Ma question est celle-ci :
Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
"défavorable" (pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire
au juge ?
Il s'agit du premier juge, car celui de l'appel n'a pas voulu déjuger le
premier.
Même si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
crime de lèse-qqchose ?
Merci de vos réponses.
---
Antivirus avast! : message Sortant sain.
Base de donnees virale (VPS) : 071121-0, 21/11/2007
Analyse le : 22/11/2007 11:00:12
avast! - copyright (c) 1988-2007 ALWIL Software.
http://www.avast.com
Ma question est celle-ci :
Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
"défavorable" (pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire
au juge ?
Il s'agit du premier juge, car celui de l'appel n'a pas voulu déjuger le
premier.
Même si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
crime de lèse-qqchose ?
Merci de vos réponses.
---
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http://www.avast.com
Ma question est celle-ci :
Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
"défavorable" (pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire
au juge ?
Il s'agit du premier juge, car celui de l'appel n'a pas voulu déjuger le
premier.
Même si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
crime de lèse-qqchose ?
Merci de vos réponses.
---
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avast! - copyright (c) 1988-2007 ALWIL Software.
http://www.avast.com
Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
"défavorable"
(pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire au juge ?
Même si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
crime de lèse-qqchose ?
Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
"défavorable"
(pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire au juge ?
Même si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
crime de lèse-qqchose ?
Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
"défavorable"
(pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire au juge ?
Même si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
crime de lèse-qqchose ?
Je suppose que le premier travail des juges est d'apprendre à bloquer leur
conscience
et à soutenir mordicus leur jugement
quelles qu'en soient les conséquences pour les jugés...
D'ailleurs, à petit niveau, personne ne remet en question une injustice.
Je suppose que le premier travail des juges est d'apprendre à bloquer leur
conscience
et à soutenir mordicus leur jugement
quelles qu'en soient les conséquences pour les jugés...
D'ailleurs, à petit niveau, personne ne remet en question une injustice.
Je suppose que le premier travail des juges est d'apprendre à bloquer leur
conscience
et à soutenir mordicus leur jugement
quelles qu'en soient les conséquences pour les jugés...
D'ailleurs, à petit niveau, personne ne remet en question une injustice.
Car ce n'aurait été qu' *un moindre préjudice* pour la partie adverse
Car ce n'aurait été qu' *un moindre préjudice* pour la partie adverse
Car ce n'aurait été qu' *un moindre préjudice* pour la partie adverse
a écrit dans le message de news:
47455325$0$25913$Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
"défavorable"
ce qui est généralement le cas d'un justiciable sur deux ;o}(pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire au juge ?
"peut " OUI ; " doit " là c'est une question d'opinionMême si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
crime de lèse-qqchose ?
une lettre d'encensement du genre :
"vous n'êtes pas la moitié d'un imbécile"...
peut être une forme d'outrage
<martes@orange.fr> a écrit dans le message de news:
47455325$0$25913$ba4acef3@news.orange.fr...
Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
"défavorable"
ce qui est généralement le cas d'un justiciable sur deux ;o}
(pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire au juge ?
"peut " OUI ; " doit " là c'est une question d'opinion
Même si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
crime de lèse-qqchose ?
une lettre d'encensement du genre :
"vous n'êtes pas la moitié d'un imbécile"...
peut être une forme d'outrage
a écrit dans le message de news:
47455325$0$25913$Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
"défavorable"
ce qui est généralement le cas d'un justiciable sur deux ;o}(pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire au juge ?
"peut " OUI ; " doit " là c'est une question d'opinionMême si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
crime de lèse-qqchose ?
une lettre d'encensement du genre :
"vous n'êtes pas la moitié d'un imbécile"...
peut être une forme d'outrage
"www.juristprudence.c.la" a écrit dans le
de news: 47457e04$0$15758$
> a écrit dans le message de news:
> 47455325$0$25913$
>> Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
>> "défavorable"
>
> ce qui est généralement le cas d'un justiciable sur deux ;o}
>
>
>> (pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire au juge ?
>
>
> "peut " OUI ; " doit " là c'est une question d'opinion
>
>
>> Même si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
>> pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
>> crime de lèse-qqchose ?
>
> une lettre d'encensement du genre :
> "vous n'êtes pas la moitié d'un imbécile"...
> peut être une forme d'outrage
>
Est-ce un "outrage" que de demander à un Président de Cour d'appel de
répondre à quelques questions sur son rôle dans un dossier ?
Je m'explique en quelques mots : une affaire de locataires qui dévastent
appartement avant de quitter les lieux. Un huissier fait le constat, en
présence des 2 parties. Les écrits de l'huissier sont accablants, et je
corrobore par quelques photos. Malgré cela, je Président en question NIE
dégradations, conformément au premier jugement. En premier instance, je
n'avais pas pris d'avocat, contrairement aux défendeurs, tellement était
limpide cette affaire... Normal ?
Je précise que toute la documentation concernant ces dégradations et donc
mes demandes, était "recevable" et parfaitement démontré par les écrits de
mon Avoué.
Est-ce que le fait, donc "d'ECRIRE" à ce Président (plus que) "douteux"
(déjà une injure ?) est possible ?
Que peut-il bien faire à réception d'une
lettre R-AR lui démontrant sa "faute", toutes preuves à l'appui ? Et
SURTOUT RIEN MEssieurs-Dames, pour ainsi tenter de se soustraire à ses
responsabilités, puisque par définition, il n'en a... AUCUNE !
A moins
qu'une insulte ne l'OBLIGE à "sortir de sa tanière" et à l'obliger à me
demander de justifier les raisons pour lesquelles je me comporterais ainsi
D'ailleurs, qui jugereait une affaire "soit-disant d'insulte à Magistrat",
et sur la base de quelle procédure, en présence de qui exactement ????
Tribunal "ouvert au public" pour les débats ??? Mon petit doigt me dit
NON, je ne sais pas pourquoi...
Bref, il faut des "affaires OUTREAU" pour s'apercevoir ce qu'est
la Justice, ou bien la subir comme à mon modeste niveau, sachant que des
milliers d'affaires similaires à la mienne sont plaidées tous les jours
les mêmes circonstances, dans ces "malheureureux tribunaux que l'on ferme
aux quatre coins de la France"...
On écoute Madame ou Monsieru l'Avocat, on fait un copier/coller de ses
conclusions, on appelle cela "délibérés" et hop, le tour est joué en
quelques minutes, alors qu'on essaie de nous faire croire à la télé ( ;-))
que les juges sont intègres au point de sacrifier leur vie de famille pour
rendre... l'Ajustice ! (pardon, labsus révélateur !)
Il n'y a pas QUE du mauvais, mais il y en a tout de même BEAUCOUP TROP,
c'est tout ! Et un sentiment d'injustice, même généré par un pays "grand
comme la France" ( :-(( , ça finit par donner quelques idées...
[auto-censuré]
Je ne suis pas certain qu'il n'y ait qu'un problème de "carte judiciaire"
France !!! Mais le débat fait rage depuis des siècles, et ce n'est qu'une
question de rapport de force, nullement de "recherche de la vérité"...
"www.juristprudence.c.la" <juristprudence@0nline.fr> a écrit dans le
de news: 47457e04$0$15758$426a34cc@news.free.fr...
> <martes@orange.fr> a écrit dans le message de news:
> 47455325$0$25913$ba4acef3@news.orange.fr...
>> Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
>> "défavorable"
>
> ce qui est généralement le cas d'un justiciable sur deux ;o}
>
>
>> (pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire au juge ?
>
>
> "peut " OUI ; " doit " là c'est une question d'opinion
>
>
>> Même si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
>> pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
>> crime de lèse-qqchose ?
>
> une lettre d'encensement du genre :
> "vous n'êtes pas la moitié d'un imbécile"...
> peut être une forme d'outrage
>
Est-ce un "outrage" que de demander à un Président de Cour d'appel de
répondre à quelques questions sur son rôle dans un dossier ?
Je m'explique en quelques mots : une affaire de locataires qui dévastent
appartement avant de quitter les lieux. Un huissier fait le constat, en
présence des 2 parties. Les écrits de l'huissier sont accablants, et je
corrobore par quelques photos. Malgré cela, je Président en question NIE
dégradations, conformément au premier jugement. En premier instance, je
n'avais pas pris d'avocat, contrairement aux défendeurs, tellement était
limpide cette affaire... Normal ?
Je précise que toute la documentation concernant ces dégradations et donc
mes demandes, était "recevable" et parfaitement démontré par les écrits de
mon Avoué.
Est-ce que le fait, donc "d'ECRIRE" à ce Président (plus que) "douteux"
(déjà une injure ?) est possible ?
Que peut-il bien faire à réception d'une
lettre R-AR lui démontrant sa "faute", toutes preuves à l'appui ? Et
SURTOUT RIEN MEssieurs-Dames, pour ainsi tenter de se soustraire à ses
responsabilités, puisque par définition, il n'en a... AUCUNE !
A moins
qu'une insulte ne l'OBLIGE à "sortir de sa tanière" et à l'obliger à me
demander de justifier les raisons pour lesquelles je me comporterais ainsi
D'ailleurs, qui jugereait une affaire "soit-disant d'insulte à Magistrat",
et sur la base de quelle procédure, en présence de qui exactement ????
Tribunal "ouvert au public" pour les débats ??? Mon petit doigt me dit
NON, je ne sais pas pourquoi...
Bref, il faut des "affaires OUTREAU" pour s'apercevoir ce qu'est
la Justice, ou bien la subir comme à mon modeste niveau, sachant que des
milliers d'affaires similaires à la mienne sont plaidées tous les jours
les mêmes circonstances, dans ces "malheureureux tribunaux que l'on ferme
aux quatre coins de la France"...
On écoute Madame ou Monsieru l'Avocat, on fait un copier/coller de ses
conclusions, on appelle cela "délibérés" et hop, le tour est joué en
quelques minutes, alors qu'on essaie de nous faire croire à la télé ( ;-))
que les juges sont intègres au point de sacrifier leur vie de famille pour
rendre... l'Ajustice ! (pardon, labsus révélateur !)
Il n'y a pas QUE du mauvais, mais il y en a tout de même BEAUCOUP TROP,
c'est tout ! Et un sentiment d'injustice, même généré par un pays "grand
comme la France" ( :-(( , ça finit par donner quelques idées...
[auto-censuré]
Je ne suis pas certain qu'il n'y ait qu'un problème de "carte judiciaire"
France !!! Mais le débat fait rage depuis des siècles, et ce n'est qu'une
question de rapport de force, nullement de "recherche de la vérité"...
"www.juristprudence.c.la" a écrit dans le
de news: 47457e04$0$15758$
> a écrit dans le message de news:
> 47455325$0$25913$
>> Lorsque -contre toute attente-, on a été victime d'un jugement
>> "défavorable"
>
> ce qui est généralement le cas d'un justiciable sur deux ;o}
>
>
>> (pour être soft), jugement confirmé en appel, peut-on écrire au juge ?
>
>
> "peut " OUI ; " doit " là c'est une question d'opinion
>
>
>> Même si la lettre ne contient ni des injures, ni même des reproches, ne
>> pourra-t-elle être considérée comme une atteinte à je-ne-sais-quoi, un
>> crime de lèse-qqchose ?
>
> une lettre d'encensement du genre :
> "vous n'êtes pas la moitié d'un imbécile"...
> peut être une forme d'outrage
>
Est-ce un "outrage" que de demander à un Président de Cour d'appel de
répondre à quelques questions sur son rôle dans un dossier ?
Je m'explique en quelques mots : une affaire de locataires qui dévastent
appartement avant de quitter les lieux. Un huissier fait le constat, en
présence des 2 parties. Les écrits de l'huissier sont accablants, et je
corrobore par quelques photos. Malgré cela, je Président en question NIE
dégradations, conformément au premier jugement. En premier instance, je
n'avais pas pris d'avocat, contrairement aux défendeurs, tellement était
limpide cette affaire... Normal ?
Je précise que toute la documentation concernant ces dégradations et donc
mes demandes, était "recevable" et parfaitement démontré par les écrits de
mon Avoué.
Est-ce que le fait, donc "d'ECRIRE" à ce Président (plus que) "douteux"
(déjà une injure ?) est possible ?
Que peut-il bien faire à réception d'une
lettre R-AR lui démontrant sa "faute", toutes preuves à l'appui ? Et
SURTOUT RIEN MEssieurs-Dames, pour ainsi tenter de se soustraire à ses
responsabilités, puisque par définition, il n'en a... AUCUNE !
A moins
qu'une insulte ne l'OBLIGE à "sortir de sa tanière" et à l'obliger à me
demander de justifier les raisons pour lesquelles je me comporterais ainsi
D'ailleurs, qui jugereait une affaire "soit-disant d'insulte à Magistrat",
et sur la base de quelle procédure, en présence de qui exactement ????
Tribunal "ouvert au public" pour les débats ??? Mon petit doigt me dit
NON, je ne sais pas pourquoi...
Bref, il faut des "affaires OUTREAU" pour s'apercevoir ce qu'est
la Justice, ou bien la subir comme à mon modeste niveau, sachant que des
milliers d'affaires similaires à la mienne sont plaidées tous les jours
les mêmes circonstances, dans ces "malheureureux tribunaux que l'on ferme
aux quatre coins de la France"...
On écoute Madame ou Monsieru l'Avocat, on fait un copier/coller de ses
conclusions, on appelle cela "délibérés" et hop, le tour est joué en
quelques minutes, alors qu'on essaie de nous faire croire à la télé ( ;-))
que les juges sont intègres au point de sacrifier leur vie de famille pour
rendre... l'Ajustice ! (pardon, labsus révélateur !)
Il n'y a pas QUE du mauvais, mais il y en a tout de même BEAUCOUP TROP,
c'est tout ! Et un sentiment d'injustice, même généré par un pays "grand
comme la France" ( :-(( , ça finit par donner quelques idées...
[auto-censuré]
Je ne suis pas certain qu'il n'y ait qu'un problème de "carte judiciaire"
France !!! Mais le débat fait rage depuis des siècles, et ce n'est qu'une
question de rapport de force, nullement de "recherche de la vérité"...