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munitions

106 réponses
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vocatus
Bonjour



= ==
Un zeste de droit pour rester en charte :

Ces démonstrations militaro en enceinte militaire
avec réception gratuite du public
c'est soumis à quelle réglementation ?
ERP ?
Même question pour le défilé du 14 juillet
( ex : un accélérateur coincé par une contre mesure
et un char qui fonce dans la foule )

De quels recours disposent les blessés, puisque l'armée
c'est l'etat et l'etat c'est nous ...donc eux

= = =


breves de comptoir ON
Les balles à blanc
Les balles réelles


Le bidasse moyen de mon époque *appelé *sous les drapeaux
disposait
1 pour son entrainement en manoeuvre de projectiles avec douille alu
et balle plastique blanc
12 obligation étant faite de ne pas laisser trainer dans la nature
les douilles et autres clips de bande

2 au pas de tir, de balles réelles avec douilles metalliques
21 distribuées au compte goutte par le sergent responsable
assisté d'un capo sous surveillance générale d'un lieutenant ou pitaine
instructeur
22 après tir, le capo étant chargé de collecter et comptabiliser
les douilles
(PA, PM, FM)

Même bourré fallait vraiment être con pour ne pas différencier
les deux types de munition


depuis la professionalisation
*Sauf erreur* la suppression des deux groupes distincts
résulte e l'époque de MAM
si ma mémoire est bonne les raisons évoquées par MAM en déplacement
sur un navire étant économique
mais certains militaires interwievé à l'époque avaient émis un doute sur les
contraintes de suivi pour la sécurité
depuis

On se retrouverait avec une même douille ( non différenciée par couleur )

etune tête alu bien visible pour l'inerte





Carcassonne :
- tir en direction de la foule ( faute lourde de l'autorité organisatrice )
- chargeur "personnel " = détournement de munitions de guerre
( traffic ? )
- chargeur " mixte" et militaire de bonne foi
( 2 balles supérieures à blanc, les autres réelles )
..mais comme les douilles sont identiques pas facile de le prouver ...
mais c'est un pro et on retient cette hypothèse car
au
départ une balle réelle
ca "cogne plus " ..et il n'aurait pas balancé toute la purée

- commentaires de respinsables de pas de tir comme quoi
la " perte de projectile " était normale et inévitable
et qu'on ne revenait jamais avce 100% des douilles

légèreté ?
on me souffle avoir vu un appel d'offre pour des aspirateurs
à douilles pour les pas de tir.....
aires maçonnées ou en terre battue ou faudrait un marteau
pour enfoncer une douille


Bon

ya le proc qui a causé et qui conclut déjà l'enquête ..
rapide....,
normal c'est un civil
on coffre un fusible bas et on fait sauter un fusible haut

le problême,entre ,'est pas résolu

ah oui Napo est venu ,
normal
ca la fout mal à la veille du 14 juillet
( il aurait pas dû , le momo pour une fois il causait juste
comme du temps ou il n'était pas ministre

.breves OFF



.
V
.
pas la peine de démissionner général
c'est pas de votre faute
.
..

10 réponses

1 2 3 4 5
Avatar
Jacquouille14
vocatus a écrit :
Bonjour



= = > Un zeste de droit pour rester en charte :

Ces démonstrations militaro en enceinte militaire
avec réception gratuite du public
c'est soumis à quelle réglementation ?
ERP ?
Même question pour le défilé du 14 juillet
( ex : un accélérateur coincé par une contre mesure
et un char qui fonce dans la foule )

De quels recours disposent les blessés, puisque l'armée
c'est l'etat et l'etat c'est nous ...donc eux

= = >

breves de comptoir ON
Les balles à blanc
Les balles réelles


Le bidasse moyen de mon époque *appelé *sous les drapeaux
disposait
1 pour son entrainement en manoeuvre de projectiles avec douille alu
et balle plastique blanc
12 obligation étant faite de ne pas laisser trainer dans la nature
les douilles et autres clips de bande

2 au pas de tir, de balles réelles avec douilles metalliques
21 distribuées au compte goutte par le sergent responsable
assisté d'un capo sous surveillance générale d'un lieutenant ou pitaine
instructeur
22 après tir, le capo étant chargé de collecter et comptabiliser
les douilles
(PA, PM, FM)

Même bourré fallait vraiment être con pour ne pas différencier
les deux types de munition


depuis la professionalisation
*Sauf erreur* la suppression des deux groupes distincts
résulte e l'époque de MAM
si ma mémoire est bonne les raisons évoquées par MAM en déplacement
sur un navire étant économique
mais certains militaires interwievé à l'époque avaient émis un doute sur les
contraintes de suivi pour la sécurité
depuis

On se retrouverait avec une même douille ( non différenciée par couleur )

etune tête alu bien visible pour l'inerte





Carcassonne :
- tir en direction de la foule ( faute lourde de l'autorité organisatrice )
- chargeur "personnel " = détournement de munitions de guerre
( traffic ? )
- chargeur " mixte" et militaire de bonne foi
( 2 balles supérieures à blanc, les autres réelles )
..mais comme les douilles sont identiques pas facile de le prouver ...
mais c'est un pro et on retient cette hypothèse car
au
départ une balle réelle
ca "cogne plus " ..et il n'aurait pas balancé toute la purée

- commentaires de respinsables de pas de tir comme quoi
la " perte de projectile " était normale et inévitable
et qu'on ne revenait jamais avce 100% des douilles

légèreté ?
on me souffle avoir vu un appel d'offre pour des aspirateurs
à douilles pour les pas de tir.....
aires maçonnées ou en terre battue ou faudrait un marteau
pour enfoncer une douille


Bon

ya le proc qui a causé et qui conclut déjà l'enquête ..
rapide....,
normal c'est un civil
on coffre un fusible bas et on fait sauter un fusible haut

le problême,entre ,'est pas résolu

ah oui Napo est venu ,
normal
ca la fout mal à la veille du 14 juillet
( il aurait pas dû , le momo pour une fois il causait juste
comme du temps ou il n'était pas ministre

.breves OFF



.
V
.
pas la peine de démissionner général
c'est pas de votre faute
.
..




Bonjour,
Une photo des 2 cartouches sur mon journal du jour.
Pas moyen de ne pas les reconnaître: l'une a la balle cuivrée,
l'autre a la "tête" blanche en plastique. Mais si dans le chargeur
les 2 1ères cartouches sont d'exercice et les suivantes de combat ...
De mon temps (hé oui pépé) les cartouches d'exercice étaient
entièrement blanches mais il y en avait une sorte qui
envoyait des balles en plastique et qui servait uniquement au
réglage du fusil.
La question importante: comment se fait-il que les balles n'aient
pas fait exploser le canon et l'embout spécial obligatoire pour
pouvoir "raffaler" avec des cartouches d'exercice ?

--
Jacques dit Jacquouille
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fabrice57
Il se trouve que Jacquouille14 a formulé :
vocatus a écrit :
Bonjour



= = >> Un zeste de droit pour rester en charte :

Ces démonstrations militaro en enceinte militaire
avec réception gratuite du public
c'est soumis à quelle réglementation ?
ERP ?
Même question pour le défilé du 14 juillet
( ex : un accélérateur coincé par une contre mesure
et un char qui fonce dans la foule )

De quels recours disposent les blessés, puisque l'armée
c'est l'etat et l'etat c'est nous ...donc eux

= = >>

breves de comptoir ON
Les balles à blanc
Les balles réelles


Le bidasse moyen de mon époque *appelé *sous les drapeaux
disposait
1 pour son entrainement en manoeuvre de projectiles avec douille alu
et balle plastique blanc
12 obligation étant faite de ne pas laisser trainer dans la nature
les douilles et autres clips de bande

2 au pas de tir, de balles réelles avec douilles metalliques
21 distribuées au compte goutte par le sergent responsable
assisté d'un capo sous surveillance générale d'un lieutenant ou pitaine
instructeur
22 après tir, le capo étant chargé de collecter et comptabiliser
les douilles
(PA, PM, FM)

Même bourré fallait vraiment être con pour ne pas différencier
les deux types de munition


depuis la professionalisation
*Sauf erreur* la suppression des deux groupes distincts
résulte e l'époque de MAM
si ma mémoire est bonne les raisons évoquées par MAM en déplacement
sur un navire étant économique
mais certains militaires interwievé à l'époque avaient émis un doute sur
les
contraintes de suivi pour la sécurité
depuis

On se retrouverait avec une même douille ( non différenciée par couleur )

etune tête alu bien visible pour l'inerte





Carcassonne :
- tir en direction de la foule ( faute lourde de l'autorité organisatrice
)
- chargeur "personnel " = détournement de munitions de guerre
( traffic ? )
- chargeur " mixte" et militaire de bonne foi
( 2 balles supérieures à blanc, les autres réelles )
..mais comme les douilles sont identiques pas facile de le prouver ...
mais c'est un pro et on retient cette hypothèse car
au
départ une balle réelle
ca "cogne plus " ..et il n'aurait pas balancé toute la purée

- commentaires de respinsables de pas de tir comme quoi
la " perte de projectile " était normale et inévitable
et qu'on ne revenait jamais avce 100% des douilles

légèreté ?
on me souffle avoir vu un appel d'offre pour des aspirateurs
à douilles pour les pas de tir.....
aires maçonnées ou en terre battue ou faudrait un marteau
pour enfoncer une douille


Bon

ya le proc qui a causé et qui conclut déjà l'enquête ..
rapide....,
normal c'est un civil
on coffre un fusible bas et on fait sauter un fusible haut

le problême,entre ,'est pas résolu

ah oui Napo est venu ,
normal
ca la fout mal à la veille du 14 juillet
( il aurait pas dû , le momo pour une fois il causait juste
comme du temps ou il n'était pas ministre

.breves OFF



.
V
.
pas la peine de démissionner général
c'est pas de votre faute
.
..




Bonjour,
Une photo des 2 cartouches sur mon journal du jour.
Pas moyen de ne pas les reconnaître: l'une a la balle cuivrée,
l'autre a la "tête" blanche en plastique. Mais si dans le chargeur
les 2 1ères cartouches sont d'exercice et les suivantes de combat ...
De mon temps (hé oui pépé) les cartouches d'exercice étaient
entièrement blanches mais il y en avait une sorte qui
envoyait des balles en plastique et qui servait uniquement au
réglage du fusil.
La question importante: comment se fait-il que les balles n'aient
pas fait exploser le canon et l'embout spécial obligatoire pour
pouvoir "raffaler" avec des cartouches d'exercice ?





Lors de mon SNA en 1986, les balles à blanc sur FAMAS et MAS 56 , il
n'y avait pas de projectile, ce n'était que des etuis sertis
Avatar
Le Fou
Jacquouille14 a écrit :
La question importante: comment se fait-il que les balles n'aient
pas fait exploser le canon et l'embout spécial obligatoire pour
pouvoir "raffaler" avec des cartouches d'exercice ?



Eh oui, effectivement !
Une cartouche à blanc est une cartouche qui ne comporte pas de balle
(projectile), uniquement de la poudre.
Or, dans une arme automatique, c'est la réaction due au départ de la balle
(action/réaction, toutle monde connait ;-)) qui fait reculer la culasse et
l'arme pour le tir suivant. Lorsqu'il n'y a pas de balle, il n'y a pas de
réaction donc pas de recul de culasse et pas de tir automatique.
Pour palier à ce problème on met au bout du canon un BTB (Bouchon de Tir à
Blanc) qui rétrécit le diamètre de sortie du canon et permet ainsi aux gaz
dus à l'explosion de la cartouche, de faire reculer la culasse.
Avec un BTB on peut donc utiliser des cartouches à blanc et avoir un tir
automatique (tir en rafale).
Mais si on utilise des cartouches réelles avec un BTB, la balle ne peut
théoriquement pas sortir et doit théoriquement causer un disfonctionnement.
Je dis "théoriquement" car je n'ai jamais essayé... "Pas con Jean-Pierre !"
;-)

--
A' tchao

Le Fou
http://shippylelivre.free.fr/
http://gloupclub.free.fr/
http://www.ffessm-cd84.com/
Avatar
haveur
Bonsoir,

Jacquouille14 a écrit :

> Une photo des 2 cartouches sur mon journal du jour.
Pas moyen de ne pas les reconnaître: l'une a la balle cuivrée,
l'autre a la "tête" blanche en plastique. Mais si dans le chargeur
les 2 1ères cartouches sont d'exercice et les suivantes de combat ...



Hypothèse non vraisemblable dans le cadre d'un exercice car le
remplissage des chargeurs se fait bien avant l'exercice et là un soldat
entraîné ne mélange pas les munitions.


La question importante: comment se fait-il que les balles n'aient
pas fait exploser le canon et l'embout spécial obligatoire pour
pouvoir "raffaler" avec des cartouches d'exercice ?



C'était ... un autre temps.

D'autre part «l'embout spécial" a été mis en place en raison de nombreux
incidents dans les exercices et entraînement. Mais toute les armes
individuelles n'en ont pas été dotés.

Il faut encore ici rappeler que ce régiment a participé il y a encore
quelques semaines à des actions de combat sur des territoires étrangers
et qu'il peut exister un sentiment de sécurité mais aussi un excès de
confiance vis-à-vis des hommes supers entraînés faisant négliger
quelques règlements de sécurité en temps de paix...

Cordialement
Avatar
haveur
Bonjour,

vocatus a écrit :
> Le bidasse moyen de mon époque *appelé *sous les drapeaux
disposait ...



C'était apparemment une très ancienne époque...


Même bourré fallait vraiment être con pour ne pas différencier
les deux types de munition



Il est regrettable de se baser sur une très ancienne expérience
personnelle en ignorant que de l'eau a coulé sous les ponts depuis...


> depuis la professionalisation

Et justement c'est peut-être la qualité de l'entraînement des
professionnels qui a contribué à cette erreur : les automatismes au
cours des situations et actes de combat. En situation de combat les
soldats sont entraînés pour manier leurs armes sans les regarder pour
éviter les pertes de temps et pour constamment surveiller l'adversaire.
Le remplacement des chargeurs se fait de manière automatique.

La faute de ce sous-officier apparemment très compétent dans le combat
est une faute qui a toujours existé dans les différents combats et
guerre. Celle de craindre de manquer de munitions et donc de conserver,
malgré les contrôles et le règlement de sécurité, quelques cartouches ou
chargeurs.

Une autre cause de cette « conservation » est l'envie de se constituer
un petit stock d'armes et de munitions pour la vie civile ou pour les
revendre ...


Carcassonne :
- tir en direction de la foule ( faute lourde de l'autorité organisatrice )



Certainement: les armes auraient dû être pointées dans les directions
autres que celles des spectateurs. Là c'est une erreur du commandement.
Sans doute l'envie de faire vrai (plutôt que de tirer en l'air par exemple).

Et là aussi existe des règlements militaires y compris pendant les tirs
d'exercices d'entraînement. Malgré cela il arrive encore que des
personnels insuffisamment expérimentés, ou inattentifs, se retourne en
cours de tir d'entraînement vers l'officier directeur de tir en
signalant un incident de tir (leur arme ne fonctionne pas disent ils) et
en pointant leur arme vers les soldats qui attendent derrière eux...
Lorsqu'il s'agit est de tir au pistolet automatique ou au
pistolet-mitrailleur l'incident de tir est quelquefois une erreur du
tireur et le coup peut partir malgré lui.

- chargeur "personnel " = détournement de munitions de guerre
( traffic ? )



Cela n'existe évidemment, mais ce n'est pas le plus fréquent.

Cordialement.
Avatar
François
fabrice57 a pianoté laborieusement :

Lors de mon SNA en 1986, les balles à blanc sur FAMAS et MAS 56 , il
n'y avait pas de projectile, ce n'était que des etuis sertis



Il y avait :

- Les balles à blanc, en plastique blanc, sans projectile, et servant
juste à faire du bruit pendant les manoeuvres et autres sorties sur le
terrain.

- Les « Balplast » avec une charge de poudre réduite et un projectile
en plastique, utilisées par les bleus lors des premiers exercices de
tir sur silhouettes en carton.

- Les balles réelles, utilisées lors des exercices suivants, toujours
sur silhouettes en carton.

Les officiers tiraient au pistolet sur des boîtes de conserve, et
c'était à qui expédiait la boîte le plus loin. Le perdant payait une
tournée générale au mess au retour.

--
François
Si le bol de riz qu'on te propose ne te convient pas, laisse le riz
et mange le bol.
Avatar
Rémi Fasollasi
vocatus wrote:

2 au pas de tir, de balles réelles avec douilles metalliques
21 distribuées au compte goutte par le sergent responsable
assisté d'un capo sous surveillance générale d'un lieutenant ou
pitaine instructeur
22 après tir, le capo étant chargé de collecter et comptabiliser
les douilles
(PA, PM, FM)



Vous êtes très théorique, j'ai été dans l'infanterie de marine et je n'ai
rien vu de tout ça, à l'exercice on tirais dans des dunes et pour retouver
les étuis bonjour dans le sable, et je ne dis même pas quand je tirais à la
12.7 au-dessus des gars qui n'osaient pas relever la tête en rampant. il
aurait fallu 1 an de commission d'enquète pour retrouver ce qui avait été
gaspillé en une heure en tamisant des tonnes de sable.
Il est excessivement facile de se procurer des munitions en quantité un peu
réduite, pas de quoi non plus investir dans une guerre.

Même bourré fallait vraiment être con pour ne pas différencier
les deux types de munition



Le problème n'est pas là, ce sergent n'aurait pas du pas avoir de
munitions réelles et j'ai peine à croire qu'il n'était pas au courant, qu'il
ait mis une un chargeur de cartouches réelles par erreur n'est pas
absolument impossible , il n'avait de toute manière pas à les détenir et
surtout pas sur lui à ce moment là.
Il ne faut pas non plus prendre les gens pour des cons, j'ai fait
l'infanterie de marine principalement en tant qu'opérateur mortier, j'ai
fait un certain nombre de stages "commando", je peux dire que des sergents
voire des capo-chefs de carrière :-) (j'ai même rencontré un 1ère classe
de carrière), on en rencontre un certain nombre qui ont dans la tête un
petit pois qui n'a pas encore germé, et je ne parle même pas de leurs
souvenirs de carrière, de sourires kabyles et autres faits d'armes.
Le commandant d'état-major a bien fait de démissionner, c'est une honte de
diriger ce genre de types. Il aurait du faire le ménage avant.
Avatar
disco
on 01/07/2008, François supposed :
fabrice57 a pianoté laborieusement :

Lors de mon SNA en 1986, les balles à blanc sur FAMAS et MAS 56 , il n'y
avait pas de projectile, ce n'était que des etuis sertis



Il y avait :

- Les balles à blanc, en plastique blanc, sans projectile, et servant juste à
faire du bruit pendant les manoeuvres et autres sorties sur le terrain.

- Les « Balplast » avec une charge de poudre réduite et un projectile en
plastique, utilisées par les bleus lors des premiers exercices de tir sur
silhouettes en carton.

- Les balles réelles, utilisées lors des exercices suivants, toujours sur
silhouettes en carton.

Les officiers tiraient au pistolet sur des boîtes de conserve, et c'était à
qui expédiait la boîte le plus loin. Le perdant payait une tournée générale
au mess au retour.



Hehehehehe.......:):):) Ca me rappelle de bons souvenirs toussa...

Le coup de la boite ca se faisait aussi a la douze_7 avec uniquement
des balles tracantes, c etait plus marrant !

lol
Avatar
Dc
Bjr,

disco a formulé ce mercredi :
Le coup de la boite ca se faisait aussi a la douze_7 avec uniquement des
balles tracantes, c etait plus marrant !

lol



Sauf que normalement, a la distance ou tu tires avec une 12,7 tu vois
meme pas la boite .... (600 m)
Tu confonds pas la boite avec une carcasse de voiture ?

a plus


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Comptabilité shareware
Logiciels de Gestion de saisie terrain
Spécialisé Tournées de boulangers
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Avatar
Dc
Bjr,

Dans son message précédent, Le Fou a écrit :
Mais si on utilise des cartouches réelles avec un BTB, la balle ne peut
théoriquement pas sortir et doit théoriquement causer un disfonctionnement.
Je dis "théoriquement" car je n'ai jamais essayé... "Pas con Jean-Pierre !"
;-)



Vu sur un site :
la balle reelle explose le BTB.
l'arme "peut" etre endommagée.
On aurait retrouvé des debris de BTB sur place.

a plus

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