Bon, je mets en vente un appart. Schéma classique, exclusivité de 3 mois
dans une agence. On me désigne un agent responsable de mon affaire, d'une
autre agence car elles marchent en réseau.
Au bout de 3 mois j'ai un acheteur mais qui s'évapore pour cause de
condition suspensive. Et là l'agent chargé de la vente me fait une
proposition pour lui en son nom propre.
Je suis perplexe. Il n'y a plus d'exclusivité mais il est quand même
mandaté par une agence pour vendre d'autant que c'est avec eux que j'ai
décidé du prix.
S'il se vend à lui-même quid de la commission? Je subodore qu'il n'a pas
envie de la payer en jouant à l'acheteur libre. Peut-être me trompé-je. Je
veux bien lui céder mais quelles précautions prendre?
Bon, je mets en vente un appart. Schéma classique, exclusivité de 3 mois dans une agence. On me désigne un agent responsable de mon affaire, d'une autre agence car elles marchent en réseau.
Au bout de 3 mois j'ai un acheteur mais qui s'évapore pour cause de condition suspensive. Et là l'agent chargé de la vente me fait une proposition pour lui en son nom propre.
Je suis perplexe. Il n'y a plus d'exclusivité mais il est quand même mandaté par une agence pour vendre d'autant que c'est avec eux que j'ai décidé du prix.
S'il se vend à lui-même quid de la commission? Je subodore qu'il n'a pas envie de la payer en jouant à l'acheteur libre. Peut-être me trompé-je. Je veux bien lui céder mais quelles précautions prendre?
pose lui la question, ceux qui travaillent dans une agence immobilière, ont bien le droit, d'acheter un appart
Le 01/02/2016 22:52, jr a écrit :
Bon, je mets en vente un appart. Schéma classique, exclusivité de 3 mois
dans une agence. On me désigne un agent responsable de mon affaire, d'une
autre agence car elles marchent en réseau.
Au bout de 3 mois j'ai un acheteur mais qui s'évapore pour cause de
condition suspensive. Et là l'agent chargé de la vente me fait une
proposition pour lui en son nom propre.
Je suis perplexe. Il n'y a plus d'exclusivité mais il est quand même
mandaté par une agence pour vendre d'autant que c'est avec eux que j'ai
décidé du prix.
S'il se vend à lui-même quid de la commission? Je subodore qu'il n'a pas
envie de la payer en jouant à l'acheteur libre. Peut-être me trompé-je. Je
veux bien lui céder mais quelles précautions prendre?
pose lui la question, ceux qui travaillent dans une agence immobilière,
ont bien le droit, d'acheter un appart
Bon, je mets en vente un appart. Schéma classique, exclusivité de 3 mois dans une agence. On me désigne un agent responsable de mon affaire, d'une autre agence car elles marchent en réseau.
Au bout de 3 mois j'ai un acheteur mais qui s'évapore pour cause de condition suspensive. Et là l'agent chargé de la vente me fait une proposition pour lui en son nom propre.
Je suis perplexe. Il n'y a plus d'exclusivité mais il est quand même mandaté par une agence pour vendre d'autant que c'est avec eux que j'ai décidé du prix.
S'il se vend à lui-même quid de la commission? Je subodore qu'il n'a pas envie de la payer en jouant à l'acheteur libre. Peut-être me trompé-je. Je veux bien lui céder mais quelles précautions prendre?
pose lui la question, ceux qui travaillent dans une agence immobilière, ont bien le droit, d'acheter un appart
patrick.K1600GTLcazaux
jr wrote:
Je veux bien lui céder mais quelles précautions prendre?
De ton côté, je ne vois pas trop : après tout, tu as un acheteur, qui paie avec de l'argent issu de source propre, au prix convenu. Tu peux éventuellement te sentir mal à l'aise vis-à-vis de l'agence, mais ça, ça te regarde.
Le reste, c'est entre l'agent et sa boîte : si son employeur estime qu'il a manqué de loyauté, il pourra le sanctionner, mais je ne crois pas que ça remette en cause la légitimité de la vente.
Ou alors j'ai raté un truc ?
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
jr <jqs@froc.net> wrote:
Je
veux bien lui céder mais quelles précautions prendre?
De ton côté, je ne vois pas trop : après tout, tu as un acheteur, qui
paie avec de l'argent issu de source propre, au prix convenu. Tu peux
éventuellement te sentir mal à l'aise vis-à-vis de l'agence, mais ça, ça
te regarde.
Le reste, c'est entre l'agent et sa boîte : si son employeur estime
qu'il a manqué de loyauté, il pourra le sanctionner, mais je ne crois
pas que ça remette en cause la légitimité de la vente.
Je veux bien lui céder mais quelles précautions prendre?
De ton côté, je ne vois pas trop : après tout, tu as un acheteur, qui paie avec de l'argent issu de source propre, au prix convenu. Tu peux éventuellement te sentir mal à l'aise vis-à-vis de l'agence, mais ça, ça te regarde.
Le reste, c'est entre l'agent et sa boîte : si son employeur estime qu'il a manqué de loyauté, il pourra le sanctionner, mais je ne crois pas que ça remette en cause la légitimité de la vente.
Ou alors j'ai raté un truc ?
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
jr
Tardigradus wrote:
jr wrote:
Je veux bien lui céder mais quelles précautions prendre?
De ton côté, je ne vois pas trop : après tout, tu as un acheteur, qui paie avec de l'argent issu de source propre, au prix convenu. Tu peux éventuellement te sentir mal à l'aise vis-à-vis de l'agence, mais ça, ça te regarde.
Le reste, c'est entre l'agent et sa boîte : si son employeur estime qu'il a manqué de loyauté, il pourra le sanctionner, mais je ne crois pas que ça remette en cause la légitimité de la vente.
Ou alors j'ai raté un truc ?
Eh bien il y a un mandat, non exclusif certes. Ce qui m'impose en principe de signaler le nom de l'acquéreur à l'agence pour qu'elle vérifie qu'il n'a pas signé un papier de visite. Or mon interlocuteur à l'agence, c'est l'acheteur qui, cerise sur le gâteau, est d'une autre agence à cause de leur "réseau". Même si je fais un RAR à ce sujet, il y a des chances pour que ça lui revienne au simple vu de mon nom sur la lettre. Cela dit je serais couvert.
La vente serait certainement légitime mais ma crainte porte sur la commission.
Je
veux bien lui céder mais quelles précautions prendre?
De ton côté, je ne vois pas trop : après tout, tu as un acheteur, qui
paie avec de l'argent issu de source propre, au prix convenu. Tu peux
éventuellement te sentir mal à l'aise vis-à-vis de l'agence, mais ça, ça
te regarde.
Le reste, c'est entre l'agent et sa boîte : si son employeur estime
qu'il a manqué de loyauté, il pourra le sanctionner, mais je ne crois
pas que ça remette en cause la légitimité de la vente.
Ou alors j'ai raté un truc ?
Eh bien il y a un mandat, non exclusif certes. Ce qui m'impose en principe
de signaler le nom de l'acquéreur à l'agence pour qu'elle vérifie qu'il n'a
pas signé un papier de visite.
Or mon interlocuteur à l'agence, c'est l'acheteur qui, cerise sur le
gâteau, est d'une autre agence à cause de leur "réseau". Même si je fais un
RAR à ce sujet, il y a des chances pour que ça lui revienne au simple vu de
mon nom sur la lettre. Cela dit je serais couvert.
La vente serait certainement légitime mais ma crainte porte sur la
commission.
Je veux bien lui céder mais quelles précautions prendre?
De ton côté, je ne vois pas trop : après tout, tu as un acheteur, qui paie avec de l'argent issu de source propre, au prix convenu. Tu peux éventuellement te sentir mal à l'aise vis-à-vis de l'agence, mais ça, ça te regarde.
Le reste, c'est entre l'agent et sa boîte : si son employeur estime qu'il a manqué de loyauté, il pourra le sanctionner, mais je ne crois pas que ça remette en cause la légitimité de la vente.
Ou alors j'ai raté un truc ?
Eh bien il y a un mandat, non exclusif certes. Ce qui m'impose en principe de signaler le nom de l'acquéreur à l'agence pour qu'elle vérifie qu'il n'a pas signé un papier de visite. Or mon interlocuteur à l'agence, c'est l'acheteur qui, cerise sur le gâteau, est d'une autre agence à cause de leur "réseau". Même si je fais un RAR à ce sujet, il y a des chances pour que ça lui revienne au simple vu de mon nom sur la lettre. Cela dit je serais couvert.
La vente serait certainement légitime mais ma crainte porte sur la commission.
-- https://vimeo.com/71196521 jr
patrick.K1600GTLcazaux
jr wrote:
Eh bien il y a un mandat, non exclusif certes. Ce qui m'impose en principe de signaler le nom de l'acquéreur à l'agence pour qu'elle vérifie qu'il n'a pas signé un papier de visite.
J'avais compris que le mandat était échu.
Quant à la commission, elle est payée par l'acheteur, s'il y lieu. Je continue de penser que cette histoire n'est pas le problème du vendeur, d'un strict point de vue juridique en tout cas. Pour le reste, chacun voit midi à sa porte.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
jr <jqs@froc.net> wrote:
Eh bien il y a un mandat, non exclusif certes. Ce qui m'impose en principe
de signaler le nom de l'acquéreur à l'agence pour qu'elle vérifie qu'il n'a
pas signé un papier de visite.
J'avais compris que le mandat était échu.
Quant à la commission, elle est payée par l'acheteur, s'il y lieu. Je
continue de penser que cette histoire n'est pas le problème du vendeur,
d'un strict point de vue juridique en tout cas. Pour le reste, chacun
voit midi à sa porte.
Eh bien il y a un mandat, non exclusif certes. Ce qui m'impose en principe de signaler le nom de l'acquéreur à l'agence pour qu'elle vérifie qu'il n'a pas signé un papier de visite.
J'avais compris que le mandat était échu.
Quant à la commission, elle est payée par l'acheteur, s'il y lieu. Je continue de penser que cette histoire n'est pas le problème du vendeur, d'un strict point de vue juridique en tout cas. Pour le reste, chacun voit midi à sa porte.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
jr
Tardigradus wrote:
jr wrote:
Eh bien il y a un mandat, non exclusif certes. Ce qui m'impose en principe de signaler le nom de l'acquéreur à l'agence pour qu'elle vérifie qu'il n'a pas signé un papier de visite.
J'avais compris que le mandat était échu.
L'exclusivité oui.
Quant à la commission, elle est payée par l'acheteur, s'il y lieu. Je continue de penser que cette histoire n'est pas le problème du vendeur, d'un strict point de vue juridique en tout cas. Pour le reste, chacun voit midi à sa porte.
En effet. J'étais "puzzled" par le fait que l'intermédiaire mandaté n'est pas censé avoir un intérêt autre que sa commission. On peut imaginer plein de situations où le vendeur se fait avoir. Par exemple l'oubli de propositions plus intéressantes en matière de clauses suspensives.
Eh bien il y a un mandat, non exclusif certes. Ce qui m'impose en principe
de signaler le nom de l'acquéreur à l'agence pour qu'elle vérifie qu'il n'a
pas signé un papier de visite.
J'avais compris que le mandat était échu.
L'exclusivité oui.
Quant à la commission, elle est payée par l'acheteur, s'il y lieu. Je
continue de penser que cette histoire n'est pas le problème du vendeur,
d'un strict point de vue juridique en tout cas. Pour le reste, chacun
voit midi à sa porte.
En effet. J'étais "puzzled" par le fait que l'intermédiaire mandaté n'est
pas censé avoir un intérêt autre que sa commission. On peut imaginer plein
de situations où le vendeur se fait avoir. Par exemple l'oubli de
propositions plus intéressantes en matière de clauses suspensives.
Eh bien il y a un mandat, non exclusif certes. Ce qui m'impose en principe de signaler le nom de l'acquéreur à l'agence pour qu'elle vérifie qu'il n'a pas signé un papier de visite.
J'avais compris que le mandat était échu.
L'exclusivité oui.
Quant à la commission, elle est payée par l'acheteur, s'il y lieu. Je continue de penser que cette histoire n'est pas le problème du vendeur, d'un strict point de vue juridique en tout cas. Pour le reste, chacun voit midi à sa porte.
En effet. J'étais "puzzled" par le fait que l'intermédiaire mandaté n'est pas censé avoir un intérêt autre que sa commission. On peut imaginer plein de situations où le vendeur se fait avoir. Par exemple l'oubli de propositions plus intéressantes en matière de clauses suspensives.
-- https://vimeo.com/71196521 jr
patrick.K1600GTLcazaux
jr wrote:
En effet. J'étais "puzzled" par le fait que l'intermédiaire mandaté n'est pas censé avoir un intérêt autre que sa commission. On peut imaginer plein de situations où le vendeur se fait avoir. Par exemple l'oubli de propositions plus intéressantes en matière de clauses suspensives.
On peut facilement imaginer que l'intermédiaire puisse éliminer des candidats qui ne l'arrangent pas, lui, au profit d'autres qui lui paraissent plus intéressants pour une raison ou une autre, mais pas forcément pour l'intérêt du vendeur. Par exemple, éliminer tous les candidats pour pousser le vendeur à baisser son prix et faire faire la vente au profit d'un proche ou d'une relation, ou d'une personne qui lui refilera un dessous de table.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
jr <jqs@froc.net> wrote:
En effet. J'étais "puzzled" par le fait que l'intermédiaire mandaté n'est
pas censé avoir un intérêt autre que sa commission. On peut imaginer plein
de situations où le vendeur se fait avoir. Par exemple l'oubli de
propositions plus intéressantes en matière de clauses suspensives.
On peut facilement imaginer que l'intermédiaire puisse éliminer des
candidats qui ne l'arrangent pas, lui, au profit d'autres qui lui
paraissent plus intéressants pour une raison ou une autre, mais pas
forcément pour l'intérêt du vendeur. Par exemple, éliminer tous les
candidats pour pousser le vendeur à baisser son prix et faire faire la
vente au profit d'un proche ou d'une relation, ou d'une personne qui lui
refilera un dessous de table.
En effet. J'étais "puzzled" par le fait que l'intermédiaire mandaté n'est pas censé avoir un intérêt autre que sa commission. On peut imaginer plein de situations où le vendeur se fait avoir. Par exemple l'oubli de propositions plus intéressantes en matière de clauses suspensives.
On peut facilement imaginer que l'intermédiaire puisse éliminer des candidats qui ne l'arrangent pas, lui, au profit d'autres qui lui paraissent plus intéressants pour une raison ou une autre, mais pas forcément pour l'intérêt du vendeur. Par exemple, éliminer tous les candidats pour pousser le vendeur à baisser son prix et faire faire la vente au profit d'un proche ou d'une relation, ou d'une personne qui lui refilera un dessous de table.
-- Tardigradus e^iπ=-1 c'est magnifique
claude bb
Le 04/02/2016 08:07, Tardigradus a écrit :
jr wrote:
En effet. J'étais "puzzled" par le fait que l'intermédiaire mandaté n'est pas censé avoir un intérêt autre que sa commission. On peut imaginer plein de situations où le vendeur se fait avoir. Par exemple l'oubli de propositions plus intéressantes en matière de clauses suspensives.
On peut facilement imaginer que l'intermédiaire puisse éliminer des candidats qui ne l'arrangent pas, lui, au profit d'autres qui lui paraissent plus intéressants pour une raison ou une autre, mais pas forcément pour l'intérêt du vendeur. Par exemple, éliminer tous les candidats pour pousser le vendeur à baisser son prix et faire faire la vente au profit d'un proche ou d'une relation, ou d'une personne qui lui refilera un dessous de table.
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres agences (sans exclusivité), voire même par un notaire donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou est le problème?
Le 04/02/2016 08:07, Tardigradus a écrit :
jr <jqs@froc.net> wrote:
En effet. J'étais "puzzled" par le fait que l'intermédiaire mandaté n'est
pas censé avoir un intérêt autre que sa commission. On peut imaginer plein
de situations où le vendeur se fait avoir. Par exemple l'oubli de
propositions plus intéressantes en matière de clauses suspensives.
On peut facilement imaginer que l'intermédiaire puisse éliminer des
candidats qui ne l'arrangent pas, lui, au profit d'autres qui lui
paraissent plus intéressants pour une raison ou une autre, mais pas
forcément pour l'intérêt du vendeur. Par exemple, éliminer tous les
candidats pour pousser le vendeur à baisser son prix et faire faire la
vente au profit d'un proche ou d'une relation, ou d'une personne qui lui
refilera un dessous de table.
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix
du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres
agences (sans exclusivité), voire même par un notaire
donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou
est le problème?
En effet. J'étais "puzzled" par le fait que l'intermédiaire mandaté n'est pas censé avoir un intérêt autre que sa commission. On peut imaginer plein de situations où le vendeur se fait avoir. Par exemple l'oubli de propositions plus intéressantes en matière de clauses suspensives.
On peut facilement imaginer que l'intermédiaire puisse éliminer des candidats qui ne l'arrangent pas, lui, au profit d'autres qui lui paraissent plus intéressants pour une raison ou une autre, mais pas forcément pour l'intérêt du vendeur. Par exemple, éliminer tous les candidats pour pousser le vendeur à baisser son prix et faire faire la vente au profit d'un proche ou d'une relation, ou d'une personne qui lui refilera un dessous de table.
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres agences (sans exclusivité), voire même par un notaire donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou est le problème?
Patrick V
Le 04/02/2016 09:38, claude bb a écrit :
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres agences (sans exclusivité), voire même par un notaire donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou est le problème?
Ça soulève forcément des questions : si le vendeur était intéressé, est-ce qu'il n'aurait pas fait en sorte que le bien ne soit pas vendu plus tôt de manière à pouvoir l'acheter lui ? Même si le prix n'a pas baissé, le vendeur est lésé par le délai supplémentaire.
-- http://www.chevaliers4vents.com/
Le 04/02/2016 09:38, claude bb a écrit :
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix
du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres
agences (sans exclusivité), voire même par un notaire
donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou
est le problème?
Ça soulève forcément des questions : si le vendeur était intéressé,
est-ce qu'il n'aurait pas fait en sorte que le bien ne soit pas vendu
plus tôt de manière à pouvoir l'acheter lui ? Même si le prix n'a pas
baissé, le vendeur est lésé par le délai supplémentaire.
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres agences (sans exclusivité), voire même par un notaire donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou est le problème?
Ça soulève forcément des questions : si le vendeur était intéressé, est-ce qu'il n'aurait pas fait en sorte que le bien ne soit pas vendu plus tôt de manière à pouvoir l'acheter lui ? Même si le prix n'a pas baissé, le vendeur est lésé par le délai supplémentaire.
-- http://www.chevaliers4vents.com/
jr
Patrick V wrote:
Le 04/02/2016 09:38, claude bb a écrit :
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres agences (sans exclusivité), voire même par un notaire donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou est le problème?
Ça soulève forcément des questions : si le vendeur était intéressé, est-ce qu'il n'aurait pas fait en sorte que le bien ne soit pas vendu plus tôt de manière à pouvoir l'acheter lui ? Même si le prix n'a pas baissé, le vendeur est lésé par le délai supplémentaire.
Au bilan c'était bien un coup fourré. Il y avait un acheteur parfaitement correct que le commercial a fait lanterner jusqu'après l'exclusivité en prétendant que je refusais la condition suspensive et que je voulais un compromis ferme (il a raconté une autre salade à son patron pour ne pas payer la com ensuite).
L'acheteur a trouvé mon numéro sur Internet et on s'est expliqués. La condition suspensive (vente de sa maison, elle-même conditionnée par un prêt de son acquereur à lui) était levée. Il m'a envoyé tous les justificatifs, et c'est réglé. Il ne savait pas qui était son challenger dans cette affaire, je ne lui ai pas dit.
Morale: ne pas traiter avec un intermédiaire, par principe.
Anti-morale: le commercial et son agence vont quand même toucher leur com.
-- https://vimeo.com/71196521 jr
Patrick V <Patrick.V.u.i.c.h.a.r.d@mitgard.invalid> wrote:
Le 04/02/2016 09:38, claude bb a écrit :
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix
du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres
agences (sans exclusivité), voire même par un notaire
donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou
est le problème?
Ça soulève forcément des questions : si le vendeur était intéressé,
est-ce qu'il n'aurait pas fait en sorte que le bien ne soit pas vendu
plus tôt de manière à pouvoir l'acheter lui ? Même si le prix n'a pas
baissé, le vendeur est lésé par le délai supplémentaire.
Au bilan c'était bien un coup fourré. Il y avait un acheteur parfaitement
correct que le commercial a fait lanterner jusqu'après l'exclusivité en
prétendant que je refusais la condition suspensive et que je voulais un
compromis ferme (il a raconté une autre salade à son patron pour ne pas
payer la com ensuite).
L'acheteur a trouvé mon numéro sur Internet et on s'est expliqués. La
condition suspensive (vente de sa maison, elle-même conditionnée par un
prêt de son acquereur à lui) était levée. Il m'a envoyé tous les
justificatifs, et c'est réglé. Il ne savait pas qui était son challenger
dans cette affaire, je ne lui ai pas dit.
Morale: ne pas traiter avec un intermédiaire, par principe.
Anti-morale: le commercial et son agence vont quand même toucher leur com.
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres agences (sans exclusivité), voire même par un notaire donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou est le problème?
Ça soulève forcément des questions : si le vendeur était intéressé, est-ce qu'il n'aurait pas fait en sorte que le bien ne soit pas vendu plus tôt de manière à pouvoir l'acheter lui ? Même si le prix n'a pas baissé, le vendeur est lésé par le délai supplémentaire.
Au bilan c'était bien un coup fourré. Il y avait un acheteur parfaitement correct que le commercial a fait lanterner jusqu'après l'exclusivité en prétendant que je refusais la condition suspensive et que je voulais un compromis ferme (il a raconté une autre salade à son patron pour ne pas payer la com ensuite).
L'acheteur a trouvé mon numéro sur Internet et on s'est expliqués. La condition suspensive (vente de sa maison, elle-même conditionnée par un prêt de son acquereur à lui) était levée. Il m'a envoyé tous les justificatifs, et c'est réglé. Il ne savait pas qui était son challenger dans cette affaire, je ne lui ai pas dit.
Morale: ne pas traiter avec un intermédiaire, par principe.
Anti-morale: le commercial et son agence vont quand même toucher leur com.
-- https://vimeo.com/71196521 jr
anyone.
Le 18/02/2016 11:06, jr a écrit :
Patrick V wrote:
Le 04/02/2016 09:38, claude bb a écrit :
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres agences (sans exclusivité), voire même par un notaire donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou est le problème?
Ça soulève forcément des questions : si le vendeur était intéressé, est-ce qu'il n'aurait pas fait en sorte que le bien ne soit pas vendu plus tôt de manière à pouvoir l'acheter lui ? Même si le prix n'a pas baissé, le vendeur est lésé par le délai supplémentaire.
Au bilan c'était bien un coup fourré. Il y avait un acheteur parfaitement correct que le commercial a fait lanterner jusqu'après l'exclusivité en prétendant que je refusais la condition suspensive et que je voulais un compromis ferme (il a raconté une autre salade à son patron pour ne pas payer la com ensuite).
L'acheteur a trouvé mon numéro sur Internet et on s'est expliqués. La condition suspensive (vente de sa maison, elle-même conditionnée par un prêt de son acquereur à lui) était levée. Il m'a envoyé tous les justificatifs, et c'est réglé. Il ne savait pas qui était son challenger dans cette affaire, je ne lui ai pas dit.
Morale: ne pas traiter avec un intermédiaire, par principe.
Anti-morale: le commercial et son agence vont quand même toucher leur com.
Coup fourré pour coup fourré: pourquoi ne pas aller directement chez le notaire sans passer par l'agence ?
Le 18/02/2016 11:06, jr a écrit :
Patrick V <Patrick.V.u.i.c.h.a.r.d@mitgard.invalid> wrote:
Le 04/02/2016 09:38, claude bb a écrit :
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix
du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres
agences (sans exclusivité), voire même par un notaire
donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou
est le problème?
Ça soulève forcément des questions : si le vendeur était intéressé,
est-ce qu'il n'aurait pas fait en sorte que le bien ne soit pas vendu
plus tôt de manière à pouvoir l'acheter lui ? Même si le prix n'a pas
baissé, le vendeur est lésé par le délai supplémentaire.
Au bilan c'était bien un coup fourré. Il y avait un acheteur parfaitement
correct que le commercial a fait lanterner jusqu'après l'exclusivité en
prétendant que je refusais la condition suspensive et que je voulais un
compromis ferme (il a raconté une autre salade à son patron pour ne pas
payer la com ensuite).
L'acheteur a trouvé mon numéro sur Internet et on s'est expliqués. La
condition suspensive (vente de sa maison, elle-même conditionnée par un
prêt de son acquereur à lui) était levée. Il m'a envoyé tous les
justificatifs, et c'est réglé. Il ne savait pas qui était son challenger
dans cette affaire, je ne lui ai pas dit.
Morale: ne pas traiter avec un intermédiaire, par principe.
Anti-morale: le commercial et son agence vont quand même toucher leur com.
Coup fourré pour coup fourré: pourquoi ne pas aller directement chez le
notaire sans passer par l'agence ?
on pourrait le penser, mais je suppose que le vendeur, connait le prix du marché, de sa maison, il peut aussi, la faire évaluer, par d'autres agences (sans exclusivité), voire même par un notaire donc si le prix proposé par l’acheteur, correspond au prix du marché, ou est le problème?
Ça soulève forcément des questions : si le vendeur était intéressé, est-ce qu'il n'aurait pas fait en sorte que le bien ne soit pas vendu plus tôt de manière à pouvoir l'acheter lui ? Même si le prix n'a pas baissé, le vendeur est lésé par le délai supplémentaire.
Au bilan c'était bien un coup fourré. Il y avait un acheteur parfaitement correct que le commercial a fait lanterner jusqu'après l'exclusivité en prétendant que je refusais la condition suspensive et que je voulais un compromis ferme (il a raconté une autre salade à son patron pour ne pas payer la com ensuite).
L'acheteur a trouvé mon numéro sur Internet et on s'est expliqués. La condition suspensive (vente de sa maison, elle-même conditionnée par un prêt de son acquereur à lui) était levée. Il m'a envoyé tous les justificatifs, et c'est réglé. Il ne savait pas qui était son challenger dans cette affaire, je ne lui ai pas dit.
Morale: ne pas traiter avec un intermédiaire, par principe.
Anti-morale: le commercial et son agence vont quand même toucher leur com.
Coup fourré pour coup fourré: pourquoi ne pas aller directement chez le notaire sans passer par l'agence ?