pièces cuisines ?
et puis ne pas oublier que beaucoup de recruteurs ont également des pages dans les sites de réseaux sociaux..
VP wrote:
Christophe Raverdy a écrit :
Serait-ce transposable en France ?
En tout cas une chose est sûre : les employeurs ou autres font tout
pour en savoir plus en tapant des noms sur google, donc par le fait
ils cliquent beaucoup sur des liens facebook.
La prudence s'impose, comme par exemple ouvrir un compte à son nom,
avec une date de naissance bidon, dès la mise en place d'une nouvelle
plateforme de ce type. Ne rien y inscrire d'important, ajuster toutes
les options pour que personne ne puisse y accéder en lecture, et
basta.
Oui je sais, dans ce cas on ne peut pas se servir de ce compte pour
l'usage pour lequel il est prévue. (pour ma part c'est l'unique but :
ne surtout pas l'utiliser).
Je suis à peu près certain que ceux qui racontent leur vie sur
facebook ou qui y mettent des photos personnelles sont les premiers à
gueuler quand le gouvernement parle d'un nouveau "fichier".
Faudrait savoir ...
et de toute manière, tout est défendable et son contraire :
peut-on reprocher à quelqu'un de dépressif de faire la fête ?
ne peut on pas y voir des vertus thérapeutiques ?
ou bien est-il préférable qu'un dépressif reste dans son 3 pièces cuisines ?
et puis ne pas oublier que beaucoup de recruteurs ont également des pages
dans les sites de réseaux sociaux..
En tout cas une chose est sûre : les employeurs ou autres font tout pour en savoir plus en tapant des noms sur google, donc par le fait ils cliquent beaucoup sur des liens facebook.
La prudence s'impose, comme par exemple ouvrir un compte à son nom, avec une date de naissance bidon, dès la mise en place d'une nouvelle plateforme de ce type. Ne rien y inscrire d'important, ajuster toutes les options pour que personne ne puisse y accéder en lecture, et basta. Oui je sais, dans ce cas on ne peut pas se servir de ce compte pour l'usage pour lequel il est prévue. (pour ma part c'est l'unique but : ne surtout pas l'utiliser).
Je suis à peu près certain que ceux qui racontent leur vie sur facebook ou qui y mettent des photos personnelles sont les premiers à gueuler quand le gouvernement parle d'un nouveau "fichier". Faudrait savoir ...
et de toute manière, tout est défendable et son contraire :
peut-on reprocher à quelqu'un de dépressif de faire la fête ? ne peut on pas y voir des vertus thérapeutiques ?
ou bien est-il préférable qu'un dépressif reste dans son 3 pièces cuisines ?
et puis ne pas oublier que beaucoup de recruteurs ont également des pages dans les sites de réseaux sociaux..
Séb.
F.Gourtanier a écrit :
Vous rappelez-vous le président Obama mettant en garde des adolescent s sur ce qu'ils publiaient d'eux sur Facebook ? Il pensait plutôt au risque de voir pérénniser des incartades de jeunesse, mais ici, il s'agit plutôt de sauver les apparences lorsqu'on est censé être m alade:
"MONTREAL ? Une Québécoise en congé de longue maladie pour dépr ession a vu son assureur lui supprimer ses allocations parce qu'elle avait diffusé sur le site de socialisation Facebook des photos qui la montr ent en train de s'amuser lors d'un spectacle de Chippendales et en vacances .
Nathalie Blanchard, 29 ans, a quitté il y a plus d'un an son emploi c hez IBM à Bromont, au Québec, en raison d'une dépression profonde.
Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a décrit plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, d e fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour justifier la suspension de ses allocations."
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iMHMzVn69jvWvfO7S_wZ F MzoO0JQ
une connaissance était arrêté pendant 2 mois (renouvelables) pour dépression. son psy lui a conseillé de sortir, voir du monde, bref to ut pour penser à autre chose que ce qui lui causait cette déprime.
F.Gourtanier a écrit :
Vous rappelez-vous le président Obama mettant en garde des adolescent s
sur ce qu'ils publiaient d'eux sur Facebook ? Il pensait plutôt au
risque de voir pérénniser des incartades de jeunesse, mais ici, il
s'agit plutôt de sauver les apparences lorsqu'on est censé être m alade:
"MONTREAL ? Une Québécoise en congé de longue maladie pour dépr ession a
vu son assureur lui supprimer ses allocations parce qu'elle avait
diffusé sur le site de socialisation Facebook des photos qui la montr ent
en train de s'amuser lors d'un spectacle de Chippendales et en vacances .
Nathalie Blanchard, 29 ans, a quitté il y a plus d'un an son emploi c hez
IBM à Bromont, au Québec, en raison d'une dépression profonde.
Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a décrit
plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de
s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, d e
fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour
justifier la suspension de ses allocations."
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iMHMzVn69jvWvfO7S_wZ F
MzoO0JQ
une connaissance était arrêté pendant 2 mois (renouvelables) pour
dépression. son psy lui a conseillé de sortir, voir du monde, bref to ut pour
penser à autre chose que ce qui lui causait cette déprime.
Vous rappelez-vous le président Obama mettant en garde des adolescent s sur ce qu'ils publiaient d'eux sur Facebook ? Il pensait plutôt au risque de voir pérénniser des incartades de jeunesse, mais ici, il s'agit plutôt de sauver les apparences lorsqu'on est censé être m alade:
"MONTREAL ? Une Québécoise en congé de longue maladie pour dépr ession a vu son assureur lui supprimer ses allocations parce qu'elle avait diffusé sur le site de socialisation Facebook des photos qui la montr ent en train de s'amuser lors d'un spectacle de Chippendales et en vacances .
Nathalie Blanchard, 29 ans, a quitté il y a plus d'un an son emploi c hez IBM à Bromont, au Québec, en raison d'une dépression profonde.
Selon elle, l'agent de sa compagnie d'assurance Manulife lui a décrit plusieurs photos affichées sur Facebook qui la montrent en train de s'amuser lors d'un spectacle de strip-tease masculin de Chippendales, d e fêter son anniversaire ou de profiter de vacances au soleil, pour justifier la suspension de ses allocations."
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5iMHMzVn69jvWvfO7S_wZ F MzoO0JQ
une connaissance était arrêté pendant 2 mois (renouvelables) pour dépression. son psy lui a conseillé de sortir, voir du monde, bref to ut pour penser à autre chose que ce qui lui causait cette déprime.
VP
highvalue.fr a écrit :
VP wrote:
Christophe Raverdy a écrit :
Serait-ce transposable en France ?
En tout cas une chose est sûre : les employeurs ou autres font tout pour en savoir plus en tapant des noms sur google, donc par le fait ils cliquent beaucoup sur des liens facebook.
La prudence s'impose, comme par exemple ouvrir un compte à son nom, avec une date de naissance bidon, dès la mise en place d'une nouvelle plateforme de ce type. Ne rien y inscrire d'important, ajuster toutes les options pour que personne ne puisse y accéder en lecture, et basta. Oui je sais, dans ce cas on ne peut pas se servir de ce compte pour l'usage pour lequel il est prévue. (pour ma part c'est l'unique but : ne surtout pas l'utiliser).
Je suis à peu près certain que ceux qui racontent leur vie sur facebook ou qui y mettent des photos personnelles sont les premiers à gueuler quand le gouvernement parle d'un nouveau "fichier". Faudrait savoir ...
et de toute manière, tout est défendable et son contraire :
peut-on reprocher à quelqu'un de dépressif de faire la fête ? ne peut on pas y voir des vertus thérapeutiques ?
ou bien est-il préférable qu'un dépressif reste dans son 3 pièces cuisines ?
et puis ne pas oublier que beaucoup de recruteurs ont également des pages dans les sites de réseaux sociaux..
Ce qui serait préférable c'est qu'une bande de rapaces ne détournent pas l'usage des réseaux sociaux pour en faire une arme.
Mais connaissant le monde dans lequel je vis, j'ouvre "mes" comptes avec des données bidons et je les verrouilles à mort, parce que ce sont des pièges (la preuve).
D'autant que la Loi (qui n'est d'ailleurs que très rarement respectée) a 10 ans de retard sur le WEB.
highvalue.fr a écrit :
VP wrote:
Christophe Raverdy a écrit :
Serait-ce transposable en France ?
En tout cas une chose est sûre : les employeurs ou autres font tout
pour en savoir plus en tapant des noms sur google, donc par le fait
ils cliquent beaucoup sur des liens facebook.
La prudence s'impose, comme par exemple ouvrir un compte à son nom,
avec une date de naissance bidon, dès la mise en place d'une nouvelle
plateforme de ce type. Ne rien y inscrire d'important, ajuster toutes
les options pour que personne ne puisse y accéder en lecture, et
basta.
Oui je sais, dans ce cas on ne peut pas se servir de ce compte pour
l'usage pour lequel il est prévue. (pour ma part c'est l'unique but :
ne surtout pas l'utiliser).
Je suis à peu près certain que ceux qui racontent leur vie sur
facebook ou qui y mettent des photos personnelles sont les premiers à
gueuler quand le gouvernement parle d'un nouveau "fichier".
Faudrait savoir ...
et de toute manière, tout est défendable et son contraire :
peut-on reprocher à quelqu'un de dépressif de faire la fête ?
ne peut on pas y voir des vertus thérapeutiques ?
ou bien est-il préférable qu'un dépressif reste dans son 3 pièces cuisines ?
et puis ne pas oublier que beaucoup de recruteurs ont également des pages
dans les sites de réseaux sociaux..
Ce qui serait préférable c'est qu'une bande de rapaces ne détournent pas
l'usage des réseaux sociaux pour en faire une arme.
Mais connaissant le monde dans lequel je vis, j'ouvre "mes" comptes avec
des données bidons et je les verrouilles à mort, parce que ce sont des
pièges (la preuve).
D'autant que la Loi (qui n'est d'ailleurs que très rarement respectée) a
10 ans de retard sur le WEB.
En tout cas une chose est sûre : les employeurs ou autres font tout pour en savoir plus en tapant des noms sur google, donc par le fait ils cliquent beaucoup sur des liens facebook.
La prudence s'impose, comme par exemple ouvrir un compte à son nom, avec une date de naissance bidon, dès la mise en place d'une nouvelle plateforme de ce type. Ne rien y inscrire d'important, ajuster toutes les options pour que personne ne puisse y accéder en lecture, et basta. Oui je sais, dans ce cas on ne peut pas se servir de ce compte pour l'usage pour lequel il est prévue. (pour ma part c'est l'unique but : ne surtout pas l'utiliser).
Je suis à peu près certain que ceux qui racontent leur vie sur facebook ou qui y mettent des photos personnelles sont les premiers à gueuler quand le gouvernement parle d'un nouveau "fichier". Faudrait savoir ...
et de toute manière, tout est défendable et son contraire :
peut-on reprocher à quelqu'un de dépressif de faire la fête ? ne peut on pas y voir des vertus thérapeutiques ?
ou bien est-il préférable qu'un dépressif reste dans son 3 pièces cuisines ?
et puis ne pas oublier que beaucoup de recruteurs ont également des pages dans les sites de réseaux sociaux..
Ce qui serait préférable c'est qu'une bande de rapaces ne détournent pas l'usage des réseaux sociaux pour en faire une arme.
Mais connaissant le monde dans lequel je vis, j'ouvre "mes" comptes avec des données bidons et je les verrouilles à mort, parce que ce sont des pièges (la preuve).
D'autant que la Loi (qui n'est d'ailleurs que très rarement respectée) a 10 ans de retard sur le WEB.
Albert ARIBAUD
Le Mon, 23 Nov 2009 13:49:57 +0100, VP a écrit :
D'autant que la Loi (qui n'est d'ailleurs que très rarement respectée) a 10 ans de retard sur le WEB.
Sur ce point général qui veut que la loi ait dix ans de retard sur le web : mais encore, en quoi a-t-elle du retard exactement ?
Amicalement, -- Albert.
Le Mon, 23 Nov 2009 13:49:57 +0100, VP a écrit :
D'autant que la Loi (qui n'est d'ailleurs que très rarement respectée) a
10 ans de retard sur le WEB.
Sur ce point général qui veut que la loi ait dix ans de retard sur le
web : mais encore, en quoi a-t-elle du retard exactement ?
D'autant que la Loi (qui n'est d'ailleurs que très rarement respectée) a 10 ans de retard sur le WEB.
Sur ce point général qui veut que la loi ait dix ans de retard sur le web : mais encore, en quoi a-t-elle du retard exactement ?
Amicalement, -- Albert.
Albert ARIBAUD
Le Mon, 23 Nov 2009 15:31:23 +0100, VP a écrit :
Albert ARIBAUD a écrit :
Le Mon, 23 Nov 2009 13:49:57 +0100, VP a écrit :
D'autant que la Loi (qui n'est d'ailleurs que très rarement respectée) a 10 ans de retard sur le WEB.
Sur ce point général qui veut que la loi ait dix ans de retard sur le web : mais encore, en quoi a-t-elle du retard exactement ?
Amicalement,
Et bien en gros, vu la promiscuité des législations sur la toile, on est pas près de pouvoir gérer notre vie privée sur le WEB (pour ne citer que cet exemple).
Cela n'est toujours pas assez précis pour que je comprenne quelle loi existante serait inapplicable au web ou quel comportement en ligne serait impuni et mériterait une loi future. C'est quoi, "la promiscuité des législations" ? Et en quoi notre vie privée sur le web diffère-t-elle, juridiquement, de notre vie privée hors du web ?
C'est donc un danger potentiel, il faut en prendre conscience et agir en conséquence.
Et c'est bien pour prendre conscience d'un danger éventuel que je voudrais savoir de quel danger on parle exactement.
Amicalement, -- Albert.
Le Mon, 23 Nov 2009 15:31:23 +0100, VP a écrit :
Albert ARIBAUD a écrit :
Le Mon, 23 Nov 2009 13:49:57 +0100, VP a écrit :
D'autant que la Loi (qui n'est d'ailleurs que très rarement respectée)
a 10 ans de retard sur le WEB.
Sur ce point général qui veut que la loi ait dix ans de retard sur le
web : mais encore, en quoi a-t-elle du retard exactement ?
Amicalement,
Et bien en gros, vu la promiscuité des législations sur la toile, on est
pas près de pouvoir gérer notre vie privée sur le WEB (pour ne citer que
cet exemple).
Cela n'est toujours pas assez précis pour que je comprenne quelle loi
existante serait inapplicable au web ou quel comportement en ligne serait
impuni et mériterait une loi future. C'est quoi, "la promiscuité des
législations" ? Et en quoi notre vie privée sur le web diffère-t-elle,
juridiquement, de notre vie privée hors du web ?
C'est donc un danger potentiel, il faut en prendre conscience et agir en
conséquence.
Et c'est bien pour prendre conscience d'un danger éventuel que je
voudrais savoir de quel danger on parle exactement.
D'autant que la Loi (qui n'est d'ailleurs que très rarement respectée) a 10 ans de retard sur le WEB.
Sur ce point général qui veut que la loi ait dix ans de retard sur le web : mais encore, en quoi a-t-elle du retard exactement ?
Amicalement,
Et bien en gros, vu la promiscuité des législations sur la toile, on est pas près de pouvoir gérer notre vie privée sur le WEB (pour ne citer que cet exemple).
Cela n'est toujours pas assez précis pour que je comprenne quelle loi existante serait inapplicable au web ou quel comportement en ligne serait impuni et mériterait une loi future. C'est quoi, "la promiscuité des législations" ? Et en quoi notre vie privée sur le web diffère-t-elle, juridiquement, de notre vie privée hors du web ?
C'est donc un danger potentiel, il faut en prendre conscience et agir en conséquence.
Et c'est bien pour prendre conscience d'un danger éventuel que je voudrais savoir de quel danger on parle exactement.
Amicalement, -- Albert.
Albert ARIBAUD
Le Mon, 23 Nov 2009 19:25:37 +0100, VP a écrit :
Albert ARIBAUD a écrit :
Cela n'est toujours pas assez précis pour que je comprenne quelle loi existante serait inapplicable au web ou quel comportement en ligne serait impuni et mériterait une loi future. C'est quoi, "la promiscuité des législations" ? Et en quoi notre vie privée sur le web diffère-t-elle, juridiquement, de notre vie privée hors du web ?
C'est donc un danger potentiel, il faut en prendre conscience et agir en conséquence.
Et c'est bien pour prendre conscience d'un danger éventuel que je voudrais savoir de quel danger on parle exactement.
Prenons un exemple.
Vous êtes inscrit sur un forum genre "hobby".
Un beau jour certains d'entre eux vous insultes et affirment que vous trichez en pratiquant ce hobby tellement aimé par tous.
ce hobby est connu dans le monde entier, ces propos sont répandus partout sur des forums du même style. Bref vous infirmez mais la plupart disent "oué oué c'est ça........;" et dans la foulé vous êtes banni du forum (pas de droit de réponse).
Vous êtes français, le forum initial est en Suisse, les autres (copies de la diffamation) aux USA.
Expliquez-moi comment vous faites pour rétablir la vérité, et, éventuellement, comment vous demandez réparation ??
Ca m'intéresse au plus haut point :) (évitez l'avocat suisse à 5000 euros, j'ai déjà testé pour vous...)
Je crois comprendre que la réponse à ma question est "la loi du 29 juillet 1881 dite 'sur la liberté de la presse' est inapplicable au web".
Or, elle l'est exactement autant sur le Net que lorsque la diffamation se fait par des moyens non électroniques, et la procédure à suivre n'est nullement différente. Si vous ne le croyez pas, faites un tour sur Légalis, vous y trouverez un grand nombre de plaintes en diffamation ayant pour origine des propos exprimés sur le Net.
En fait, la loi de 1881 offre même un champ d'action plus large sur le Net qu'en-dehors, car si elle demande que le propos soit publié en France, elle considère que pour le Net, la publication en France est établie dès lors que la lecture des propos est possible depuis la France.
Si donc le diffamé et le diffamateur supposés sont français tous les deux, peu importe que le propos ait été émis via un serveur situé en Elbonie Orientale : l'acte reste condamnable par la loi française s'il est lisible du territoire français.
Donc non, la loi de 1881 ne s'applique pas plus mal sur le Net qu'en- dehors.
Amicalement, -- Albert.
Le Mon, 23 Nov 2009 19:25:37 +0100, VP a écrit :
Albert ARIBAUD a écrit :
Cela n'est toujours pas assez précis pour que je comprenne quelle loi
existante serait inapplicable au web ou quel comportement en ligne
serait impuni et mériterait une loi future. C'est quoi, "la promiscuité
des législations" ? Et en quoi notre vie privée sur le web
diffère-t-elle, juridiquement, de notre vie privée hors du web ?
C'est donc un danger potentiel, il faut en prendre conscience et agir
en conséquence.
Et c'est bien pour prendre conscience d'un danger éventuel que je
voudrais savoir de quel danger on parle exactement.
Prenons un exemple.
Vous êtes inscrit sur un forum genre "hobby".
Un beau jour certains d'entre eux vous insultes et affirment que vous
trichez en pratiquant ce hobby tellement aimé par tous.
ce hobby est connu dans le monde entier, ces propos sont répandus
partout sur des forums du même style. Bref vous infirmez mais la plupart
disent "oué oué c'est ça........;" et dans la foulé vous êtes banni du
forum (pas de droit de réponse).
Vous êtes français, le forum initial est en Suisse, les autres (copies
de la diffamation) aux USA.
Expliquez-moi comment vous faites pour rétablir la vérité, et,
éventuellement, comment vous demandez réparation ??
Ca m'intéresse au plus haut point :) (évitez l'avocat suisse à 5000
euros, j'ai déjà testé pour vous...)
Je crois comprendre que la réponse à ma question est "la loi du 29
juillet 1881 dite 'sur la liberté de la presse' est inapplicable au web".
Or, elle l'est exactement autant sur le Net que lorsque la diffamation se
fait par des moyens non électroniques, et la procédure à suivre n'est
nullement différente. Si vous ne le croyez pas, faites un tour sur
Légalis, vous y trouverez un grand nombre de plaintes en diffamation
ayant pour origine des propos exprimés sur le Net.
En fait, la loi de 1881 offre même un champ d'action plus large sur le
Net qu'en-dehors, car si elle demande que le propos soit publié en
France, elle considère que pour le Net, la publication en France est
établie dès lors que la lecture des propos est possible depuis la France.
Si donc le diffamé et le diffamateur supposés sont français tous les
deux, peu importe que le propos ait été émis via un serveur situé en
Elbonie Orientale : l'acte reste condamnable par la loi française s'il
est lisible du territoire français.
Donc non, la loi de 1881 ne s'applique pas plus mal sur le Net qu'en-
dehors.
Cela n'est toujours pas assez précis pour que je comprenne quelle loi existante serait inapplicable au web ou quel comportement en ligne serait impuni et mériterait une loi future. C'est quoi, "la promiscuité des législations" ? Et en quoi notre vie privée sur le web diffère-t-elle, juridiquement, de notre vie privée hors du web ?
C'est donc un danger potentiel, il faut en prendre conscience et agir en conséquence.
Et c'est bien pour prendre conscience d'un danger éventuel que je voudrais savoir de quel danger on parle exactement.
Prenons un exemple.
Vous êtes inscrit sur un forum genre "hobby".
Un beau jour certains d'entre eux vous insultes et affirment que vous trichez en pratiquant ce hobby tellement aimé par tous.
ce hobby est connu dans le monde entier, ces propos sont répandus partout sur des forums du même style. Bref vous infirmez mais la plupart disent "oué oué c'est ça........;" et dans la foulé vous êtes banni du forum (pas de droit de réponse).
Vous êtes français, le forum initial est en Suisse, les autres (copies de la diffamation) aux USA.
Expliquez-moi comment vous faites pour rétablir la vérité, et, éventuellement, comment vous demandez réparation ??
Ca m'intéresse au plus haut point :) (évitez l'avocat suisse à 5000 euros, j'ai déjà testé pour vous...)
Je crois comprendre que la réponse à ma question est "la loi du 29 juillet 1881 dite 'sur la liberté de la presse' est inapplicable au web".
Or, elle l'est exactement autant sur le Net que lorsque la diffamation se fait par des moyens non électroniques, et la procédure à suivre n'est nullement différente. Si vous ne le croyez pas, faites un tour sur Légalis, vous y trouverez un grand nombre de plaintes en diffamation ayant pour origine des propos exprimés sur le Net.
En fait, la loi de 1881 offre même un champ d'action plus large sur le Net qu'en-dehors, car si elle demande que le propos soit publié en France, elle considère que pour le Net, la publication en France est établie dès lors que la lecture des propos est possible depuis la France.
Si donc le diffamé et le diffamateur supposés sont français tous les deux, peu importe que le propos ait été émis via un serveur situé en Elbonie Orientale : l'acte reste condamnable par la loi française s'il est lisible du territoire français.
Donc non, la loi de 1881 ne s'applique pas plus mal sur le Net qu'en- dehors.