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pagecrime, un vendredi ordinaire

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oulala
Il est 13 h 50, vendredi 27 octobre, et Xavier Niel arbore un sourire
radieux.

Entouré de son avocate et d'une responsable de la communication d'Iliad (la
maison mère de Free, dont il est le fondateur), il se presse vers la sortie
de la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Le déballage
judiciaire le concernant touche à sa fin.


Le jeune milliardaire (39 ans) vient pourtant d'être condamné à deux ans de
prison avec sursis et 250 000 euros d'amende pour des détournements de fonds
de sex-shops. Le tribunal a également ordonné la confiscation d'une partie
du produit du délit, soit 188 600 euros.

Cette condamnation est l'épilogue d'un feuilleton judiciaire qui a commencé
le 26 mai 2004, lorsqu'un bataillon de policiers débarque chez lui à 6
heures du matin pour la fouille de sa maison.

Garde à vue, mise en examen, le businessman se retrouve en détention
provisoire pour proxénétisme aggravé. Des soupçons pèsent sur lui en raison
des activités de prostitution exercées par des employées de sex-shops dont
il est un des associés. A cela s'ajoutent des accusations de recel d'abus de
biens sociaux.


Xavier Niel passe un mois à la prison de la Santé, à Paris. Puis une
ordonnance de non-lieu est rendue, en août 2005, par le juge d'instruction
Renaud Van Ruymbeke en ce qui concerne les faits de proxénétisme.


Restait néanmoins le recel d'abus de biens sociaux. Lors du procès tenu en
septembre 2006, Xavier Niel a reconnu avoir empoché près de 5 000 euros par
mois en espèces sur les recettes d'une des sex-shops dans lesquels il avait
investi. Soit environ 200 000 euros au total. Le parquet avait requis contre
lui deux ans de prison avec sursis et 375 000 euros d'amende.


A l'encontre des deux gérants de sex-shop strasbourgeois auxquels Xavier
Niel était associé, le tribunal a prononcé une peine de 2 ans de prison,
dont 18 mois avec sursis, pour Mario Cesca et 2 ans de prison, dont 15 mois
avec sursis, pour Marc Viot. Aux peines de prison s'ajoute une amende.

Enfin, l'ex-associé de Xavier Niel, Fernand Develter, actionnaire d'Iliad
jusqu'en 2000 et associé de M. Niel dans des affaires de sex-shops, a été
sanctionné de 2 ans de prison, dont 15 mois avec sursis, pour corruption.
Toutefois, Fernand Develter ne retournera pas en prison, sa peine ayant été
purgée en détention provisoire.

Xavier Niel n'a pas souhaité commenter sa condamnation.

http://www.page-crime.com/content/view/186/192/

6 réponses

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Madball
Il est 13 h 50, vendredi 27 octobre, et Xavier Niel arbore un sourire
radieux.

Entouré de son avocate et d'une responsable de la communication d'Iliad (la
maison mère de Free, dont il est le fondateur), il se presse vers la sortie
de la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Le déballage
judiciaire le concernant touche à sa fin.


Le jeune milliardaire (39 ans) vient pourtant d'être condamné à deux ans de
prison avec sursis et 250 000 euros d'amende pour des détournements de
fonds
de sex-shops. Le tribunal a également ordonné la confiscation d'une partie
du produit du délit, soit 188 600 euros.

Cette condamnation est l'épilogue d'un feuilleton judiciaire qui a commencé
le 26 mai 2004, lorsqu'un bataillon de policiers débarque chez lui à 6
heures du matin pour la fouille de sa maison.

Garde à vue, mise en examen, le businessman se retrouve en détention
provisoire pour proxénétisme aggravé. Des soupçons pèsent sur lui en raison
des activités de prostitution exercées par des employées de sex-shops dont
il est un des associés. A cela s'ajoutent des accusations de recel
d'abus de
biens sociaux.


Xavier Niel passe un mois à la prison de la Santé, à Paris. Puis une
ordonnance de non-lieu est rendue, en août 2005, par le juge d'instruction
Renaud Van Ruymbeke en ce qui concerne les faits de proxénétisme.


Restait néanmoins le recel d'abus de biens sociaux. Lors du procès tenu en
septembre 2006, Xavier Niel a reconnu avoir empoché près de 5 000 euros par
mois en espèces sur les recettes d'une des sex-shops dans lesquels il avait
investi. Soit environ 200 000 euros au total. Le parquet avait requis
contre
lui deux ans de prison avec sursis et 375 000 euros d'amende.


A l'encontre des deux gérants de sex-shop strasbourgeois auxquels Xavier
Niel était associé, le tribunal a prononcé une peine de 2 ans de prison,
dont 18 mois avec sursis, pour Mario Cesca et 2 ans de prison, dont 15 mois
avec sursis, pour Marc Viot. Aux peines de prison s'ajoute une amende.

Enfin, l'ex-associé de Xavier Niel, Fernand Develter, actionnaire d'Iliad
jusqu'en 2000 et associé de M. Niel dans des affaires de sex-shops, a été
sanctionné de 2 ans de prison, dont 15 mois avec sursis, pour corruption.
Toutefois, Fernand Develter ne retournera pas en prison, sa peine ayant été
purgée en détention provisoire.

Xavier Niel n'a pas souhaité commenter sa condamnation.

http://www.page-crime.com/content/view/186/192/



mouais ....bof

si tu veux faire du pognon aujourd hui,soit tu es un fils a papa,soit tu
te sors les doigts,soit tu truande un systeme qui fait exactement la
meme chose et contre lequel tu brandis les memes armes.

et puis si j avais su que le cul rapportait autant,j aurais fais la meme
chose :)


--
Madball

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Aurelgadjo
Je t'invite à lire la charte
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Thierry B.
--{ oulala a plopé ceci: }--

Il est 13 h 50, vendredi 27 octobre, et Xavier Niel arbore un sourire
radieux.


Date: Fri, 07 Mar 2008 20:35:39 +0100

Et si tu allais plutôt te tripoter la nouille dans un peep-show ?

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Albert ARIBAUD
Le Fri, 07 Mar 2008 21:35:26 +0100, Aurelgadjo a écrit:

Je t'invite à lire la charte


Perso, je l'aurais plutôt invité à lire un calendrier. :)

Amicalement,
--
Albert.

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gpmac
oulala a pensé très fort :

Amendes records en 2005 dans la téléphonie mobile et l'internetChristophe
Guillemin, publié le 11 juillet 2006
Tags: Juridique, Commerce, Réseaux et télécomsBusiness - Les opérateurs de la
téléphonie mobile et de l’internet ont été les plus lourdement sanctionnés par
le Conseil de la concurrence en 2005. Orange, SFR et Bouygues Telecom et France
Télécom totalisent 614 millions d’euros d’amende.
Jamais depuis sa création en 1986, le Conseil de la concurrence n'avait
prononcé d'aussi lourdes sanctions pécunières qu'en 2005. En tête de son
palmarès, l'amende record infligée aux trois opérateurs mobiles pour entente
illicite sur les tarifs: 534 millions d'euros.
Dans le détail, Orange, leader du secteur, a été le plus lourdement condamné
avec 256 millions d'euros; SFR a versé 220 millions, et Bouygues Telecom 58
millions. Les trois ont fait appel de cette décision. S'ils obtiennent gain de
cause, ils pourront être remboursés par l'État, nous a-t-on précisé au Conseil
de la concurrence.
Selon nos informations, l'audience de plaidoirie devant la cour d'appel de
Paris est prévue le 12 septembre prochain. Contactée par ZDNet.fr, l'UFC-Que
Choisir, à l'origine de la procédure, a rappelé qu'elle profitera de la séance
pour tenter de poursuivre également les dirigeants de l'époque (1997 à 2003) en
pénal.
Il s'agit de Michel Bon qui occupait le poste de P-DG de l'opérateur historique
français; de Gilles Pelisson, alors directeur général de Bouygues Telecom, et
de Pierre Bardon, DG de SFR depuis 1998.
La deuxième sanction la plus lourde, sur les 31 prononcées en 2005, est
l'amende de 80 millions d'euros contre France Télécom (FT), pour abus de
position dominante sur le marché de l'ADSL entre 1999 et 2002.
En 2003, déjà pour la même affaire, l'opérateur historique avait dû payer 40
millions d'euros en première instance. Une amende doublée en appel et qui porte
la facture totale pour France Télécom à 120 millions d'euros.
L'électronique grand public aussi
Après la téléphonie mobile et l'internet, les autres secteurs sanctionnés
arrivent très loin dans le rapport annuel du Conseil de la concurrence.
L'électronique grand public d'abord, avec la condamnation de Philips, Sony et
Panasonic à 34,4 millions d'euros pour entente sur les prix avec les
distributeurs. Sont ensuite épinglés les travaux routiers de Seine-Maritime
pour regroupement illicite d'acteurs, avec une sanction de 33,6 millions.
Avec un montant de 734,3 millions d'euros, 2005 demeure bien une année record
pour le Conseil de la concurrence, qui totalisait 49,3 millions d'euros
d'amendes en 2004, et 88,5 en 2003.
Une explosion du montant des amendes qui répond à «une volonté affichée
d'alourdir les sanctions afin qu'elles aient un réel effet dissuasif sur les
entreprises», explique un représentant de l'organisme. «Si les sanctions ne
sont pas assez élevées, les sociétés préfèrent les payer et continuer leurs
pratiques qui leur procurent un gain plus élevé.»
Pour l'année 2006, le secteur des technologies de l'information ne sera pas
épargné. Dans les jours à venir, le Conseil se prononcera sur une affaire
opposant le 118-218 à France Télécom. L'opérateur historique est une fois de
plus poursuivi pour abus de position dominante, cette fois sur le segment des
services d'annuaire et de renseignements.
Une procédure qui s'oriente, a priori, vers une prise d'engagements de la part
de FT et non une nouvelle sanction pécuniaire.
Par Christophe Guillemin, ZDNet France
À lire aussiTéléphonie mobile: les opérateurs démentent s'être partagés le
marché Julien Dourgnon, pourfendeur du "Yalta des mobiles" Yalta des mobiles:
les dirigeants pourraient être poursuivis au pénal
http://www.zdnet.fr/actualites/telecoms/0,39040748,39362097,00.htm

--
Citation: L'homme est le seul mâle qui batte sa femelle. On doit donc en
déduire que l'homme est le plus brutal des mâles... a moins que la femme ne
soit, de toutes les femelles, la plus insupportable. Georges Courteline
Avatar
oulala
"oulala" a écrit dans le message de news:
fqs5e8$hp3$
Il est 13 h 50, vendredi 27 octobre, et Xavier Niel arbore un sourire
radieux.

Entouré de son avocate et d'une responsable de la communication d'Iliad
(la
maison mère de Free, dont il est le fondateur), il se presse vers la
sortie
de la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Le déballage
judiciaire le concernant touche à sa fin.


Le jeune milliardaire (39 ans) vient pourtant d'être condamné à deux ans
de
prison avec sursis et 250 000 euros d'amende pour des détournements de
fonds
de sex-shops. Le tribunal a également ordonné la confiscation d'une partie
du produit du délit, soit 188 600 euros.

Cette condamnation est l'épilogue d'un feuilleton judiciaire qui a
commencé
le 26 mai 2004, lorsqu'un bataillon de policiers débarque chez lui à 6
heures du matin pour la fouille de sa maison.

Garde à vue, mise en examen, le businessman se retrouve en détention
provisoire pour proxénétisme aggravé. Des soupçons pèsent sur lui en
raison
des activités de prostitution exercées par des employées de sex-shops dont
il est un des associés. A cela s'ajoutent des accusations de recel d'abus
de
biens sociaux.


Xavier Niel passe un mois à la prison de la Santé, à Paris. Puis une
ordonnance de non-lieu est rendue, en août 2005, par le juge d'instruction
Renaud Van Ruymbeke en ce qui concerne les faits de proxénétisme.


Restait néanmoins le recel d'abus de biens sociaux. Lors du procès tenu en
septembre 2006, Xavier Niel a reconnu avoir empoché près de 5 000 euros
par
mois en espèces sur les recettes d'une des sex-shops dans lesquels il
avait
investi. Soit environ 200 000 euros au total. Le parquet avait requis
contre
lui deux ans de prison avec sursis et 375 000 euros d'amende.


A l'encontre des deux gérants de sex-shop strasbourgeois auxquels Xavier
Niel était associé, le tribunal a prononcé une peine de 2 ans de prison,
dont 18 mois avec sursis, pour Mario Cesca et 2 ans de prison, dont 15
mois
avec sursis, pour Marc Viot. Aux peines de prison s'ajoute une amende.

Enfin, l'ex-associé de Xavier Niel, Fernand Develter, actionnaire d'Iliad
jusqu'en 2000 et associé de M. Niel dans des affaires de sex-shops, a été
sanctionné de 2 ans de prison, dont 15 mois avec sursis, pour corruption.
Toutefois, Fernand Develter ne retournera pas en prison, sa peine ayant
été
purgée en détention provisoire.

Xavier Niel n'a pas souhaité commenter sa condamnation.

http://www.page-crime.com/content/view/186/192/



Alors comme ça j'ai posté hier, encore un sous-homme qui veut faire
l'intéressant.
Je ne donne pas le nom c'est un Petit sous-homme gras et chauve et qui
postillonne.
Je ne poste jamais le soir, au contraire des nervis et proxos j'ai une vie
familiale et
sociale et je n'utilise pas mesnews ou linux.
Décidément ribauds et ribaudes n'ont aucune morale.

xc