Philippe Naigeon est ce qu'on appelle une "grosse tête".
Bien pleine mais plutôt mal faite.
Polytechnicien honorablement classé, directeur financier à la Caisse
des Dépôts, il a refusé en 1982 d'intégrer le cabinet Fabius, c'était
pas assez bien payé.
Cet homme a tout du gendre idéal...
À part qu'il a assassiné sa femme et ses deux fils à coups de crosse
de pistolet sur la tête, avant de les étrangler et de les flinguer.
Estropiant "seulement" leur fille qui avait réussi à lui échapper.
Le maladroit !
Ensuite, pour se détendre un peu, il s'est tapé une bonne bouteille
de cognac. Après l'effort, le réconfort.
Les faits ont eu lieu en mai 1994 dans leur riche villa de la rue
Scheffer à Paris XVI ème.
D'après les témoignages et les experts, elle était douce et soumise
(mais sûrement pas assez ?) lui psychorigide et autoritaire.
Mais aussi catholique pratiquant, refusant de parler à sa soeur parce
qu'elle avait épousé un divorcé !
Et avec ça, hyper-radin. Sa femme règle toutes les dépenses familiales,
lui prétend disposer librement de son argent pour faire des placements.
Un sale type. Mais pas si fou...
Son procès, aujourd'hui oublié, fut un cas d'école des divagations
d'une justice entravée par la culture de l'excuse et prise en otage
par les médias gauchiards.
Naigeon, comme tous ceux qui craignent que leur psyché soit dévoilée
au grand jour, a récusé avec véhémence les entretiens qu'on lui a
imposés avec les psychiatres, puis a réclamé des contre-expertises
qu'il a ensuite refusées, clamant haut et fort qu'il n'est pas fou.
Sa femme l'aurait trompé, ce qui aurait déclenché chez lui un moment
de fureur passagère.
Dont il a tout oublié.
Nez en moins, quand ça l'arrange, il s'y entend à merveille pour jouer
les mabouls.
Il ergote et ratiocine sur des preuves matérielles comme si elles
avaient été inventées par la Cour, insulte ses avocats, pensez donc,
des bac B qu'ont même pas fait de vraies études... ;o)
Et il en récuse 5 !
Puis se lance dans un discours décousu où il se présente comme un bon
père chérissant ses enfants, vivant une vie de famille rayonnante (sic)
et pour finir, demande qu'on lui coupe un bras et une jambe en guise
de punition s'il a vraiment fait ce dont on l'accuse.
Bien évidemment, les bobos gogos médiamerdiques clament à l'unisson
qu'il est scandaleux de juger ce grand malade !
Pourtant, celui-ci pas si branque, maîtrise parfaitement les codes
des merdias complaisants envers les criminels, et les pesanteurs
du système judiciaire.
Il se plaint des souffrances qu'on lui a infligées lors des
interrogatoires, s'appesantit et s'apitoie sur ses conditions de
détention "inhumaines", jongle avec les procédures dont il connaît
les failles, et a constitué un épais dossier sur les irrégularités
viciant, selon lui, l'instruction.
ll parvient même à déstabiliser Philippe Bilger, vieux routier
des assises, en décortiquant les soi-disant faiblesses de son analyse,
un exploit jamais égalé par les meilleurs pénalistes...
Mais l'avocat général n'est pas le perdreau de l'année !
Il remet l'accusé à sa juste place, en décrivant ses crimes par le menu,
le traite de lâche affabulateur suscitant enfin des réactions spontanées
de Naigeon, assaisonnées d'une bordée d'injures quand il réalise qu'il a
trouvé plus rusé que lui et s'est fait piéger.
Le président, troublé, ordonne en plein procès de nouvelles expertises
psychiatriques, ce qui est rare, et plus encore demande à l'Ordre
des avocats si les droits de la défense sont bien respectés, l'accusé
usant d'un dernier stratagème : il refuse de comparaître sans
notification d'huissier, puis exige de se défendre tout seul.
Le 12 septembre 1997, Naigeon a pris 30 ans dont 22 ans de sûreté...
Il a été remis en liberté en 2012.
Dis coco, ça dure combien de temps la perpète en France ?
Philippe Naigeon est ce qu'on appelle une "grosse tête".
Bien pleine mais plutôt mal faite.
Polytechnicien honorablement classé, directeur financier à la Caisse
des Dépôts, il a refusé en 1982 d'intégrer le cabinet Fabius, c'était
pas assez bien payé.
Cet homme a tout du gendre idéal...
À part qu'il a assassiné sa femme et ses deux fils à coups de crosse
de pistolet sur la tête, avant de les étrangler et de les flinguer.
Estropiant "seulement" leur fille qui avait réussi à lui échapper.
Le maladroit !
Ensuite, pour se détendre un peu, il s'est tapé une bonne bouteille
de cognac. Après l'effort, le réconfort.
Les faits ont eu lieu en mai 1994 dans leur riche villa de la rue
Scheffer à Paris XVI ème.
D'après les témoignages et les experts, elle était douce et soumise
(mais sûrement pas assez ?) lui psychorigide et autoritaire.
Mais aussi catholique pratiquant, refusant de parler à sa soeur parce
qu'elle avait épousé un divorcé !
Et avec ça, hyper-radin. Sa femme règle toutes les dépenses familiales,
lui prétend disposer librement de son argent pour faire des placements.
Un sale type. Mais pas si fou...
Son procès, aujourd'hui oublié, fut un cas d'école des divagations
d'une justice entravée par la culture de l'excuse et prise en otage
par les médias gauchiards.
Naigeon, comme tous ceux qui craignent que leur psyché soit dévoilée
au grand jour, a récusé avec véhémence les entretiens qu'on lui a
imposés avec les psychiatres, puis a réclamé des contre-expertises
qu'il a ensuite refusées, clamant haut et fort qu'il n'est pas fou.
Sa femme l'aurait trompé, ce qui aurait déclenché chez lui un moment
de fureur passagère.
Dont il a tout oublié.
Nez en moins, quand ça l'arrange, il s'y entend à merveille pour jouer
les mabouls.
Il ergote et ratiocine sur des preuves matérielles comme si elles
avaient été inventées par la Cour, insulte ses avocats, pensez donc,
des bac B qu'ont même pas fait de vraies études... ;o)
Et il en récuse 5 !
Puis se lance dans un discours décousu où il se présente comme un bon
père chérissant ses enfants, vivant une vie de famille rayonnante (sic)
et pour finir, demande qu'on lui coupe un bras et une jambe en guise
de punition s'il a vraiment fait ce dont on l'accuse.
Bien évidemment, les bobos gogos médiamerdiques clament à l'unisson
qu'il est scandaleux de juger ce grand malade !
Pourtant, celui-ci pas si branque, maîtrise parfaitement les codes
des merdias complaisants envers les criminels, et les pesanteurs
du système judiciaire.
Il se plaint des souffrances qu'on lui a infligées lors des
interrogatoires, s'appesantit et s'apitoie sur ses conditions de
détention "inhumaines", jongle avec les procédures dont il connaît
les failles, et a constitué un épais dossier sur les irrégularités
viciant, selon lui, l'instruction.
ll parvient même à déstabiliser Philippe Bilger, vieux routier
des assises, en décortiquant les soi-disant faiblesses de son analyse,
un exploit jamais égalé par les meilleurs pénalistes...
Mais l'avocat général n'est pas le perdreau de l'année !
Il remet l'accusé à sa juste place, en décrivant ses crimes par le menu,
le traite de lâche affabulateur suscitant enfin des réactions spontanées
de Naigeon, assaisonnées d'une bordée d'injures quand il réalise qu'il a
trouvé plus rusé que lui et s'est fait piéger.
Le président, troublé, ordonne en plein procès de nouvelles expertises
psychiatriques, ce qui est rare, et plus encore demande à l'Ordre
des avocats si les droits de la défense sont bien respectés, l'accusé
usant d'un dernier stratagème : il refuse de comparaître sans
notification d'huissier, puis exige de se défendre tout seul.
Le 12 septembre 1997, Naigeon a pris 30 ans dont 22 ans de sûreté...
Il a été remis en liberté en 2012.
Dis coco, ça dure combien de temps la perpète en France ?
Philippe Naigeon est ce qu'on appelle une "grosse tête".
Bien pleine mais plutôt mal faite.
Polytechnicien honorablement classé, directeur financier à la Caisse
des Dépôts, il a refusé en 1982 d'intégrer le cabinet Fabius, c'était
pas assez bien payé.
Cet homme a tout du gendre idéal...
À part qu'il a assassiné sa femme et ses deux fils à coups de crosse
de pistolet sur la tête, avant de les étrangler et de les flinguer.
Estropiant "seulement" leur fille qui avait réussi à lui échapper.
Le maladroit !
Ensuite, pour se détendre un peu, il s'est tapé une bonne bouteille
de cognac. Après l'effort, le réconfort.
Les faits ont eu lieu en mai 1994 dans leur riche villa de la rue
Scheffer à Paris XVI ème.
D'après les témoignages et les experts, elle était douce et soumise
(mais sûrement pas assez ?) lui psychorigide et autoritaire.
Mais aussi catholique pratiquant, refusant de parler à sa soeur parce
qu'elle avait épousé un divorcé !
Et avec ça, hyper-radin. Sa femme règle toutes les dépenses familiales,
lui prétend disposer librement de son argent pour faire des placements.
Un sale type. Mais pas si fou...
Son procès, aujourd'hui oublié, fut un cas d'école des divagations
d'une justice entravée par la culture de l'excuse et prise en otage
par les médias gauchiards.
Naigeon, comme tous ceux qui craignent que leur psyché soit dévoilée
au grand jour, a récusé avec véhémence les entretiens qu'on lui a
imposés avec les psychiatres, puis a réclamé des contre-expertises
qu'il a ensuite refusées, clamant haut et fort qu'il n'est pas fou.
Sa femme l'aurait trompé, ce qui aurait déclenché chez lui un moment
de fureur passagère.
Dont il a tout oublié.
Nez en moins, quand ça l'arrange, il s'y entend à merveille pour jouer
les mabouls.
Il ergote et ratiocine sur des preuves matérielles comme si elles
avaient été inventées par la Cour, insulte ses avocats, pensez donc,
des bac B qu'ont même pas fait de vraies études... ;o)
Et il en récuse 5 !
Puis se lance dans un discours décousu où il se présente comme un bon
père chérissant ses enfants, vivant une vie de famille rayonnante (sic)
et pour finir, demande qu'on lui coupe un bras et une jambe en guise
de punition s'il a vraiment fait ce dont on l'accuse.
Bien évidemment, les bobos gogos médiamerdiques clament à l'unisson
qu'il est scandaleux de juger ce grand malade !
Pourtant, celui-ci pas si branque, maîtrise parfaitement les codes
des merdias complaisants envers les criminels, et les pesanteurs
du système judiciaire.
Il se plaint des souffrances qu'on lui a infligées lors des
interrogatoires, s'appesantit et s'apitoie sur ses conditions de
détention "inhumaines", jongle avec les procédures dont il connaît
les failles, et a constitué un épais dossier sur les irrégularités
viciant, selon lui, l'instruction.
ll parvient même à déstabiliser Philippe Bilger, vieux routier
des assises, en décortiquant les soi-disant faiblesses de son analyse,
un exploit jamais égalé par les meilleurs pénalistes...
Mais l'avocat général n'est pas le perdreau de l'année !
Il remet l'accusé à sa juste place, en décrivant ses crimes par le menu,
le traite de lâche affabulateur suscitant enfin des réactions spontanées
de Naigeon, assaisonnées d'une bordée d'injures quand il réalise qu'il a
trouvé plus rusé que lui et s'est fait piéger.
Le président, troublé, ordonne en plein procès de nouvelles expertises
psychiatriques, ce qui est rare, et plus encore demande à l'Ordre
des avocats si les droits de la défense sont bien respectés, l'accusé
usant d'un dernier stratagème : il refuse de comparaître sans
notification d'huissier, puis exige de se défendre tout seul.
Le 12 septembre 1997, Naigeon a pris 30 ans dont 22 ans de sûreté...
Il a été remis en liberté en 2012.
Dis coco, ça dure combien de temps la perpète en France ?
En son temps, j'avais rédigé une note de lecture :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic" target="_blank" class="text-blue hover:opacity-90 " style="word-break: break-all;" rel="noopener nofollow">http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,78.0.html
Allusion là :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic" target="_blank" class="text-blue hover:opacity-90 " style="word-break: break-all;" rel="noopener nofollow">http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,1578.0.html
à propos du désarroi de la justice norvégienne et des quatre experts,
sur le cas d'Anders Behring-Breivik.
En son temps, j'avais rédigé une note de lecture :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,78.0.html
Allusion là :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,1578.0.html
à propos du désarroi de la justice norvégienne et des quatre experts,
sur le cas d'Anders Behring-Breivik.
En son temps, j'avais rédigé une note de lecture :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic" target="_blank" class="text-blue hover:opacity-90 " style="word-break: break-all;" rel="noopener nofollow">http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,78.0.html
Allusion là :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic" target="_blank" class="text-blue hover:opacity-90 " style="word-break: break-all;" rel="noopener nofollow">http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,1578.0.html
à propos du désarroi de la justice norvégienne et des quatre experts,
sur le cas d'Anders Behring-Breivik.
Le 12 septembre 1997, Naigeon a pris 30 ans dont 22 ans de sûreté...
Il a été remis en liberté en 2012.
Le 12 septembre 1997, Naigeon a pris 30 ans dont 22 ans de sûreté...
Il a été remis en liberté en 2012.
Le 12 septembre 1997, Naigeon a pris 30 ans dont 22 ans de sûreté...
Il a été remis en liberté en 2012.
Ça c'était la réquisition; il a pris 20 ans de sûreté.
Si ça se trouve il est mort.
Ça c'était la réquisition; il a pris 20 ans de sûreté.
Si ça se trouve il est mort.
Ça c'était la réquisition; il a pris 20 ans de sûreté.
Si ça se trouve il est mort.
jc_lavau avait prétendu :En son temps, j'avais rédigé une note de lecture :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic" target="_blank" class="text-blue hover:opacity-90 " style="word-break: break-all;" rel="noopener nofollow">http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,78.0.html
Allusion là :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic" target="_blank" class="text-blue hover:opacity-90 " style="word-break: break-all;" rel="noopener nofollow">http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,1578.0.html
à propos du désarroi de la justice norvégienne et des quatre experts,
sur le cas d'Anders Behring-Breivik.
Pour ma part, je suis convaincu que Naigeon ne relevait pas du 122 - 1
du code pénal, version en vigueur du 01/03/94 au 01/10/2014 (le quantum
n'existe que depuis la réforme de 2014)
Le troube psychique au moment de l'acte, qui abolit le discernement ?
C'est valable en réponse immédiate à une provocation, ou en cas de
légitime défense.
C'est plus difficile à plaider quand le crime a été longtemps ruminé,
si l'on en croit les témoins... D'ailleurs, l'épouse avait déposé
une plainte après qu'il l'ait violemment jetée dans les escaliers,
et entamé une procédure de divorce, suspendue suite à ses menaces.
Autre hypothèse : l'état de démence quasi permanent dont les crimes
n'auraient été qu'épisodes paroxystiques ?
Outre le fait qu'il avait une vie sociale et professionnelle régie
par des critères rationnels, sa "folie permanente" est d'autant plus
difficile à admettre, quand on voit le cynisme madré avec lequel
il tente de manipuler et de déstabiliser les protagonistes au procès,
avec l'aplomb d'un gamin frondeur et le culot d'un juriste de baraque
à frites, se targuant même de ne pas risquer plus de 5 ans !
Par parenthèse, c'est assez étrange cette version du Dunning-kruger
qui frappe certains scientifiques, convaincus d'être d'éminents juristes
par science infuse. ;-)
Pour en revenir au sujet :
Quant à l'atténuation du discernement, elle n'interdit pas de juger,
mais permet de moduler la peine en fonction des circonstances.
Je pense qu'il en a bénéficié, en d'autres termes, le jury s'est laissé
convaincre que le brillant ingénieur-polytechnicien-financier-top-niveau
était en réalité un mec un peu barjot.
Tant mieux pour lui, même si pour ma part je pense que son triple crime
méritait une vraie perpète à vie (pardon pour le pléonasme mais en
France, ce redoublement est de rigueur)
jc_lavau avait prétendu :
En son temps, j'avais rédigé une note de lecture :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,78.0.html
Allusion là :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,1578.0.html
à propos du désarroi de la justice norvégienne et des quatre experts,
sur le cas d'Anders Behring-Breivik.
Pour ma part, je suis convaincu que Naigeon ne relevait pas du 122 - 1
du code pénal, version en vigueur du 01/03/94 au 01/10/2014 (le quantum
n'existe que depuis la réforme de 2014)
Le troube psychique au moment de l'acte, qui abolit le discernement ?
C'est valable en réponse immédiate à une provocation, ou en cas de
légitime défense.
C'est plus difficile à plaider quand le crime a été longtemps ruminé,
si l'on en croit les témoins... D'ailleurs, l'épouse avait déposé
une plainte après qu'il l'ait violemment jetée dans les escaliers,
et entamé une procédure de divorce, suspendue suite à ses menaces.
Autre hypothèse : l'état de démence quasi permanent dont les crimes
n'auraient été qu'épisodes paroxystiques ?
Outre le fait qu'il avait une vie sociale et professionnelle régie
par des critères rationnels, sa "folie permanente" est d'autant plus
difficile à admettre, quand on voit le cynisme madré avec lequel
il tente de manipuler et de déstabiliser les protagonistes au procès,
avec l'aplomb d'un gamin frondeur et le culot d'un juriste de baraque
à frites, se targuant même de ne pas risquer plus de 5 ans !
Par parenthèse, c'est assez étrange cette version du Dunning-kruger
qui frappe certains scientifiques, convaincus d'être d'éminents juristes
par science infuse. ;-)
Pour en revenir au sujet :
Quant à l'atténuation du discernement, elle n'interdit pas de juger,
mais permet de moduler la peine en fonction des circonstances.
Je pense qu'il en a bénéficié, en d'autres termes, le jury s'est laissé
convaincre que le brillant ingénieur-polytechnicien-financier-top-niveau
était en réalité un mec un peu barjot.
Tant mieux pour lui, même si pour ma part je pense que son triple crime
méritait une vraie perpète à vie (pardon pour le pléonasme mais en
France, ce redoublement est de rigueur)
jc_lavau avait prétendu :En son temps, j'avais rédigé une note de lecture :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic" target="_blank" class="text-blue hover:opacity-90 " style="word-break: break-all;" rel="noopener nofollow">http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,78.0.html
Allusion là :
http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic" target="_blank" class="text-blue hover:opacity-90 " style="word-break: break-all;" rel="noopener nofollow">http://deonto-famille.org/citoyens/debattre/index.php/topic,1578.0.html
à propos du désarroi de la justice norvégienne et des quatre experts,
sur le cas d'Anders Behring-Breivik.
Pour ma part, je suis convaincu que Naigeon ne relevait pas du 122 - 1
du code pénal, version en vigueur du 01/03/94 au 01/10/2014 (le quantum
n'existe que depuis la réforme de 2014)
Le troube psychique au moment de l'acte, qui abolit le discernement ?
C'est valable en réponse immédiate à une provocation, ou en cas de
légitime défense.
C'est plus difficile à plaider quand le crime a été longtemps ruminé,
si l'on en croit les témoins... D'ailleurs, l'épouse avait déposé
une plainte après qu'il l'ait violemment jetée dans les escaliers,
et entamé une procédure de divorce, suspendue suite à ses menaces.
Autre hypothèse : l'état de démence quasi permanent dont les crimes
n'auraient été qu'épisodes paroxystiques ?
Outre le fait qu'il avait une vie sociale et professionnelle régie
par des critères rationnels, sa "folie permanente" est d'autant plus
difficile à admettre, quand on voit le cynisme madré avec lequel
il tente de manipuler et de déstabiliser les protagonistes au procès,
avec l'aplomb d'un gamin frondeur et le culot d'un juriste de baraque
à frites, se targuant même de ne pas risquer plus de 5 ans !
Par parenthèse, c'est assez étrange cette version du Dunning-kruger
qui frappe certains scientifiques, convaincus d'être d'éminents juristes
par science infuse. ;-)
Pour en revenir au sujet :
Quant à l'atténuation du discernement, elle n'interdit pas de juger,
mais permet de moduler la peine en fonction des circonstances.
Je pense qu'il en a bénéficié, en d'autres termes, le jury s'est laissé
convaincre que le brillant ingénieur-polytechnicien-financier-top-niveau
était en réalité un mec un peu barjot.
Tant mieux pour lui, même si pour ma part je pense que son triple crime
méritait une vraie perpète à vie (pardon pour le pléonasme mais en
France, ce redoublement est de rigueur)
Pour ma part, je suis convaincu que Naigeon ne relevait pas du 122 - 1
du code pénal, version en vigueur du 01/03/94 au 01/10/2014 (le quantum
n'existe que depuis la réforme de 2014)
L'intérêt de se coller à cette rédaction datant de 1838 est mince.
Cette loi de 1838 était un contrat de corruption passé entre le
ministre de la justice de Louis-Philippe et les aliénistes débutants.
Contrat de corruption dont la corporation a mis trèèèès longtemps à se
remettre, partiellement.
N'hésite pas à justifier ton mépris envoyé à la cantonade.
Pour ma part, je suis convaincu que Naigeon ne relevait pas du 122 - 1
du code pénal, version en vigueur du 01/03/94 au 01/10/2014 (le quantum
n'existe que depuis la réforme de 2014)
L'intérêt de se coller à cette rédaction datant de 1838 est mince.
Cette loi de 1838 était un contrat de corruption passé entre le
ministre de la justice de Louis-Philippe et les aliénistes débutants.
Contrat de corruption dont la corporation a mis trèèèès longtemps à se
remettre, partiellement.
N'hésite pas à justifier ton mépris envoyé à la cantonade.
Pour ma part, je suis convaincu que Naigeon ne relevait pas du 122 - 1
du code pénal, version en vigueur du 01/03/94 au 01/10/2014 (le quantum
n'existe que depuis la réforme de 2014)
L'intérêt de se coller à cette rédaction datant de 1838 est mince.
Cette loi de 1838 était un contrat de corruption passé entre le
ministre de la justice de Louis-Philippe et les aliénistes débutants.
Contrat de corruption dont la corporation a mis trèèèès longtemps à se
remettre, partiellement.
N'hésite pas à justifier ton mépris envoyé à la cantonade.
"Mépris" serait un brin excessif.
Disons plutôt "pitié" envers ces disgraciés de l'intellect qui ont
tiré un mauvais numéro à la loterie des chromosomes.
La plupart sont insignifiants. Je les ignore.
Certains sont débilagressifs. Je les plonke.
"Mépris" serait un brin excessif.
Disons plutôt "pitié" envers ces disgraciés de l'intellect qui ont
tiré un mauvais numéro à la loterie des chromosomes.
La plupart sont insignifiants. Je les ignore.
Certains sont débilagressifs. Je les plonke.
"Mépris" serait un brin excessif.
Disons plutôt "pitié" envers ces disgraciés de l'intellect qui ont
tiré un mauvais numéro à la loterie des chromosomes.
La plupart sont insignifiants. Je les ignore.
Certains sont débilagressifs. Je les plonke.
Christian Navis wrote:
> "Mépris" serait un brin excessif.
> Disons plutôt "pitié" envers ces disgraciés de l'intellect qui ont
> tiré un mauvais numéro à la loterie des chromosomes.
> La plupart sont insignifiants. Je les ignore.
> Certains sont débilagressifs. Je les plonke.
Dit-il à Lavau.
Christian Navis <christian.navis@free.fr> wrote:
> "Mépris" serait un brin excessif.
> Disons plutôt "pitié" envers ces disgraciés de l'intellect qui ont
> tiré un mauvais numéro à la loterie des chromosomes.
> La plupart sont insignifiants. Je les ignore.
> Certains sont débilagressifs. Je les plonke.
Dit-il à Lavau.
Christian Navis wrote:
> "Mépris" serait un brin excessif.
> Disons plutôt "pitié" envers ces disgraciés de l'intellect qui ont
> tiré un mauvais numéro à la loterie des chromosomes.
> La plupart sont insignifiants. Je les ignore.
> Certains sont débilagressifs. Je les plonke.
Dit-il à Lavau.
jc_lavau a exposé le 13/04/2015 :Pour ma part, je suis convaincu que Naigeon ne relevait pas du 122 - 1
du code pénal, version en vigueur du 01/03/94 au 01/10/2014 (le quantum
n'existe que depuis la réforme de 2014)
L'intérêt de se coller à cette rédaction datant de 1838 est mince.
Cette loi de 1838 était un contrat de corruption passé entre le
ministre de la justice de Louis-Philippe et les aliénistes débutants.
Contrat de corruption dont la corporation a mis trèèèès longtemps à se
remettre, partiellement.
L'ancien art 64 du code pénal, en vigueur de 1810 à 1994, avait quand
même le mérite d'éviter l'échafaud aux déments criminels que l'on
considérait depuis le moyen âge comme possédés du démon.
L'asile plutôt que l'exorcisme et le bûcher.
jc_lavau a exposé le 13/04/2015 :
Pour ma part, je suis convaincu que Naigeon ne relevait pas du 122 - 1
du code pénal, version en vigueur du 01/03/94 au 01/10/2014 (le quantum
n'existe que depuis la réforme de 2014)
L'intérêt de se coller à cette rédaction datant de 1838 est mince.
Cette loi de 1838 était un contrat de corruption passé entre le
ministre de la justice de Louis-Philippe et les aliénistes débutants.
Contrat de corruption dont la corporation a mis trèèèès longtemps à se
remettre, partiellement.
L'ancien art 64 du code pénal, en vigueur de 1810 à 1994, avait quand
même le mérite d'éviter l'échafaud aux déments criminels que l'on
considérait depuis le moyen âge comme possédés du démon.
L'asile plutôt que l'exorcisme et le bûcher.
jc_lavau a exposé le 13/04/2015 :Pour ma part, je suis convaincu que Naigeon ne relevait pas du 122 - 1
du code pénal, version en vigueur du 01/03/94 au 01/10/2014 (le quantum
n'existe que depuis la réforme de 2014)
L'intérêt de se coller à cette rédaction datant de 1838 est mince.
Cette loi de 1838 était un contrat de corruption passé entre le
ministre de la justice de Louis-Philippe et les aliénistes débutants.
Contrat de corruption dont la corporation a mis trèèèès longtemps à se
remettre, partiellement.
L'ancien art 64 du code pénal, en vigueur de 1810 à 1994, avait quand
même le mérite d'éviter l'échafaud aux déments criminels que l'on
considérait depuis le moyen âge comme possédés du démon.
L'asile plutôt que l'exorcisme et le bûcher.
insulte ses avocats, pensez donc,
des bac B qu'ont même pas fait de vraies études...
insulte ses avocats, pensez donc,
des bac B qu'ont même pas fait de vraies études...
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des bac B qu'ont même pas fait de vraies études...