lafosse réhabilité par ses complices aux magrittes du cinéma (une
sauterie cinégraphique, forcément psychotique, très privée, qui a les
moyens faciles de ses ambitions: s'aimer sois-même et entre sois pour
tous s'entre-réhabiliter), quoi de plus normal que le sourire de la
présentatrice en prime.
Voilà, les histoires de cinéma finissent mal, en général.
Et les journalistes font leur travail, très pétés par la pression de
leurs rivaux et audits mentors et maîtres-à-parraître.
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Tourdemanege
On 03/02/13 20:03, Tourdemanege wrote:
lafosse réhabilité par ses complices aux magrittes du cinéma (une sauterie cinégraphique, forcément psychotique, très privée, qui a les moyens faciles de ses ambitions: s'aimer sois-même et entre sois pour tous s'entre-réhabiliter), quoi de plus normal que le sourire de la présentatrice en prime.
Voilà, les histoires de cinéma finissent mal, en général.
Et les journalistes font leur travail, très pétés par la pression de leurs rivaux et audits mentors et maîtres-à-parraître.
Maître, je parraîtrai pour toi !
- J'ai tué mes cinq enfants, tu me feras un film, chéri ?
- OH OUI !
c'est un script ...
Putain ... --
On 03/02/13 20:03, Tourdemanege wrote:
lafosse réhabilité par ses complices aux magrittes du cinéma (une
sauterie cinégraphique, forcément psychotique, très privée, qui a les
moyens faciles de ses ambitions: s'aimer sois-même et entre sois pour
tous s'entre-réhabiliter), quoi de plus normal que le sourire de la
présentatrice en prime.
Voilà, les histoires de cinéma finissent mal, en général.
Et les journalistes font leur travail, très pétés par la pression de
leurs rivaux et audits mentors et maîtres-à-parraître.
Maître, je parraîtrai pour toi !
- J'ai tué mes cinq enfants, tu me feras un film, chéri ?
lafosse réhabilité par ses complices aux magrittes du cinéma (une sauterie cinégraphique, forcément psychotique, très privée, qui a les moyens faciles de ses ambitions: s'aimer sois-même et entre sois pour tous s'entre-réhabiliter), quoi de plus normal que le sourire de la présentatrice en prime.
Voilà, les histoires de cinéma finissent mal, en général.
Et les journalistes font leur travail, très pétés par la pression de leurs rivaux et audits mentors et maîtres-à-parraître.
Maître, je parraîtrai pour toi !
- J'ai tué mes cinq enfants, tu me feras un film, chéri ?
- OH OUI !
c'est un script ...
Putain ... --
Tourdemanege
On 03/02/13 20:05, Tourdemanege wrote:
Maître, je parraîtrai pour toi !
on aurait tout aussi bien pu faire abstraction de ce prix malfrat, et parler des autres primés de ce festival qui ne vaut probablement pas la peine d'exister, .. parlez d'autres choses ...
la répugnance est un feeling du vivant intelligent, on peut difficilement aller contre, à moins de forcer ... --
On 03/02/13 20:05, Tourdemanege wrote:
Maître, je parraîtrai pour toi !
on aurait tout aussi bien pu faire abstraction de ce prix malfrat, et
parler des autres primés de ce festival qui ne vaut probablement pas la
peine d'exister, .. parlez d'autres choses ...
la répugnance est un feeling du vivant intelligent, on peut
difficilement aller contre, à moins de forcer ...
--
on aurait tout aussi bien pu faire abstraction de ce prix malfrat, et parler des autres primés de ce festival qui ne vaut probablement pas la peine d'exister, .. parlez d'autres choses ...
la répugnance est un feeling du vivant intelligent, on peut difficilement aller contre, à moins de forcer ... --
