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L'idiote Eva Joly

50 réponses
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Demeter
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.

Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !

Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.

10 réponses

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Julien Arlandis
Le 23/03/2012 10:39, Demeter a écrit :
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.

Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !

Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.



Tiens, un perroquet...
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Colonial
Demeter avait soumis l'idée :
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.

Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !

Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.



La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place.
Quelles que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de
l'officier chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes
d'engagement, le préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une
volonté de couvrir de la manière la plus hermétique qui soit les
détails de l'opération?
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NB
Colonial a formulé ce vendredi :
Demeter avait soumis l'idée :
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.

Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !

Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.



La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place. Quelles
que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de l'officier
chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes d'engagement, le
préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une volonté de couvrir de
la manière la plus hermétique qui soit les détails de l'opération?



Il semble que ça râlait chez les flics, de se retrouver avec Guéant
dans leurs pattes.
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Augustin
Le 23/03/2012 11:32, Colonial a écrit :
Demeter avait soumis l'idée :
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.

Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !

Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.



La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place. Quelles
que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de l'officier chargé
de l'opération. Pour la transmission des consignes d'engagement, le préfet
suffit habituellement. Devons-nous voir là une volonté de couvrir de la
manière la plus hermétique qui soit les détails de l'opération?






... On est tout simplement en campagne électorale ... ;-)

--
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Cl.Massé
"Demeter" a écrit dans le message de
news:4f6c44ea$0$1715$
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.

Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !

Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.



Un conseiller général qui se permet un tel langage? C'est hallucinant!
Occupez-vous plutôt des idiots dans vos rangs, ça sera plus utile, et ça vous
occupera longtemps.

--
~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
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Cl.Massé
"Colonial" a écrit dans le message de
news:4f6c512f$0$21462$
Demeter avait soumis l'idée :
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.

Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !

Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.



La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place. Quelles
que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de l'officier chargé
de l'opération. Pour la transmission des consignes d'engagement, le préfet
suffit habituellement. Devons-nous voir là une volonté de couvrir de la
manière la plus hermétique qui soit les détails de l'opération?



L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M. Guéan,
directeur de campagne du président-candidat d'origine hongroise était déjà à
pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout, c'est à ça qu'on les reconnait.

--
~~~~ clmasse chez libre Hexagone
Liberté, Egalité, Sale assisté.
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eve
"Demeter" a écrit dans le message de groupe de discussion :
4f6c44ea$0$1715$

Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.

Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !

Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,

Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.


Le ministre Géant a été directeur général de la police nationale en 1994
donc il sait de quoi il parle , et les policiers aussi avec lui.
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Marc-Antoine
Je réponds à Colonial qui a écrit :

La vraie question est de savoir pourquoi le ministre était sur place. Quelles
que soient ses compétences, elles n'atteignent pas celles de l'officier
chargé de l'opération. Pour la transmission des consignes d'engagement, le
préfet suffit habituellement. Devons-nous voir là une volonté de couvrir de
la manière la plus hermétique qui soit les détails de l'opération?



Il me semble que dans toutes les affaire précédentes de terrorisme,
rapt etc... les ministres de l'intérieur étaient toujours présent non ?
Même si ses compétences n'égalent pas, *techniquement*, celles de
l'officier chargé des opérations, il me semble aussi que sa présence
est toute à fait légitime et que les ordres c'est lui qui les donne.

--
Marc-Antoine
Avatar
Marc-Antoine
Je réponds à Cl.Massé qui a écrit :

L'UMP qui accuse Hollande de n'avoir pas respecté la trêve, alors que M.
Guéan, directeur de campagne du président-candidat d'origine hongroise était
déjà à pied d'oeuvre dès le début, ça ose tout, c'est à ça qu'on les
reconnait.



Sinon qu'il n'est pas intervenu en tant que directeur de campagne mais
en tant que _ministre de l'intérieur_ qui a entre autre, autorité sur
le la direction générale de la police nationale, la direction générale
de la gendarmerie nationale, la direction de la sécurité civile ,etc..

Que n'aurait-on dit s'il n'avait pas daigné se déplacer ?

--
Marc-Antoine
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Rachel.C
"Demeter" a écrit dans le message de news:
4f6c44ea$0$1715$
Eva Joly. Ancienne magistrat, qu'elle ose déclamer de manière
sentencieuse qu'il y a des erreurs de procédures est incroyable.

Elle oublie que, depuis le début de l'affaire, il y a un double
pouvoir judiciaire sous la forme du procureur local et du procureur
de Paris. A partir du moment où il y a un forcené, on est dans le
cadre de l'ordre public. Dans ce cas, c'est le préfet qui est
compétent. Et lorsque le ministre de l'Intérieur est physiquement
présent sur place, il prend la direction des opérations. C'est le
droit français !

Bruno Beschizza
Conseiller régional d'Île-de-France,
Secrétaire National de l'UMP à l'emploi des forces de sécurité.




Ca, c'est une source...
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