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Punition a l'ecole ?

34 réponses
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Sameline
Bonjour,

J'ai une petite question a vous soumettre :

J'ai un gros soucis avec la maitresse de mon fils,
enfant precoce de 6 ans 1/2 en CP. Alors que tout allait
bien dans les autres classes, avec cette maitresse, cela
n'a jamais ete super super ...

Jusqu'ici, a force d'effort, mon fils s'en sortait bien, tres
bon resultat au rendez-vous, mais voila depuis Decembre, cela devient
critique suite a un mot que nous avons mis a la maitresse pour
nous etonner d'une punition qu'elle a donnée a notre fils qui avait pour
raison "Je dois faire mes devoirs a la maison", chose que nous avons pas
accepté car il les fait systematiquement avec nous et nous controlons la
bonne marche des choses. Bref, mon fils a quand meme realisé la punition
(a son grand desarrois) mais integrais un mot "amicale" d'etonnement.

A partir de la, cette charmante maitresse, qui ne communique pas jamais
a commence a le prendre en grippe d'apres lui.

Hors Vendredi, jour du debut de vacance, nous avons recupere notre fils
en pleure et dans un etat que nous n'avions jamais vu. Apres l'avoir
calmé en discutant nous avons ete effaré d'apprendre que cela faisait
plusieurs semaines qu'il allait tres mal mais il inventait a chaque fois
une raison exterieur a des petits changements que nous avions remarque
(Mal au ventre pour s'endormir avec nous, cauchemar la nuit suite a un
sois disant dessin animée, fievre sans temperature etc ..)

La nous avons appris donc que depuis decembre, cela allait tres mal avec
la maitresse, refusait de l'interroger sur des questions (cela semble
stupide, mais bon un enfant un peu precoce a besoin d'alimenter son
cerveau, donc tres curieux et volontaire) en le rabaissant a chaque
fois, lui avait prive plusieurs fois de recreation pour des motifs
"limites" (avoir marche dans une flaque d'eau, ne pas avoir pris le bon
cahier, avoir parle sans que l'on lui donne la parole etc ..) et a
chaque privation, il avait le droit a des dizaines de ligne a recopie
pendant que c'est copain jouait dehors. Autrre fait troublant, elle
attribue des "gommettes" a ceux qui travaille bien, mon fils avait a
chaque fois la totalité des gourmettes sauf cette fois si ou il en a
AUCUNE alors qu'en regardant ses evaluations, il a tous juste d'apres la
correction de la maitresse.

Nous avons aussi appris qu'elle lui tirait souvent les cheveux, passait
son temps a crier et donnait des fessés aux "bavard" en nous sitant des
nom de copains "victimes".

A ce jour, il ne veut plus reprendre l'ecole alors que jusqu'ici c'etait
un delice pour lui, hurle pleure a ne plus s'arreter quand on lui dit
qu'il va devoir y retourner et demande a ce que l'on change d'ecole quit
a demenager d'une maison toute neuve que nous venons de faire construire.

Nous avons donc passé une partie des vacances a contacté des familles de
copain pour savoir si ce qu'il nous disait etait reelle et tous on
confirme des methodes discutable mais qu'il faisait l'autruche en ce
disant qu'il restait 4 mois a tenir ...

Nous nous envisageons serieusement de changer notre fils d'ecole en
urgence sans toutefois perdre de vue que nous voulons rencontre la
maitresse et la directrice dès que possible pour demander des
explications (qui seront a chaque fois avec elle, a cause de notre fils ...)

Aussi, si a un dialogue avec des amis eux aussi professeur, j'aimerais
savoir si elle a le droit comme cela de :

- Proceder a des chatiments corporelles, alors que nous avons nous
toujours refusé de taper nos enfants (aucune fessé, uniquement punition)

- Proceder a des chatiments morales (rabaissement, punitions,
privation de recree, privation de recompense motivante)

si la reponse est non, qu'elles sont les articles de loi et precedent
qui pourrait nous donner une piste ?

Merci d'avance
Sameline

10 réponses

1 2 3 4
Avatar
Mgf
"Sameline" a écrit dans le message de
news:
Bonjour,

J'ai une petite question a vous soumettre :

J'ai un gros soucis avec la maitresse de mon fils,
enfant precoce de 6 ans 1/2 en CP. Alors que tout allait
bien dans les autres classes, avec cette maitresse, cela
n'a jamais ete super super ...




L'est-il officiellement (l'avez-vous fait tester ?)



Jusqu'ici, a force d'effort, mon fils s'en sortait bien, tres
bon resultat au rendez-vous, mais voila depuis Decembre, cela devient
critique suite a un mot que nous avons mis a la maitresse pour
nous etonner d'une punition qu'elle a donnée a notre fils qui avait pour
raison "Je dois faire mes devoirs a la maison", chose que nous avons pas
accepté car il les fait systematiquement avec nous et nous controlons la
bonne marche des choses. Bref, mon fils a quand meme realisé la punition
(a son grand desarrois) mais integrais un mot "amicale" d'etonnement.



A la lecture de ces quelques lignes, il semble que vous ayez mis vous-même
votre enfant en difficulté. Bien qu'une directive "interdise" les devoirs à
la maison, les établissements scolaires, majoritairement, continuent de
donner du travail aux enfants. Le débat de savoir si c'est bien ou mal
(surtout compte tenu du bilan catastrophique des échecs scolaires à l'entrée
au Collège) n'est pas la question ici, mais ce qui est problématique dans ce
que vous décrivez, c'est qu'en vous opposant à l'enseignante, vous avez
marginalisé votre enfant en créant un conflit d'adultes dont il est devenu
l'enjeu.

A partir de la, cette charmante maitresse, qui ne communique pas jamais
a commence a le prendre en grippe d'apres lui.

Hors Vendredi, jour du debut de vacance, nous avons recupere notre fils
en pleure et dans un etat que nous n'avions jamais vu. Apres l'avoir
calmé en discutant nous avons ete effaré d'apprendre que cela faisait
plusieurs semaines qu'il allait tres mal mais il inventait a chaque fois
une raison exterieur a des petits changements que nous avions remarque
(Mal au ventre pour s'endormir avec nous, cauchemar la nuit suite a un
sois disant dessin animée, fievre sans temperature etc ..)



Prenez contact avec l'enseignante et la direction de l'école.


La nous avons appris donc que depuis decembre, cela allait tres mal avec
la maitresse, refusait de l'interroger sur des questions (cela semble
stupide, mais bon un enfant un peu precoce a besoin d'alimenter son
cerveau, donc tres curieux et volontaire) en le rabaissant a chaque
fois, lui avait prive plusieurs fois de recreation pour des motifs
"limites" (avoir marche dans une flaque d'eau, ne pas avoir pris le bon
cahier, avoir parle sans que l'on lui donne la parole etc ..)



Attention à vos interprétations ... elles peuvent s'avérer plus dangereuses
qu'autre chose pour votre enfant.

et a
chaque privation, il avait le droit a des dizaines de ligne a recopie
pendant que c'est copain jouait dehors.



Voilà un fait objectif que vous pouvez reprendre en discussion avec
l'enseignante, car c'est abusif.


Autrre fait troublant, elle
attribue des "gommettes" a ceux qui travaille bien, mon fils avait a
chaque fois la totalité des gourmettes sauf cette fois si ou il en a
AUCUNE alors qu'en regardant ses evaluations, il a tous juste d'apres la
correction de la maitresse.



Peut-être révélateur de violence psychologique, mais très hasardeux à
prouver ...


Nous avons aussi appris qu'elle lui tirait souvent les cheveux, passait
son temps a crier et donnait des fessés aux "bavard" en nous sitant des
nom de copains "victimes".



Là, c'est clairement une faute.


A ce jour, il ne veut plus reprendre l'ecole alors que jusqu'ici c'etait
un delice pour lui, hurle pleure a ne plus s'arreter quand on lui dit
qu'il va devoir y retourner et demande a ce que l'on change d'ecole quit
a demenager d'une maison toute neuve que nous venons de faire construire.



C'est probablement une solution à envisager. Ainsi qu'un suivi auprès d'un
pédo-psychiatre.

Nous avons donc passé une partie des vacances a contacté des familles de
copain pour savoir si ce qu'il nous disait etait reelle et tous on
confirme des methodes discutable mais qu'il faisait l'autruche en ce
disant qu'il restait 4 mois a tenir ...



Classique.

Nous nous envisageons serieusement de changer notre fils d'ecole en
urgence sans toutefois perdre de vue que nous voulons rencontre la
maitresse et la directrice dès que possible pour demander des
explications (qui seront a chaque fois avec elle, a cause de notre fils


...)

En urgence vous aurez du mal, et cela ne serait pas idéal pour votre enfant
non plus.

Aussi, si a un dialogue avec des amis eux aussi professeur, j'aimerais
savoir si elle a le droit comme cela de :

- Proceder a des chatiments corporelles,



Non


alors que nous avons nous
toujours refusé de taper nos enfants (aucune fessé, uniquement punition)



Peu importe votre façon d'envisager la question, c'est interdit, c'est tout.


- Proceder a des chatiments morales (rabaissement, punitions,
privation de recree, privation de recompense motivante)



Idem, pour les enseignants comme pour les parents. La violence psychologique
est un délit tout comme la violence physique.

si la reponse est non, qu'elles sont les articles de loi et precedent
qui pourrait nous donner une piste ?



Plainte. Sachant que les conséquences seraient lourdes pour votre enfant et
le résultat hasardeux si vous n'êtes pas sûr d'obtenir les preuves de ce qui
est rapporté par votre enfant.
Avatar
Ariel DAHAN
"Sameline" a écrit dans le message de news:


J'ai un gros soucis avec la maitresse de mon fils,
enfant precoce de 6 ans 1/2 en CP.



6 ans 1/2 , c'est pile poil normal pour le CP.
Soit votre enfant n'est pas précoce, (ce qui est la norme et en définitive
pas si mal)
Soit vous avez raté un saut de classe qui eut pu lui être profitable, si
précoce il y a.

Alors que tout allait bien dans les autres classes, avec cette maitresse,
cela n'a jamais ete super super ...



Il en est des maitresses comme des Hommes... des biens et des moins biens.

Jusqu'ici, a force d'effort, mon fils s'en sortait bien, tres
bon resultat au rendez-vous, mais voila depuis Decembre, cela devient
critique suite a un mot que nous avons mis a la maitresse pour
nous etonner d'une punition qu'elle a donnée a notre fils qui avait pour
raison "Je dois faire mes devoirs a la maison", chose que nous avons pas
accepté car il les fait systematiquement avec nous et nous controlons la
bonne marche des choses.



Vous avez une démarche étonnante.
Plutôt que de contester une punition donnée pour des motifs normaux, vous
auriez dû vous enquérir auprès de la Maitresse du caractère non-fait des
devoirs.
Un rendez-vous aurait mieux fait l'affaire.
Les professeurs ont du mal à voir leur autorité remise en cause par les
parents.


Bref, mon fils a quand meme realisé la punition
(a son grand desarrois) mais integrais un mot "amicale" d'etonnement.

A partir de la, cette charmante maitresse, qui ne communique pas jamais
a commence a le prendre en grippe d'apres lui.

Hors Vendredi, jour du debut de vacance, nous avons recupere notre fils en
pleure et dans un etat que nous n'avions jamais vu. Apres l'avoir calmé en
discutant nous avons ete effaré d'apprendre que cela faisait plusieurs
semaines qu'il allait tres mal mais il inventait a chaque fois une raison
exterieur a des petits changements que nous avions remarque (Mal au ventre
pour s'endormir avec nous, cauchemar la nuit suite a un sois disant dessin
animée, fievre sans temperature etc ..)

La nous avons appris donc que depuis decembre, cela allait tres mal avec
la maitresse,


Hélas ! C'est très fréquent. Vous avez perturbé l'équilibre fragile de cette
personne, qui a été vexée, et se sent épiée par les parents (qui sont
souvent l'ennemi).

refusait de l'interroger sur des questions (cela semble stupide, mais bon
un enfant un peu precoce a besoin d'alimenter son cerveau, donc tres
curieux et volontaire) en le rabaissant a chaque fois,



lui avait prive plusieurs fois de recreation pour des motifs "limites"


La privation de la récréation signifiait que votre fils restait à
l'intérieur de la classe?
C'est anormal. Quels qu'en soient les motifs.
Ou alors avec un avis aux parents, s'il s'agit d'une punition.

(avoir marche dans une flaque d'eau, ne pas avoir pris le bon cahier,
avoir parle sans que l'on lui donne la parole etc ..) et a chaque
privation, il avait le droit a des dizaines de ligne a recopie pendant que
c'est copain jouait dehors.



Même remarque.

Autrre fait troublant, elle attribue des "gommettes" a ceux qui travaille
bien, mon fils avait a chaque fois la totalité des gourmettes sauf cette
fois si ou il en a AUCUNE alors qu'en regardant ses evaluations, il a tous
juste d'apres la correction de la maitresse.



Est-ce si grave?
La discrimination sur les gommettes est rarement punie.
A vous d'expliquer à votre fils que les gommettes ne sont pas une marque
d'intelligence particulière. :-)

Nous avons aussi appris qu'elle lui tirait souvent les cheveux,


Inadmissible, si avéré.

passait son temps a crier et donnait des fessés aux "bavard" en nous
sitant des nom de copains "victimes".

A ce jour, il ne veut plus reprendre l'ecole alors que jusqu'ici c'etait
un delice pour lui, hurle pleure a ne plus s'arreter quand on lui dit
qu'il va devoir y retourner et demande a ce que l'on change d'ecole quit a
demenager d'une maison toute neuve que nous venons de faire construire.

Nous avons donc passé une partie des vacances a contacté des familles de
copain pour savoir si ce qu'il nous disait etait reelle et tous on
confirme des methodes discutable mais qu'il faisait l'autruche en ce
disant qu'il restait 4 mois a tenir ...

Nous nous envisageons serieusement de changer notre fils d'ecole en
urgence sans toutefois perdre de vue que nous voulons rencontre la
maitresse et la directrice dès que possible pour demander des explications
(qui seront a chaque fois avec elle, a cause de notre fils ...)

Aussi, si a un dialogue avec des amis eux aussi professeur, j'aimerais
savoir si elle a le droit comme cela de :

- Proceder a des chatiments corporelles,


Non
En aucune circonstance.
(on peut le regretter, et je me souviens d'une gifle méritée, et d'un coup
de pied au fondement, également mérité, mais la loi a changé depuis ma
jeunesse tendre).

alors que nous avons nous toujours refusé de taper nos enfants
(aucune fessé, uniquement punition)

- Proceder a des chatiments morales (rabaissement, punitions,
privation de recree, privation de recompense motivante)



Non si injustifiés. Ces punitions viennent priver votre enfant d'un moment
de détente nécessaire (récréation), ou le mettent en difficulté morale et
intelectuelle vis à vis du professeur.
Ce sont clairement des mauvais traitements.

si la reponse est non, qu'elles sont les articles de loi et precedent qui
pourrait nous donner une piste ?



Le code pénal.

- Abus d'autorité.
- Coups et violence volontaires sur enfant de moins de 15 ans.
- Torture (la privation de moments de repos est un acte de torture, mais là,
je crois que j'exagère un peu)
...

En fait, il existe plusieurs fondements pour porter plainte.
Je vous recommande vivement
1- de faire constater le trouble psychique et physiologique de votre enfant,
et de demander au pédiatre de vous délivrer un "arrêt de travail" pour
l'enfant, ce qui sera un élément judiciaire déclencheur.
2- de récupérer le maximum d'attestations d'autres parents d'élèves (les
enfants ne peuvent que très difficilement témoigner à cet âge).
3- de porter plainte directement auprès du Ciat de police de votre quartier,
sans passer par la case négociation avec la directrice.
En effet, le Directeur d'établissement n'a aucune autorité sur l'Enseignant.
Il n'a aucun pouvoir sur sa méthode de travail. Seul l'Inspecteur d'Académie
a un pouvoir de sanction hiérarchique du comportement de l'enseignant (par
une mauvaise notation).
Puis viendra la sanction administrative si une faute a été réellement
commise.
Mais son comportement relevant du cadre pénal, une procédure pénale
s'impose.
Si le Ciat de Police refuse de recevoir votre plainte, rappelez-lui qu'il a
obligation de la consigner.
Et saisissez ensuite le Procureur de la République par recommandé + AR.

Le stade de la plainte avec constitution de partie civile pourra être
envisagé ultérieurement, en cas de refus d'intervention du procureur.

Je complette mon propos en précisant que je suis toujours très circonspect
par rapport à ces remarques de parents, mais qu'en l'occurence, vous faites
état de faits qui ont été corroborés par les parents d'autres enfants, ce
qui prouve que votre enfant n'a pas mal interprêté ces faits.
Ce qui motive donc une réaction très forte à ce comportement anormal.


Bon courage.
Ariel DAHAN

--
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Mgf
"Ariel DAHAN" a écrit dans le message de
news:43fda82e$0$20168$
"Sameline" a écrit dans le message de news:




(...)


> Aussi, si a un dialogue avec des amis eux aussi professeur, j'aimerais
> savoir si elle a le droit comme cela de :
>
> - Proceder a des chatiments corporelles,
Non
En aucune circonstance.



(on peut le regretter, et je me souviens d'une gifle méritée, et d'un coup
de pied au fondement, également mérité, mais la loi a changé depuis ma
jeunesse tendre).

> alors que nous avons nous toujours refusé de taper nos enfants
> (aucune fessé, uniquement punition)
>
> - Proceder a des chatiments morales (rabaissement, punitions,
> privation de recree, privation de recompense motivante)

Non si injustifiés.



NON MEME SI JUSTIFIES !

Ces punitions viennent priver votre enfant d'un moment
de détente nécessaire (récréation), ou le mettent en difficulté morale et
intelectuelle vis à vis du professeur.
Ce sont clairement des mauvais traitements.



DONC NON ET ENCORE NON !

> si la reponse est non, qu'elles sont les articles de loi et precedent


qui
> pourrait nous donner une piste ?

Le code pénal.

- Abus d'autorité.
- Coups et violence volontaires sur enfant de moins de 15 ans.


(...)


En fait, il existe plusieurs fondements pour porter plainte.
Je vous recommande vivement
1- de faire constater le trouble psychique et physiologique de votre


enfant,
et de demander au pédiatre de vous délivrer un "arrêt de travail" pour
l'enfant, ce qui sera un élément judiciaire déclencheur.



C'est à cela que je pensais en faisant une mise en garde. Une plainte sur de
tels motifs entraînent des actes procéduraux lourds tels que demandes de
témoignage, demande d'ITT avec qualification de la nature des violences
subies, interrogatoire de l'enfant, expertises éventuelles. Tout cela pour
des violences qu'il faut mettre en balance de la violence institutionnelle
que devra subir la jeune victime, qui n'est âgée que de 6 ans. Il faut
réfléchir à la priorité et à l'intérêt des actions, le remède pouvant se
révèler pire que le mal.

Cela dit, si l'enfant est dans un état de souffrance tel qu'il n'est plus
possible de le laisser poursuivre normalement sa scolarité, alors qu'il est
soumis à l'obligation scolaire, la plainte est un passage obligé.


2- de récupérer le maximum d'attestations d'autres parents d'élèves (les
enfants ne peuvent que très difficilement témoigner à cet âge).
3- de porter plainte directement auprès du Ciat de police de votre


quartier,
sans passer par la case négociation avec la directrice.
En effet, le Directeur d'établissement n'a aucune autorité sur


l'Enseignant.
Il n'a aucun pouvoir sur sa méthode de travail. Seul l'Inspecteur


d'Académie
a un pouvoir de sanction hiérarchique du comportement de l'enseignant (par
une mauvaise notation).
Puis viendra la sanction administrative si une faute a été réellement
commise.
Mais son comportement relevant du cadre pénal, une procédure pénale
s'impose.
Si le Ciat de Police refuse de recevoir votre plainte, rappelez-lui qu'il


a
obligation de la consigner.
Et saisissez ensuite le Procureur de la République par recommandé + AR.

Le stade de la plainte avec constitution de partie civile pourra être
envisagé ultérieurement, en cas de refus d'intervention du procureur.



(...)
Avatar
Zavier
Sameline nous chuchotait :

Bonjour,



Bonjour,


Aussi, si a un dialogue avec des amis eux aussi professeur, j'aimerais
savoir si elle a le droit comme cela de :

- Proceder a des chatiments corporelles, alors que nous avons nous
toujours refusé de taper nos enfants (aucune fessé, uniquement punition)

- Proceder a des chatiments morales (rabaissement, punitions,
privation de recree, privation de recompense motivante)



Non et non.


si la reponse est non, qu'elles sont les articles de loi et precedent
qui pourrait nous donner une piste ?



Je n'ai pas d'articles de loi. Mais pour essayer de résoudre ce
problème, dans l'ordre, je rencontrerais l'instit (seule) histoire de
dégonfler le conflit et surtout d'expliquer ce qu'est un enfant précoce.
Ensuite, en cas d'échec, la directrice. Et enfin l'inspecteur
d'académie.
Pour le judiciaire, ça peut attendre encore un peu je pense.

Dans tous les cas, essayez de récolter des preuves mais ne soyez pas
trop optimistes : les enfants (et leurs parents) craignent généralement
d'être à leur tour la bête noire de l'instit ; et quand ils sont dans
une classe supérieure, ils ont tendance à considérer que si eux ont pu
le supporter, les autres le peuvent aussi...


Cordialement,
Xavier
--
In Reply-To veritas.
Avatar
Mgf
"Zavier" a écrit dans le message de
news:

(...)


> Aussi, si a un dialogue avec des amis eux aussi professeur, j'aimerais
> savoir si elle a le droit comme cela de :
>
> - Proceder a des chatiments corporelles, alors que nous avons


nous
> toujours refusé de taper nos enfants (aucune fessé, uniquement punition)
>
> - Proceder a des chatiments morales (rabaissement, punitions,
> privation de recree, privation de recompense motivante)

Non et non.


> si la reponse est non, qu'elles sont les articles de loi et precedent
> qui pourrait nous donner une piste ?

Je n'ai pas d'articles de loi. Mais pour essayer de résoudre ce
problème, dans l'ordre, je rencontrerais l'instit (seule) histoire de
dégonfler le conflit



Oui, mais en abordant le problème en se cantonnant strictement aux faits
établis.


et surtout d'expliquer ce qu'est un enfant précoce.

A éviter dans un tel contexte. il vaut mieux éviter de tout mélanger, et
l'enseignante sera mal disposée à entendre ce discours compte tenu des
problèmes graves évoqués. Par ailleurs, rien n'indique que cet enfant est
réellement précoce.


Ensuite, en cas d'échec, la directrice. Et enfin l'inspecteur
d'académie.
Pour le judiciaire, ça peut attendre encore un peu je pense.



La première urgence est de soulager la souffrance de l'enfant. En plus du
rendez-vous avec la maîtresse et de la direction, prendre rendez-vous avec
la psychologue scolaire. Elle est la première à pouvoir rediriger l'enfant
vers un pédo-psychiatre (qui pourrait diagnostiquer une éventuelle
précocité) et à servir d'interface entre l'école et la famille en ce qui
concerne le conflit.

Dans tous les cas, essayez de récolter des preuves mais ne soyez pas
trop optimistes : les enfants (et leurs parents) craignent généralement
d'être à leur tour la bête noire de l'instit ; et quand ils sont dans
une classe supérieure, ils ont tendance à considérer que si eux ont pu
le supporter, les autres le peuvent aussi...



Il y a aussi le problème des dossiers scolaires ... qui suivent les enfants.
Avatar
Sameline
Rebonjour,

Merci a tous pour vos contributions, je vais essayer d'apporter quelques
clarifications et reponses.


== Concernant la precocité, oui il a ete suivi par un centre et un pedo
psychiatre car dès le debut, nous avons remarqué qu'il presentait des
signes de lassement a l'ecole. Sa maitresse de maternelle a tous de
suite pris contact avec nous pour que nous le fassions "testé" ce qui a
bien ete fait. Il en ai ressorti un QI de 120 a 4 ans et 127 a 5 ans,
ce qui d'apres notre pedo-psychiatre etait a la limite du precoce.

Tous c'est bien termine car apres une reunion parent/maitresse/pedo
psychiatre, la maitresse a fait un travail formidable en acceptant de
donner un peu plus de travail a notre fils. Son probleme etait surtout
qu'il s'ennuyait a l'ecole car il avait l'impression de tous savoir deja
(ce qui est bien entendu faux mais bon).

Effectivement, nous n'avons pas voulu qu'il saute d'une classe car il
n'en etait pas moins encore un bebe. Ce qui etait pour nous
le plus dur, c'etait de mettre des limites aux discussions, des "ce
n'est pas de ton age" car parler de la guerre, de sadam hussein etc avec
un enfant de 3 a 4 ans, c'est pas les bons sujet (il est passionné des
infos teles et donc bonjour les sujet de discution ....)

Nous avons donc convenu en 2004 d'attendre la fin du CP pour voir la
suite des evenements.

==
Concernant le mot contre la punition, le probleme est que nous n'avons
pas reussi a communiquer autrement avec elle. Dans ce mot, nous ne
remettions pas en cause (encore) son autorité car nous avons malgrés
tous fait faire cette punition a notre fils. Dans ce mot, nous lui avons
indiqué qu'il avait realisé tous les devoirs indiqués. Sa seul reponse
est de nous dire que notre fils n'avait pas tout noté ce qu'il fallait
faire. Apres verification faite, on a compris qu'elle avait utilisé
notre fils pour aller remettre des documents a la directrice et que du
coup il avait du rattraper son retard car elle avait commencé a donner
les instructions (verifie aupres des amis de notre fils, il semble tres
utiliser en temps que facteur).

De toute façon, au dernier dialogue de 4mn avec elle (car notre fils ce
plaignait d'envie de vomir dans le car sur le trajet allé, provoqué
nous le pensons maintenant, par son stresse de retrouver cette ecole,
on voulait savoir si c'etait pareil en classe) elle nous a sorti
que coté travail cela allait mais que tout venait du caractere de notre
fils, qu'elle avait 20 ans de metier et qu'elle n'allait pas mainenant
changer sa façon de faire.

==
Concernant la rencontre avec l'institutrice et la directrice, nous
allons le faire mais nous pensons que cela ce passera tres mal car
un autre parent a eu le meme probleme en Octobre 2005 et cela c'est
solde par le depart de l'enfant.

En consultant autour de nous, nous nous sommes rendu compte de la
mauvaise image de l'ecole et des petites histoires qui mis bout a
bout revele un probleme.

En ce qui nous concerne, nous avons oeuvre aujourd'hui pour faire
un changement d'ecole immediat, oui c'est expeditif mais apres les
dialogues que nous avons eu, nous sommes persuadé d'un danger de
represaille sur notre fils. Apres des contacts telephoniques, nous
venons d'avoir un accord du maire pour une derogation pour qu'il aille
dans une autre ecole d'une commune voisine. Nous allons chercher cet
apres-midi le papier sesame.

==
Concernant un aspect judiciaire, je pense aussi que c'est ce jeter dans
une bataille qui sera trop hasardeuse car je doute que les autres
parents nous suivent (peur de represaille) toutefois, je veux quand
meme avoir un repondant lors de l'entretien que nous aurons a la
rentrée. Surtout qu'ils apprendront a ce moment la que notre fils ne
reintegrera pas cette ecole.


Merci d'avance
Avatar
Zavier
Mgf nous disait :

"Zavier" a écrit dans le message de
news:

> Je n'ai pas d'articles de loi. Mais pour essayer de résoudre ce
> problème, dans l'ordre, je rencontrerais l'instit (seule) histoire de
> dégonfler le conflit
Oui, mais en abordant le problème en se cantonnant strictement aux faits
établis.



Pas forcément. Si l'entretien se passe bien, tout peut être abordé.
J'allais dire que s'il y avait blocage, il était inutile d'envenimer les
choses, mais les choses seront envenimées par la suite des événements,
de toute façon. Alors autant jouer cartes sur table dès le début.


> et surtout d'expliquer ce qu'est un enfant précoce.
A éviter dans un tel contexte. il vaut mieux éviter de tout mélanger, et
l'enseignante sera mal disposée à entendre ce discours compte tenu des
problèmes graves évoqués.



Pas du tout, ça peut l'aider à se « déculpabiliser », si tant est
qu'elle se sente un peu coupable de ses agissements.


Par ailleurs, rien n'indique que cet enfant est réellement précoce.



Pour l'instant je crois ce qu'en dit sa mère. Et la description de
l'attitude de l'instit m'incite à y croire encore plus.


> Ensuite, en cas d'échec, la directrice. Et enfin l'inspecteur
> d'académie.
> Pour le judiciaire, ça peut attendre encore un peu je pense.
La première urgence est de soulager la souffrance de l'enfant. En plus du
rendez-vous avec la maîtresse et de la direction, prendre rendez-vous avec
la psychologue scolaire.



Bah, ne comptons pas trop sur le psychologue scolaire pour résoudre un
conflit dans sa circonscription.


Elle est la première à pouvoir rediriger l'enfant
vers un pédo-psychiatre (qui pourrait diagnostiquer une éventuelle
précocité)



Voilà, si l'enfant n'a pas encore été testé, ça pourra se faire là. Ou
se refaire.
D'ailleurs, le psy scolaire peut le faire lui-même ou est-ce que ça a
changé ?


et à servir d'interface entre l'école et la famille en ce qui
concerne le conflit.



Cf. supra.


Cordialement,
Xavier
--
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Mgf
"Sameline" a écrit dans le message de
news:
Rebonjour,

Merci a tous pour vos contributions, je vais essayer d'apporter quelques
clarifications et reponses.


== > Concernant la precocité, oui il a ete suivi par un centre et un pedo
psychiatre



Il serait sans aucun doute souhaitable de poursuivre cette prise en charge.
Aussi bien pour ce qui est de la précocité intellectuelle. Que pour la prise
en charge de l'actuel conflit.

car dès le debut, nous avons remarqué qu'il presentait des
signes de lassement a l'ecole. Sa maitresse de maternelle a tous de
suite pris contact avec nous pour que nous le fassions "testé" ce qui a
bien ete fait. Il en ai ressorti un QI de 120 a 4 ans et 127 a 5 ans,
ce qui d'apres notre pedo-psychiatre etait a la limite du precoce.



Vous l'avez fait tester deux fois (ce qui est pertinent, car la plasticité
étant importante à cet êge, les résultats évoluent généralement à la hausse
pendant quelques années.) Sachez qu'en dehors de quelques structures
spécialisées, les écoles publiques ne sont pas adaptées à cette
particularité.

Tous c'est bien termine car apres une reunion parent/maitresse/pedo
psychiatre, la maitresse a fait un travail formidable en acceptant de
donner un peu plus de travail a notre fils. Son probleme etait surtout
qu'il s'ennuyait a l'ecole car il avait l'impression de tous savoir deja
(ce qui est bien entendu faux mais bon).



Vous posez encore une fois la difficulté qu'il y a à être parents dans un
tel contexte, puisqu'à l'origine du conflit avec la maîtresse actuelle, vous
reprochez précisément une surcharge de travail à la maison qui serait cause
de la première punition. Or, votre bonne foi n'est sans doute pas à mettre
en cause. Ce qui est délicat pour vous, c'est d'avoir à gérer la scolarité
d'un enfant différent, intégré dans une classe normale. Il est certes
important de prendre la bonne décision en ce qui concerne le dérapage de
l'enseignante, en pesant valablement le pour et le contre en ce qui concerne
d'éventuelles poursuites, mais il semble surtout important de s'interroger
sur l'intégration ou non de votre enfant dans une structure non
spécialisée - ce qui suppose l'acceptation qu'il entre d'une certaine façon,
dans un moule.


Effectivement, nous n'avons pas voulu qu'il saute d'une classe car il
n'en etait pas moins encore un bebe.



C'est à étudier avec l'aide d'un professionnel. La difficulté de ces enfants
est souvent qu'il y a un écart important entre la maturité intellectuelle et
la maturité affective. Je vous encourage vivement à lire les travaux de
Jean-Charles TERRASSIER.

Ce qui etait pour nous
le plus dur, c'etait de mettre des limites aux discussions, des "ce
n'est pas de ton age" car parler de la guerre, de sadam hussein etc avec
un enfant de 3 a 4 ans, c'est pas les bons sujet (il est passionné des
infos teles et donc bonjour les sujet de discution ....)



Rassurez-vous. Il n'y a pas de mauvais sujets de discussion quelque soit
l'âge de l'enfant, mais uniquement de mauvaises façons d'aborder ces sujets.



Nous avons donc convenu en 2004 d'attendre la fin du CP pour voir la
suite des evenements.



Oui, mais là, les évènements vous mettent un peu au pied du mur ...

Concernant le mot contre la punition, le probleme est que nous n'avons
pas reussi a communiquer autrement avec elle. Dans ce mot, nous ne
remettions pas en cause (encore) son autorité car nous avons malgrés
tous fait faire cette punition a notre fils. Dans ce mot, nous lui avons
indiqué qu'il avait realisé tous les devoirs indiqués. Sa seul reponse
est de nous dire que notre fils n'avait pas tout noté ce qu'il fallait
faire. Apres verification faite, on a compris qu'elle avait utilisé
notre fils pour aller remettre des documents a la directrice et que du
coup il avait du rattraper son retard car elle avait commencé a donner
les instructions (verifie aupres des amis de notre fils, il semble tres
utiliser en temps que facteur).



Peu importe le comment du pourquoi, mais vous avez agi très maladroitement
en négligeant de rencontrer de visu l'enseignante plutôt que de lui adresser
un mot qu'elle a manifestement interprété comme une agression, et dont votre
enfant fait les frais aujourd'hui.

De toute façon, au dernier dialogue de 4mn avec elle (car notre fils ce
plaignait d'envie de vomir dans le car sur le trajet allé, provoqué
nous le pensons maintenant, par son stresse de retrouver cette ecole,
on voulait savoir si c'etait pareil en classe) elle nous a sorti
que coté travail cela allait mais que tout venait du caractere


de notre
fils, qu'elle avait 20 ans de metier et qu'elle n'allait pas mainenant
changer sa façon de faire.



Ce qui n'est pas à exclure, compte tenu de sa différence. Mais pas excusable
pour autant.


Concernant la rencontre avec l'institutrice et la directrice, nous
allons le faire mais nous pensons que cela ce passera tres mal car
un autre parent a eu le meme probleme en Octobre 2005 et cela c'est
solde par le depart de l'enfant.



Alors il est peut-être préférable de se passer de cette démarche.



En consultant autour de nous, nous nous sommes rendu compte de la
mauvaise image de l'ecole et des petites histoires qui mis bout a
bout revele un probleme.

En ce qui nous concerne, nous avons oeuvre aujourd'hui pour faire
un changement d'ecole immediat, oui c'est expeditif mais apres les
dialogues que nous avons eu, nous sommes persuadé d'un danger de
represaille sur notre fils. Apres des contacts telephoniques, nous
venons d'avoir un accord du maire pour une derogation pour qu'il aille
dans une autre ecole d'une commune voisine. Nous allons chercher cet
apres-midi le papier sesame.



Rare ... profitez de l'opportunité. En ce qui concerne le problème que pose
cette école ... vous avez peut-être bien d'autres soucis à règler en faveur
de votre enfant, et si vous en avez la possibilité, je vous encourage à
tourner la page au plus vite pour ne vous consacrer qu'à l'avenir de votre
enfant dans de meilleures conditions.



Concernant un aspect judiciaire, je pense aussi que c'est ce jeter dans
une bataille qui sera trop hasardeuse car je doute que les autres
parents nous suivent (peur de represaille) toutefois, je veux quand
meme avoir un repondant lors de l'entretien que nous aurons a la
rentrée. Surtout qu'ils apprendront a ce moment la que notre fils ne
reintegrera pas cette ecole.



Adressez un courrier à l'inspection académique, mais attendez pour cela que
votre enfant soit intégré dans sa nouvelle école. Très bon courage.
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Zavier
Sameline nous racontait :

Apres des contacts telephoniques, nous
venons d'avoir un accord du maire pour une derogation pour qu'il aille
dans une autre ecole d'une commune voisine. Nous allons chercher cet
apres-midi le papier sesame.



Bon, finalement c'est le happy end pour votre fils et tant mieux pour
lui.


Cordialement,
Xavier
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In Reply-To veritas.
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Lumi
"Mgf" a écrit dans le message de news:
Prenez contact avec l'enseignante et la direction de l'école.



même avec l'inspection d'accadémie !

nous avons été confronté au même type de problème avec mon fils en moyenne
et grande section de maternelle. malgré plusieurs entretiens pour
s'expliquer avec la maitresse, c'était toujours pareil.
après en avoir parlé a plusieurs parents, c'etait très très courant. nous
avons tenté une pétition mais personne n'ose se mouiller par crainte de
représaille sur leurs propres enfants... pourtant plus d'un parent a
déménagé ou changé d'école a cause de cette maitresse.
depuis l'intervention de l'inspection accadémique, il avait fallu noter par
écrit les différents sujets de discorde, et en dessous les réponses fournies
par la maitresse. (aucune solution, ni réponse intelligente!) mais cela a
permis qu'elle fiche la paix a notre fils (qui est heureusement en CP
maintenant, et du coup elle n'a pas trop fait de critiques a notre fille
plus jeune)
mais d'autres parents continuent a subir l'attitude de cette maitresse qui
est aussi directrice (la reine-mère !!!)
Un jour, tellement excédée, j'avais les larmes aux yeux en parlant a
l'ASTEM, et elle m'a bien confirmé que je n'étais pas débile ! mais
malheureusement elle ne voulais pas s'engager contre la maitresse (ses
conditions de travail seraient devenues surement médiocre)

Attention à vos interprétations ... elles peuvent s'avérer plus
dangereuses
qu'autre chose pour votre enfant.



tout a fait, la maitresse peut se retourner contre vous et vous attaquer
pour diffamation....

Voilà un fait objectif que vous pouvez reprendre en discussion avec
l'enseignante, car c'est abusif.



si elle est aussi bouchée que la notre ! c'est peine perdue !!!

attribue des "gommettes" a ceux qui travaille bien, mon fils avait a
chaque fois la totalité des gourmettes sauf cette fois si ou il en a
AUCUNE alors qu'en regardant ses evaluations, il a tous juste d'apres la
correction de la maitresse.





sujet a retenir et a évoquer avec l'inspection accadémique !!

Nous avons aussi appris qu'elle lui tirait souvent les cheveux, passait
son temps a crier et donnait des fessés aux "bavard" en nous sitant des
nom de copains "victimes".





Là, c'est clairement une faute.



attention aux accusations !! même si elles sont fondées, rien ne vous assure
que d'autres parents vous suivront dans votre démarche pour confirmer :-((

A ce jour, il ne veut plus reprendre l'ecole





il doit reçevoir une éducation, y a pas trop de choix, a moins que vous y
coller vous-même, ou le changer d'école temporairement.

tous ont confirme des methodes discutable mais qu'il


> faisait l'autruche en ce disant qu'il restait 4 mois a tenir ...



Classique.



la peur des représailles sur leurs enfants. vous auriez surement fait pareil
pour épargner vos chérubins !

> - Proceder a des chatiments corporelles,



Non
Plainte. Sachant que les conséquences seraient lourdes pour votre enfant
et
le résultat hasardeux si vous n'êtes pas sûr d'obtenir les preuves de ce
qui
est rapporté par votre enfant.



effectivement très dur a prouver, ou d'apporter des témoignages en votre
faveur.
le risque est d'être attaqué pour diffamation :-(

courage a votre petit bout !!
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