Hier en fin de matinée grosse prise de tête avec un voisin.
Un de mes furet c'était échappé, le voisin me téléphone pour me signaler la
présence de la " bestiole" dans son garage, et que ce n'était pas la peine
de venir le récupérer car il allait l'occire avec un bâton.
Evidemment je me précipite, l'homme armé d'un bâton faisait le guet pour
supprimer le " nuisible"
Une chance le furet avait décidé de sortir sans se faire voir, je le
récupère.
Le voisin m'agresse verbalement, je m'énerve tout en tenant des propos
corrects.
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là
des ouvriers qui assistaient à la scène ).
L'après midi je lui envoie un courrier en recommandé avec accusé de
réception dans lequel je demande des excuses écrites et en expliquant ce
qu'est la zoophilie.
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Je ne suis pas procédurière mais si je n'obtiens pas des excuses écrites que
puis je faire pour lui faire comprendre que l'on ne peut pas dire n'importe
quoi ?
Dans le message 48e656c2$0$7931$, Marine <marineATclub-internet.fr> exprime ceci:
Bonjour,
Hier en fin de matinée grosse prise de tête avec un voisin.
Un de mes furet c'était échappé, le voisin me téléphone pour me signaler la présence de la " bestiole" dans son garage, et que ce n'était pas la peine de venir le récupérer car il allait l'occire avec un bâton. Evidemment je me précipite, l'homme armé d'un bâton faisait le guet pour supprimer le " nuisible"
Une chance le furet avait décidé de sortir sans se faire voir, je le récupère.
Le voisin m'agresse verbalement, je m'énerve tout en tenant des propos corrects.
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là des ouvriers qui assistaient à la scène ).
L'après midi je lui envoie un courrier en recommandé avec accusé de réception dans lequel je demande des excuses écrites et en expliquant ce qu'est la zoophilie.
Vous n'êtes pas prêt(e) d'avoir une répônse, laquelle vaudrait bien évidemment reconnaissance.
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Propos diffamatoires tenus en public à condition de retrouver et obtenir des témoignages.
Je ne suis pas procédurière mais si je n'obtiens pas des excuses écrites que puis je faire pour lui faire comprendre que l'on ne peut pas dire n'importe quoi ?
De la procédure, avec une prescription courte de 3 mois.
D'avance merci pour votre aide.
--
Dans le message 48e656c2$0$7931$7a628cd7@news.club-internet.fr, Marine
<marineATclub-internet.fr> exprime ceci:
Bonjour,
Hier en fin de matinée grosse prise de tête avec un voisin.
Un de mes furet c'était échappé, le voisin me téléphone pour me
signaler la présence de la " bestiole" dans son garage, et que ce
n'était pas la peine de venir le récupérer car il allait l'occire
avec un bâton.
Evidemment je me précipite, l'homme armé d'un bâton faisait le guet
pour supprimer le " nuisible"
Une chance le furet avait décidé de sortir sans se faire voir, je le
récupère.
Le voisin m'agresse verbalement, je m'énerve tout en tenant des propos
corrects.
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce
moment là des ouvriers qui assistaient à la scène ).
L'après midi je lui envoie un courrier en recommandé avec accusé de
réception dans lequel je demande des excuses écrites et en expliquant
ce qu'est la zoophilie.
Vous n'êtes pas prêt(e) d'avoir une répônse, laquelle vaudrait bien
évidemment reconnaissance.
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Propos diffamatoires tenus en public à condition de retrouver et obtenir
des témoignages.
Je ne suis pas procédurière mais si je n'obtiens pas des excuses
écrites que puis je faire pour lui faire comprendre que l'on ne peut
pas dire n'importe quoi ?
De la procédure, avec une prescription courte de 3 mois.
Dans le message 48e656c2$0$7931$, Marine <marineATclub-internet.fr> exprime ceci:
Bonjour,
Hier en fin de matinée grosse prise de tête avec un voisin.
Un de mes furet c'était échappé, le voisin me téléphone pour me signaler la présence de la " bestiole" dans son garage, et que ce n'était pas la peine de venir le récupérer car il allait l'occire avec un bâton. Evidemment je me précipite, l'homme armé d'un bâton faisait le guet pour supprimer le " nuisible"
Une chance le furet avait décidé de sortir sans se faire voir, je le récupère.
Le voisin m'agresse verbalement, je m'énerve tout en tenant des propos corrects.
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là des ouvriers qui assistaient à la scène ).
L'après midi je lui envoie un courrier en recommandé avec accusé de réception dans lequel je demande des excuses écrites et en expliquant ce qu'est la zoophilie.
Vous n'êtes pas prêt(e) d'avoir une répônse, laquelle vaudrait bien évidemment reconnaissance.
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Propos diffamatoires tenus en public à condition de retrouver et obtenir des témoignages.
Je ne suis pas procédurière mais si je n'obtiens pas des excuses écrites que puis je faire pour lui faire comprendre que l'on ne peut pas dire n'importe quoi ?
De la procédure, avec une prescription courte de 3 mois.
D'avance merci pour votre aide.
--
Jeffbie
Marine nous a crachouillé ceci :
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là des ouvriers qui assistaient à la scène ).
Si ce monsieur est d'origine non-francophone, n'aurait-il pas simplement confondu "furet" et "fourrer" ???
L'après midi je lui envoie un courrier en recommandé avec accusé de réception dans lequel je demande des excuses écrites et en expliquant ce qu'est la zoophilie. Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Disons que "salope zoophile" serait une insulte. Mais pas à cause de "zoophile" ! Quant à la diffamation, en cas de procès, le voisin devra démontrer que vous êtes zoophile, mais vous risquez d'avoir à démontrer le contraire.
Je ne suis pas procédurière mais si je n'obtiens pas des excuses écrites que puis je faire pour lui faire comprendre que l'on ne peut pas dire n'importe quoi ?
Il n'existe pas 36 façons de lui démontrer pratiquement et de manière indiscutable que vous préférez le contact de l'homme à celui d'une si petite bestiole, de plus assez mal proportionnée !
-- "Tu vis pas ici dans ta maison : tapissée partout mais pas dans les toilettes."
Marine nous a crachouillé ceci :
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là des
ouvriers qui assistaient à la scène ).
Si ce monsieur est d'origine non-francophone, n'aurait-il pas
simplement confondu "furet" et "fourrer" ???
L'après midi je lui envoie un courrier en recommandé avec accusé de réception
dans lequel je demande des excuses écrites et en expliquant ce qu'est la
zoophilie.
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Disons que "salope zoophile" serait une insulte.
Mais pas à cause de "zoophile" !
Quant à la diffamation, en cas de procès, le voisin devra démontrer que
vous êtes zoophile, mais vous risquez d'avoir à démontrer le contraire.
Je ne suis pas procédurière mais si je n'obtiens pas des excuses écrites que
puis je faire pour lui faire comprendre que l'on ne peut pas dire n'importe
quoi ?
Il n'existe pas 36 façons de lui démontrer pratiquement et de manière
indiscutable que vous préférez le contact de l'homme à celui d'une si
petite bestiole, de plus assez mal proportionnée !
--
"Tu vis pas ici dans ta maison :
tapissée partout mais pas dans les toilettes."
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là des ouvriers qui assistaient à la scène ).
Si ce monsieur est d'origine non-francophone, n'aurait-il pas simplement confondu "furet" et "fourrer" ???
L'après midi je lui envoie un courrier en recommandé avec accusé de réception dans lequel je demande des excuses écrites et en expliquant ce qu'est la zoophilie. Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Disons que "salope zoophile" serait une insulte. Mais pas à cause de "zoophile" ! Quant à la diffamation, en cas de procès, le voisin devra démontrer que vous êtes zoophile, mais vous risquez d'avoir à démontrer le contraire.
Je ne suis pas procédurière mais si je n'obtiens pas des excuses écrites que puis je faire pour lui faire comprendre que l'on ne peut pas dire n'importe quoi ?
Il n'existe pas 36 façons de lui démontrer pratiquement et de manière indiscutable que vous préférez le contact de l'homme à celui d'une si petite bestiole, de plus assez mal proportionnée !
-- "Tu vis pas ici dans ta maison : tapissée partout mais pas dans les toilettes."
Jean Bon (de Parme)
On Fri, 3 Oct 2008 19:30:44 +0200, "Marine" <marineATclub-internet.fr> wrote:
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là des ouvriers qui assistaient à la scène ).
Oui mais comment appele t on une personne qui aime les animaux ?
Peut on considerer brigitte bardot comme une zoophile si elle aime les animaux au moins autant que les Hommes ? Elle est au minimum activiste.
On Fri, 3 Oct 2008 19:30:44 +0200, "Marine" <marineATclub-internet.fr>
wrote:
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là
des ouvriers qui assistaient à la scène ).
Oui mais comment appele t on une personne qui aime les animaux ?
Peut on considerer brigitte bardot comme une zoophile si elle aime les
animaux au moins autant que les Hommes ? Elle est au minimum
activiste.
On Fri, 3 Oct 2008 19:30:44 +0200, "Marine" <marineATclub-internet.fr> wrote:
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là des ouvriers qui assistaient à la scène ).
Oui mais comment appele t on une personne qui aime les animaux ?
Peut on considerer brigitte bardot comme une zoophile si elle aime les animaux au moins autant que les Hommes ? Elle est au minimum activiste.
Jean Bon (de Parme)
On Fri, 3 Oct 2008 19:30:44 +0200, "Marine" <marineATclub-internet.fr> wrote:
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Zoophile pour moi je pensais que ca voulais dire à l'origine "quelqu'un qui aime les animaux" et que ca a été detourné. PAs mal de gens ne savent pas ce qu'est la zoophilie (sexuelle).
Francophile "qui aime ce qui se rapporte a la France" et pas quelqu'un qui aime enculer les francais.
Comment nomme t on alors les gens qui aiment les animaux (non sexuel)
On Fri, 3 Oct 2008 19:30:44 +0200, "Marine" <marineATclub-internet.fr>
wrote:
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Zoophile pour moi je pensais que ca voulais dire à l'origine
"quelqu'un qui aime les animaux" et que ca a été detourné. PAs mal de
gens ne savent pas ce qu'est la zoophilie (sexuelle).
Francophile "qui aime ce qui se rapporte a la France" et pas quelqu'un
qui aime enculer les francais.
Comment nomme t on alors les gens qui aiment les animaux (non sexuel)
On Fri, 3 Oct 2008 19:30:44 +0200, "Marine" <marineATclub-internet.fr> wrote:
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Zoophile pour moi je pensais que ca voulais dire à l'origine "quelqu'un qui aime les animaux" et que ca a été detourné. PAs mal de gens ne savent pas ce qu'est la zoophilie (sexuelle).
Francophile "qui aime ce qui se rapporte a la France" et pas quelqu'un qui aime enculer les francais.
Comment nomme t on alors les gens qui aiment les animaux (non sexuel)
Goret Neuneu
Jean Bon (de Parme) a écrit :
Francophile "qui aime ce qui se rapporte a la France" et pas quelqu'un qui aime enculer les francais.
Vous pensez à quelqu'un en particulier ?
-- G2N Le sage est ménager du temps et des paroles.
Jean Bon (de Parme) a écrit :
Francophile "qui aime ce qui se rapporte a la France" et pas quelqu'un
qui aime enculer les francais.
Vous pensez à quelqu'un en particulier ?
--
G2N
Le sage est ménager du temps et des paroles.
Francophile "qui aime ce qui se rapporte a la France" et pas quelqu'un qui aime enculer les francais.
Vous pensez à quelqu'un en particulier ?
-- G2N Le sage est ménager du temps et des paroles.
perec1143
Le Fri, 03 Oct 2008 19:30:44 +0200, dans 48e656c2$0$7931$, "Marine" <marineATclub-internet.fr> propose :
Bonjour,
Hier en fin de matinée grosse prise de tête avec un voisin.
Un de mes furet c'était échappé, le voisin me téléphone pour me signaler la présence de la " bestiole" dans son garage, et que ce n'était pas la peine de venir le récupérer car il allait l'occire avec un bâton.
Evidemment je me précipite, l'homme armé d'un bâton faisait le guet pour supprimer le " nuisible"
Une chance le furet avait décidé de sortir sans se faire voir, je le récupère.
Le voisin m'agresse verbalement, je m'énerve tout en tenant des propos corrects.
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là des ouvriers qui assistaient à la scène ).
L'après midi je lui envoie un courrier en recommandé avec accusé de réception dans lequel je demande des excuses écrites et en expliquant ce qu'est la zoophilie.
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Je ne suis pas procédurière mais si je n'obtiens pas des excuses écrites que puis je faire pour lui faire comprendre que l'on ne peut pas dire n'importe quoi ?
D'avance merci pour votre aide.
La zoophile n'est, me semble-t-il, pas répréhensible en France - sauf si il y a sévice sur un animal.
A mon très humble avis d'ex du bâtiment, le gars a dû vouloir gaudrioler sur femme+furet¾lette et exprimer par ce biais ses fantasmes de voyeur lesbianiste.
Ne vous tracassez pas avec ça : c'est un bourrin, un ma(^)l(e) (pas trop) élevé et ça ne vaut pas la peine qu'on emboucane un juge avec ça. Si vous voulez vous détendre en cas d'affrontement semblable aux dépends des médisants, apprenez un peu de leur langage et remettez les en place par un trait d'esprit - ce dont vous êtes sans nul doute capable.
Franchement, savez-vous pourquoi il tient tant à tondre sa pelouse le dimanche matin, hein ? -- "Celui-là ?" YJML
Le Fri, 03 Oct 2008 19:30:44 +0200, dans
48e656c2$0$7931$7a628cd7@news.club-internet.fr, "Marine"
<marineATclub-internet.fr> propose :
Bonjour,
Hier en fin de matinée grosse prise de tête avec un voisin.
Un de mes furet c'était échappé, le voisin me téléphone pour me signaler
la présence de la " bestiole" dans son garage, et que ce n'était pas la
peine de venir le récupérer car il allait l'occire avec un bâton.
Evidemment je me précipite, l'homme armé d'un bâton faisait le guet pour
supprimer le " nuisible"
Une chance le furet avait décidé de sortir sans se faire voir, je le
récupère.
Le voisin m'agresse verbalement, je m'énerve tout en tenant des propos
corrects.
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment
là des ouvriers qui assistaient à la scène ).
L'après midi je lui envoie un courrier en recommandé avec accusé de
réception dans lequel je demande des excuses écrites et en expliquant ce
qu'est la zoophilie.
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Je ne suis pas procédurière mais si je n'obtiens pas des excuses écrites
que puis je faire pour lui faire comprendre que l'on ne peut pas dire
n'importe quoi ?
D'avance merci pour votre aide.
La zoophile n'est, me semble-t-il, pas répréhensible en France - sauf si
il y a sévice sur un animal.
A mon très humble avis d'ex du bâtiment, le gars a dû vouloir gaudrioler
sur femme+furet¾lette et exprimer par ce biais ses fantasmes de voyeur
lesbianiste.
Ne vous tracassez pas avec ça : c'est un bourrin, un ma(^)l(e) (pas trop)
élevé et ça ne vaut pas la peine qu'on emboucane un juge avec ça.
Si vous voulez vous détendre en cas d'affrontement semblable aux dépends
des médisants, apprenez un peu de leur langage et remettez les en place
par un trait d'esprit - ce dont vous êtes sans nul doute capable.
Franchement, savez-vous pourquoi il tient tant à tondre sa pelouse le
dimanche matin, hein ?
--
"Celui-là ?" YJML
Le Fri, 03 Oct 2008 19:30:44 +0200, dans 48e656c2$0$7931$, "Marine" <marineATclub-internet.fr> propose :
Bonjour,
Hier en fin de matinée grosse prise de tête avec un voisin.
Un de mes furet c'était échappé, le voisin me téléphone pour me signaler la présence de la " bestiole" dans son garage, et que ce n'était pas la peine de venir le récupérer car il allait l'occire avec un bâton.
Evidemment je me précipite, l'homme armé d'un bâton faisait le guet pour supprimer le " nuisible"
Une chance le furet avait décidé de sortir sans se faire voir, je le récupère.
Le voisin m'agresse verbalement, je m'énerve tout en tenant des propos corrects.
Et là ce monsieur me dit que j'étais zoophile ( il y avait à ce moment là des ouvriers qui assistaient à la scène ).
L'après midi je lui envoie un courrier en recommandé avec accusé de réception dans lequel je demande des excuses écrites et en expliquant ce qu'est la zoophilie.
Les propos de ce voisin sont des injures ou des propos diffamatoires?
Je ne suis pas procédurière mais si je n'obtiens pas des excuses écrites que puis je faire pour lui faire comprendre que l'on ne peut pas dire n'importe quoi ?
D'avance merci pour votre aide.
La zoophile n'est, me semble-t-il, pas répréhensible en France - sauf si il y a sévice sur un animal.
A mon très humble avis d'ex du bâtiment, le gars a dû vouloir gaudrioler sur femme+furet¾lette et exprimer par ce biais ses fantasmes de voyeur lesbianiste.
Ne vous tracassez pas avec ça : c'est un bourrin, un ma(^)l(e) (pas trop) élevé et ça ne vaut pas la peine qu'on emboucane un juge avec ça. Si vous voulez vous détendre en cas d'affrontement semblable aux dépends des médisants, apprenez un peu de leur langage et remettez les en place par un trait d'esprit - ce dont vous êtes sans nul doute capable.
Franchement, savez-vous pourquoi il tient tant à tondre sa pelouse le dimanche matin, hein ? -- "Celui-là ?" YJML
Laurent PELE
"perec1143" a écrit dans le message de news: gc67p6$rj4$
Le Fri, 03 Oct 2008 19:30:44 +0200, dans 48e656c2$0$7931$, "Marine" <marineATclub-internet.fr> propose : La zoophile n'est, me semble-t-il, pas répréhensible en France - sauf si il y a sévice sur un animal.
Ouh là, cela ne va pas être facile de déterminer si l'animal était consentant ou pas !
Voici ce que dit la loi :
Article 521-1 du code pénal "Le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30000 euros d'amende.
A titre de peine complémentaire, le tribunal peut interdire la détention d'un animal, à titre définitif ou non.
Les dispositions du présent article ne sont pas applicables aux courses de taureaux lorsqu'une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Elles ne sont pas non plus applicables aux combats de coqs dans les localités où une tradition ininterrompue peut être établie.
Est punie des peines prévues au premier alinéa toute création d'un nouveau gallodrome.
Est également puni des mêmes peines l'abandon d'un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité, à l'exception des animaux destinés au repeuplement."
Article 521-2 "Le fait de pratiquer des expériences ou recherches scientifiques ou expérimentales sur les animaux sans se conformer aux prescriptions fixées par décret en Conseil d'État est puni des peines prévues à l'article 511-1."
C'est vrai que la loi exige un sévice qui se définit de "comme de mauvais traitements physiques sur quelqu'un" (Dalloz de termes juridiques). Mais franchement, je doute qu'il y ait des relations sexuelles homme/animal qui ne soient pas qualifiée de sévices. En tout cas la personne accusée de zoophilie qui se défend en prétextant que sa chèvre était consentante est à mon avis mal barrée.
"perec1143" <perec1143@gmail.com> a écrit dans le message de news:
gc67p6$rj4$2@news.le-studio75.com...
Le Fri, 03 Oct 2008 19:30:44 +0200, dans
48e656c2$0$7931$7a628cd7@news.club-internet.fr, "Marine"
<marineATclub-internet.fr> propose :
La zoophile n'est, me semble-t-il, pas répréhensible en France - sauf si
il y a sévice sur un animal.
Ouh là, cela ne va pas être facile de déterminer si l'animal était
consentant ou pas !
Voici ce que dit la loi :
Article 521-1 du code pénal
"Le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves, ou de nature
sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou
apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et
de 30000 euros d'amende.
A titre de peine complémentaire, le tribunal peut interdire la détention
d'un animal, à titre définitif ou non.
Les dispositions du présent article ne sont pas applicables aux courses de
taureaux lorsqu'une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Elles
ne sont pas non plus applicables aux combats de coqs dans les localités où
une tradition ininterrompue peut être établie.
Est punie des peines prévues au premier alinéa toute création d'un nouveau
gallodrome.
Est également puni des mêmes peines l'abandon d'un animal domestique,
apprivoisé ou tenu en captivité, à l'exception des animaux destinés au
repeuplement."
Article 521-2
"Le fait de pratiquer des expériences ou recherches scientifiques ou
expérimentales sur les animaux sans se conformer aux prescriptions fixées
par décret en Conseil d'État est puni des peines prévues à l'article 511-1."
C'est vrai que la loi exige un sévice qui se définit de "comme de mauvais
traitements physiques sur quelqu'un" (Dalloz de termes juridiques). Mais
franchement, je doute qu'il y ait des relations sexuelles homme/animal qui
ne soient pas qualifiée de sévices.
En tout cas la personne accusée de zoophilie qui se défend en prétextant que
sa chèvre était consentante est à mon avis mal barrée.
"perec1143" a écrit dans le message de news: gc67p6$rj4$
Le Fri, 03 Oct 2008 19:30:44 +0200, dans 48e656c2$0$7931$, "Marine" <marineATclub-internet.fr> propose : La zoophile n'est, me semble-t-il, pas répréhensible en France - sauf si il y a sévice sur un animal.
Ouh là, cela ne va pas être facile de déterminer si l'animal était consentant ou pas !
Voici ce que dit la loi :
Article 521-1 du code pénal "Le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30000 euros d'amende.
A titre de peine complémentaire, le tribunal peut interdire la détention d'un animal, à titre définitif ou non.
Les dispositions du présent article ne sont pas applicables aux courses de taureaux lorsqu'une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Elles ne sont pas non plus applicables aux combats de coqs dans les localités où une tradition ininterrompue peut être établie.
Est punie des peines prévues au premier alinéa toute création d'un nouveau gallodrome.
Est également puni des mêmes peines l'abandon d'un animal domestique, apprivoisé ou tenu en captivité, à l'exception des animaux destinés au repeuplement."
Article 521-2 "Le fait de pratiquer des expériences ou recherches scientifiques ou expérimentales sur les animaux sans se conformer aux prescriptions fixées par décret en Conseil d'État est puni des peines prévues à l'article 511-1."
C'est vrai que la loi exige un sévice qui se définit de "comme de mauvais traitements physiques sur quelqu'un" (Dalloz de termes juridiques). Mais franchement, je doute qu'il y ait des relations sexuelles homme/animal qui ne soient pas qualifiée de sévices. En tout cas la personne accusée de zoophilie qui se défend en prétextant que sa chèvre était consentante est à mon avis mal barrée.
perec1143
Le Sat, 04 Oct 2008 03:06:24 +0200, dans 48e6c18e$0$26569$, "Laurent PELE" propose :
"perec1143" a écrit dans le message de news: gc67p6$rj4$
Le Fri, 03 Oct 2008 19:30:44 +0200, dans 48e656c2$0$7931$, "Marine" <marineATclub-internet.fr> propose : La zoophile n'est, me semble-t-il, pas répréhensible en France - sauf si il y a sévice sur un animal.
Article 521-2 "Le fait de pratiquer des expériences ou recherches scientifiques ou expérimentales sur les animaux sans se conformer aux prescriptions fixées par décret en Conseil d'État est puni des peines prévues à l'article 511-1."
C'est vrai que la loi exige un sévice qui se définit de "comme de mauvais traitements physiques sur quelqu'un" (Dalloz de termes juridiques). Mais franchement, je doute qu'il y ait des relations sexuelles homme/animal qui ne soient pas qualifiée de sévices. En tout cas la personne accusée de zoophilie qui se défend en prétextant que sa chèvre était consentante est à mon avis mal barrée.
J'espère qu'un expert en droit débarquera bientôt, parce qu'amha, vous vous fourrez la chèvre jusqu'à l'homo plate :) -- "Celui-là ?" YJML
Le Sat, 04 Oct 2008 03:06:24 +0200, dans
48e6c18e$0$26569$426a74cc@news.free.fr, "Laurent PELE" <laurent@pele.org>
propose :
"perec1143" <perec1143@gmail.com> a écrit dans le message de news:
gc67p6$rj4$2@news.le-studio75.com...
Le Fri, 03 Oct 2008 19:30:44 +0200, dans
48e656c2$0$7931$7a628cd7@news.club-internet.fr, "Marine"
<marineATclub-internet.fr> propose :
La zoophile n'est, me semble-t-il, pas répréhensible en France - sauf
si il y a sévice sur un animal.
Article 521-2
"Le fait de pratiquer des expériences ou recherches scientifiques ou
expérimentales sur les animaux sans se conformer aux prescriptions
fixées par décret en Conseil d'État est puni des peines prévues à
l'article 511-1."
C'est vrai que la loi exige un sévice qui se définit de "comme de
mauvais traitements physiques sur quelqu'un" (Dalloz de termes
juridiques). Mais franchement, je doute qu'il y ait des relations
sexuelles homme/animal qui ne soient pas qualifiée de sévices. En tout
cas la personne accusée de zoophilie qui se défend en prétextant que sa
chèvre était consentante est à mon avis mal barrée.
J'espère qu'un expert en droit débarquera bientôt, parce qu'amha, vous
vous fourrez la chèvre jusqu'à l'homo plate :)
--
"Celui-là ?" YJML
Le Sat, 04 Oct 2008 03:06:24 +0200, dans 48e6c18e$0$26569$, "Laurent PELE" propose :
"perec1143" a écrit dans le message de news: gc67p6$rj4$
Le Fri, 03 Oct 2008 19:30:44 +0200, dans 48e656c2$0$7931$, "Marine" <marineATclub-internet.fr> propose : La zoophile n'est, me semble-t-il, pas répréhensible en France - sauf si il y a sévice sur un animal.
Article 521-2 "Le fait de pratiquer des expériences ou recherches scientifiques ou expérimentales sur les animaux sans se conformer aux prescriptions fixées par décret en Conseil d'État est puni des peines prévues à l'article 511-1."
C'est vrai que la loi exige un sévice qui se définit de "comme de mauvais traitements physiques sur quelqu'un" (Dalloz de termes juridiques). Mais franchement, je doute qu'il y ait des relations sexuelles homme/animal qui ne soient pas qualifiée de sévices. En tout cas la personne accusée de zoophilie qui se défend en prétextant que sa chèvre était consentante est à mon avis mal barrée.
J'espère qu'un expert en droit débarquera bientôt, parce qu'amha, vous vous fourrez la chèvre jusqu'à l'homo plate :) -- "Celui-là ?" YJML
Michel Bacqué
Laurent PELE a écrit :
"perec1143" a écrit dans le message de news: gc67p6$rj4$
C'est vrai que la loi exige un sévice qui se définit de "comme de mauvais traitements physiques sur quelqu'un" (Dalloz de termes juridiques). Mais franchement, je doute qu'il y ait des relations sexuelles homme/animal qui ne soient pas qualifiée de sévices. En tout cas la personne accusée de zoophilie qui se défend en prétextant que sa chèvre était consentante est à mon avis mal barrée.
Oui mais vous confondez zoophilie et passage à l'acte. La zoophilie est une attirance sexuelle, et aucune attirance sexuelle en tant que telle n'est répréhensible en tant que telle, seuls les passages à l'acte le sont.
-- Michel
Laurent PELE a écrit :
"perec1143" <perec1143@gmail.com> a écrit dans le message de news:
gc67p6$rj4$2@news.le-studio75.com...
C'est vrai que la loi exige un sévice qui se définit de "comme de mauvais
traitements physiques sur quelqu'un" (Dalloz de termes juridiques). Mais
franchement, je doute qu'il y ait des relations sexuelles homme/animal qui
ne soient pas qualifiée de sévices.
En tout cas la personne accusée de zoophilie qui se défend en prétextant que
sa chèvre était consentante est à mon avis mal barrée.
Oui mais vous confondez zoophilie et passage à l'acte. La zoophilie est
une attirance sexuelle, et aucune attirance sexuelle en tant que telle
n'est répréhensible en tant que telle, seuls les passages à l'acte le sont.
"perec1143" a écrit dans le message de news: gc67p6$rj4$
C'est vrai que la loi exige un sévice qui se définit de "comme de mauvais traitements physiques sur quelqu'un" (Dalloz de termes juridiques). Mais franchement, je doute qu'il y ait des relations sexuelles homme/animal qui ne soient pas qualifiée de sévices. En tout cas la personne accusée de zoophilie qui se défend en prétextant que sa chèvre était consentante est à mon avis mal barrée.
Oui mais vous confondez zoophilie et passage à l'acte. La zoophilie est une attirance sexuelle, et aucune attirance sexuelle en tant que telle n'est répréhensible en tant que telle, seuls les passages à l'acte le sont.
-- Michel
koumac
> aucune attirance sexuelle en tant que telle n'est répréhensible en tant que telle, seuls les passages à l'acte le sont.
encore heureux , tous les hommes ont un jour ou l'autre était attiré par une inconnue dans la rue , sans pour autant lui sauter dessus .
> aucune attirance sexuelle en tant que telle
n'est répréhensible en tant que telle, seuls les passages à l'acte le
sont.
encore heureux , tous les hommes ont un jour ou l'autre était attiré par une
inconnue dans la rue , sans pour autant lui sauter dessus .