Les interrogations photographiques de Louis Viel
Le photographe confronte la beauté des femmes à la vacuité des bâtiments.
http://www.sudouest.fr/2010/04/21/les-interrogations-photographiques-de-louis-viel-71701-2277.php
Le Conseil général du Gers accueille, jusqu'au 30 avril prochain dans les
couloirs du bâtiment central, l'exposition du photographe-plasticien, Louis
Viel. Deux thématiques sont proposées par le Toulousain : « La Ville » un
polyptyque de 10 photos et « Archisculpture » en 12 photographies noir et
blanc.
L'artiste qui a effectué des études supérieures en arts plastiques, docteur
ès sciences physiques et docteur en arts appliqués, estime s'être ouvert au
monde qui l'entoure soit en le photographiant soit en créant des sculptures
où d'autres objets dans ou hors des espaces publics « pour aller vers le
spectateur ».
Quant à l'exposition, Louis Viel, recentre ses sentiments et ses visions sur
« la confrontation entre un personnage et la non-beauté des constructions ».
Sur le plan anecdotique, le photographe aime bien raconter sa rencontre avec
une personne qui travaille à la Défense et qui le voit photographier
l'immeuble étincelant : « Celle-ci m'a demandé si je travaillais là-dedans,
confie Louis Viel. Et j'ai compris que le beau masquait la réalité sociale
qu'il y a derrière avec entre autre le manque de confort moral et
d'affection. C'est fondamental ». Il en est ainsi sur les quelque 22 photos
proposées qui soulèvent les interrogations sans occulter l'acuité artistique
du photographe.
- "La Ville" un polyptyque de 10 photos couleur de 1998,
et
- "Archisculpture" en 12 photographies noir et blanc, création de 1997.
A propos d'ARCHISCULPTURE, Louis Viel écrit:
" Ces images pourraient évoquer un dislogue entre l'humain (représenté par
le corps féminin) et l'architecture actuelle: les constructions
de nos villes et leur non-beauté avec fer, verre et béton et leurs rythmes
rigides et ennuyeux. La mise en rapport de ces deux éléments est presque une
confrontation où l'humain, malgré sa position privilégiée, est emprisonné,
comme écrasé par sa propre construction qu'il voulait protectrice. De plus,
dans cette architecture, point de souplesse, point de douceur, juste la
courbe d'un lampadaire. Par contre, ces corps ou fragments de corps où
l'érotisme pourrait s'infiltrer en douceur, ne laissent paraître qu'une
expression silencieuse, voire méditative, lovée dans la profondeur de
images".
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delestaque
steeve et celine NOBILI wrote:
Les interrogations photographiques de Louis Viel Le photographe confronte la beauté des femmes à la vacuité des bâtiments. http://www.sudouest.fr/2010/04/21/les-interrogations-photographiques-de-louis-viel-71701-2277.php
Le Conseil général du Gers accueille, jusqu'au 30 avril prochain dans les couloirs du bâtiment central, l'exposition du photographe-plasticien, Louis Viel. Deux thématiques sont proposées par le Toulousain : « La Ville » un polyptyque de 10 photos et « Archisculpture » en 12 photographies noir et blanc. L'artiste qui a effectué des études supérieures en arts plastiques, docteur ès sciences physiques et docteur en arts appliqués, estime s'être ouvert au monde qui l'entoure soit en le photographiant soit en créant des sculptures où d'autres objets dans ou hors des espaces publics « pour aller vers le spectateur ».
Quant à l'exposition, Louis Viel, recentre ses sentiments et ses visions sur « la confrontation entre un personnage et la non-beauté des constructions ». Sur le plan anecdotique, le photographe aime bien raconter sa rencontre avec une personne qui travaille à la Défense et qui le voit photographier l'immeuble étincelant : « Celle-ci m'a demandé si je travaillais là-dedans, confie Louis Viel. Et j'ai compris que le beau masquait la réalité sociale qu'il y a derrière avec entre autre le manque de confort moral et d'affection. C'est fondamental ». Il en est ainsi sur les quelque 22 photos proposées qui soulèvent les interrogations sans occulter l'acuité artistique du photographe.
- "La Ville" un polyptyque de 10 photos couleur de 1998,
et
- "Archisculpture" en 12 photographies noir et blanc, création de 1997. A propos d'ARCHISCULPTURE, Louis Viel écrit: " Ces images pourraient évoquer un dislogue entre l'humain (représenté par le corps féminin) et l'architecture actuelle: les constructions de nos villes et leur non-beauté avec fer, verre et béton et leurs rythmes rigides et ennuyeux. La mise en rapport de ces deux éléments est presque une confrontation où l'humain, malgré sa position privilégiée, est emprisonné, comme écrasé par sa propre construction qu'il voulait protectrice. De plus, dans cette architecture, point de souplesse, point de douceur, juste la courbe d'un lampadaire. Par contre, ces corps ou fragments de corps où l'érotisme pourrait s'infiltrer en douceur, ne laissent paraître qu'une expression silencieuse, voire méditative, lovée dans la profondeur de images".
Ces textes représentent le délayage intellectuel que j'affectionne particulièrement, j'y note la " non-beauté " ça c'est excellent, et de plus c'est lui qui écrit ça, le docteur en tout un tas de trucs. ça, remarquable, puisqu'il estime lui même, il a raison, comme ça il est tranquille :
" L'artiste qui a effectué des études supérieures en arts plastiques,
docteur ès sciences physiques et docteur en arts appliqués, estime s'être ouvert au monde qui l'entoure soit en le photographiant soit en créant des sculptures où d'autres objets dans ou hors des espaces publics « pour aller vers le spectateur »."
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ? ce qu'il ne faut pas lire , quand même ! -- ricco
steeve et celine NOBILI wrote:
Les interrogations photographiques de Louis Viel
Le photographe confronte la beauté des femmes à la vacuité des
bâtiments.
http://www.sudouest.fr/2010/04/21/les-interrogations-photographiques-de-louis-viel-71701-2277.php
Le Conseil général du Gers accueille, jusqu'au 30 avril prochain dans
les couloirs du bâtiment central, l'exposition du
photographe-plasticien, Louis Viel. Deux thématiques sont proposées
par le Toulousain : « La Ville » un polyptyque de 10 photos et «
Archisculpture » en 12 photographies noir et blanc.
L'artiste qui a effectué des études supérieures en arts plastiques,
docteur ès sciences physiques et docteur en arts appliqués, estime
s'être ouvert au monde qui l'entoure soit en le photographiant soit
en créant des sculptures où d'autres objets dans ou hors des espaces
publics « pour aller vers le spectateur ».
Quant à l'exposition, Louis Viel, recentre ses sentiments et ses
visions sur « la confrontation entre un personnage et la non-beauté
des constructions ». Sur le plan anecdotique, le photographe aime
bien raconter sa rencontre avec une personne qui travaille à la
Défense et qui le voit photographier l'immeuble étincelant : «
Celle-ci m'a demandé si je travaillais là-dedans, confie Louis Viel.
Et j'ai compris que le beau masquait la réalité sociale qu'il y a
derrière avec entre autre le manque de confort moral et d'affection.
C'est fondamental ». Il en est ainsi sur les quelque 22 photos
proposées qui soulèvent les interrogations sans occulter l'acuité
artistique du photographe.
- "La Ville" un polyptyque de 10 photos couleur de 1998,
et
- "Archisculpture" en 12 photographies noir et blanc, création de
1997.
A propos d'ARCHISCULPTURE, Louis Viel écrit:
" Ces images pourraient évoquer un dislogue entre l'humain
(représenté par le corps féminin) et l'architecture actuelle: les
constructions de nos villes et leur non-beauté avec fer, verre et béton et
leurs
rythmes rigides et ennuyeux. La mise en rapport de ces deux éléments
est presque une confrontation où l'humain, malgré sa position
privilégiée, est emprisonné, comme écrasé par sa propre construction
qu'il voulait protectrice. De plus, dans cette architecture, point de
souplesse, point de douceur, juste la courbe d'un lampadaire. Par
contre, ces corps ou fragments de corps où l'érotisme pourrait
s'infiltrer en douceur, ne laissent paraître qu'une expression
silencieuse, voire méditative, lovée dans la profondeur de images".
Ces textes représentent le délayage intellectuel que j'affectionne
particulièrement, j'y note la " non-beauté " ça c'est excellent, et de plus
c'est lui qui écrit ça, le docteur en tout un tas de trucs.
ça, remarquable, puisqu'il estime lui même, il a raison, comme ça il est
tranquille :
" L'artiste qui a effectué des études supérieures en arts plastiques,
docteur ès sciences physiques et docteur en arts appliqués, estime
s'être ouvert au monde qui l'entoure soit en le photographiant soit
en créant des sculptures où d'autres objets dans ou hors des espaces
publics « pour aller vers le spectateur »."
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ?
ce qu'il ne faut pas lire , quand même !
--
ricco
Les interrogations photographiques de Louis Viel Le photographe confronte la beauté des femmes à la vacuité des bâtiments. http://www.sudouest.fr/2010/04/21/les-interrogations-photographiques-de-louis-viel-71701-2277.php
Le Conseil général du Gers accueille, jusqu'au 30 avril prochain dans les couloirs du bâtiment central, l'exposition du photographe-plasticien, Louis Viel. Deux thématiques sont proposées par le Toulousain : « La Ville » un polyptyque de 10 photos et « Archisculpture » en 12 photographies noir et blanc. L'artiste qui a effectué des études supérieures en arts plastiques, docteur ès sciences physiques et docteur en arts appliqués, estime s'être ouvert au monde qui l'entoure soit en le photographiant soit en créant des sculptures où d'autres objets dans ou hors des espaces publics « pour aller vers le spectateur ».
Quant à l'exposition, Louis Viel, recentre ses sentiments et ses visions sur « la confrontation entre un personnage et la non-beauté des constructions ». Sur le plan anecdotique, le photographe aime bien raconter sa rencontre avec une personne qui travaille à la Défense et qui le voit photographier l'immeuble étincelant : « Celle-ci m'a demandé si je travaillais là-dedans, confie Louis Viel. Et j'ai compris que le beau masquait la réalité sociale qu'il y a derrière avec entre autre le manque de confort moral et d'affection. C'est fondamental ». Il en est ainsi sur les quelque 22 photos proposées qui soulèvent les interrogations sans occulter l'acuité artistique du photographe.
- "La Ville" un polyptyque de 10 photos couleur de 1998,
et
- "Archisculpture" en 12 photographies noir et blanc, création de 1997. A propos d'ARCHISCULPTURE, Louis Viel écrit: " Ces images pourraient évoquer un dislogue entre l'humain (représenté par le corps féminin) et l'architecture actuelle: les constructions de nos villes et leur non-beauté avec fer, verre et béton et leurs rythmes rigides et ennuyeux. La mise en rapport de ces deux éléments est presque une confrontation où l'humain, malgré sa position privilégiée, est emprisonné, comme écrasé par sa propre construction qu'il voulait protectrice. De plus, dans cette architecture, point de souplesse, point de douceur, juste la courbe d'un lampadaire. Par contre, ces corps ou fragments de corps où l'érotisme pourrait s'infiltrer en douceur, ne laissent paraître qu'une expression silencieuse, voire méditative, lovée dans la profondeur de images".
Ces textes représentent le délayage intellectuel que j'affectionne particulièrement, j'y note la " non-beauté " ça c'est excellent, et de plus c'est lui qui écrit ça, le docteur en tout un tas de trucs. ça, remarquable, puisqu'il estime lui même, il a raison, comme ça il est tranquille :
" L'artiste qui a effectué des études supérieures en arts plastiques,
docteur ès sciences physiques et docteur en arts appliqués, estime s'être ouvert au monde qui l'entoure soit en le photographiant soit en créant des sculptures où d'autres objets dans ou hors des espaces publics « pour aller vers le spectateur »."
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ? ce qu'il ne faut pas lire , quand même ! -- ricco
albert
"delestaque" a écrit :
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ? ce qu'il ne faut pas lire , quand même ! -- ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui se soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi de chat comme nous ici.
Amitiés, albert
"delestaque" <r.delestaque@free.fr> a écrit :
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ?
ce qu'il ne faut pas lire , quand même !
--
ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui se
soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi de chat
comme nous ici.
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ? ce qu'il ne faut pas lire , quand même ! -- ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui se soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi de chat comme nous ici.
Amitiés, albert
jpw
"albert" a écrit dans le message de news: 4bd07730$0$2979$
"delestaque" a écrit :
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ? ce qu'il ne faut pas lire , quand même ! -- ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui se soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi de chat comme nous ici.
passer un doctorat en arts appliqués pour un plasticein ce n'est pas se soigner c'est normaliser sa maladie,
quand on est unijambiste on est obligé de faire avec quand on est plasticien, on peut se soigner effectivement
jpw
"albert" <albertlemoine.nospam@wanadoo.fr> a écrit dans le message de news:
4bd07730$0$2979$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
"delestaque" <r.delestaque@free.fr> a écrit :
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ?
ce qu'il ne faut pas lire , quand même !
--
ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui se
soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi de chat
comme nous ici.
passer un doctorat en arts appliqués pour un plasticein ce n'est pas se
soigner
c'est normaliser sa maladie,
quand on est unijambiste on est obligé de faire avec
quand on est plasticien, on peut se soigner effectivement
"albert" a écrit dans le message de news: 4bd07730$0$2979$
"delestaque" a écrit :
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ? ce qu'il ne faut pas lire , quand même ! -- ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui se soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi de chat comme nous ici.
passer un doctorat en arts appliqués pour un plasticein ce n'est pas se soigner c'est normaliser sa maladie,
quand on est unijambiste on est obligé de faire avec quand on est plasticien, on peut se soigner effectivement
jpw
delestaque
albert wrote:
"delestaque" a écrit :
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ? ce qu'il ne faut pas lire , quand même ! -- ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui se soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi de chat comme nous ici.
C'est certainement ça ! docteur en arts appliqués, on a le diplôme où ? Si c'est un " vrai artiste " là, je me tais ! Artiste, docteur, plasticien, artiste photographe, dis donc, ça vous en bouche un coin ! ricco
albert wrote:
"delestaque" <r.delestaque@free.fr> a écrit :
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ?
ce qu'il ne faut pas lire , quand même !
--
ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui
se soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi
de chat comme nous ici.
C'est certainement ça !
docteur en arts appliqués, on a le diplôme où ?
Si c'est un " vrai artiste " là, je me tais !
Artiste, docteur, plasticien, artiste photographe, dis donc, ça vous en
bouche un coin !
ricco
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ? ce qu'il ne faut pas lire , quand même ! -- ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui se soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi de chat comme nous ici.
C'est certainement ça ! docteur en arts appliqués, on a le diplôme où ? Si c'est un " vrai artiste " là, je me tais ! Artiste, docteur, plasticien, artiste photographe, dis donc, ça vous en bouche un coin ! ricco
delestaque
jpw wrote:
"albert" a écrit dans le message de news: 4bd07730$0$2979$
"delestaque" a écrit :
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ? ce qu'il ne faut pas lire , quand même ! -- ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui se soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi de chat comme nous ici.
passer un doctorat en arts appliqués pour un plasticein ce n'est pas se soigner c'est normaliser sa maladie,
quand on est unijambiste on est obligé de faire avec quand on est plasticien, on peut se soigner effectivement
jpw
Je pensais que ça ne se soignait pas, regarde leFolh !
jpw wrote:
"albert" <albertlemoine.nospam@wanadoo.fr> a écrit dans le message de
news: 4bd07730$0$2979$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
"delestaque" <r.delestaque@free.fr> a écrit :
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ?
ce qu'il ne faut pas lire , quand même !
--
ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui
se soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi
de chat comme nous ici.
passer un doctorat en arts appliqués pour un plasticein ce n'est pas
se soigner
c'est normaliser sa maladie,
quand on est unijambiste on est obligé de faire avec
quand on est plasticien, on peut se soigner effectivement
jpw
Je pensais que ça ne se soignait pas, regarde leFolh !
"albert" a écrit dans le message de news: 4bd07730$0$2979$
"delestaque" a écrit :
Il n'est pas aussi plasticien par hasard ? ce qu'il ne faut pas lire , quand même ! -- ricco
Si ! "docteur en arts appliqués". En gros c'est un plasticien qui se soigne, un artiste labellisé, un vrai artiste quoi ! Pas du pipi de chat comme nous ici.
passer un doctorat en arts appliqués pour un plasticein ce n'est pas se soigner c'est normaliser sa maladie,
quand on est unijambiste on est obligé de faire avec quand on est plasticien, on peut se soigner effectivement
jpw
Je pensais que ça ne se soignait pas, regarde leFolh !