Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi 06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4c852b2f$0$10210$, les doux mélismes suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
http://www.grenault.net/photos/tout_62.htm
Je n'ai jamais aimé les teckels...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi
06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message
<4c852b2f$0$10210$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici
:
http://www.grenault.net/photos/tout_62.htm
Je n'ai jamais aimé les teckels...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi 06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4c852b2f$0$10210$, les doux mélismes suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
http://www.grenault.net/photos/tout_62.htm
Je n'ai jamais aimé les teckels...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Questsch
Le 07/09/2010 13:04, grenault a écrit :
Le 07/09/2010 09:37, MELMOTH a écrit :
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi 06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4c852b2f$0$10210$, les doux mélismes suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
http://www.grenault.net/photos/tout_62.htm
Je n'ai jamais aimé les teckels...
Dis-lui en face ;-)
Euh mais, c'est pas un King-Charles ?
Pat
Le 07/09/2010 13:04, grenault a écrit :
Le 07/09/2010 09:37, MELMOTH a écrit :
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi
06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de
même, et dans le message
<4c852b2f$0$10210$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi 06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4c852b2f$0$10210$, les doux mélismes suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
http://www.grenault.net/photos/tout_62.htm
Je n'ai jamais aimé les teckels...
Dis-lui en face ;-)
Euh mais, c'est pas un King-Charles ?
Pat
grenault
Le 07/09/2010 13:51, Questsch a écrit :
Le 07/09/2010 13:04, grenault a écrit :
Le 07/09/2010 09:37, MELMOTH a écrit :
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi 06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4c852b2f$0$10210$, les doux mélismes suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi
06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de
même, et dans le message
<4c852b2f$0$10210$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi 06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4c852b2f$0$10210$, les doux mélismes suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
Et paf, le faux-pas! Comment ça, GR ne t'a pas dit? Ici on ne dit pas qu'une photo est "jolie". En fait ta critique doit tomber dans une des six catégories canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
- la palmerclaudine: la critique est essentiellement fondée sur les défauts techniques de l'image: flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- l'équinospirite: le critique d'attachera est montrer qu'il a compris la portée philosphico-sociétale de la photo, malgré la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse, photoshoppage ostentatoire et érections chevalines.
- la Melmothesque: le critique ne dit rien, malgré la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- l'andréenne: quelque soit le sujet de la photo, la critique en profite surtout pour montrer à la face du monde sa culture encyclopédique de la marine, des équidés, des vitraux renaissance ou de la fabrication de spaghetti, en oubliant la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- la staquelienne: l'auteur fait sa propre auto-critique, sans mêmpe parler de la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- la noiseuse: la critique se pâme devant le piqué, l'exposition maîtrisée, le cadrage superbe, la colorimétrie respectée, et la finesse du travail de post-production.
Tiens le toi pour dit!
-- Bertrand
On 07/09/2010 17:54, Questsch wrote:
Euh mais, c'est pas un King-Charles ?
Pat
Bien si, un vrai de vrai !
Ben, il est très joli et la photo aussi :)
Et paf, le faux-pas! Comment ça, GR ne t'a pas dit? Ici on ne dit pas
qu'une photo est "jolie". En fait ta critique doit tomber dans une des
six catégories canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
- la palmerclaudine: la critique est essentiellement fondée sur les
défauts techniques de l'image: flou, blancs cramés, cadrages hasardeux,
couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- l'équinospirite: le critique d'attachera est montrer qu'il a compris
la portée philosphico-sociétale de la photo, malgré la présence de
flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse,
photoshoppage ostentatoire et érections chevalines.
- la Melmothesque: le critique ne dit rien, malgré la présence de flou,
blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et
photoshoppage ostentatoire.
- l'andréenne: quelque soit le sujet de la photo, la critique en profite
surtout pour montrer à la face du monde sa culture encyclopédique de la
marine, des équidés, des vitraux renaissance ou de la fabrication de
spaghetti, en oubliant la présence de flou, blancs cramés, cadrages
hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- la staquelienne: l'auteur fait sa propre auto-critique, sans mêmpe
parler de la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux,
couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- la noiseuse: la critique se pâme devant le piqué, l'exposition
maîtrisée, le cadrage superbe, la colorimétrie respectée, et la finesse
du travail de post-production.
Et paf, le faux-pas! Comment ça, GR ne t'a pas dit? Ici on ne dit pas qu'une photo est "jolie". En fait ta critique doit tomber dans une des six catégories canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
- la palmerclaudine: la critique est essentiellement fondée sur les défauts techniques de l'image: flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- l'équinospirite: le critique d'attachera est montrer qu'il a compris la portée philosphico-sociétale de la photo, malgré la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse, photoshoppage ostentatoire et érections chevalines.
- la Melmothesque: le critique ne dit rien, malgré la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- l'andréenne: quelque soit le sujet de la photo, la critique en profite surtout pour montrer à la face du monde sa culture encyclopédique de la marine, des équidés, des vitraux renaissance ou de la fabrication de spaghetti, en oubliant la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- la staquelienne: l'auteur fait sa propre auto-critique, sans mêmpe parler de la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
- la noiseuse: la critique se pâme devant le piqué, l'exposition maîtrisée, le cadrage superbe, la colorimétrie respectée, et la finesse du travail de post-production.
Tiens le toi pour dit!
-- Bertrand
Questsch
Le 07/09/2010 21:37, Ofnuts a écrit :
On 07/09/2010 17:54, Questsch wrote:
Euh mais, c'est pas un King-Charles ?
Pat
Bien si, un vrai de vrai !
Ben, il est très joli et la photo aussi :)
Et paf, le faux-pas! Comment ça, GR ne t'a pas dit? Ici on ne dit pas qu'une photo est "jolie". En fait ta critique doit tomber dans une des six catégories canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
Oui ... mais tu sembles oublier que je ne suis pas professionnelle de la photo numérique. Donc, je ne sais pas que qu'est un blanc cramé ; couleurs à la ramasse, bon, je devine ; cadrage hasardeux, facile ; photoshoppage ostentatoire, je ne vois pas (mais je sais ce qu'est Photoshop) ; érections chevalines, je ne vois pas ce que cela a à voir avec la photo (mais bon, on ne sait pas tout) ; le piqué , késako ? Quand à la finesse du travail post-production : énigme.
Sachant tout cela, on pardonnera mes adjectifs non conventionnels avec vos us et coutumes de professionnels. Moi, je trouve simplement une photo belle ou pas, les critères techniques, je me garderai bien d'en employer, n'y connaissant rien :)
Mais ta liste à la Prévert est marrante, j'ai cru reconnaître des personnalités d'ici lol
Suis-je pardonnée ?
Pat, qui émet un avis, juste d'après son ressenti en regardant une photo.
Le 07/09/2010 21:37, Ofnuts a écrit :
On 07/09/2010 17:54, Questsch wrote:
Euh mais, c'est pas un King-Charles ?
Pat
Bien si, un vrai de vrai !
Ben, il est très joli et la photo aussi :)
Et paf, le faux-pas! Comment ça, GR ne t'a pas dit? Ici on ne dit pas
qu'une photo est "jolie". En fait ta critique doit tomber dans une des
six catégories canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
Oui ... mais tu sembles oublier que je ne suis pas professionnelle de la
photo numérique. Donc, je ne sais pas que qu'est un blanc cramé ;
couleurs à la ramasse, bon, je devine ; cadrage hasardeux, facile ;
photoshoppage ostentatoire, je ne vois pas (mais je sais ce qu'est
Photoshop) ; érections chevalines, je ne vois pas ce que cela a à voir
avec la photo (mais bon, on ne sait pas tout) ; le piqué , késako ?
Quand à la finesse du travail post-production : énigme.
Sachant tout cela, on pardonnera mes adjectifs non conventionnels avec
vos us et coutumes de professionnels. Moi, je trouve simplement une
photo belle ou pas, les critères techniques, je me garderai bien d'en
employer, n'y connaissant rien :)
Mais ta liste à la Prévert est marrante, j'ai cru reconnaître des
personnalités d'ici lol
Suis-je pardonnée ?
Pat, qui émet un avis, juste d'après son ressenti en regardant une photo.
Et paf, le faux-pas! Comment ça, GR ne t'a pas dit? Ici on ne dit pas qu'une photo est "jolie". En fait ta critique doit tomber dans une des six catégories canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
Oui ... mais tu sembles oublier que je ne suis pas professionnelle de la photo numérique. Donc, je ne sais pas que qu'est un blanc cramé ; couleurs à la ramasse, bon, je devine ; cadrage hasardeux, facile ; photoshoppage ostentatoire, je ne vois pas (mais je sais ce qu'est Photoshop) ; érections chevalines, je ne vois pas ce que cela a à voir avec la photo (mais bon, on ne sait pas tout) ; le piqué , késako ? Quand à la finesse du travail post-production : énigme.
Sachant tout cela, on pardonnera mes adjectifs non conventionnels avec vos us et coutumes de professionnels. Moi, je trouve simplement une photo belle ou pas, les critères techniques, je me garderai bien d'en employer, n'y connaissant rien :)
Mais ta liste à la Prévert est marrante, j'ai cru reconnaître des personnalités d'ici lol
Suis-je pardonnée ?
Pat, qui émet un avis, juste d'après son ressenti en regardant une photo.
delestaque
"MELMOTH" a écrit dans le message de news:
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi 06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4c852b2f$0$10210$, les doux mélismes suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
http://www.grenault.net/photos/tout_62.htm
Je n'ai jamais aimé les teckels...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
la miss Motte, véto préférait le cochon industriel. -- Ricco
"MELMOTH" <theo@free.fr> a écrit dans le message de news:
mn.3a417da9fef1e89a.12355@free.fr...
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi 06/09/2010,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans
le message <4c852b2f$0$10210$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux
mélismes suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
http://www.grenault.net/photos/tout_62.htm
Je n'ai jamais aimé les teckels...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
la miss Motte, véto préférait le cochon industriel.
--
Ricco
Ce cher mammifère du nom de grenault nous susurrait, le lundi 06/09/2010, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <4c852b2f$0$10210$, les doux mélismes suivants :
Je ne sais plus si vous je l'ai déjà montrée, dans le doute, la voici :
http://www.grenault.net/photos/tout_62.htm
Je n'ai jamais aimé les teckels...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
la miss Motte, véto préférait le cochon industriel. -- Ricco
delestaque
"Questsch" a écrit dans le message de news: 4c866021$0$9943$
Euh mais, c'est pas un King-Charles ?
Pat
Bien si, un vrai de vrai !
Ben, il est très joli et la photo aussi :)
Pat
Pas mal, la Miss Motte, véto qui ne sait pas reconnaître les races des chiens, Spaniel King Charles, dérivé de l'Epagneul pour devenir un petit chien de salon à la cour d'Angleterre, je me demande si elle verrait une vache dans un couloir ? -- Ricco
"Questsch" <clair.p@chezfreepointfr> a écrit dans le message de news:
4c866021$0$9943$426a34cc@news.free.fr...
Euh mais, c'est pas un King-Charles ?
Pat
Bien si, un vrai de vrai !
Ben, il est très joli et la photo aussi :)
Pat
Pas mal, la Miss Motte, véto qui ne sait pas reconnaître les races des
chiens, Spaniel King Charles, dérivé de l'Epagneul pour devenir un petit
chien de salon à la cour d'Angleterre, je me demande si elle verrait une
vache dans un couloir ?
--
Ricco
"Questsch" a écrit dans le message de news: 4c866021$0$9943$
Euh mais, c'est pas un King-Charles ?
Pat
Bien si, un vrai de vrai !
Ben, il est très joli et la photo aussi :)
Pat
Pas mal, la Miss Motte, véto qui ne sait pas reconnaître les races des chiens, Spaniel King Charles, dérivé de l'Epagneul pour devenir un petit chien de salon à la cour d'Angleterre, je me demande si elle verrait une vache dans un couloir ? -- Ricco
Stephane Legras-Decussy
Le 07/09/2010 21:55, Questsch a écrit :
canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
Oui ... mais tu sembles oublier que je ne suis pas professionnelle de la photo numérique. Donc, je ne sais pas que qu'est un blanc cramé ; couleurs à la ramasse, bon, je devine ; cadrage hasardeux, facile ; photoshoppage ostentatoire, je ne vois pas (mais je sais ce qu'est Photoshop) ; érections chevalines, je ne vois pas ce que cela a à voir avec la photo (mais bon, on ne sait pas tout) ; le piqué , késako ? Quand à la finesse du travail post-production : énigme.
c'est très facile :
le blanc est cramé quand il est au maximum de blanc que peux capter l'appareil, c'est le blanc lavabo quoi... aucune nuance dedans. son opposé est l'ombre bouchée, c'est tout noir de charbon, sans aucune nuance dedans.
le piqué c'est l'impression de netteté de la photo, la finesse des détails...
post-production = photoshoppage, c'est tout le bidouillage qu'on fait sur une photo après... ça peut être très mal fait, on connait des spécialistes... :-)
Le 07/09/2010 21:55, Questsch a écrit :
canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
Oui ... mais tu sembles oublier que je ne suis pas professionnelle de la
photo numérique. Donc, je ne sais pas que qu'est un blanc cramé ;
couleurs à la ramasse, bon, je devine ; cadrage hasardeux, facile ;
photoshoppage ostentatoire, je ne vois pas (mais je sais ce qu'est
Photoshop) ; érections chevalines, je ne vois pas ce que cela a à voir
avec la photo (mais bon, on ne sait pas tout) ; le piqué , késako ?
Quand à la finesse du travail post-production : énigme.
c'est très facile :
le blanc est cramé quand il est au
maximum de blanc que peux capter l'appareil, c'est le
blanc lavabo quoi... aucune nuance dedans.
son opposé est l'ombre bouchée, c'est tout noir de charbon, sans
aucune nuance dedans.
le piqué c'est l'impression de netteté
de la photo, la finesse des détails...
post-production = photoshoppage, c'est tout le bidouillage
qu'on fait sur une photo après... ça peut être très mal fait,
on connait des spécialistes... :-)
canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
Oui ... mais tu sembles oublier que je ne suis pas professionnelle de la photo numérique. Donc, je ne sais pas que qu'est un blanc cramé ; couleurs à la ramasse, bon, je devine ; cadrage hasardeux, facile ; photoshoppage ostentatoire, je ne vois pas (mais je sais ce qu'est Photoshop) ; érections chevalines, je ne vois pas ce que cela a à voir avec la photo (mais bon, on ne sait pas tout) ; le piqué , késako ? Quand à la finesse du travail post-production : énigme.
c'est très facile :
le blanc est cramé quand il est au maximum de blanc que peux capter l'appareil, c'est le blanc lavabo quoi... aucune nuance dedans. son opposé est l'ombre bouchée, c'est tout noir de charbon, sans aucune nuance dedans.
le piqué c'est l'impression de netteté de la photo, la finesse des détails...
post-production = photoshoppage, c'est tout le bidouillage qu'on fait sur une photo après... ça peut être très mal fait, on connait des spécialistes... :-)
Ghost-Rider
Le 07/09/2010 21:37, Ofnuts a écrit :
On 07/09/2010 17:54, Questsch wrote:
Euh mais, c'est pas un King-Charles ? Ben, il est très joli et la photo aussi :)
Et paf, le faux-pas! Comment ça, GR ne t'a pas dit? Ici on ne dit pas qu'une photo est "jolie". En fait ta critique doit tomber dans une des six catégories canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
Je suis désolé, je présente mes excuses au forum, j'ai eu beau lui faire la leçon, elle n'a rien retenu. C'est assez désespérant d'ailleurs.
- la palmerclaudine: la critique est essentiellement fondée sur les défauts techniques de l'image: flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Résultats d'une usure précoce du corps et de l'esprit au service de la vérité journalistique dans une perspective trotsko-sarkozyste.
- l'équinospirite: le critique d'attachera est montrer qu'il a compris la portée philosophico-sociétale de la photo, malgré la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse, photoshoppage ostentatoire et érections chevalines.
Car le Cheval est Tout et Tout est le Cheval. Ainsi Tout est dit, Amen !
- la Melmothesque: le critique ne dit rien, malgré la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Il invoque Dieu, c'est à dire lui-même dans une mise en abyme vertigineuse.
- l'andréenne: quelque soit le sujet de la photo, la critique en profite surtout pour montrer à la face du monde sa culture encyclopédique de la marine, des équidés, des vitraux renaissance ou de la fabrication de spaghetti, en oubliant la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Catégorie en plein devenir, nourrie de photos diverses dont le lien conceptuel est encore fort ténu.
- la staquelienne: l'auteur fait sa propre auto-critique, sans mêmpe parler de la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Et l'auteur prétend ne pas savoir photographier mais omet d'apporter la moindre preuve à cette affirmation mensongère, il nous l'a prouvé avec un chef-d'oeuvre "Mendiante Rom dans le métro", prétendument perdu pour avoir la paix des marchands du temple et de la police de l'air et des frontières.
- la noiseuse: la critique se pâme devant le piqué, l'exposition maîtrisée, le cadrage superbe, la colorimétrie respectée, et la finesse du travail de post-production.
Catégorie sans aucun intérêt et malheureusement encombrée par de nombreux besogneux au front bas incapables de voir l'art au delà d'une dérisoire technique.
-- Ghost Rider
"Aimez-vous les uns les autres". Jésus-Christ
Le 07/09/2010 21:37, Ofnuts a écrit :
On 07/09/2010 17:54, Questsch wrote:
Euh mais, c'est pas un King-Charles ?
Ben, il est très joli et la photo aussi :)
Et paf, le faux-pas! Comment ça, GR ne t'a pas dit? Ici on ne dit pas
qu'une photo est "jolie". En fait ta critique doit tomber dans une des
six catégories canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
Je suis désolé, je présente mes excuses au forum, j'ai eu beau lui faire
la leçon, elle n'a rien retenu. C'est assez désespérant d'ailleurs.
- la palmerclaudine: la critique est essentiellement fondée sur les
défauts techniques de l'image: flou, blancs cramés, cadrages hasardeux,
couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Résultats d'une usure précoce du corps et de l'esprit au service de la
vérité journalistique dans une perspective trotsko-sarkozyste.
- l'équinospirite: le critique d'attachera est montrer qu'il a compris
la portée philosophico-sociétale de la photo, malgré la présence de flou,
blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse, photoshoppage
ostentatoire et érections chevalines.
Car le Cheval est Tout et Tout est le Cheval. Ainsi Tout est dit, Amen !
- la Melmothesque: le critique ne dit rien, malgré la présence de flou,
blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et
photoshoppage ostentatoire.
Il invoque Dieu, c'est à dire lui-même dans une mise en abyme vertigineuse.
- l'andréenne: quelque soit le sujet de la photo, la critique en profite
surtout pour montrer à la face du monde sa culture encyclopédique de la
marine, des équidés, des vitraux renaissance ou de la fabrication de
spaghetti, en oubliant la présence de flou, blancs cramés, cadrages
hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Catégorie en plein devenir, nourrie de photos diverses dont le lien
conceptuel est encore fort ténu.
- la staquelienne: l'auteur fait sa propre auto-critique, sans mêmpe
parler de la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux,
couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Et l'auteur prétend ne pas savoir photographier mais omet d'apporter la
moindre preuve à cette affirmation mensongère, il nous l'a prouvé avec
un chef-d'oeuvre "Mendiante Rom dans le métro", prétendument perdu pour
avoir la paix des marchands du temple et de la police de l'air et des
frontières.
- la noiseuse: la critique se pâme devant le piqué, l'exposition
maîtrisée, le cadrage superbe, la colorimétrie respectée, et la finesse
du travail de post-production.
Catégorie sans aucun intérêt et malheureusement encombrée par de
nombreux besogneux au front bas incapables de voir l'art au delà d'une
dérisoire technique.
Euh mais, c'est pas un King-Charles ? Ben, il est très joli et la photo aussi :)
Et paf, le faux-pas! Comment ça, GR ne t'a pas dit? Ici on ne dit pas qu'une photo est "jolie". En fait ta critique doit tomber dans une des six catégories canoniques, nommées d'après leurs cibles habituelles.
Je suis désolé, je présente mes excuses au forum, j'ai eu beau lui faire la leçon, elle n'a rien retenu. C'est assez désespérant d'ailleurs.
- la palmerclaudine: la critique est essentiellement fondée sur les défauts techniques de l'image: flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Résultats d'une usure précoce du corps et de l'esprit au service de la vérité journalistique dans une perspective trotsko-sarkozyste.
- l'équinospirite: le critique d'attachera est montrer qu'il a compris la portée philosophico-sociétale de la photo, malgré la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse, photoshoppage ostentatoire et érections chevalines.
Car le Cheval est Tout et Tout est le Cheval. Ainsi Tout est dit, Amen !
- la Melmothesque: le critique ne dit rien, malgré la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Il invoque Dieu, c'est à dire lui-même dans une mise en abyme vertigineuse.
- l'andréenne: quelque soit le sujet de la photo, la critique en profite surtout pour montrer à la face du monde sa culture encyclopédique de la marine, des équidés, des vitraux renaissance ou de la fabrication de spaghetti, en oubliant la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Catégorie en plein devenir, nourrie de photos diverses dont le lien conceptuel est encore fort ténu.
- la staquelienne: l'auteur fait sa propre auto-critique, sans mêmpe parler de la présence de flou, blancs cramés, cadrages hasardeux, couleurs à la ramasse et photoshoppage ostentatoire.
Et l'auteur prétend ne pas savoir photographier mais omet d'apporter la moindre preuve à cette affirmation mensongère, il nous l'a prouvé avec un chef-d'oeuvre "Mendiante Rom dans le métro", prétendument perdu pour avoir la paix des marchands du temple et de la police de l'air et des frontières.
- la noiseuse: la critique se pâme devant le piqué, l'exposition maîtrisée, le cadrage superbe, la colorimétrie respectée, et la finesse du travail de post-production.
Catégorie sans aucun intérêt et malheureusement encombrée par de nombreux besogneux au front bas incapables de voir l'art au delà d'une dérisoire technique.