=ABLa multiplication des jeux d=E9biles et des =E9missions people, o=F9
les animateurs se crachent dessus ou se font des faux proc=E8s pour
passer dans Gala, toutes ces =E9missions rel=E8vent du caf=E9 du commerce
et ne prennent pas en compte la r=E9alit=E9. On voit de moins en moins la
t=E9l=E9 que l'on souhaiterait voir.=BB Et, dans le m=EAme temps, les
salles du Fipa ne d=E9semplissent pas... =ABCela se ressent aussi par
l'augmentation des professionnels fran=E7ais et =E9trangers qui se
d=E9placent et par le foisonnement des programmes candidats, poursuit M.
Deleau. Le Fipa r=E9pond =E0 un besoin inn=E9, myst=E9rieux, enfoui en
chacun d'entre nous: l'envie d'aller voir ailleurs et d'attendre la
chute du microcosme parisien. Voil=E0 la mission du Fipa.=BB
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Helmut Prod wrote:
«La multiplication des jeux débiles et des émissions people, où les animateurs se crachent dessus ou se font des faux procès pour passer dans Gala, toutes ces émissions relèvent du café du commerce et ne prennent pas en compte la réalité. On voit de moins en moins la télé que l'on souhaiterait voir.»
Elle est censurée!
Et, dans le même temps, les salles du Fipa ne désemplissent pas... «Cela se ressent aussi par l'augmentation des professionnels français et étrangers qui se déplacent et par le foisonnement des programmes candidats, poursuit M. Deleau. Le Fipa répond à un besoin inné, mystérieux, enfoui en chacun d'entre nous: l'envie d'aller voir ailleurs et d'attendre la chute du microcosme parisien. Voilà la mission du Fipa.»
C'est pas pour demain.
Helmut Prod wrote:
«La multiplication des jeux débiles et des émissions people, où
les animateurs se crachent dessus ou se font des faux procès pour
passer dans Gala, toutes ces émissions relèvent du café du commerce
et ne prennent pas en compte la réalité. On voit de moins en moins la
télé que l'on souhaiterait voir.»
Elle est censurée!
Et, dans le même temps, les
salles du Fipa ne désemplissent pas... «Cela se ressent aussi par
l'augmentation des professionnels français et étrangers qui se
déplacent et par le foisonnement des programmes candidats, poursuit M.
Deleau. Le Fipa répond à un besoin inné, mystérieux, enfoui en
chacun d'entre nous: l'envie d'aller voir ailleurs et d'attendre la
chute du microcosme parisien. Voilà la mission du Fipa.»
«La multiplication des jeux débiles et des émissions people, où les animateurs se crachent dessus ou se font des faux procès pour passer dans Gala, toutes ces émissions relèvent du café du commerce et ne prennent pas en compte la réalité. On voit de moins en moins la télé que l'on souhaiterait voir.»
Elle est censurée!
Et, dans le même temps, les salles du Fipa ne désemplissent pas... «Cela se ressent aussi par l'augmentation des professionnels français et étrangers qui se déplacent et par le foisonnement des programmes candidats, poursuit M. Deleau. Le Fipa répond à un besoin inné, mystérieux, enfoui en chacun d'entre nous: l'envie d'aller voir ailleurs et d'attendre la chute du microcosme parisien. Voilà la mission du Fipa.»
C'est pas pour demain.
Helmut Prod
Les fictions françaises honorées
Jusqu'au bout, film tiré du conflit des Cellatex, obtient l'or et l'argent.
Biarritz,envoyé spécial
C'est une bonne habitude qui dure depuis dix-huit ans. Le Festival international des programmes audiovisuels, qui s'est tenu du 18 au 23 janvier à Biarritz, a une nouvelle fois livré le meilleur de ce qui se fait à la télévision de par le monde. Et une fois n'est pas coutume, la production française (fiction et documentaire) est revenue de la côte basque avec plusieurs fipa. Parmi ceux-ci, Jusqu'au bout, le film de Maurice Failevic inspiré du conflit des Celllatex de l'été 2000 (produit par VLR productions), a obtenu un fipa d'argent dans la catégorie fictions, où la concurrence était rude, et un fipa d'or pour son interprétation étonnante de justesse attribué à Bernard-Pierre Donadieu, qui n'avait, curieusement, jamais reçu de prix (nous y reviendrons demain). Ce film sera diffusé sur France 3.
Le documentaire Paul dans sa vie, de Rémi Mauger (les Films d'ici, France 3 Normandie) sur un agriculteur de la Manche a lui aussi obtenu un fipa d'argent dans une catégorie très relevée, remportée par le film danois de Soren Fauli et Mikala Krogh l'Assassin de mon père. En fiction, c'est le film autrichien Mein Vater, mein Frau und meine Geliebte (Mon père, ma femme et mon amante) qui a été couronné, tandis que la fiction anglaise Belonging a remporté trois fipa (meilleure interprétation féminine pour Brenda Blethyn, meilleur scénario et meilleure musique). Claude Baudry http://www.humanite.fr/journal/2005-01-24/2005-01-24-455366
Les fictions françaises honorées
Jusqu'au bout, film tiré du conflit des Cellatex, obtient l'or et
l'argent.
Biarritz,envoyé spécial
C'est une bonne habitude qui dure depuis dix-huit ans. Le Festival
international des programmes audiovisuels, qui s'est tenu du 18 au 23
janvier à Biarritz, a une nouvelle fois livré le meilleur de ce qui
se fait à la télévision de par le monde. Et une fois n'est pas
coutume, la production française (fiction et documentaire) est revenue
de la côte basque avec plusieurs fipa. Parmi ceux-ci, Jusqu'au bout,
le film de Maurice Failevic inspiré du conflit des Celllatex de
l'été 2000 (produit par VLR productions), a obtenu un fipa
d'argent dans la catégorie fictions, où la concurrence était rude,
et un fipa d'or pour son interprétation étonnante de justesse
attribué à Bernard-Pierre Donadieu, qui n'avait, curieusement,
jamais reçu de prix (nous y reviendrons demain). Ce film sera diffusé
sur France 3.
Le documentaire Paul dans sa vie, de Rémi Mauger (les Films d'ici,
France 3 Normandie) sur un agriculteur de la Manche a lui aussi obtenu
un fipa d'argent dans une catégorie très relevée, remportée par
le film danois de Soren Fauli et Mikala Krogh l'Assassin de mon
père. En fiction, c'est le film autrichien Mein Vater, mein Frau und
meine Geliebte (Mon père, ma femme et mon amante) qui a été
couronné, tandis que la fiction anglaise Belonging a remporté trois
fipa (meilleure interprétation féminine pour Brenda Blethyn, meilleur
scénario et meilleure musique). Claude Baudry
http://www.humanite.fr/journal/2005-01-24/2005-01-24-455366
Jusqu'au bout, film tiré du conflit des Cellatex, obtient l'or et l'argent.
Biarritz,envoyé spécial
C'est une bonne habitude qui dure depuis dix-huit ans. Le Festival international des programmes audiovisuels, qui s'est tenu du 18 au 23 janvier à Biarritz, a une nouvelle fois livré le meilleur de ce qui se fait à la télévision de par le monde. Et une fois n'est pas coutume, la production française (fiction et documentaire) est revenue de la côte basque avec plusieurs fipa. Parmi ceux-ci, Jusqu'au bout, le film de Maurice Failevic inspiré du conflit des Celllatex de l'été 2000 (produit par VLR productions), a obtenu un fipa d'argent dans la catégorie fictions, où la concurrence était rude, et un fipa d'or pour son interprétation étonnante de justesse attribué à Bernard-Pierre Donadieu, qui n'avait, curieusement, jamais reçu de prix (nous y reviendrons demain). Ce film sera diffusé sur France 3.
Le documentaire Paul dans sa vie, de Rémi Mauger (les Films d'ici, France 3 Normandie) sur un agriculteur de la Manche a lui aussi obtenu un fipa d'argent dans une catégorie très relevée, remportée par le film danois de Soren Fauli et Mikala Krogh l'Assassin de mon père. En fiction, c'est le film autrichien Mein Vater, mein Frau und meine Geliebte (Mon père, ma femme et mon amante) qui a été couronné, tandis que la fiction anglaise Belonging a remporté trois fipa (meilleure interprétation féminine pour Brenda Blethyn, meilleur scénario et meilleure musique). Claude Baudry http://www.humanite.fr/journal/2005-01-24/2005-01-24-455366
