on peut atteindre une
dynamique (continue si l'on surcompresse et qu'on égalise) de 144 dB,
soit 14 dB au-dessus du seuil de douleur pour un humain
on peut atteindre une
dynamique (continue si l'on surcompresse et qu'on égalise) de 144 dB,
soit 14 dB au-dessus du seuil de douleur pour un humain
on peut atteindre une
dynamique (continue si l'on surcompresse et qu'on égalise) de 144 dB,
soit 14 dB au-dessus du seuil de douleur pour un humain
Je signale à l'attention de tous ceux qui sont de vrais mélomanes, pas à
ceux qui n'écoutent que du mp3 sur des baladeurs donc, mais ceux qui
écoutent de la musique sur une VRAIE chaîne hifi avec des VRAIS fichiers
audio (format AIFF, par exemple) la lecture de cette excellent article
Ca parle beaucoup de l'évolution du mastering pour la musique que les
américains appellent "populaire", depuis le vynil, jusqu'aux SACD et
autres et ça met en cause (en argumentant) la surcompression utilisée
aujourd'hui ainsi que l'égalisation de la dynamique (tout doit être
fort, même les passages "tranquilles").
En particulier, continuer à "masteriser" comme aujourd'hui, sur un SACD
serait très dangereux car en 24 bits et à 192 Khz, on peut atteindre une
dynamique (continue si l'on surcompresse et qu'on égalise) de 144 dB,
soit 14 dB au-dessus du seuil de douleur pour un humain...
Je signale à l'attention de tous ceux qui sont de vrais mélomanes, pas à
ceux qui n'écoutent que du mp3 sur des baladeurs donc, mais ceux qui
écoutent de la musique sur une VRAIE chaîne hifi avec des VRAIS fichiers
audio (format AIFF, par exemple) la lecture de cette excellent article
Ca parle beaucoup de l'évolution du mastering pour la musique que les
américains appellent "populaire", depuis le vynil, jusqu'aux SACD et
autres et ça met en cause (en argumentant) la surcompression utilisée
aujourd'hui ainsi que l'égalisation de la dynamique (tout doit être
fort, même les passages "tranquilles").
En particulier, continuer à "masteriser" comme aujourd'hui, sur un SACD
serait très dangereux car en 24 bits et à 192 Khz, on peut atteindre une
dynamique (continue si l'on surcompresse et qu'on égalise) de 144 dB,
soit 14 dB au-dessus du seuil de douleur pour un humain...
Je signale à l'attention de tous ceux qui sont de vrais mélomanes, pas à
ceux qui n'écoutent que du mp3 sur des baladeurs donc, mais ceux qui
écoutent de la musique sur une VRAIE chaîne hifi avec des VRAIS fichiers
audio (format AIFF, par exemple) la lecture de cette excellent article
Ca parle beaucoup de l'évolution du mastering pour la musique que les
américains appellent "populaire", depuis le vynil, jusqu'aux SACD et
autres et ça met en cause (en argumentant) la surcompression utilisée
aujourd'hui ainsi que l'égalisation de la dynamique (tout doit être
fort, même les passages "tranquilles").
En particulier, continuer à "masteriser" comme aujourd'hui, sur un SACD
serait très dangereux car en 24 bits et à 192 Khz, on peut atteindre une
dynamique (continue si l'on surcompresse et qu'on égalise) de 144 dB,
soit 14 dB au-dessus du seuil de douleur pour un humain...
Le contenu c'est la musique. Non seulement il est extrêment rare qu'on
l'entende en direct dans des conditions acoustiques décentes (...)
avoir sa raison d'être : l'amplitude dynamique autorisée par nos
machines est encore très supérieure à celle des meilleurs micros
amont) et des meilleures enceintes (en aval).
surcompression est inhérente à cette musique et ce sont bien les choix
*musicaux* de la grande masse qui ont créé le problème, pas les choix
techniques qui n'ont fait que les suivre.
It On - A Musical Legacy" ? Ceux d'entre-vous qui ont eu vingt ans en
1970 ne peuvent pas ne pas tirer une larme en écoutant ça.
Le contenu c'est la musique. Non seulement il est extrêment rare qu'on
l'entende en direct dans des conditions acoustiques décentes (...)
avoir sa raison d'être : l'amplitude dynamique autorisée par nos
machines est encore très supérieure à celle des meilleurs micros
amont) et des meilleures enceintes (en aval).
surcompression est inhérente à cette musique et ce sont bien les choix
*musicaux* de la grande masse qui ont créé le problème, pas les choix
techniques qui n'ont fait que les suivre.
It On - A Musical Legacy" ? Ceux d'entre-vous qui ont eu vingt ans en
1970 ne peuvent pas ne pas tirer une larme en écoutant ça.
Le contenu c'est la musique. Non seulement il est extrêment rare qu'on
l'entende en direct dans des conditions acoustiques décentes (...)
avoir sa raison d'être : l'amplitude dynamique autorisée par nos
machines est encore très supérieure à celle des meilleurs micros
amont) et des meilleures enceintes (en aval).
surcompression est inhérente à cette musique et ce sont bien les choix
*musicaux* de la grande masse qui ont créé le problème, pas les choix
techniques qui n'ont fait que les suivre.
It On - A Musical Legacy" ? Ceux d'entre-vous qui ont eu vingt ans en
1970 ne peuvent pas ne pas tirer une larme en écoutant ça.
Je signale à l'attention de tous ceux qui sont de vrais mélomanes, pas à
ceux qui n'écoutent que du mp3 sur des baladeurs donc, mais ceux qui
écoutent de la musique sur une VRAIE chaîne hifi avec des VRAIS fichiers
audio (format AIFF, par exemple) la lecture de cette excellent article
(assez long) à l'adresse http://spectrum.ieee.org/aug07/5429, hélas en
anglais (mais ça vaut le coup).
Ca parle beaucoup de l'évolution du mastering pour la musique que les
américains appellent "populaire", depuis le vynil, jusqu'aux SACD et
autres et ça met en cause (en argumentant) la surcompression utilisée
aujourd'hui ainsi que l'égalisation de la dynamique (tout doit être
fort, même les passages "tranquilles").
En particulier, continuer à "masteriser" comme aujourd'hui, sur un SACD
serait très dangereux car en 24 bits et à 192 Khz, on peut atteindre une
dynamique (continue si l'on surcompresse et qu'on égalise) de 144 dB,
soit 14 dB au-dessus du seuil de douleur pour un humain...
Bonne lecture à ceux que ça intéressent et qui lisent l'anglais.
Je signale à l'attention de tous ceux qui sont de vrais mélomanes, pas à
ceux qui n'écoutent que du mp3 sur des baladeurs donc, mais ceux qui
écoutent de la musique sur une VRAIE chaîne hifi avec des VRAIS fichiers
audio (format AIFF, par exemple) la lecture de cette excellent article
(assez long) à l'adresse http://spectrum.ieee.org/aug07/5429, hélas en
anglais (mais ça vaut le coup).
Ca parle beaucoup de l'évolution du mastering pour la musique que les
américains appellent "populaire", depuis le vynil, jusqu'aux SACD et
autres et ça met en cause (en argumentant) la surcompression utilisée
aujourd'hui ainsi que l'égalisation de la dynamique (tout doit être
fort, même les passages "tranquilles").
En particulier, continuer à "masteriser" comme aujourd'hui, sur un SACD
serait très dangereux car en 24 bits et à 192 Khz, on peut atteindre une
dynamique (continue si l'on surcompresse et qu'on égalise) de 144 dB,
soit 14 dB au-dessus du seuil de douleur pour un humain...
Bonne lecture à ceux que ça intéressent et qui lisent l'anglais.
Je signale à l'attention de tous ceux qui sont de vrais mélomanes, pas à
ceux qui n'écoutent que du mp3 sur des baladeurs donc, mais ceux qui
écoutent de la musique sur une VRAIE chaîne hifi avec des VRAIS fichiers
audio (format AIFF, par exemple) la lecture de cette excellent article
(assez long) à l'adresse http://spectrum.ieee.org/aug07/5429, hélas en
anglais (mais ça vaut le coup).
Ca parle beaucoup de l'évolution du mastering pour la musique que les
américains appellent "populaire", depuis le vynil, jusqu'aux SACD et
autres et ça met en cause (en argumentant) la surcompression utilisée
aujourd'hui ainsi que l'égalisation de la dynamique (tout doit être
fort, même les passages "tranquilles").
En particulier, continuer à "masteriser" comme aujourd'hui, sur un SACD
serait très dangereux car en 24 bits et à 192 Khz, on peut atteindre une
dynamique (continue si l'on surcompresse et qu'on égalise) de 144 dB,
soit 14 dB au-dessus du seuil de douleur pour un humain...
Bonne lecture à ceux que ça intéressent et qui lisent l'anglais.
http://spectrum.ieee.org/aug07/5429, hélas en anglais (mais ça
(...)
la surcompression utilisée aujourd'hui ainsi que
l'égalisation de la dynamique
(tout doit être fort, même les
passages "tranquilles").
si l'on surcompresse et qu'on égalise
http://spectrum.ieee.org/aug07/5429, hélas en anglais (mais ça
(...)
la surcompression utilisée aujourd'hui ainsi que
l'égalisation de la dynamique
(tout doit être fort, même les
passages "tranquilles").
si l'on surcompresse et qu'on égalise
http://spectrum.ieee.org/aug07/5429, hélas en anglais (mais ça
(...)
la surcompression utilisée aujourd'hui ainsi que
l'égalisation de la dynamique
(tout doit être fort, même les
passages "tranquilles").
si l'on surcompresse et qu'on égalise
Pour moi les points importants sont les suivants : la surcompression
possède l'avantage de pouvoir écouter un morceau dans des conditions
hostiles (train, avion, bus, jogging) sans être agacé par le fait que
certaines parties sont inaudibles. En revanche, la surcompression est
agaçante en conditions calmes (et même en conditions hostiles) parce
qu'elle occasionne de la fatigue auditive.
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au cinéma où
nous ne disposons malheureusement pas du bouton de volume. Nous en
prenons plein les oreilles alors que nous ne l'avons pas forcément
souhaité.
Pour moi les points importants sont les suivants : la surcompression
possède l'avantage de pouvoir écouter un morceau dans des conditions
hostiles (train, avion, bus, jogging) sans être agacé par le fait que
certaines parties sont inaudibles. En revanche, la surcompression est
agaçante en conditions calmes (et même en conditions hostiles) parce
qu'elle occasionne de la fatigue auditive.
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au cinéma où
nous ne disposons malheureusement pas du bouton de volume. Nous en
prenons plein les oreilles alors que nous ne l'avons pas forcément
souhaité.
Pour moi les points importants sont les suivants : la surcompression
possède l'avantage de pouvoir écouter un morceau dans des conditions
hostiles (train, avion, bus, jogging) sans être agacé par le fait que
certaines parties sont inaudibles. En revanche, la surcompression est
agaçante en conditions calmes (et même en conditions hostiles) parce
qu'elle occasionne de la fatigue auditive.
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au cinéma où
nous ne disposons malheureusement pas du bouton de volume. Nous en
prenons plein les oreilles alors que nous ne l'avons pas forcément
souhaité.
l'émotion unique des doigts d'un Dinu Lipati [...] Albert
Schweitzer [...] Charlie Parker [...] Miles [...] Alain Danielou
l'émotion unique des doigts d'un Dinu Lipati [...] Albert
Schweitzer [...] Charlie Parker [...] Miles [...] Alain Danielou
l'émotion unique des doigts d'un Dinu Lipati [...] Albert
Schweitzer [...] Charlie Parker [...] Miles [...] Alain Danielou
Pour conclure, je dirais que la musique surcompressée est destinée
à un marché différent de celui des amateurs de musique.
Pour conclure, je dirais que la musique surcompressée est destinée
à un marché différent de celui des amateurs de musique.
Pour conclure, je dirais que la musique surcompressée est destinée
à un marché différent de celui des amateurs de musique.
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au
cinéma où nous ne disposons malheureusement pas du bouton de
volume. Nous en prenons plein les oreilles alors que nous ne
l'avons pas forcément souhaité.
Ce n'est justement pas surcompressé : c'est juste un niveau
trop important et/ou une égalisation "à effets". Le tout
associé à des enceintes à haut rendement...
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au
cinéma où nous ne disposons malheureusement pas du bouton de
volume. Nous en prenons plein les oreilles alors que nous ne
l'avons pas forcément souhaité.
Ce n'est justement pas surcompressé : c'est juste un niveau
trop important et/ou une égalisation "à effets". Le tout
associé à des enceintes à haut rendement...
Là où je trouve la surcompression très dommageable, c'est au
cinéma où nous ne disposons malheureusement pas du bouton de
volume. Nous en prenons plein les oreilles alors que nous ne
l'avons pas forcément souhaité.
Ce n'est justement pas surcompressé : c'est juste un niveau
trop important et/ou une égalisation "à effets". Le tout
associé à des enceintes à haut rendement...