Ont-ils raison? les avis sont ouverts. Il est sûr que ce mouvement, par
son ampleur et sa spontanéité, traduit une exaspération bien
compréhensible, notamment devant l'instrumentalisation d'un fait divers
pour jeter le discrédit sur toute une profession et même une institution.
Mais il est tout aussi vrai que la justice a besoin d'être profondément
réformée: trop d'archaïsmes, de formalismes (même si certains d'entre
eux sont justifiés mais pas tous), de renvois, de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Ont-ils raison? les avis sont ouverts. Il est sûr que ce mouvement, par
son ampleur et sa spontanéité, traduit une exaspération bien
compréhensible, notamment devant l'instrumentalisation d'un fait divers
pour jeter le discrédit sur toute une profession et même une institution.
Mais il est tout aussi vrai que la justice a besoin d'être profondément
réformée: trop d'archaïsmes, de formalismes (même si certains d'entre
eux sont justifiés mais pas tous), de renvois, de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Ont-ils raison? les avis sont ouverts. Il est sûr que ce mouvement, par
son ampleur et sa spontanéité, traduit une exaspération bien
compréhensible, notamment devant l'instrumentalisation d'un fait divers
pour jeter le discrédit sur toute une profession et même une institution.
Mais il est tout aussi vrai que la justice a besoin d'être profondément
réformée: trop d'archaïsmes, de formalismes (même si certains d'entre
eux sont justifiés mais pas tous), de renvois, de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Le problème dans les systèmes judiciaires est qu'ils s'étouffent eux-mêmes, par les abus de forme au détriment du fond.
Le problème dans les systèmes judiciaires est qu'ils s'étouffent eux-mêmes, par les abus de forme au détriment du fond.
Le problème dans les systèmes judiciaires est qu'ils s'étouffent eux-mêmes, par les abus de forme au détriment du fond.
Le problème dans les systèmes judiciaires est qu'ils s'étouffent
eux-mêmes, par les abus de forme au détriment du fond.
Qu'est-ce qui provoque ces abus de forme ?
En France, les lois sont l'oeuvre des parlementaires (même si fortement
suggérées par le gouvernement).
L'origine des abus de forme dont tu parles est-elle à rechercher dans les
lois, ou dans la façon dont elles sont suivies ?
Si un juge fait relâcher un individu suspect ("malfaiteur dangereux"),
n'est-ce pas parce que la loi lui impose de le faire ?
Le problème dans les systèmes judiciaires est qu'ils s'étouffent
eux-mêmes, par les abus de forme au détriment du fond.
Qu'est-ce qui provoque ces abus de forme ?
En France, les lois sont l'oeuvre des parlementaires (même si fortement
suggérées par le gouvernement).
L'origine des abus de forme dont tu parles est-elle à rechercher dans les
lois, ou dans la façon dont elles sont suivies ?
Si un juge fait relâcher un individu suspect ("malfaiteur dangereux"),
n'est-ce pas parce que la loi lui impose de le faire ?
Le problème dans les systèmes judiciaires est qu'ils s'étouffent
eux-mêmes, par les abus de forme au détriment du fond.
Qu'est-ce qui provoque ces abus de forme ?
En France, les lois sont l'oeuvre des parlementaires (même si fortement
suggérées par le gouvernement).
L'origine des abus de forme dont tu parles est-elle à rechercher dans les
lois, ou dans la façon dont elles sont suivies ?
Si un juge fait relâcher un individu suspect ("malfaiteur dangereux"),
n'est-ce pas parce que la loi lui impose de le faire ?
les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
de formalismes (même si certains d'entre eux sont justifiés mais pas tous)
de renvois
de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
de formalismes (même si certains d'entre eux sont justifiés mais pas tous)
de renvois
de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
de formalismes (même si certains d'entre eux sont justifiés mais pas tous)
de renvois
de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
un ou deux exemples pour illustrer le propos permettrait un éventuel
intéressant débat ;
si les procédures juridiques, les dispositions législatives applicables
sont "obsolètes", supposons-le à propos de ce que vous pourriez vouloir
exprimer, est-ce de la responsabilité des magistrats ou des
parlementaires ?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la Loi ?de formalismes (même si certains d'entre eux sont justifiés mais pas
tous)
le formalisme étant le plus souvent une garantie de forme pour les
justiciables, quel "formalisme" faut-il donc supprimer ?de renvois
les renvois sont dans 99% des cas demandés du fait de la résultante d'un
retard d'une des deux parties au procès et pas des juges !
les renvois sont accordés en fonction de la justification présentée
le laxisme ainsi dénoncé n'est pas celui de l'institutionde faiblesses parfois.
genre ... la faiblesse d'un argument ?Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
le simple fait d'imputer au "corporatisme" la conséquence d'une enquête
parlementaire illustre le degré de crédibilité de la thèse !
un exemple : après Outreau le Parlement a voté en 2007 la collégialité
de l'instruction ;
quatre ans plus tard le Gouvernement, pas les juges, n'a rien fait pour
que la loi soit en application ; encore du " corporatisme " ?Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
+1 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :
les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
un ou deux exemples pour illustrer le propos permettrait un éventuel
intéressant débat ;
si les procédures juridiques, les dispositions législatives applicables
sont "obsolètes", supposons-le à propos de ce que vous pourriez vouloir
exprimer, est-ce de la responsabilité des magistrats ou des
parlementaires ?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la Loi ?
de formalismes (même si certains d'entre eux sont justifiés mais pas
tous)
le formalisme étant le plus souvent une garantie de forme pour les
justiciables, quel "formalisme" faut-il donc supprimer ?
de renvois
les renvois sont dans 99% des cas demandés du fait de la résultante d'un
retard d'une des deux parties au procès et pas des juges !
les renvois sont accordés en fonction de la justification présentée
le laxisme ainsi dénoncé n'est pas celui de l'institution
de faiblesses parfois.
genre ... la faiblesse d'un argument ?
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
le simple fait d'imputer au "corporatisme" la conséquence d'une enquête
parlementaire illustre le degré de crédibilité de la thèse !
un exemple : après Outreau le Parlement a voté en 2007 la collégialité
de l'instruction ;
quatre ans plus tard le Gouvernement, pas les juges, n'a rien fait pour
que la loi soit en application ; encore du " corporatisme " ?
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
+1 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
un ou deux exemples pour illustrer le propos permettrait un éventuel
intéressant débat ;
si les procédures juridiques, les dispositions législatives applicables
sont "obsolètes", supposons-le à propos de ce que vous pourriez vouloir
exprimer, est-ce de la responsabilité des magistrats ou des
parlementaires ?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la Loi ?de formalismes (même si certains d'entre eux sont justifiés mais pas
tous)
le formalisme étant le plus souvent une garantie de forme pour les
justiciables, quel "formalisme" faut-il donc supprimer ?de renvois
les renvois sont dans 99% des cas demandés du fait de la résultante d'un
retard d'une des deux parties au procès et pas des juges !
les renvois sont accordés en fonction de la justification présentée
le laxisme ainsi dénoncé n'est pas celui de l'institutionde faiblesses parfois.
genre ... la faiblesse d'un argument ?Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
le simple fait d'imputer au "corporatisme" la conséquence d'une enquête
parlementaire illustre le degré de crédibilité de la thèse !
un exemple : après Outreau le Parlement a voté en 2007 la collégialité
de l'instruction ;
quatre ans plus tard le Gouvernement, pas les juges, n'a rien fait pour
que la loi soit en application ; encore du " corporatisme " ?Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
+1 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
un ou deux exemples pour illustrer le propos permettrait un éventuel
intéressant débat ;
si les procédures juridiques, les dispositions législatives applicables
sont "obsolètes", supposons-le à propos de ce que vous pourriez vouloir
exprimer, est-ce de la responsabilité des magistrats ou des parlementaires
?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la Loi ?
les renvois sont dans 99% des cas demandés du fait de la résultante d'un
retard d'une des deux parties au procès et pas des juges !
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
le simple fait d'imputer au "corporatisme" la conséquence d'une enquête
parlementaire illustre le degré de crédibilité de la thèse !
un exemple : après Outreau le Parlement a voté en 2007 la collégialité de
l'instruction ;
quatre ans plus tard le Gouvernement, pas les juges, n'a rien fait pour
que la loi soit en application ; encore du " corporatisme " ?
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
+1 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :
les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
un ou deux exemples pour illustrer le propos permettrait un éventuel
intéressant débat ;
si les procédures juridiques, les dispositions législatives applicables
sont "obsolètes", supposons-le à propos de ce que vous pourriez vouloir
exprimer, est-ce de la responsabilité des magistrats ou des parlementaires
?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la Loi ?
les renvois sont dans 99% des cas demandés du fait de la résultante d'un
retard d'une des deux parties au procès et pas des juges !
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
le simple fait d'imputer au "corporatisme" la conséquence d'une enquête
parlementaire illustre le degré de crédibilité de la thèse !
un exemple : après Outreau le Parlement a voté en 2007 la collégialité de
l'instruction ;
quatre ans plus tard le Gouvernement, pas les juges, n'a rien fait pour
que la loi soit en application ; encore du " corporatisme " ?
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
+1 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
un ou deux exemples pour illustrer le propos permettrait un éventuel
intéressant débat ;
si les procédures juridiques, les dispositions législatives applicables
sont "obsolètes", supposons-le à propos de ce que vous pourriez vouloir
exprimer, est-ce de la responsabilité des magistrats ou des parlementaires
?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la Loi ?
les renvois sont dans 99% des cas demandés du fait de la résultante d'un
retard d'une des deux parties au procès et pas des juges !
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
le simple fait d'imputer au "corporatisme" la conséquence d'une enquête
parlementaire illustre le degré de crédibilité de la thèse !
un exemple : après Outreau le Parlement a voté en 2007 la collégialité de
l'instruction ;
quatre ans plus tard le Gouvernement, pas les juges, n'a rien fait pour
que la loi soit en application ; encore du " corporatisme " ?
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
+1 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Le 11/02/2011 10:44, www.juristprudence.c.la a écrit :Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
un ou deux exemples pour illustrer le propos permettrait un éventuel
intéressant débat ;
si les procédures juridiques, les dispositions législatives
applicables sont "obsolètes", supposons-le à propos de ce que vous
pourriez vouloir exprimer, est-ce de la responsabilité des magistrats
ou des parlementaires ?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la
Loi ?de formalismes (même si certains d'entre eux sont justifiés mais pas
tous)
le formalisme étant le plus souvent une garantie de forme pour les
justiciables, quel "formalisme" faut-il donc supprimer ?de renvois
les renvois sont dans 99% des cas demandés du fait de la résultante
d'un retard d'une des deux parties au procès et pas des juges !
les renvois sont accordés en fonction de la justification présentée
le laxisme ainsi dénoncé n'est pas celui de l'institutionde faiblesses parfois.
genre ... la faiblesse d'un argument ?Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
le simple fait d'imputer au "corporatisme" la conséquence d'une
enquête parlementaire illustre le degré de crédibilité de la thèse !
un exemple : après Outreau le Parlement a voté en 2007 la
collégialité de l'instruction ;
quatre ans plus tard le Gouvernement, pas les juges, n'a rien fait
pour que la loi soit en application ; encore du " corporatisme " ?Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
+1 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Réponse globale: il faut réformer, non pas chambouler, la justice ce
qui est du ressort des pouvoirs publics ...et de tous . Changer les
lois oui mais aussi le fonctionnement interne. Il ne s'agit pas de
changer le juge OU la loi ce qui est une façon de caricaturer le débat
en le réduisant à une alternative simpliste mais changer la loi et les
modes de fonctionnement de l'institution (avec très certainement aussi
des moyens supplémentaires).
Le formalisme est parfois une garantie pour le citoyen, certes d'où ma
restriction, mais enfin pas toujours !
Enfin les renvois sont accordés pour un oui pour un non, vous le savez
très bien: un peu plus de rigueur serait nécessaire .
Le 11/02/2011 10:44, www.juristprudence.c.la a écrit :
Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :
les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
un ou deux exemples pour illustrer le propos permettrait un éventuel
intéressant débat ;
si les procédures juridiques, les dispositions législatives
applicables sont "obsolètes", supposons-le à propos de ce que vous
pourriez vouloir exprimer, est-ce de la responsabilité des magistrats
ou des parlementaires ?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la
Loi ?
de formalismes (même si certains d'entre eux sont justifiés mais pas
tous)
le formalisme étant le plus souvent une garantie de forme pour les
justiciables, quel "formalisme" faut-il donc supprimer ?
de renvois
les renvois sont dans 99% des cas demandés du fait de la résultante
d'un retard d'une des deux parties au procès et pas des juges !
les renvois sont accordés en fonction de la justification présentée
le laxisme ainsi dénoncé n'est pas celui de l'institution
de faiblesses parfois.
genre ... la faiblesse d'un argument ?
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
le simple fait d'imputer au "corporatisme" la conséquence d'une
enquête parlementaire illustre le degré de crédibilité de la thèse !
un exemple : après Outreau le Parlement a voté en 2007 la
collégialité de l'instruction ;
quatre ans plus tard le Gouvernement, pas les juges, n'a rien fait
pour que la loi soit en application ; encore du " corporatisme " ?
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
+1 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Réponse globale: il faut réformer, non pas chambouler, la justice ce
qui est du ressort des pouvoirs publics ...et de tous . Changer les
lois oui mais aussi le fonctionnement interne. Il ne s'agit pas de
changer le juge OU la loi ce qui est une façon de caricaturer le débat
en le réduisant à une alternative simpliste mais changer la loi et les
modes de fonctionnement de l'institution (avec très certainement aussi
des moyens supplémentaires).
Le formalisme est parfois une garantie pour le citoyen, certes d'où ma
restriction, mais enfin pas toujours !
Enfin les renvois sont accordés pour un oui pour un non, vous le savez
très bien: un peu plus de rigueur serait nécessaire .
Le 11/02/2011 10:44, www.juristprudence.c.la a écrit :Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :les avis sont ouverts. /.../
la justice a besoin d'être profondément réformée: trop d'archaïsmes,
un ou deux exemples pour illustrer le propos permettrait un éventuel
intéressant débat ;
si les procédures juridiques, les dispositions législatives
applicables sont "obsolètes", supposons-le à propos de ce que vous
pourriez vouloir exprimer, est-ce de la responsabilité des magistrats
ou des parlementaires ?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la
Loi ?de formalismes (même si certains d'entre eux sont justifiés mais pas
tous)
le formalisme étant le plus souvent une garantie de forme pour les
justiciables, quel "formalisme" faut-il donc supprimer ?de renvois
les renvois sont dans 99% des cas demandés du fait de la résultante
d'un retard d'une des deux parties au procès et pas des juges !
les renvois sont accordés en fonction de la justification présentée
le laxisme ainsi dénoncé n'est pas celui de l'institutionde faiblesses parfois.
genre ... la faiblesse d'un argument ?Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
le simple fait d'imputer au "corporatisme" la conséquence d'une
enquête parlementaire illustre le degré de crédibilité de la thèse !
un exemple : après Outreau le Parlement a voté en 2007 la
collégialité de l'instruction ;
quatre ans plus tard le Gouvernement, pas les juges, n'a rien fait
pour que la loi soit en application ; encore du " corporatisme " ?Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
+1 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Réponse globale: il faut réformer, non pas chambouler, la justice ce
qui est du ressort des pouvoirs publics ...et de tous . Changer les
lois oui mais aussi le fonctionnement interne. Il ne s'agit pas de
changer le juge OU la loi ce qui est une façon de caricaturer le débat
en le réduisant à une alternative simpliste mais changer la loi et les
modes de fonctionnement de l'institution (avec très certainement aussi
des moyens supplémentaires).
Le formalisme est parfois une garantie pour le citoyen, certes d'où ma
restriction, mais enfin pas toujours !
Enfin les renvois sont accordés pour un oui pour un non, vous le savez
très bien: un peu plus de rigueur serait nécessaire .
est-ce de la responsabilité des magistrats ou des parlementaires ?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la Loi ?
est-ce de la responsabilité des magistrats ou des parlementaires ?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la Loi ?
est-ce de la responsabilité des magistrats ou des parlementaires ?
si la loi est mauvaise, il faut changer les juges ou bien changer la Loi ?
Ont-ils raison? les avis sont ouverts. Il est sûr que ce mouvement, par
son ampleur et sa spontanéité, traduit une exaspération bien
compréhensible, notamment devant l'instrumentalisation d'un fait divers
pour jeter le discrédit sur toute une profession et même une institution.
Mais il est tout aussi vrai que la justice a besoin d'être profondément
réformée: trop d'archaïsmes, de formalismes (même si certains d'entre
eux sont justifiés mais pas tous), de renvois, de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
Ont-ils raison? les avis sont ouverts. Il est sûr que ce mouvement, par
son ampleur et sa spontanéité, traduit une exaspération bien
compréhensible, notamment devant l'instrumentalisation d'un fait divers
pour jeter le discrédit sur toute une profession et même une institution.
Mais il est tout aussi vrai que la justice a besoin d'être profondément
réformée: trop d'archaïsmes, de formalismes (même si certains d'entre
eux sont justifiés mais pas tous), de renvois, de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
Ont-ils raison? les avis sont ouverts. Il est sûr que ce mouvement, par
son ampleur et sa spontanéité, traduit une exaspération bien
compréhensible, notamment devant l'instrumentalisation d'un fait divers
pour jeter le discrédit sur toute une profession et même une institution.
Mais il est tout aussi vrai que la justice a besoin d'être profondément
réformée: trop d'archaïsmes, de formalismes (même si certains d'entre
eux sont justifiés mais pas tous), de renvois, de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :Ont-ils raison? les avis sont ouverts. Il est sûr que ce mouvement, par
son ampleur et sa spontanéité, traduit une exaspération bien
compréhensible, notamment devant l'instrumentalisation d'un fait divers
pour jeter le discrédit sur toute une profession et même une institution.
Mais il est tout aussi vrai que la justice a besoin d'être profondément
réformée: trop d'archaïsmes, de formalismes (même si certains d'entre
eux sont justifiés mais pas tous), de renvois, de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
Le juge a longtemps été du côté des puissants; voici maintenant qu'il
sent que la profession est dévalorisée, qu'elle a perdu son prestige
pour une grande part, qu'elle n'a plus la complaisance des pouvoirs
publics, alors il regimbe et rue dans les brancarts.
Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :
Ont-ils raison? les avis sont ouverts. Il est sûr que ce mouvement, par
son ampleur et sa spontanéité, traduit une exaspération bien
compréhensible, notamment devant l'instrumentalisation d'un fait divers
pour jeter le discrédit sur toute une profession et même une institution.
Mais il est tout aussi vrai que la justice a besoin d'être profondément
réformée: trop d'archaïsmes, de formalismes (même si certains d'entre
eux sont justifiés mais pas tous), de renvois, de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
Le juge a longtemps été du côté des puissants; voici maintenant qu'il
sent que la profession est dévalorisée, qu'elle a perdu son prestige
pour une grande part, qu'elle n'a plus la complaisance des pouvoirs
publics, alors il regimbe et rue dans les brancarts.
Le 11/02/2011 08:26, kevin a écrit :Ont-ils raison? les avis sont ouverts. Il est sûr que ce mouvement, par
son ampleur et sa spontanéité, traduit une exaspération bien
compréhensible, notamment devant l'instrumentalisation d'un fait divers
pour jeter le discrédit sur toute une profession et même une institution.
Mais il est tout aussi vrai que la justice a besoin d'être profondément
réformée: trop d'archaïsmes, de formalismes (même si certains d'entre
eux sont justifiés mais pas tous), de renvois, de faiblesses parfois.
Et la profession a fait preuve d'un corporatisme coupable lors de
l'affaire d'Outreau ou plus exactement de l'après-Outreau.
Une réforme de fond oui, pas n'importe laquelle et surtout pas une
réforme faite dans la précipitation.
Le juge a longtemps été du côté des puissants; voici maintenant qu'il
sent que la profession est dévalorisée, qu'elle a perdu son prestige
pour une grande part, qu'elle n'a plus la complaisance des pouvoirs
publics, alors il regimbe et rue dans les brancarts.