« Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour un jeune,
postulant pour être boucher ? »
« Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour un jeune,
postulant pour être boucher ? »
« Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour un jeune,
postulant pour être boucher ? »
Droit de travailler en français a écrit :
> « Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour un jeu ne,
> postulant pour être boucher ? »
Caricature outrée qui fait preuve d'un affolement face à l'autre et q ui
n'est pas reluisant. Cessez de mettre le monde de l'entreprise au centre de
tout, il n'y a rien de plus inculte, de plus opportuniste, de plus bas, de
plus frivole, de plus arriéré que ce monde inintéressant au possibl e.
--
Caligula
Droit de travailler en français a écrit :
> « Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour un jeu ne,
> postulant pour être boucher ? »
Caricature outrée qui fait preuve d'un affolement face à l'autre et q ui
n'est pas reluisant. Cessez de mettre le monde de l'entreprise au centre de
tout, il n'y a rien de plus inculte, de plus opportuniste, de plus bas, de
plus frivole, de plus arriéré que ce monde inintéressant au possibl e.
--
Caligula
Droit de travailler en français a écrit :
> « Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour un jeu ne,
> postulant pour être boucher ? »
Caricature outrée qui fait preuve d'un affolement face à l'autre et q ui
n'est pas reluisant. Cessez de mettre le monde de l'entreprise au centre de
tout, il n'y a rien de plus inculte, de plus opportuniste, de plus bas, de
plus frivole, de plus arriéré que ce monde inintéressant au possibl e.
--
Caligula
Pourquoi agresser l'auteur du message et le dénigrer ?
Il pose un réel problème. Savez vous que dans bien des entreprises
françaises l'anglais est devenu de facto si ce n'est de jure la langue
officielle. De grands groupes se vantent d'ailleurs de tenir les
Conseils d'Administration en anglais, d'utiliser l'anglais comme
langue de communication à l'intérieur du groupe, donc des sociétés
françaises qui en font partie, exigent que les rapports et notes
soient rédigés en anglais ?
Ceux qui ne manient pas l'anglais n'ont donc aucun espoir de carrière
dès qu'on monte un tant soit peu dans la hiérarchie. Les anglo-saxons,
qui parleront toujours mieux anglais que les français, sont
privilégiés à l'embauche (les annonces sont révélatrices). Le pire est
qu'ils pourront, eux, faire carrière sans même jamais avoir appris un
mot de français, langue non utilisée comme langue de travail.
C'est cela la réalité (et non une caricature !), et elle s'amplifie
dans l'ignorance ou l'indifférence de chacun, en descendant l'échelle.
Est-ce que ce que nous voulons ? J'observe que les allemands, qui
pourtant pratiquent souvent mieux l'anglais que les français, sont
plus réactifs et n'hésitent pas à utiliser leur langue dans les
réunions, même officielles, alors que les français semblent avoir
honte de la leur.
Mes meilleures salutations.
Pourquoi agresser l'auteur du message et le dénigrer ?
Il pose un réel problème. Savez vous que dans bien des entreprises
françaises l'anglais est devenu de facto si ce n'est de jure la langue
officielle. De grands groupes se vantent d'ailleurs de tenir les
Conseils d'Administration en anglais, d'utiliser l'anglais comme
langue de communication à l'intérieur du groupe, donc des sociétés
françaises qui en font partie, exigent que les rapports et notes
soient rédigés en anglais ?
Ceux qui ne manient pas l'anglais n'ont donc aucun espoir de carrière
dès qu'on monte un tant soit peu dans la hiérarchie. Les anglo-saxons,
qui parleront toujours mieux anglais que les français, sont
privilégiés à l'embauche (les annonces sont révélatrices). Le pire est
qu'ils pourront, eux, faire carrière sans même jamais avoir appris un
mot de français, langue non utilisée comme langue de travail.
C'est cela la réalité (et non une caricature !), et elle s'amplifie
dans l'ignorance ou l'indifférence de chacun, en descendant l'échelle.
Est-ce que ce que nous voulons ? J'observe que les allemands, qui
pourtant pratiquent souvent mieux l'anglais que les français, sont
plus réactifs et n'hésitent pas à utiliser leur langue dans les
réunions, même officielles, alors que les français semblent avoir
honte de la leur.
Mes meilleures salutations.
Pourquoi agresser l'auteur du message et le dénigrer ?
Il pose un réel problème. Savez vous que dans bien des entreprises
françaises l'anglais est devenu de facto si ce n'est de jure la langue
officielle. De grands groupes se vantent d'ailleurs de tenir les
Conseils d'Administration en anglais, d'utiliser l'anglais comme
langue de communication à l'intérieur du groupe, donc des sociétés
françaises qui en font partie, exigent que les rapports et notes
soient rédigés en anglais ?
Ceux qui ne manient pas l'anglais n'ont donc aucun espoir de carrière
dès qu'on monte un tant soit peu dans la hiérarchie. Les anglo-saxons,
qui parleront toujours mieux anglais que les français, sont
privilégiés à l'embauche (les annonces sont révélatrices). Le pire est
qu'ils pourront, eux, faire carrière sans même jamais avoir appris un
mot de français, langue non utilisée comme langue de travail.
C'est cela la réalité (et non une caricature !), et elle s'amplifie
dans l'ignorance ou l'indifférence de chacun, en descendant l'échelle.
Est-ce que ce que nous voulons ? J'observe que les allemands, qui
pourtant pratiquent souvent mieux l'anglais que les français, sont
plus réactifs et n'hésitent pas à utiliser leur langue dans les
réunions, même officielles, alors que les français semblent avoir
honte de la leur.
Mes meilleures salutations.
pipol a écrit :Pourquoi agresser l'auteur du message et le dénigrer ?
Qui voit des agressions partout ? Je critique, c'est tout.Il pose un réel problème. Savez vous que dans bien des entreprises
françaises l'anglais est devenu de facto si ce n'est de jure la lang ue
officielle. De grands groupes se vantent d'ailleurs de tenir les
Conseils d'Administration en anglais, d'utiliser l'anglais comme
langue de communication à l'intérieur du groupe, donc des sociét és
françaises qui en font partie, exigent que les rapports et notes
soient rédigés en anglais ?
Vous appelez anglais ce jargon parlé dans les entreprises française s. Ce
n'est pas gentil pour nos amis d'outre Manche. A chaque fois que Triche t
parle anglais je me marre. Personne ne lui fait remarquer qu'il
ressemble à une andouille? Si les conseils d'administrations
d'entreprises françaises se tiennent en anglais c'est bien ce que je
dénonçais, ce monde de l'entreprise est taré. Et j'imagine que le niveau
intellectuel doit être bien bas. Normal, ces gens ne sont pas là po ur
penser mais pour compter. Imaginez les seulement devoir s'exprimer
métaphysiquement ou fondamentalement en Anglais, dire ce qu'il pensen t,
car il est clair qu'ils ne pensent pas en anglais. Ils répètent des mots
clés et des phrases toutes faites. C'est un anglais d'entreprises
françaises.
Mais, au fait, ces entreprises n'exportent pas grand-chose. Ils se
mettent à l'anglais mais ils sont nuls sur l'international. Ne
croyez-vous pas qu'il s'agisse d'une ruse pour faire croire aux Franç ais
qu'ils sont américains et ne confondent-ils pas finalement commerce
extérieur avec vente de produits français labélisés anglais à d'autres
français?Ceux qui ne manient pas l'anglais n'ont donc aucun espoir de carrièr e
dès qu'on monte un tant soit peu dans la hiérarchie. Les anglo-sax ons,
qui parleront toujours mieux anglais que les français, sont
privilégiés à l'embauche (les annonces sont révélatrices). L e pire est
qu'ils pourront, eux, faire carrière sans même jamais avoir appris un
mot de français, langue non utilisée comme langue de travail.
Je ferais la même chose. Si j'étais pdg d'une boîte international e
j'emploierai de vrais américains, de véritables anglais plutôt qu e des
français parlant un anglais plus qu'approximatif. Ils n'ont rien à
gagner à singer les anglo-saxons, c'est évident. Qu'ils parlent un
français impeccable, vos cadres d'entreprise ne savent pas écrire 3
lignes sans faire de fautes, qu'ils argumentent en démontrant les
ambiguïtés de la langue anglaise par rapport à notre langue, lang ue qui
servait dans les traités internationaux parce qu'elle mille fois plus
claire que l'anglais, langue ambiguë qui, entre autres, a conduit aux
imprécisions sur le Moyen Orient. Le traité aurait été écrit et pensé en
français, il n'y aurait peut-être pas toute ces complications sur l a
naissance de certains états... Bien sûr le Français est la langue de
Descartes, elle est claire, elle sait appeler un chat un chat... mais c e
n'est pas la langue qui est vulnérable ou sans attouts ce sont les ch efs
d'entreprises et les cadres qui veulent faire carrière qui sont lâc hes
et opportunistes. Ils préfèrent mal parler anglais que s'exprimer
clairement? Qu'y pouvons-nous?C'est cela la réalité (et non une caricature !), et elle s'amplifi e
dans l'ignorance ou l'indifférence de chacun, en descendant l'éche lle.
Est-ce que ce que nous voulons ? J'observe que les allemands, qui
pourtant pratiquent souvent mieux l'anglais que les français, sont
plus réactifs et n'hésitent pas à utiliser leur langue dans les
réunions, même officielles, alors que les français semblent avoi r
honte de la leur.
Bof, on a l'habitude. Je suppose que si le sort des armes eut été
différent en 1945, nous parlerions un allemand sans reproche. Comme n os
lointains prédécesseurs ont abandonné le gaulois pour le latin, l a
langue du commerce et des affaires de l'époque. C'est peut-être dan s les
gènes ou le génie français?
Mais le monde de l'entreprise internationale n'est pas encore celui des
français.Mes meilleures salutations.
Idem.
pipol a écrit :
Pourquoi agresser l'auteur du message et le dénigrer ?
Qui voit des agressions partout ? Je critique, c'est tout.
Il pose un réel problème. Savez vous que dans bien des entreprises
françaises l'anglais est devenu de facto si ce n'est de jure la lang ue
officielle. De grands groupes se vantent d'ailleurs de tenir les
Conseils d'Administration en anglais, d'utiliser l'anglais comme
langue de communication à l'intérieur du groupe, donc des sociét és
françaises qui en font partie, exigent que les rapports et notes
soient rédigés en anglais ?
Vous appelez anglais ce jargon parlé dans les entreprises française s. Ce
n'est pas gentil pour nos amis d'outre Manche. A chaque fois que Triche t
parle anglais je me marre. Personne ne lui fait remarquer qu'il
ressemble à une andouille? Si les conseils d'administrations
d'entreprises françaises se tiennent en anglais c'est bien ce que je
dénonçais, ce monde de l'entreprise est taré. Et j'imagine que le niveau
intellectuel doit être bien bas. Normal, ces gens ne sont pas là po ur
penser mais pour compter. Imaginez les seulement devoir s'exprimer
métaphysiquement ou fondamentalement en Anglais, dire ce qu'il pensen t,
car il est clair qu'ils ne pensent pas en anglais. Ils répètent des mots
clés et des phrases toutes faites. C'est un anglais d'entreprises
françaises.
Mais, au fait, ces entreprises n'exportent pas grand-chose. Ils se
mettent à l'anglais mais ils sont nuls sur l'international. Ne
croyez-vous pas qu'il s'agisse d'une ruse pour faire croire aux Franç ais
qu'ils sont américains et ne confondent-ils pas finalement commerce
extérieur avec vente de produits français labélisés anglais à d'autres
français?
Ceux qui ne manient pas l'anglais n'ont donc aucun espoir de carrièr e
dès qu'on monte un tant soit peu dans la hiérarchie. Les anglo-sax ons,
qui parleront toujours mieux anglais que les français, sont
privilégiés à l'embauche (les annonces sont révélatrices). L e pire est
qu'ils pourront, eux, faire carrière sans même jamais avoir appris un
mot de français, langue non utilisée comme langue de travail.
Je ferais la même chose. Si j'étais pdg d'une boîte international e
j'emploierai de vrais américains, de véritables anglais plutôt qu e des
français parlant un anglais plus qu'approximatif. Ils n'ont rien à
gagner à singer les anglo-saxons, c'est évident. Qu'ils parlent un
français impeccable, vos cadres d'entreprise ne savent pas écrire 3
lignes sans faire de fautes, qu'ils argumentent en démontrant les
ambiguïtés de la langue anglaise par rapport à notre langue, lang ue qui
servait dans les traités internationaux parce qu'elle mille fois plus
claire que l'anglais, langue ambiguë qui, entre autres, a conduit aux
imprécisions sur le Moyen Orient. Le traité aurait été écrit et pensé en
français, il n'y aurait peut-être pas toute ces complications sur l a
naissance de certains états... Bien sûr le Français est la langue de
Descartes, elle est claire, elle sait appeler un chat un chat... mais c e
n'est pas la langue qui est vulnérable ou sans attouts ce sont les ch efs
d'entreprises et les cadres qui veulent faire carrière qui sont lâc hes
et opportunistes. Ils préfèrent mal parler anglais que s'exprimer
clairement? Qu'y pouvons-nous?
C'est cela la réalité (et non une caricature !), et elle s'amplifi e
dans l'ignorance ou l'indifférence de chacun, en descendant l'éche lle.
Est-ce que ce que nous voulons ? J'observe que les allemands, qui
pourtant pratiquent souvent mieux l'anglais que les français, sont
plus réactifs et n'hésitent pas à utiliser leur langue dans les
réunions, même officielles, alors que les français semblent avoi r
honte de la leur.
Bof, on a l'habitude. Je suppose que si le sort des armes eut été
différent en 1945, nous parlerions un allemand sans reproche. Comme n os
lointains prédécesseurs ont abandonné le gaulois pour le latin, l a
langue du commerce et des affaires de l'époque. C'est peut-être dan s les
gènes ou le génie français?
Mais le monde de l'entreprise internationale n'est pas encore celui des
français.
Mes meilleures salutations.
Idem.
pipol a écrit :Pourquoi agresser l'auteur du message et le dénigrer ?
Qui voit des agressions partout ? Je critique, c'est tout.Il pose un réel problème. Savez vous que dans bien des entreprises
françaises l'anglais est devenu de facto si ce n'est de jure la lang ue
officielle. De grands groupes se vantent d'ailleurs de tenir les
Conseils d'Administration en anglais, d'utiliser l'anglais comme
langue de communication à l'intérieur du groupe, donc des sociét és
françaises qui en font partie, exigent que les rapports et notes
soient rédigés en anglais ?
Vous appelez anglais ce jargon parlé dans les entreprises française s. Ce
n'est pas gentil pour nos amis d'outre Manche. A chaque fois que Triche t
parle anglais je me marre. Personne ne lui fait remarquer qu'il
ressemble à une andouille? Si les conseils d'administrations
d'entreprises françaises se tiennent en anglais c'est bien ce que je
dénonçais, ce monde de l'entreprise est taré. Et j'imagine que le niveau
intellectuel doit être bien bas. Normal, ces gens ne sont pas là po ur
penser mais pour compter. Imaginez les seulement devoir s'exprimer
métaphysiquement ou fondamentalement en Anglais, dire ce qu'il pensen t,
car il est clair qu'ils ne pensent pas en anglais. Ils répètent des mots
clés et des phrases toutes faites. C'est un anglais d'entreprises
françaises.
Mais, au fait, ces entreprises n'exportent pas grand-chose. Ils se
mettent à l'anglais mais ils sont nuls sur l'international. Ne
croyez-vous pas qu'il s'agisse d'une ruse pour faire croire aux Franç ais
qu'ils sont américains et ne confondent-ils pas finalement commerce
extérieur avec vente de produits français labélisés anglais à d'autres
français?Ceux qui ne manient pas l'anglais n'ont donc aucun espoir de carrièr e
dès qu'on monte un tant soit peu dans la hiérarchie. Les anglo-sax ons,
qui parleront toujours mieux anglais que les français, sont
privilégiés à l'embauche (les annonces sont révélatrices). L e pire est
qu'ils pourront, eux, faire carrière sans même jamais avoir appris un
mot de français, langue non utilisée comme langue de travail.
Je ferais la même chose. Si j'étais pdg d'une boîte international e
j'emploierai de vrais américains, de véritables anglais plutôt qu e des
français parlant un anglais plus qu'approximatif. Ils n'ont rien à
gagner à singer les anglo-saxons, c'est évident. Qu'ils parlent un
français impeccable, vos cadres d'entreprise ne savent pas écrire 3
lignes sans faire de fautes, qu'ils argumentent en démontrant les
ambiguïtés de la langue anglaise par rapport à notre langue, lang ue qui
servait dans les traités internationaux parce qu'elle mille fois plus
claire que l'anglais, langue ambiguë qui, entre autres, a conduit aux
imprécisions sur le Moyen Orient. Le traité aurait été écrit et pensé en
français, il n'y aurait peut-être pas toute ces complications sur l a
naissance de certains états... Bien sûr le Français est la langue de
Descartes, elle est claire, elle sait appeler un chat un chat... mais c e
n'est pas la langue qui est vulnérable ou sans attouts ce sont les ch efs
d'entreprises et les cadres qui veulent faire carrière qui sont lâc hes
et opportunistes. Ils préfèrent mal parler anglais que s'exprimer
clairement? Qu'y pouvons-nous?C'est cela la réalité (et non une caricature !), et elle s'amplifi e
dans l'ignorance ou l'indifférence de chacun, en descendant l'éche lle.
Est-ce que ce que nous voulons ? J'observe que les allemands, qui
pourtant pratiquent souvent mieux l'anglais que les français, sont
plus réactifs et n'hésitent pas à utiliser leur langue dans les
réunions, même officielles, alors que les français semblent avoi r
honte de la leur.
Bof, on a l'habitude. Je suppose que si le sort des armes eut été
différent en 1945, nous parlerions un allemand sans reproche. Comme n os
lointains prédécesseurs ont abandonné le gaulois pour le latin, l a
langue du commerce et des affaires de l'époque. C'est peut-être dan s les
gènes ou le génie français?
Mais le monde de l'entreprise internationale n'est pas encore celui des
français.Mes meilleures salutations.
Idem.
enfin en même temps, à bruxelles si tu parles pas flamand t'es mort. Peu
importe que les flamands ne font pas travailler des boîtes wallones ou dans
la partie francophone de bxl, c'est un critère comme un autre pour limiter
les candidatures...
ceci m'a été confirmé par plusieurs amis belges
enfin en même temps, à bruxelles si tu parles pas flamand t'es mort. Peu
importe que les flamands ne font pas travailler des boîtes wallones ou dans
la partie francophone de bxl, c'est un critère comme un autre pour limiter
les candidatures...
ceci m'a été confirmé par plusieurs amis belges
enfin en même temps, à bruxelles si tu parles pas flamand t'es mort. Peu
importe que les flamands ne font pas travailler des boîtes wallones ou dans
la partie francophone de bxl, c'est un critère comme un autre pour limiter
les candidatures...
ceci m'a été confirmé par plusieurs amis belges
Faudra-t-il systématiquement parler anglais pour décrocher un emploi de
boucher, d'ouvrier, de médecin... ou de journaliste ? Cette perspective
n'aurait rien de saugrenue aux yeux de Jean-Loup Cuisiniez porte-parole du
collectif intersyndical pour le droit de travailler en français en France.
« La langue française est menacée dans l'entreprise », a-t-il martelé
vendredi de son domicile chartrain.
Ce cri d'alarme est alimenté par la prochaine ratification du protocole de
Londres par les parlementaires français, le 24 septembre. Si la majorité
l'approuve, l'Etat français « renoncera aux exigence de traduction des
brevets étrangers vers la langue nationale. C'est le renoncement à
l'exigence de traduction », précise Jean-Loup Cuisiniez. En clair, les USA
voulant imposer leur technologie en France n'auront plus obligation de
l'accompagner d'un décryptage en français. Ce serait alors la porte
ouverte au "tout anglais". Pour Jean-Loup Cuisiniez, qui est également
délégué départemental CFTC en charge de la francophonie, les conséquences
sociale, économique et sanitaire seraient multiples. « La première sera la
disparition des 20 000 traducteurs-interprètes français dès la
ratification de ce protocole. L'Etat renonçant à la primauté de sa langue
dans la traduction des brevets, il y aura un effet d'enchaînement dans
tous les domaines ».
« une insécurité Linguistique »
Logiciels, notes ou modes d'emploi, la langue de Shakespeare aurait
investi de façon insidieuse les arcanes de l'économie. 12% des entreprises
d'Île-de-France sont à "l'heure anglaise". Selon Jean-Loup Cuisiniez,
l'affaire des irradiés de l'hôpital Epinal (Vosges) en est la plus
dramatique illustration. 700 personnes ont été anormalement exposées à des
radiations suite à de mauvais réglages d'appareils diffusant les rayon X.
« Il n'y a pas eu de traduction du livret de manipulation de la machine à
radiographier », ajoute Jean-Loup Cuisiniez, déplorant l'existence « d'une
insécurité linguistique ».
Jean-Loup Cuisiniez craint également que le recrutement passe
obligatoirement par l'anglais, au détriment des acquis de base nécessaires
à un emploi. « Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour
un jeune, postulant pour être boucher ? »
Soutenu par de nombreux chefs d'entreprise, le collectif en appelle
désormais aux députés et sénateurs euréliens. Dans un tract, la CFTC les
interpelle : « Par votre vote, allez-vous contribuer à compromettre
davantage l'avenir de la langue française dans nos entreprises ? »
Olivier BOHIN
L'Echo Républicain
8 septembre 2007
Collectif du droit de travailler en français en France.
06.67.31.80.17 ou 06.80.59.29.80
Faudra-t-il systématiquement parler anglais pour décrocher un emploi de
boucher, d'ouvrier, de médecin... ou de journaliste ? Cette perspective
n'aurait rien de saugrenue aux yeux de Jean-Loup Cuisiniez porte-parole du
collectif intersyndical pour le droit de travailler en français en France.
« La langue française est menacée dans l'entreprise », a-t-il martelé
vendredi de son domicile chartrain.
Ce cri d'alarme est alimenté par la prochaine ratification du protocole de
Londres par les parlementaires français, le 24 septembre. Si la majorité
l'approuve, l'Etat français « renoncera aux exigence de traduction des
brevets étrangers vers la langue nationale. C'est le renoncement à
l'exigence de traduction », précise Jean-Loup Cuisiniez. En clair, les USA
voulant imposer leur technologie en France n'auront plus obligation de
l'accompagner d'un décryptage en français. Ce serait alors la porte
ouverte au "tout anglais". Pour Jean-Loup Cuisiniez, qui est également
délégué départemental CFTC en charge de la francophonie, les conséquences
sociale, économique et sanitaire seraient multiples. « La première sera la
disparition des 20 000 traducteurs-interprètes français dès la
ratification de ce protocole. L'Etat renonçant à la primauté de sa langue
dans la traduction des brevets, il y aura un effet d'enchaînement dans
tous les domaines ».
« une insécurité Linguistique »
Logiciels, notes ou modes d'emploi, la langue de Shakespeare aurait
investi de façon insidieuse les arcanes de l'économie. 12% des entreprises
d'Île-de-France sont à "l'heure anglaise". Selon Jean-Loup Cuisiniez,
l'affaire des irradiés de l'hôpital Epinal (Vosges) en est la plus
dramatique illustration. 700 personnes ont été anormalement exposées à des
radiations suite à de mauvais réglages d'appareils diffusant les rayon X.
« Il n'y a pas eu de traduction du livret de manipulation de la machine à
radiographier », ajoute Jean-Loup Cuisiniez, déplorant l'existence « d'une
insécurité linguistique ».
Jean-Loup Cuisiniez craint également que le recrutement passe
obligatoirement par l'anglais, au détriment des acquis de base nécessaires
à un emploi. « Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour
un jeune, postulant pour être boucher ? »
Soutenu par de nombreux chefs d'entreprise, le collectif en appelle
désormais aux députés et sénateurs euréliens. Dans un tract, la CFTC les
interpelle : « Par votre vote, allez-vous contribuer à compromettre
davantage l'avenir de la langue française dans nos entreprises ? »
Olivier BOHIN
L'Echo Républicain
8 septembre 2007
Collectif du droit de travailler en français en France.
06.67.31.80.17 ou 06.80.59.29.80
Faudra-t-il systématiquement parler anglais pour décrocher un emploi de
boucher, d'ouvrier, de médecin... ou de journaliste ? Cette perspective
n'aurait rien de saugrenue aux yeux de Jean-Loup Cuisiniez porte-parole du
collectif intersyndical pour le droit de travailler en français en France.
« La langue française est menacée dans l'entreprise », a-t-il martelé
vendredi de son domicile chartrain.
Ce cri d'alarme est alimenté par la prochaine ratification du protocole de
Londres par les parlementaires français, le 24 septembre. Si la majorité
l'approuve, l'Etat français « renoncera aux exigence de traduction des
brevets étrangers vers la langue nationale. C'est le renoncement à
l'exigence de traduction », précise Jean-Loup Cuisiniez. En clair, les USA
voulant imposer leur technologie en France n'auront plus obligation de
l'accompagner d'un décryptage en français. Ce serait alors la porte
ouverte au "tout anglais". Pour Jean-Loup Cuisiniez, qui est également
délégué départemental CFTC en charge de la francophonie, les conséquences
sociale, économique et sanitaire seraient multiples. « La première sera la
disparition des 20 000 traducteurs-interprètes français dès la
ratification de ce protocole. L'Etat renonçant à la primauté de sa langue
dans la traduction des brevets, il y aura un effet d'enchaînement dans
tous les domaines ».
« une insécurité Linguistique »
Logiciels, notes ou modes d'emploi, la langue de Shakespeare aurait
investi de façon insidieuse les arcanes de l'économie. 12% des entreprises
d'Île-de-France sont à "l'heure anglaise". Selon Jean-Loup Cuisiniez,
l'affaire des irradiés de l'hôpital Epinal (Vosges) en est la plus
dramatique illustration. 700 personnes ont été anormalement exposées à des
radiations suite à de mauvais réglages d'appareils diffusant les rayon X.
« Il n'y a pas eu de traduction du livret de manipulation de la machine à
radiographier », ajoute Jean-Loup Cuisiniez, déplorant l'existence « d'une
insécurité linguistique ».
Jean-Loup Cuisiniez craint également que le recrutement passe
obligatoirement par l'anglais, au détriment des acquis de base nécessaires
à un emploi. « Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour
un jeune, postulant pour être boucher ? »
Soutenu par de nombreux chefs d'entreprise, le collectif en appelle
désormais aux députés et sénateurs euréliens. Dans un tract, la CFTC les
interpelle : « Par votre vote, allez-vous contribuer à compromettre
davantage l'avenir de la langue française dans nos entreprises ? »
Olivier BOHIN
L'Echo Républicain
8 septembre 2007
Collectif du droit de travailler en français en France.
06.67.31.80.17 ou 06.80.59.29.80
pipol a écrit :Pourquoi agresser l'auteur du message et le dénigrer ?
Qui voit des agressions partout ? Je critique, c'est tout.Il pose un réel problème. Savez vous que dans bien des entreprises
françaises l'anglais est devenu de facto si ce n'est de jure la
langue officielle. De grands groupes se vantent d'ailleurs de tenir
les Conseils d'Administration en anglais, d'utiliser l'anglais
comme
langue de communication à l'intérieur du groupe, donc des sociétés
françaises qui en font partie, exigent que les rapports et notes
soient rédigés en anglais ?
Vous appelez anglais ce jargon parlé dans les entreprises
françaises.
Ce n'est pas gentil pour nos amis d'outre Manche. A chaque fois que
Trichet parle anglais je me marre. Personne ne lui fait remarquer
qu'il ressemble à une andouille? Si les conseils d'administrations
d'entreprises françaises se tiennent en anglais c'est bien ce que je
dénonçais, ce monde de l'entreprise est taré. Et j'imagine que le
niveau intellectuel doit être bien bas.
pipol a écrit :
Pourquoi agresser l'auteur du message et le dénigrer ?
Qui voit des agressions partout ? Je critique, c'est tout.
Il pose un réel problème. Savez vous que dans bien des entreprises
françaises l'anglais est devenu de facto si ce n'est de jure la
langue officielle. De grands groupes se vantent d'ailleurs de tenir
les Conseils d'Administration en anglais, d'utiliser l'anglais
comme
langue de communication à l'intérieur du groupe, donc des sociétés
françaises qui en font partie, exigent que les rapports et notes
soient rédigés en anglais ?
Vous appelez anglais ce jargon parlé dans les entreprises
françaises.
Ce n'est pas gentil pour nos amis d'outre Manche. A chaque fois que
Trichet parle anglais je me marre. Personne ne lui fait remarquer
qu'il ressemble à une andouille? Si les conseils d'administrations
d'entreprises françaises se tiennent en anglais c'est bien ce que je
dénonçais, ce monde de l'entreprise est taré. Et j'imagine que le
niveau intellectuel doit être bien bas.
pipol a écrit :Pourquoi agresser l'auteur du message et le dénigrer ?
Qui voit des agressions partout ? Je critique, c'est tout.Il pose un réel problème. Savez vous que dans bien des entreprises
françaises l'anglais est devenu de facto si ce n'est de jure la
langue officielle. De grands groupes se vantent d'ailleurs de tenir
les Conseils d'Administration en anglais, d'utiliser l'anglais
comme
langue de communication à l'intérieur du groupe, donc des sociétés
françaises qui en font partie, exigent que les rapports et notes
soient rédigés en anglais ?
Vous appelez anglais ce jargon parlé dans les entreprises
françaises.
Ce n'est pas gentil pour nos amis d'outre Manche. A chaque fois que
Trichet parle anglais je me marre. Personne ne lui fait remarquer
qu'il ressemble à une andouille? Si les conseils d'administrations
d'entreprises françaises se tiennent en anglais c'est bien ce que je
dénonçais, ce monde de l'entreprise est taré. Et j'imagine que le
niveau intellectuel doit être bien bas.
L'andouille c'est vous ! Notez que les anglosaxons
ne font pas la fine bouche face à ceux
qui s 'expriment en leur langue.
Et en UK ou aux US
ils ont tellement d'émigrés que cela n'a plus d'importance.
Vous êtes de ceux qui passez votre temps à dégoûter
les étrangers de parler notre langue comme vous.
L'andouille c'est vous ! Notez que les anglosaxons
ne font pas la fine bouche face à ceux
qui s 'expriment en leur langue.
Et en UK ou aux US
ils ont tellement d'émigrés que cela n'a plus d'importance.
Vous êtes de ceux qui passez votre temps à dégoûter
les étrangers de parler notre langue comme vous.
L'andouille c'est vous ! Notez que les anglosaxons
ne font pas la fine bouche face à ceux
qui s 'expriment en leur langue.
Et en UK ou aux US
ils ont tellement d'émigrés que cela n'a plus d'importance.
Vous êtes de ceux qui passez votre temps à dégoûter
les étrangers de parler notre langue comme vous.
Droit de travailler en français a écrit :« Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour un
jeune, postulant pour être boucher ? »
Caricature outrée qui fait preuve d'un affolement face à l'autre et
qui n'est pas reluisant. Cessez de mettre le monde de l'entreprise
au
centre de tout, il n'y a rien de plus inculte, de plus opportuniste,
de plus bas, de plus frivole, de plus arriéré que ce monde
inintéressant au possible.
Droit de travailler en français a écrit :
« Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour un
jeune, postulant pour être boucher ? »
Caricature outrée qui fait preuve d'un affolement face à l'autre et
qui n'est pas reluisant. Cessez de mettre le monde de l'entreprise
au
centre de tout, il n'y a rien de plus inculte, de plus opportuniste,
de plus bas, de plus frivole, de plus arriéré que ce monde
inintéressant au possible.
Droit de travailler en français a écrit :« Qui peut dire que l'anglais ne sera pas éliminatoire pour un
jeune, postulant pour être boucher ? »
Caricature outrée qui fait preuve d'un affolement face à l'autre et
qui n'est pas reluisant. Cessez de mettre le monde de l'entreprise
au
centre de tout, il n'y a rien de plus inculte, de plus opportuniste,
de plus bas, de plus frivole, de plus arriéré que ce monde
inintéressant au possible.
A coup sûr vous n'en faites pas partie.
En revanche, vous êtes bien un prétentieux
littéraire qui pense être supérieur à ceux qui
font tourner l'économie qui vous fait vivre.
A coup sûr vous n'en faites pas partie.
En revanche, vous êtes bien un prétentieux
littéraire qui pense être supérieur à ceux qui
font tourner l'économie qui vous fait vivre.
A coup sûr vous n'en faites pas partie.
En revanche, vous êtes bien un prétentieux
littéraire qui pense être supérieur à ceux qui
font tourner l'économie qui vous fait vivre.