La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
GhostRaider :La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
donc un effet bien plus prononcé que celui obtenu en mode auto du
Nikon.
GhostRaider :
La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
donc un effet bien plus prononcé que celui obtenu en mode auto du
Nikon.
GhostRaider :La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
donc un effet bien plus prononcé que celui obtenu en mode auto du
Nikon.
GhostRaider :La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
donc un effet bien plus prononcé que celui obtenu en mode auto du
Nikon.
GhostRaider :
La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
donc un effet bien plus prononcé que celui obtenu en mode auto du
Nikon.
GhostRaider :La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
donc un effet bien plus prononcé que celui obtenu en mode auto du
Nikon.
La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
La réponse se trouve dans le site de Charles Vassalo :
http://www.oitregor.com/numeric/highkey-lowkey/
"ce sont tout simplement des images avec une prédominance de tons clairs "
et
"on peut sentir que ce déséquilibre provient d'une volonté délibérée de
l'auteur, qu'il résulte d'une installation particulière de la scène
photographiée ou bien du traitement ultérieur de la photo"
et enfin :
"Dans l'idéal, l’histogramme devrait être complet (du noir au blanc) et
sans écrêtage, sauf, peut-être, pour des fonds complètement blancs".
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
La réponse se trouve dans le site de Charles Vassalo :
http://www.oitregor.com/numeric/highkey-lowkey/
"ce sont tout simplement des images avec une prédominance de tons clairs "
et
"on peut sentir que ce déséquilibre provient d'une volonté délibérée de
l'auteur, qu'il résulte d'une installation particulière de la scène
photographiée ou bien du traitement ultérieur de la photo"
et enfin :
"Dans l'idéal, l’histogramme devrait être complet (du noir au blanc) et
sans écrêtage, sauf, peut-être, pour des fonds complètement blancs".
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
La réponse se trouve dans le site de Charles Vassalo :
http://www.oitregor.com/numeric/highkey-lowkey/
"ce sont tout simplement des images avec une prédominance de tons clairs "
et
"on peut sentir que ce déséquilibre provient d'une volonté délibérée de
l'auteur, qu'il résulte d'une installation particulière de la scène
photographiée ou bien du traitement ultérieur de la photo"
et enfin :
"Dans l'idéal, l’histogramme devrait être complet (du noir au blanc) et
sans écrêtage, sauf, peut-être, pour des fonds complètement blancs".
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
Le 08/11/2015, Alf92 a supposé :GhostRaider :La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
donc un effet bien plus prononcé que celui obtenu en mode auto du
Nikon.
Bonne définition de G-R. Il est normal que Nikon ait restitué un sujet
blanc en tentant de le ramener vers le gris 18%, en mode standard.
L'image d'Alf92 est agréable, mais il a perdu de l'information en route
(AMHA). Bien que peut-être un peu moins agréable, l'image 1 de G-R est
plus complète. Je ne regarde pas les courbes, seulement mon impression à
l'écran.
Le 08/11/2015, Alf92 a supposé :
GhostRaider :
La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
donc un effet bien plus prononcé que celui obtenu en mode auto du
Nikon.
Bonne définition de G-R. Il est normal que Nikon ait restitué un sujet
blanc en tentant de le ramener vers le gris 18%, en mode standard.
L'image d'Alf92 est agréable, mais il a perdu de l'information en route
(AMHA). Bien que peut-être un peu moins agréable, l'image 1 de G-R est
plus complète. Je ne regarde pas les courbes, seulement mon impression à
l'écran.
Le 08/11/2015, Alf92 a supposé :GhostRaider :La définition même du High Key est l'objet de variantes. Est-ce une
surexposition pure et simple, ou est-ce plus compliqué ?
(...)
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
donc un effet bien plus prononcé que celui obtenu en mode auto du
Nikon.
Bonne définition de G-R. Il est normal que Nikon ait restitué un sujet
blanc en tentant de le ramener vers le gris 18%, en mode standard.
L'image d'Alf92 est agréable, mais il a perdu de l'information en route
(AMHA). Bien que peut-être un peu moins agréable, l'image 1 de G-R est
plus complète. Je ne regarde pas les courbes, seulement mon impression à
l'écran.
La photo en mode High Key :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKiqKRRkXk8_D7000-21677-001.JPG
La photo en mode Auto :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKiqMiswSp8_D7000-21678-001.JPG
Le mode High Key ou Auto est affiché sur la ligne Variprogram dans les
EXIF.
La photo en High Key est-elle simplement plus exposée que la photo
normale ou est-ce plus subtil ?
La photo en mode High Key :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKiqKRRkXk8_D7000-21677-001.JPG
La photo en mode Auto :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKiqMiswSp8_D7000-21678-001.JPG
Le mode High Key ou Auto est affiché sur la ligne Variprogram dans les
EXIF.
La photo en High Key est-elle simplement plus exposée que la photo
normale ou est-ce plus subtil ?
La photo en mode High Key :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKiqKRRkXk8_D7000-21677-001.JPG
La photo en mode Auto :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKiqMiswSp8_D7000-21678-001.JPG
Le mode High Key ou Auto est affiché sur la ligne Variprogram dans les
EXIF.
La photo en High Key est-elle simplement plus exposée que la photo
normale ou est-ce plus subtil ?
"GhostRaider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
Il semble bien que ce soit exactement cela.
Dans The Manual of Photography, Focal Press (auparavant le Ilford
Manual...) il est écrit:
" The print should show the full range of tones between black and white
that is capable of being produced on the paper used. (Even in high-key
and low-key photographs it is usually desirable that the print should
show some white and some black, however small these areas may be.) "
Ne pensez pas mal et dites que c'est Ilford qui a copié Charles...
Dans le Glafkidès, Chimie et physique photographiques, il est écrit:
"Images en "High Key". - Les images en "High Key" sont constituées par
des gammes de tons clairs parsemés de taches sombres de faible étendue.
La méthode la plus simple consiste à photographier des sujets pleins de
clarté, sans contrastes accusés. Négatifs et positifs sont développés
doux. S'il y a de fortes densités gênantes, on diminue la durée de
tirage. Une seconde méthode consiste à blanchir l'image positive dans un
bain durcissant au bichromate qui tanne la gélatine dans la régions des
hautes densités. Par redéveloppement dans un bain au diaminophénol
dilué, seules les parties claires de l'image viennent normalement."
C'est simple mais peut-être préférez-vous encore la méthode numérique!
J'ai aussi trouvé comment s'y prendre au moment de la prise de vue dans
"Light, Science & Magic" chez Focal Press: mais c'est un bon 8 pages sur
le HK et LK avec photos. Je ne transcrirai pas. En résumé le Low-Key
s'éclaire de coté et de dos, le High-Key plutôt de face; il est aussi
préférable de porter des vêtements pâles et d'utiliser un fond clair
pour le High-Key. Et zut il dit qu'il est plus facile d'éclairer en
high-key qu'en low-key: il faudra faire du low-key maintenant.
J'ai continué mes recherches dans "Le livre de photographe amateur" par
Georges Collin chez Paul Montel... environ 1934... C'est tout en
français bien compréhensible, donc pas de high-key ou de low-key et
parce que je ne sais pas quels sont les équivalents français je n'ai pas
trouvé et je n'ai pas tout lu. Mea culpa. JDD l'a peut-être lu et nous
en dira plus.
Dans Basic Photography M. J. Langford ne parle que de la différence de
perception d'un même sujet en low-key et en high-key.
C'est bien peu mais j'espère assez pour satisfaire Alf92
J'ai quelques bouquins sur l'éclairage mais curieusement ils n'ont pas
d'index et des tables des matières mal foutues. Ils doivent servir plus
à montrer les finesses de l'auteur qu'à instruire le lecteur.
"GhostRaider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
Il semble bien que ce soit exactement cela.
Dans The Manual of Photography, Focal Press (auparavant le Ilford
Manual...) il est écrit:
" The print should show the full range of tones between black and white
that is capable of being produced on the paper used. (Even in high-key
and low-key photographs it is usually desirable that the print should
show some white and some black, however small these areas may be.) "
Ne pensez pas mal et dites que c'est Ilford qui a copié Charles...
Dans le Glafkidès, Chimie et physique photographiques, il est écrit:
"Images en "High Key". - Les images en "High Key" sont constituées par
des gammes de tons clairs parsemés de taches sombres de faible étendue.
La méthode la plus simple consiste à photographier des sujets pleins de
clarté, sans contrastes accusés. Négatifs et positifs sont développés
doux. S'il y a de fortes densités gênantes, on diminue la durée de
tirage. Une seconde méthode consiste à blanchir l'image positive dans un
bain durcissant au bichromate qui tanne la gélatine dans la régions des
hautes densités. Par redéveloppement dans un bain au diaminophénol
dilué, seules les parties claires de l'image viennent normalement."
C'est simple mais peut-être préférez-vous encore la méthode numérique!
J'ai aussi trouvé comment s'y prendre au moment de la prise de vue dans
"Light, Science & Magic" chez Focal Press: mais c'est un bon 8 pages sur
le HK et LK avec photos. Je ne transcrirai pas. En résumé le Low-Key
s'éclaire de coté et de dos, le High-Key plutôt de face; il est aussi
préférable de porter des vêtements pâles et d'utiliser un fond clair
pour le High-Key. Et zut il dit qu'il est plus facile d'éclairer en
high-key qu'en low-key: il faudra faire du low-key maintenant.
J'ai continué mes recherches dans "Le livre de photographe amateur" par
Georges Collin chez Paul Montel... environ 1934... C'est tout en
français bien compréhensible, donc pas de high-key ou de low-key et
parce que je ne sais pas quels sont les équivalents français je n'ai pas
trouvé et je n'ai pas tout lu. Mea culpa. JDD l'a peut-être lu et nous
en dira plus.
Dans Basic Photography M. J. Langford ne parle que de la différence de
perception d'un même sujet en low-key et en high-key.
C'est bien peu mais j'espère assez pour satisfaire Alf92
J'ai quelques bouquins sur l'éclairage mais curieusement ils n'ont pas
d'index et des tables des matières mal foutues. Ils doivent servir plus
à montrer les finesses de l'auteur qu'à instruire le lecteur.
"GhostRaider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
Il semble bien que ce soit exactement cela.
Dans The Manual of Photography, Focal Press (auparavant le Ilford
Manual...) il est écrit:
" The print should show the full range of tones between black and white
that is capable of being produced on the paper used. (Even in high-key
and low-key photographs it is usually desirable that the print should
show some white and some black, however small these areas may be.) "
Ne pensez pas mal et dites que c'est Ilford qui a copié Charles...
Dans le Glafkidès, Chimie et physique photographiques, il est écrit:
"Images en "High Key". - Les images en "High Key" sont constituées par
des gammes de tons clairs parsemés de taches sombres de faible étendue.
La méthode la plus simple consiste à photographier des sujets pleins de
clarté, sans contrastes accusés. Négatifs et positifs sont développés
doux. S'il y a de fortes densités gênantes, on diminue la durée de
tirage. Une seconde méthode consiste à blanchir l'image positive dans un
bain durcissant au bichromate qui tanne la gélatine dans la régions des
hautes densités. Par redéveloppement dans un bain au diaminophénol
dilué, seules les parties claires de l'image viennent normalement."
C'est simple mais peut-être préférez-vous encore la méthode numérique!
J'ai aussi trouvé comment s'y prendre au moment de la prise de vue dans
"Light, Science & Magic" chez Focal Press: mais c'est un bon 8 pages sur
le HK et LK avec photos. Je ne transcrirai pas. En résumé le Low-Key
s'éclaire de coté et de dos, le High-Key plutôt de face; il est aussi
préférable de porter des vêtements pâles et d'utiliser un fond clair
pour le High-Key. Et zut il dit qu'il est plus facile d'éclairer en
high-key qu'en low-key: il faudra faire du low-key maintenant.
J'ai continué mes recherches dans "Le livre de photographe amateur" par
Georges Collin chez Paul Montel... environ 1934... C'est tout en
français bien compréhensible, donc pas de high-key ou de low-key et
parce que je ne sais pas quels sont les équivalents français je n'ai pas
trouvé et je n'ai pas tout lu. Mea culpa. JDD l'a peut-être lu et nous
en dira plus.
Dans Basic Photography M. J. Langford ne parle que de la différence de
perception d'un même sujet en low-key et en high-key.
C'est bien peu mais j'espère assez pour satisfaire Alf92
J'ai quelques bouquins sur l'éclairage mais curieusement ils n'ont pas
d'index et des tables des matières mal foutues. Ils doivent servir plus
à montrer les finesses de l'auteur qu'à instruire le lecteur.
"GhostRaider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
Il semble bien que ce soit exactement cela.
Dans The Manual of Photography, Focal Press (auparavant le Ilford
Manual...) il est écrit:
" The print should show the full range of tones between black and white
that is capable of being produced on the paper used. (Even in high-key
and low-key photographs it is usually desirable that the print should
show some white and some black, however small these areas may be.) "
Ne pensez pas mal et dites que c'est Ilford qui a copié Charles...
"GhostRaider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
Il semble bien que ce soit exactement cela.
Dans The Manual of Photography, Focal Press (auparavant le Ilford
Manual...) il est écrit:
" The print should show the full range of tones between black and white
that is capable of being produced on the paper used. (Even in high-key
and low-key photographs it is usually desirable that the print should
show some white and some black, however small these areas may be.) "
Ne pensez pas mal et dites que c'est Ilford qui a copié Charles...
"GhostRaider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Donc le High Key se distingue de la surexposition en ce que :
- le photographe l'a voulu
- l'histogramme est si possible complet
- les blancs ne sont pas écrêtés.
Il semble bien que ce soit exactement cela.
Dans The Manual of Photography, Focal Press (auparavant le Ilford
Manual...) il est écrit:
" The print should show the full range of tones between black and white
that is capable of being produced on the paper used. (Even in high-key
and low-key photographs it is usually desirable that the print should
show some white and some black, however small these areas may be.) "
Ne pensez pas mal et dites que c'est Ilford qui a copié Charles...
Je remarque aussi que l'APN de GR a fait le maximum qu'il est possible
de permettre automatiquement pour que le photographe puisse reculer ou
accentuer davantage l'effet HighKey.
Je remarque aussi que l'APN de GR a fait le maximum qu'il est possible
de permettre automatiquement pour que le photographe puisse reculer ou
accentuer davantage l'effet HighKey.
Je remarque aussi que l'APN de GR a fait le maximum qu'il est possible
de permettre automatiquement pour que le photographe puisse reculer ou
accentuer davantage l'effet HighKey.
Alf92 :pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
Bonne définition de G-R. Il est normal que Nikon ait restitué un sujet
blanc en tentant de le ramener vers le gris 18%, en mode standard.
L'image d'Alf92 est agréable, mais il a perdu de l'information en route
(AMHA).
Alf92 :
pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
Bonne définition de G-R. Il est normal que Nikon ait restitué un sujet
blanc en tentant de le ramener vers le gris 18%, en mode standard.
L'image d'Alf92 est agréable, mais il a perdu de l'information en route
(AMHA).
Alf92 :pour moi la définition du HK n'est pas dans sa recette, mais dans son
rendu : tout est dans la *suggestion* des formes et des reliefs.
un peu comme ça (d'après l'image en mode auto) :
http://www.cjoint.com/doc/15_11/EKis3lDUp6c_hk2.jpg
Bonne définition de G-R. Il est normal que Nikon ait restitué un sujet
blanc en tentant de le ramener vers le gris 18%, en mode standard.
L'image d'Alf92 est agréable, mais il a perdu de l'information en route
(AMHA).