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Le Monde parle de Free !!!

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M.Collard
Extraits :

M. de Filippis est mis en examen, puis relâché près de cinq heures après son
interpellation. Il est 11 h 30. Il appelle son journal, ses avocats et
arrive à Libération, pâle, choqué, fatigué, outré, avec la trace des
menottes au poignet encore visible.

Quel est l'objet du délit ? Une affaire de diffamation. L'article 42 de la
loi sur la presse du 29 juillet 1881 stipule que le directeur de publication
d'un journal - M. de Filippis à l'époque - est "l'auteur principal" du délit
de diffamation publique envers un particulier, le journaliste auteur du
papier incriminé n'étant que "complice".

Ce n'est pas la première fois que le fondateur de Free, M. Niel, porte
plainte contre Libération. Il l'a fait pour des articles de Renaud Lecadre
relatant les démêlés judiciaires de l'homme d'affaires. A chaque fois, le
plaignant et ses sociétés ont été déboutés, pour "procédures abusives", et
condamnés à verser des dommages et intérêts, explique Emmanuel Soussen, l'un
des avocats de Libération.

Début 2007, M. Niel a déposé une nouvelle plainte. Elle vise le commentaire
d'un internaute publié sur le site de Libération, sous un article titré
"Deux ans avec sursis pour le patron de Free". Publié dans Libération le 27
octobre 2006, cet article mentionnait la condamnation de M. Niel, par le
tribunal correctionnel de Paris, pour "recel d'abus de biens sociaux" dans
une affaire liée à des faits de proxénétisme entre 1992 et 2004.



http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/11/29/journaliste-et-pire-que-la-racaille_1124889_3224.html#ens_id=1124857



Je n'étais pas au courant de ces faits, c'est écourant, comment une personne
avec un tel passé peut être propriétaire d'un fournisseur d'accès Internet

3 réponses

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Geo
Bonjour

explique [...] l'un des avocats de Libération.



Donc aucune crédibilité.
Si on en croit leurs avocats tous les dossiers des escrocs qui ont été
condamnés, sont vides.

[...] comment une personne avec un
tel passé peut être propriétaire d'un fournisseur d'accès Internet



Si vous ne faites commerce qu'avec des gens honnêtes, vous allez faire
des économies.
mdr

--
A+
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M.Collard
"Geo" a écrit dans le message de news:

Bonjour

explique [...] l'un des avocats de Libération.



Donc aucune crédibilité.
Si on en croit leurs avocats tous les dossiers des escrocs qui ont été
condamnés, sont vides.

[...] comment une personne avec un tel passé peut être propriétaire d'un
fournisseur d'accès Internet



Si vous ne faites commerce qu'avec des gens honnêtes, vous allez faire des
économies.
mdr

--
A+






Nous n'avons sûrement pas les mêmes valeurs c'est certain et nous ne devons
pas fréquentés les mêmes endroits, l'honnêteté est une qualité
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M.Collard
"M.Collard" a écrit dans le message de news:
ggthnt$pre$

Extraits :

M. de Filippis est mis en examen, puis relâché près de cinq heures après
son interpellation. Il est 11 h 30. Il appelle son journal, ses avocats et
arrive à Libération, pâle, choqué, fatigué, outré, avec la trace des
menottes au poignet encore visible.

Quel est l'objet du délit ? Une affaire de diffamation. L'article 42 de la
loi sur la presse du 29 juillet 1881 stipule que le directeur de
publication d'un journal - M. de Filippis à l'époque - est "l'auteur
principal" du délit de diffamation publique envers un particulier, le
journaliste auteur du papier incriminé n'étant que "complice".

Ce n'est pas la première fois que le fondateur de Free, M. Niel, porte
plainte contre Libération. Il l'a fait pour des articles de Renaud Lecadre
relatant les démêlés judiciaires de l'homme d'affaires. A chaque fois, le
plaignant et ses sociétés ont été déboutés, pour "procédures abusives", et
condamnés à verser des dommages et intérêts, explique Emmanuel Soussen,
l'un des avocats de Libération.

Début 2007, M. Niel a déposé une nouvelle plainte. Elle vise le
commentaire d'un internaute publié sur le site de Libération, sous un
article titré "Deux ans avec sursis pour le patron de Free". Publié dans
Libération le 27 octobre 2006, cet article mentionnait la condamnation de
M. Niel, par le tribunal correctionnel de Paris, pour "recel d'abus de
biens sociaux" dans une affaire liée à des faits de proxénétisme entre
1992 et 2004.



http://www.lemonde.fr/societe/article/2008/11/29/journaliste-et-pire-que-la-racaille_1124889_3224.html#ens_id24857



Je n'étais pas au courant de ces faits, c'est écourant, comment une
personne avec un tel passé peut être propriétaire d'un fournisseur d'accès
Internet






Un éclairage du nouvel-obs

Lors d'un "peep-show", un ou plusieurs acteurs produisent sur scène des
actes à caractère sexuel, alors que les spectateurs les observent par la
fenêtre de petites cabines dans lesquelles ils sont isolés.


En fin de compte c'est encore plus ignoble que ce que je pensais et dire que
des gens en tirent des revenus