Je ne peux pas m'embêcher de relever la nullité absolue de cet
article. Autant le précédent était peut être une charge lourde et
partielle, mais avait l'avantage de poser de vraies questions et des
idées paradoxales (le caractère soluble du libre dans
l'ultra-capitalisme), autant celui ci est du plus pur discours
sectaire. Dès la seconde phrase le niveau est annoncé :
« Son auteur, par sa maladresse volontaire ? et sa partialité
s'est décrédibilisé. Il n'est donc pas forcément nécessaire de
répondre point par point à cette attaque. »
On est dans la cours de récréation avec de celui qui fera le plus
d'insultes, se livrera aux plus belles pétitions de principes, aux
attaques /ad hominem/ et aux sous-entendu sur la bonne foi du
contradicteur les plus dénuées d'intérêt. S'autoriser à sous entendre
que le contradicteur a tort et qu'il n'est pas nécessaire de répondre
parce qu'il fait sans aucun doute exprès de raconter n'importe quoi,
qu'il est donc du côté du mal, c'est assez fort.
Ça donne vraiment l'impression d'un fanatique religieux qui lève la
tête de son livre saint mais a oublié que tout le monde ne partage pas
sa foi et qu'il est peut être nécessaire, quand on ne parle pas à ses
ouailles, de "répoindre point par point" au moyen d'une argumentation.
Autre perle :
Par ailleurs, et comme par hasard, certaines prises de position
publiques viennent sensibiliser les décideurs et le grand public,
comme on soupçonne que ce fut le cas pour cette tribune, qui
visait à attaquer l'économie du logiciel libre. Le plus important
pour «eux» n'est pas de dire la vérité ; le plus important est de
maintenir leur situation de monopole.
Argument décisif, ce soupçon que l'article auquel est un sous-marin de
l'industrie du logiciel propriétaire. Le « eux » aussi est magnifique,
c'est un aveu de la logique sectaire et manichéiste de tout ça. Je
passe sur le fait que le contradicteur soient à nouveaux présentés
comme le mal absolu, duquel aucune vérité ne peut venir : il ne faut
donc surtout pas les écouter, ce serait courir le risque de succomber
au malin.
Faute d'avoir eu le temps de s'habituer à la lumière du jour, l'auteur
nous livre les arcanes de sa pensée dont Microsoft est la clef de
voûte dans le rôle du mal absolu :
Les grands éditeurs mondiaux avancent maintenant derrière des
prête-noms soi-disant experts et indépendants ou derrière de
petites associations et essayent de faire croire que la France
peut encore espérer voir un jour émerger un nouveau Microsoft.
Troisième allusion (« soi-disant experts et indépendant ») à la
corruption de l'interlocuteur.
Par ailleurs l'article ne répond absolument pas, comme il l'annonçait,
à l'argument du premier article, qui était en gros l'équivoque
économique du logiciel libre et de sa récupération par le marché. Il
énumère donc ce qui est acquis, à savoir que le marché s'y intéresse,
et on est censé croire que c'est bien.
Je ne peux pas m'embêcher de relever la nullité absolue de cet article. Autant le précédent était peut être une charge lourde et
Tu attendais quoi d'un journaliste ? Aucun des deux articles (l'original et sa réponse) n'ont été écrits par
des journalistes.
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
On Thu, 20 Jul 2006, Patrice Karatchentzeff wrote:
SL <nospam@nospam.com> writes:
Un article paru en réponse à « Il n'a de libre que le nom » : « Il
faut libérer le logiciel libre » :
Je ne peux pas m'embêcher de relever la nullité absolue de cet
article. Autant le précédent était peut être une charge lourde et
Tu attendais quoi d'un journaliste ?
Aucun des deux articles (l'original et sa réponse) n'ont été écrits par
des journalistes.
--
"Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce
que je veux !"
"The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy
way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
Je ne peux pas m'embêcher de relever la nullité absolue de cet article. Autant le précédent était peut être une charge lourde et
Tu attendais quoi d'un journaliste ? Aucun des deux articles (l'original et sa réponse) n'ont été écrits par
des journalistes.
-- "Je deteste les ordinateurs : ils font toujours ce que je dis, jamais ce que je veux !" "The obvious mathematical breakthrough would be development of an easy way to factor large prime numbers." (Bill Gates, The Road Ahead)
Patrice Karatchentzeff
Stéphane Zuckerman writes:
On Thu, 20 Jul 2006, Patrice Karatchentzeff wrote:
SL writes:
Un article paru en réponse à « Il n'a de libre que le nom » : « Il faut libérer le logiciel libre » :
Je ne peux pas m'embêcher de relever la nullité absolue de cet article. Autant le précédent était peut être une charge lourde et partielle, mais avait l'avantage de poser de vraies questions et des idées paradoxales (le caractère soluble du libre dans l'ultra-capitalisme), autant celui ci est du plus pur discours sectaire. Dès la seconde phrase le niveau est annoncé :
« Son auteur, par sa maladresse volontaire ? et sa partialité s'est décrédibilisé. Il n'est donc pas forcément nécessaire de répondre point par point à cette attaque. »
On est dans la cours de récréation avec de celui qui fera le plus d'insultes, se livrera aux plus belles pétitions de principes, aux attaques /ad hominem/ et aux sous-entendu sur la bonne foi du contradicteur les plus dénuées d'intérêt. S'autoriser à sous entendre que le contradicteur a tort et qu'il n'est pas nécessaire de répondre parce qu'il fait sans aucun doute exprès de raconter n'importe quoi, qu'il est donc du côté du mal, c'est assez fort.
Ça donne vraiment l'impression d'un fanatique religieux qui lève la tête de son livre saint mais a oublié que tout le monde ne partage pas sa foi et qu'il est peut être nécessaire, quand on ne parle pas à ses ouailles, de "répoindre point par point" au moyen d'une argumentation.
Autre perle :
Par ailleurs, et comme par hasard, certaines prises de position publiques viennent sensibiliser les décideurs et le grand public, comme on soupçonne que ce fut le cas pour cette tribune, qui visait à attaquer l'économie du logiciel libre. Le plus important pour «eux» n'est pas de dire la vérité ; le plus important est de maintenir leur situation de monopole.
Argument décisif, ce soupçon que l'article auquel est un sous-marin de l'industrie du logiciel propriétaire. Le « eux » aussi est magnifique, c'est un aveu de la logique sectaire et manichéiste de tout ça. Je passe sur le fait que le contradicteur soient à nouveaux présentés comme le mal absolu, duquel aucune vérité ne peut venir : il ne faut donc surtout pas les écouter, ce serait courir le risque de succomber au malin.
Faute d'avoir eu le temps de s'habituer à la lumière du jour, l'auteur nous livre les arcanes de sa pensée dont Microsoft est la clef de voûte dans le rôle du mal absolu :
Les grands éditeurs mondiaux avancent maintenant derrière des prête-noms soi-disant experts et indépendants ou derrière de petites associations et essayent de faire croire que la France peut encore espérer voir un jour émerger un nouveau Microsoft.
Troisième allusion (« soi-disant experts et indépendant ») à la corruption de l'interlocuteur.
Par ailleurs l'article ne répond absolument pas, comme il l'annonçait, à l'argument du premier article, qui était en gros l'équivoque économique du logiciel libre et de sa récupération par le marché. Il énumère donc ce qui est acquis, à savoir que le marché s'y intéresse, et on est censé croire que c'est bien.
j'ignore si votre prise de position est pertinente ou non, au motif que le jargon utilisé est incompréhensible ; merci d'écrire en FRANÇAIS !
SL wrote:
Un article paru en réponse à « Il n'a de libre que le nom » : « Il
faut libérer le logiciel libre » :
Je ne peux pas m'embêcher de relever la nullité absolue de cet
article. Autant le précédent était peut être une charge lourde et
partielle, mais avait l'avantage de poser de vraies questions et des
idées paradoxales (le caractère soluble du libre dans
l'ultra-capitalisme), autant celui ci est du plus pur discours
sectaire. Dès la seconde phrase le niveau est annoncé :
« Son auteur, par sa maladresse volontaire ? et sa partialité
s'est décrédibilisé. Il n'est donc pas forcément nécessaire de
répondre point par point à cette attaque. »
On est dans la cours de récréation avec de celui qui fera le plus
d'insultes, se livrera aux plus belles pétitions de principes, aux
attaques /ad hominem/ et aux sous-entendu sur la bonne foi du
contradicteur les plus dénuées d'intérêt. S'autoriser à sous entendre
que le contradicteur a tort et qu'il n'est pas nécessaire de répondre
parce qu'il fait sans aucun doute exprès de raconter n'importe quoi,
qu'il est donc du côté du mal, c'est assez fort.
Ça donne vraiment l'impression d'un fanatique religieux qui lève la
tête de son livre saint mais a oublié que tout le monde ne partage pas
sa foi et qu'il est peut être nécessaire, quand on ne parle pas à ses
ouailles, de "répoindre point par point" au moyen d'une argumentation.
Autre perle :
Par ailleurs, et comme par hasard, certaines prises de position
publiques viennent sensibiliser les décideurs et le grand public,
comme on soupçonne que ce fut le cas pour cette tribune, qui
visait à attaquer l'économie du logiciel libre. Le plus important
pour «eux» n'est pas de dire la vérité ; le plus important est de
maintenir leur situation de monopole.
Argument décisif, ce soupçon que l'article auquel est un sous-marin de
l'industrie du logiciel propriétaire. Le « eux » aussi est magnifique,
c'est un aveu de la logique sectaire et manichéiste de tout ça. Je
passe sur le fait que le contradicteur soient à nouveaux présentés
comme le mal absolu, duquel aucune vérité ne peut venir : il ne faut
donc surtout pas les écouter, ce serait courir le risque de succomber
au malin.
Faute d'avoir eu le temps de s'habituer à la lumière du jour, l'auteur
nous livre les arcanes de sa pensée dont Microsoft est la clef de
voûte dans le rôle du mal absolu :
Les grands éditeurs mondiaux avancent maintenant derrière des
prête-noms soi-disant experts et indépendants ou derrière de
petites associations et essayent de faire croire que la France
peut encore espérer voir un jour émerger un nouveau Microsoft.
Troisième allusion (« soi-disant experts et indépendant ») à la
corruption de l'interlocuteur.
Par ailleurs l'article ne répond absolument pas, comme il l'annonçait,
à l'argument du premier article, qui était en gros l'équivoque
économique du logiciel libre et de sa récupération par le marché. Il
énumère donc ce qui est acquis, à savoir que le marché s'y intéresse,
et on est censé croire que c'est bien.
j'ignore si votre prise de position est pertinente ou non, au motif que le
jargon utilisé est incompréhensible ; merci d'écrire en FRANÇAIS !
Je ne peux pas m'embêcher de relever la nullité absolue de cet article. Autant le précédent était peut être une charge lourde et partielle, mais avait l'avantage de poser de vraies questions et des idées paradoxales (le caractère soluble du libre dans l'ultra-capitalisme), autant celui ci est du plus pur discours sectaire. Dès la seconde phrase le niveau est annoncé :
« Son auteur, par sa maladresse volontaire ? et sa partialité s'est décrédibilisé. Il n'est donc pas forcément nécessaire de répondre point par point à cette attaque. »
On est dans la cours de récréation avec de celui qui fera le plus d'insultes, se livrera aux plus belles pétitions de principes, aux attaques /ad hominem/ et aux sous-entendu sur la bonne foi du contradicteur les plus dénuées d'intérêt. S'autoriser à sous entendre que le contradicteur a tort et qu'il n'est pas nécessaire de répondre parce qu'il fait sans aucun doute exprès de raconter n'importe quoi, qu'il est donc du côté du mal, c'est assez fort.
Ça donne vraiment l'impression d'un fanatique religieux qui lève la tête de son livre saint mais a oublié que tout le monde ne partage pas sa foi et qu'il est peut être nécessaire, quand on ne parle pas à ses ouailles, de "répoindre point par point" au moyen d'une argumentation.
Autre perle :
Par ailleurs, et comme par hasard, certaines prises de position publiques viennent sensibiliser les décideurs et le grand public, comme on soupçonne que ce fut le cas pour cette tribune, qui visait à attaquer l'économie du logiciel libre. Le plus important pour «eux» n'est pas de dire la vérité ; le plus important est de maintenir leur situation de monopole.
Argument décisif, ce soupçon que l'article auquel est un sous-marin de l'industrie du logiciel propriétaire. Le « eux » aussi est magnifique, c'est un aveu de la logique sectaire et manichéiste de tout ça. Je passe sur le fait que le contradicteur soient à nouveaux présentés comme le mal absolu, duquel aucune vérité ne peut venir : il ne faut donc surtout pas les écouter, ce serait courir le risque de succomber au malin.
Faute d'avoir eu le temps de s'habituer à la lumière du jour, l'auteur nous livre les arcanes de sa pensée dont Microsoft est la clef de voûte dans le rôle du mal absolu :
Les grands éditeurs mondiaux avancent maintenant derrière des prête-noms soi-disant experts et indépendants ou derrière de petites associations et essayent de faire croire que la France peut encore espérer voir un jour émerger un nouveau Microsoft.
Troisième allusion (« soi-disant experts et indépendant ») à la corruption de l'interlocuteur.
Par ailleurs l'article ne répond absolument pas, comme il l'annonçait, à l'argument du premier article, qui était en gros l'équivoque économique du logiciel libre et de sa récupération par le marché. Il énumère donc ce qui est acquis, à savoir que le marché s'y intéresse, et on est censé croire que c'est bien.
j'ignore si votre prise de position est pertinente ou non, au motif que le jargon utilisé est incompréhensible ; merci d'écrire en FRANÇAIS !
SL
SL writes:
Un article paru en réponse à « Il n'a de libre que le nom » : « Il faut libérer le logiciel libre » :
Je ne peux pas m'embêcher de relever la nullité absolue de cet article. Autant le précédent était peut être une charge lourde et
Tu attendais quoi d'un journaliste ?
De toute façon, même s'il était journaliste, on s'en fout des préjugés grossiers contre telle ou telle catégorie ! On interprète les textes sur leur contenu, pas sur le métier de leur auteur !
SL <nospam@nospam.com> writes:
Un article paru en réponse à « Il n'a de libre que le nom » : « Il
faut libérer le logiciel libre » :
Je ne peux pas m'embêcher de relever la nullité absolue de cet
article. Autant le précédent était peut être une charge lourde et
Tu attendais quoi d'un journaliste ?
De toute façon, même s'il était journaliste, on s'en fout des préjugés
grossiers contre telle ou telle catégorie ! On interprète les textes
sur leur contenu, pas sur le métier de leur auteur !
Je ne peux pas m'embêcher de relever la nullité absolue de cet article. Autant le précédent était peut être une charge lourde et
Tu attendais quoi d'un journaliste ?
De toute façon, même s'il était journaliste, on s'en fout des préjugés grossiers contre telle ou telle catégorie ! On interprète les textes sur leur contenu, pas sur le métier de leur auteur !
SL
j'ignore si votre prise de position est pertinente ou non, au motif que le jargon utilisé est incompréhensible ; merci d'écrire en FRANÇAIS !
Hein ??? qu'est ce que j'ai dit de jargonnant ou de pas français ?
j'ignore si votre prise de position est pertinente ou non, au motif
que le jargon utilisé est incompréhensible ; merci d'écrire en
FRANÇAIS !
Hein ??? qu'est ce que j'ai dit de jargonnant ou de pas français ?
j'ignore si votre prise de position est pertinente ou non, au motif que le jargon utilisé est incompréhensible ; merci d'écrire en FRANÇAIS !
Hein ??? qu'est ce que j'ai dit de jargonnant ou de pas français ?
Patrice Karatchentzeff
SL writes:
[...]
Tu attendais quoi d'un journaliste ?
De toute façon, même s'il était journaliste, on s'en fout des préjugés grossiers contre telle ou telle catégorie ! On interprète les textes sur leur contenu, pas sur le métier de leur auteur !
C'est vrai dans l'absolu, pas dans la pratique. Dans la pratique, la masse d'information est telle qu'il faut faire des choix. Tu peux décréter par exemple que ce qui sort d'un cerveau incapable de formuler deux phrases sans faire de fautes est probablement inintéressant.
Mon expérience, quant à moi, m'incite à penser que tout ce qui sort de la plume d'un journaliste est totalement inutile à lire.
De toute façon, même s'il était journaliste, on s'en fout des préjugés
grossiers contre telle ou telle catégorie ! On interprète les textes
sur leur contenu, pas sur le métier de leur auteur !
C'est vrai dans l'absolu, pas dans la pratique. Dans la pratique, la
masse d'information est telle qu'il faut faire des choix. Tu peux
décréter par exemple que ce qui sort d'un cerveau incapable de
formuler deux phrases sans faire de fautes est probablement
inintéressant.
Mon expérience, quant à moi, m'incite à penser que tout ce qui sort de
la plume d'un journaliste est totalement inutile à lire.
De toute façon, même s'il était journaliste, on s'en fout des préjugés grossiers contre telle ou telle catégorie ! On interprète les textes sur leur contenu, pas sur le métier de leur auteur !
C'est vrai dans l'absolu, pas dans la pratique. Dans la pratique, la masse d'information est telle qu'il faut faire des choix. Tu peux décréter par exemple que ce qui sort d'un cerveau incapable de formuler deux phrases sans faire de fautes est probablement inintéressant.
Mon expérience, quant à moi, m'incite à penser que tout ce qui sort de la plume d'un journaliste est totalement inutile à lire.
Mon expérience, quant à moi, m'incite à penser que tout ce qui sort de la plume d'un journaliste est totalement inutile à lire.
Mais alors, question naïve, quelles sont vos sources d'information ?
talon
SL wrote:
Mon expérience, quant à moi, m'incite à penser que tout ce qui sort de la plume d'un journaliste est totalement inutile à lire.
Mais alors, question naïve, quelles sont vos sources d'information ?
Il y a quand même un exemple particulièrement reluisant récemment. Dans Le Monde un journaliste écrit un article sur Antoine Zacharias en affirmant que c'est un franc maçon. Il justifie celà en disant que Zacharias a été viré à la suite d'une "conduite de Grenoble". Il prétend avoir cherché celà dans Google et trouvé un article - qu'il cite, associant cette expression à un rite franc maçon. http://genhames.free.fr/comptrad.htm
Je vais voir l'article et je découvre que du début à la fin il ne parle jamais des franc maçons mais de compagnons (au sens de ouvriers du bâtiment), chose qui est évidemment appropriée à Zacharias.
Un ou deux jours aprés dans Le Monde paraît un blog critiquant violemment cet article au nom de l'argument que j'ai donné. Crois-tu que le journaliste se serait excusé de s'être planté? Absolument rien. Voici d'ailleurs la réaction du grand orient: http://www.godf-eauvive.org/92,8,0,0,9/ Da-Vinci-Code-ou-comment-decrypter-n-importe-comment-l-affaire-Zacharias-Vinci.html
Donc voici un journaliste dans un journal réputé sérieux et même ennuyeux, qui sort une information "sensationnelle" en s'appuyant sur un article qu'il n'a même pas lu, sans parler de vérifié. Qui n'a pas un mot d'excuse quand son jeu est découvert. Que penser alors des informations obtenues dans les pays lointains et dangereux? Ca vaut bien Eric le Boucher se contentant de lorgner la petite culotte de Sharon Stone quand il est censé "couvrir" le forum de Davos :-)
--
Michel TALON
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Mon expérience, quant à moi, m'incite à penser que tout ce qui sort
de la plume d'un journaliste est totalement inutile à lire.
Mais alors, question naïve, quelles sont vos sources d'information ?
Il y a quand même un exemple particulièrement reluisant récemment. Dans
Le Monde un journaliste écrit un article sur Antoine Zacharias en affirmant que
c'est un franc maçon. Il justifie celà en disant que Zacharias a été viré
à la suite d'une "conduite de Grenoble". Il prétend avoir cherché celà dans
Google et trouvé un article - qu'il cite, associant cette expression à un rite
franc maçon.
http://genhames.free.fr/comptrad.htm
Je vais voir l'article et je découvre que du début à la fin il ne parle jamais
des franc maçons mais de compagnons (au sens de ouvriers du bâtiment), chose
qui est évidemment appropriée à Zacharias.
Un ou deux jours aprés dans Le Monde paraît un blog critiquant violemment cet
article au nom de l'argument que j'ai donné. Crois-tu que le journaliste se
serait excusé de s'être planté? Absolument rien.
Voici d'ailleurs la réaction du grand orient:
http://www.godf-eauvive.org/92,8,0,0,9/
Da-Vinci-Code-ou-comment-decrypter-n-importe-comment-l-affaire-Zacharias-Vinci.html
Donc voici un journaliste dans un journal réputé sérieux et même ennuyeux,
qui sort une information "sensationnelle" en s'appuyant sur un article qu'il
n'a même pas lu, sans parler de vérifié. Qui n'a pas un mot d'excuse quand son
jeu est découvert. Que penser alors des informations obtenues dans les pays
lointains et dangereux? Ca vaut bien Eric le Boucher se contentant de lorgner
la petite culotte de Sharon Stone quand il est censé "couvrir" le forum de
Davos :-)
Mon expérience, quant à moi, m'incite à penser que tout ce qui sort de la plume d'un journaliste est totalement inutile à lire.
Mais alors, question naïve, quelles sont vos sources d'information ?
Il y a quand même un exemple particulièrement reluisant récemment. Dans Le Monde un journaliste écrit un article sur Antoine Zacharias en affirmant que c'est un franc maçon. Il justifie celà en disant que Zacharias a été viré à la suite d'une "conduite de Grenoble". Il prétend avoir cherché celà dans Google et trouvé un article - qu'il cite, associant cette expression à un rite franc maçon. http://genhames.free.fr/comptrad.htm
Je vais voir l'article et je découvre que du début à la fin il ne parle jamais des franc maçons mais de compagnons (au sens de ouvriers du bâtiment), chose qui est évidemment appropriée à Zacharias.
Un ou deux jours aprés dans Le Monde paraît un blog critiquant violemment cet article au nom de l'argument que j'ai donné. Crois-tu que le journaliste se serait excusé de s'être planté? Absolument rien. Voici d'ailleurs la réaction du grand orient: http://www.godf-eauvive.org/92,8,0,0,9/ Da-Vinci-Code-ou-comment-decrypter-n-importe-comment-l-affaire-Zacharias-Vinci.html
Donc voici un journaliste dans un journal réputé sérieux et même ennuyeux, qui sort une information "sensationnelle" en s'appuyant sur un article qu'il n'a même pas lu, sans parler de vérifié. Qui n'a pas un mot d'excuse quand son jeu est découvert. Que penser alors des informations obtenues dans les pays lointains et dangereux? Ca vaut bien Eric le Boucher se contentant de lorgner la petite culotte de Sharon Stone quand il est censé "couvrir" le forum de Davos :-)
--
Michel TALON
Patrice Karatchentzeff
SL writes:
Mon expérience, quant à moi, m'incite à penser que tout ce qui sort de la plume d'un journaliste est totalement inutile à lire.
Mais alors, question naïve, quelles sont vos sources d'information ?
Si je comprends, ta seule source d'information est le journalisme ?