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Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
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franeric
il y a aussi une autre solution qui consiste a ne pas photographier de qu on voit, c'est la " non photographie " et ne pas photograpahier ce qu on ne voit pas; le " non, non vu "
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes.
tu fais bien de préciser le non de l'auteur de cette citation, néanmoins, tu sais, on n'aurait jamais cru que ca pourrait etre de toi
ricco ricco
il y a aussi une autre solution qui consiste a ne pas photographier de qu on
voit, c'est la " non photographie "
et ne pas photograpahier ce qu on ne voit pas; le " non, non vu "
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
tu fais bien de préciser le non de l'auteur de cette citation, néanmoins, tu
sais, on n'aurait jamais cru que ca pourrait etre de toi
il y a aussi une autre solution qui consiste a ne pas photographier de qu on voit, c'est la " non photographie " et ne pas photograpahier ce qu on ne voit pas; le " non, non vu "
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes.
tu fais bien de préciser le non de l'auteur de cette citation, néanmoins, tu sais, on n'aurait jamais cru que ca pourrait etre de toi
ricco ricco
truche
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1hoanq6.ref2ww15uvd14N%
Pas vu pas pris...
http://cjoint.com/data/leudxtKfju.htm
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
je trouve ça beau... la fonte des couleurs, les courbes en abîmes, le blanc qui s'imprègne, le goût de l'horizon, merci !
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de news:
1hoanq6.ref2ww15uvd14N%filh@filh.orgie...
Pas vu pas pris...
http://cjoint.com/data/leudxtKfju.htm
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
je trouve ça beau... la fonte des couleurs, les courbes en abîmes, le blanc
qui s'imprègne, le goût de l'horizon, merci !
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1hoanq6.ref2ww15uvd14N%
Pas vu pas pris...
http://cjoint.com/data/leudxtKfju.htm
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
je trouve ça beau... la fonte des couleurs, les courbes en abîmes, le blanc qui s'imprègne, le goût de l'horizon, merci !
JPW
"truche" a écrit
"FiLH" a écrit
http://cjoint.com/data/leudxtKfju.htm
je trouve ça beau... la fonte des couleurs, les courbes en abîmes, le blanc qui s'imprègne, le goût de l'horizon, merci ! Nous sommes néanmoins en présence
de tout un faisceau de traditions et, l'artiste s'est même plu semble-t-il à faire ici la synthèse des différents problèmes que posaient depuis Cezanne les rapports de la couleur et de la forme pour leur donner une solution audacieuse et radicale, La structure cezannienne reste en effet très sensible ; mais ses contrastes rythmiques ont trouvé , grace à une modulation plus souple, l'équilibre d'une parfaite unité analogue aux compensation de la lumière spectrale Notons que la monochromie cubiste et le cloisonisme de mondrian, sont du même coup portés à leur ultimes conséquences, mais c'est à l'espace raréfié de tanguy que l'on pense surtout
jpw
ps : ne pensez pas que je veuille m'approprier cette puissante critique elle est extraite de l'histoire de la peinture moderne (skira) les phrases mises bout à bout par les bon soins de B. de Monvel, dont je n'ai eu le courage de recopier que le tout début sont parues dans le cahier n° 11 du collège de pataphysique en commentaire d'une oeuvre présentée à paris au célèbre salon des indépendants en ?? 19 ?? peut être 1906 ? et intitulé passage de la mer rouge par les hébreux dont j'ai placé une copie ici :
http://www.revafrique.com/merrouge.html
"truche" <eterme@wanadoo.fr> a écrit
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit
http://cjoint.com/data/leudxtKfju.htm
je trouve ça beau... la fonte des couleurs, les courbes en abîmes, le
blanc qui s'imprègne, le goût de l'horizon, merci !
Nous sommes néanmoins en présence
de tout un faisceau de traditions et,
l'artiste s'est même plu semble-t-il
à faire ici la synthèse des différents problèmes
que posaient depuis Cezanne
les rapports de la couleur et de la forme pour leur donner
une solution audacieuse et radicale,
La structure cezannienne reste en effet très sensible ;
mais ses contrastes rythmiques ont trouvé , grace à une modulation
plus souple, l'équilibre d'une parfaite unité
analogue aux compensation de la lumière spectrale
Notons que la monochromie cubiste et le cloisonisme de
mondrian, sont du même coup portés à leur ultimes conséquences,
mais c'est à l'espace raréfié de tanguy que l'on pense surtout
jpw
ps : ne pensez pas que je veuille m'approprier cette puissante critique
elle est extraite de l'histoire de la peinture moderne (skira)
les phrases mises bout à bout par les bon soins de B. de
Monvel, dont je n'ai eu le courage de recopier que le tout début
sont parues dans le cahier n° 11 du collège de pataphysique
en commentaire d'une oeuvre présentée à paris au célèbre salon des
indépendants
en ?? 19 ?? peut être 1906 ?
et intitulé passage de la mer rouge par les hébreux
dont j'ai placé une copie ici :
je trouve ça beau... la fonte des couleurs, les courbes en abîmes, le blanc qui s'imprègne, le goût de l'horizon, merci ! Nous sommes néanmoins en présence
de tout un faisceau de traditions et, l'artiste s'est même plu semble-t-il à faire ici la synthèse des différents problèmes que posaient depuis Cezanne les rapports de la couleur et de la forme pour leur donner une solution audacieuse et radicale, La structure cezannienne reste en effet très sensible ; mais ses contrastes rythmiques ont trouvé , grace à une modulation plus souple, l'équilibre d'une parfaite unité analogue aux compensation de la lumière spectrale Notons que la monochromie cubiste et le cloisonisme de mondrian, sont du même coup portés à leur ultimes conséquences, mais c'est à l'espace raréfié de tanguy que l'on pense surtout
jpw
ps : ne pensez pas que je veuille m'approprier cette puissante critique elle est extraite de l'histoire de la peinture moderne (skira) les phrases mises bout à bout par les bon soins de B. de Monvel, dont je n'ai eu le courage de recopier que le tout début sont parues dans le cahier n° 11 du collège de pataphysique en commentaire d'une oeuvre présentée à paris au célèbre salon des indépendants en ?? 19 ?? peut être 1906 ? et intitulé passage de la mer rouge par les hébreux dont j'ai placé une copie ici :
