> - en français sans faute
Comme on dit l'erreur est humaine et comme aucun logiciel à ce jour
n'est capable de corriger 100% des fautes je ne vois pas comment
n'importe quel magazine pourrait en être exempt (mais il ne faut pas
qu'à l'inverse il en soit bourré car cela devient vite lassant).
> + un code de couleur fait pour des yeux moyens
Pour ça c'est comme pour le concept de normal, ça veut dire quoi des
yeux moyens ???
> - en français sans faute
Comme on dit l'erreur est humaine et comme aucun logiciel à ce jour
n'est capable de corriger 100% des fautes je ne vois pas comment
n'importe quel magazine pourrait en être exempt (mais il ne faut pas
qu'à l'inverse il en soit bourré car cela devient vite lassant).
> + un code de couleur fait pour des yeux moyens
Pour ça c'est comme pour le concept de normal, ça veut dire quoi des
yeux moyens ???
> - en français sans faute
Comme on dit l'erreur est humaine et comme aucun logiciel à ce jour
n'est capable de corriger 100% des fautes je ne vois pas comment
n'importe quel magazine pourrait en être exempt (mais il ne faut pas
qu'à l'inverse il en soit bourré car cela devient vite lassant).
> + un code de couleur fait pour des yeux moyens
Pour ça c'est comme pour le concept de normal, ça veut dire quoi des
yeux moyens ???
> Comme on dit l'erreur est humaine et comme aucun logiciel à ce jour
> n'est capable de corriger 100% des fautes je ne vois pas comment
> n'importe quel magazine pourrait en être exempt (mais il ne faut pas
> qu'à l'inverse il en soit bourré car cela devient vite lassant).
On se demande comment Victor Hugo faisait. D'ailleurs, si tu
prends un livre de 800 pages au hasard, il y a rarement plus
de deux ou trois fautes dedans, en comptant fautes
d'orthographe et fautes de typo.
Il en allait de même des
journaux avant que les ordinateurs n'arrivent et ne fassent
penser que n'importe qui puisse être un rédacteur/éditeur/...
> Comme on dit l'erreur est humaine et comme aucun logiciel à ce jour
> n'est capable de corriger 100% des fautes je ne vois pas comment
> n'importe quel magazine pourrait en être exempt (mais il ne faut pas
> qu'à l'inverse il en soit bourré car cela devient vite lassant).
On se demande comment Victor Hugo faisait. D'ailleurs, si tu
prends un livre de 800 pages au hasard, il y a rarement plus
de deux ou trois fautes dedans, en comptant fautes
d'orthographe et fautes de typo.
Il en allait de même des
journaux avant que les ordinateurs n'arrivent et ne fassent
penser que n'importe qui puisse être un rédacteur/éditeur/...
> Comme on dit l'erreur est humaine et comme aucun logiciel à ce jour
> n'est capable de corriger 100% des fautes je ne vois pas comment
> n'importe quel magazine pourrait en être exempt (mais il ne faut pas
> qu'à l'inverse il en soit bourré car cela devient vite lassant).
On se demande comment Victor Hugo faisait. D'ailleurs, si tu
prends un livre de 800 pages au hasard, il y a rarement plus
de deux ou trois fautes dedans, en comptant fautes
d'orthographe et fautes de typo.
Il en allait de même des
journaux avant que les ordinateurs n'arrivent et ne fassent
penser que n'importe qui puisse être un rédacteur/éditeur/...
> Comme on dit l'erreur est humaine et comme aucun logiciel à ce jour
> n'est capable de corriger 100% des fautes je ne vois pas comment
> n'importe quel magazine pourrait en être exempt (mais il ne faut pas
> qu'à l'inverse il en soit bourré car cela devient vite lassant).
nawak. N'importe quel correcteur corrige au moins l'orthographe. Pour
le reste, il suffit d'embaucher un instit à la retraite si personne
n'est capable de corriger du français : il se fera certainement un
plaisir de corriger cela...
Avoir un tout homogène sera une marque de fabrique... Ici, la marque
de fabrique est... que c'est le bordel et que cela dépend uniquement
de l'auteur.
Pourquoi crois-tu que les éditions O'Reilly ont si bonne
réputation ? Ils traduisent remarquablement, le tout est homogène et
le public est très large (en tout cas, on ne prend pas le lecteur pour
un âne...).
Oui, la traduction est mon dada et c'est pourquoi j'y prête une
attention particulière.
Bien traduire les termes, c'est apporter en
efficacité de compréhension : le sabir n'apporte rien, que l'illusion
du savoir pour le prétendu initié. Le reste n'est que du vent : quand
les gens auront compris que le langage écrit est différent du langage
parlé, on aura fait un grand pas en avant... en attendant, on a des
trucs comme LMF... qui sont navrants.
> > + une typographie irréprochable
> Même chose rien ne peut jamais être parfait.
Cause-z- en à LaTeX ! La typographie est une science tout à fait
exacte... donc tout à fait automatisable...
> Pour ça AMHA c'est encore une histoire de goût, je pense que les photos
> n'apportent rien en elle même à part de mettre 1 peu de visuel en plus
> du texte, et tant qu'à faire autant que cela soit du visuel en rapport
> avec le sujet plutôt que le kitsch des photos de Login.
Bof... les photos de Login: étaient soit belles, soit marrantes. Dans
le meilleurs des cas, elles sont navrantes dans le LMF.
Je préfère
encore Login: sur ce plan-là. Et eux étaient nettement meilleur en
qualité de rédaction ;-)
> Comme on dit l'erreur est humaine et comme aucun logiciel à ce jour
> n'est capable de corriger 100% des fautes je ne vois pas comment
> n'importe quel magazine pourrait en être exempt (mais il ne faut pas
> qu'à l'inverse il en soit bourré car cela devient vite lassant).
nawak. N'importe quel correcteur corrige au moins l'orthographe. Pour
le reste, il suffit d'embaucher un instit à la retraite si personne
n'est capable de corriger du français : il se fera certainement un
plaisir de corriger cela...
Avoir un tout homogène sera une marque de fabrique... Ici, la marque
de fabrique est... que c'est le bordel et que cela dépend uniquement
de l'auteur.
Pourquoi crois-tu que les éditions O'Reilly ont si bonne
réputation ? Ils traduisent remarquablement, le tout est homogène et
le public est très large (en tout cas, on ne prend pas le lecteur pour
un âne...).
Oui, la traduction est mon dada et c'est pourquoi j'y prête une
attention particulière.
Bien traduire les termes, c'est apporter en
efficacité de compréhension : le sabir n'apporte rien, que l'illusion
du savoir pour le prétendu initié. Le reste n'est que du vent : quand
les gens auront compris que le langage écrit est différent du langage
parlé, on aura fait un grand pas en avant... en attendant, on a des
trucs comme LMF... qui sont navrants.
> > + une typographie irréprochable
> Même chose rien ne peut jamais être parfait.
Cause-z- en à LaTeX ! La typographie est une science tout à fait
exacte... donc tout à fait automatisable...
> Pour ça AMHA c'est encore une histoire de goût, je pense que les photos
> n'apportent rien en elle même à part de mettre 1 peu de visuel en plus
> du texte, et tant qu'à faire autant que cela soit du visuel en rapport
> avec le sujet plutôt que le kitsch des photos de Login.
Bof... les photos de Login: étaient soit belles, soit marrantes. Dans
le meilleurs des cas, elles sont navrantes dans le LMF.
Je préfère
encore Login: sur ce plan-là. Et eux étaient nettement meilleur en
qualité de rédaction ;-)
> Comme on dit l'erreur est humaine et comme aucun logiciel à ce jour
> n'est capable de corriger 100% des fautes je ne vois pas comment
> n'importe quel magazine pourrait en être exempt (mais il ne faut pas
> qu'à l'inverse il en soit bourré car cela devient vite lassant).
nawak. N'importe quel correcteur corrige au moins l'orthographe. Pour
le reste, il suffit d'embaucher un instit à la retraite si personne
n'est capable de corriger du français : il se fera certainement un
plaisir de corriger cela...
Avoir un tout homogène sera une marque de fabrique... Ici, la marque
de fabrique est... que c'est le bordel et que cela dépend uniquement
de l'auteur.
Pourquoi crois-tu que les éditions O'Reilly ont si bonne
réputation ? Ils traduisent remarquablement, le tout est homogène et
le public est très large (en tout cas, on ne prend pas le lecteur pour
un âne...).
Oui, la traduction est mon dada et c'est pourquoi j'y prête une
attention particulière.
Bien traduire les termes, c'est apporter en
efficacité de compréhension : le sabir n'apporte rien, que l'illusion
du savoir pour le prétendu initié. Le reste n'est que du vent : quand
les gens auront compris que le langage écrit est différent du langage
parlé, on aura fait un grand pas en avant... en attendant, on a des
trucs comme LMF... qui sont navrants.
> > + une typographie irréprochable
> Même chose rien ne peut jamais être parfait.
Cause-z- en à LaTeX ! La typographie est une science tout à fait
exacte... donc tout à fait automatisable...
> Pour ça AMHA c'est encore une histoire de goût, je pense que les photos
> n'apportent rien en elle même à part de mettre 1 peu de visuel en plus
> du texte, et tant qu'à faire autant que cela soit du visuel en rapport
> avec le sujet plutôt que le kitsch des photos de Login.
Bof... les photos de Login: étaient soit belles, soit marrantes. Dans
le meilleurs des cas, elles sont navrantes dans le LMF.
Je préfère
encore Login: sur ce plan-là. Et eux étaient nettement meilleur en
qualité de rédaction ;-)
On trouve des fautes partout mais ce n'est pas une référence de
qualité, n'est-ce pas ?
Ce n'est pas parce que c'est un magazine technique que l'on ne doit pas
prendre de soin à son écriture et ... à sa relecture !
J'ai fait longtemps un travail de relecture d'articles pour une
publication technique de l'UTE. On ne voit jamais ses propres fautes,
c'est bien connu.
« Pour ce qui est des ouvrages techniques les impératifs de temps ce
« compte en semaines ou en mois (si pas davantage). Pour un mensuel,
« il
« n'est pas rare de travailler à la journée sinon la demi-journée.
Le temps presse, sans doute, mais confier le magazine à un ou deux
relecteurs avant le « bon à tirer » permettrait de le soulager de la
plupart des fautes grossières.
On trouve des fautes partout mais ce n'est pas une référence de
qualité, n'est-ce pas ?
Ce n'est pas parce que c'est un magazine technique que l'on ne doit pas
prendre de soin à son écriture et ... à sa relecture !
J'ai fait longtemps un travail de relecture d'articles pour une
publication technique de l'UTE. On ne voit jamais ses propres fautes,
c'est bien connu.
« Pour ce qui est des ouvrages techniques les impératifs de temps ce
« compte en semaines ou en mois (si pas davantage). Pour un mensuel,
« il
« n'est pas rare de travailler à la journée sinon la demi-journée.
Le temps presse, sans doute, mais confier le magazine à un ou deux
relecteurs avant le « bon à tirer » permettrait de le soulager de la
plupart des fautes grossières.
On trouve des fautes partout mais ce n'est pas une référence de
qualité, n'est-ce pas ?
Ce n'est pas parce que c'est un magazine technique que l'on ne doit pas
prendre de soin à son écriture et ... à sa relecture !
J'ai fait longtemps un travail de relecture d'articles pour une
publication technique de l'UTE. On ne voit jamais ses propres fautes,
c'est bien connu.
« Pour ce qui est des ouvrages techniques les impératifs de temps ce
« compte en semaines ou en mois (si pas davantage). Pour un mensuel,
« il
« n'est pas rare de travailler à la journée sinon la demi-journée.
Le temps presse, sans doute, mais confier le magazine à un ou deux
relecteurs avant le « bon à tirer » permettrait de le soulager de la
plupart des fautes grossières.
> > Il en allait de même des
> > journaux avant que les ordinateurs n'arrivent et ne fassent
> > penser que n'importe qui puisse être un rédacteur/éditeur/...
> Mais de quels journaux parles-tu ? Et de quelle période ?
La plupart des quotidiens d'il y a 50 ans ou plus, par
exemple. Sinon, prends une édition du Monde au hasard:
combien de pages par jour? combien de fautes?
> Dans ma petite province je lis les quotidiens et j'y trouve des fautes,
> dans les programmes télé je trouve des fautes, dans tous les magazines
> je trouve des fautes...
Le nivellement par le bas est rarement une bonne excuse.
Mais soit, j'attend avec impatience une édition en SMS vu
qu'après tout, il y a des gens qui écrivent en SMS sur les
listes de diffusion. En plus ça compresserait: on pourrait
ainsi mettre plus de contenu dans les 96 pages.
> > Il en allait de même des
> > journaux avant que les ordinateurs n'arrivent et ne fassent
> > penser que n'importe qui puisse être un rédacteur/éditeur/...
> Mais de quels journaux parles-tu ? Et de quelle période ?
La plupart des quotidiens d'il y a 50 ans ou plus, par
exemple. Sinon, prends une édition du Monde au hasard:
combien de pages par jour? combien de fautes?
> Dans ma petite province je lis les quotidiens et j'y trouve des fautes,
> dans les programmes télé je trouve des fautes, dans tous les magazines
> je trouve des fautes...
Le nivellement par le bas est rarement une bonne excuse.
Mais soit, j'attend avec impatience une édition en SMS vu
qu'après tout, il y a des gens qui écrivent en SMS sur les
listes de diffusion. En plus ça compresserait: on pourrait
ainsi mettre plus de contenu dans les 96 pages.
> > Il en allait de même des
> > journaux avant que les ordinateurs n'arrivent et ne fassent
> > penser que n'importe qui puisse être un rédacteur/éditeur/...
> Mais de quels journaux parles-tu ? Et de quelle période ?
La plupart des quotidiens d'il y a 50 ans ou plus, par
exemple. Sinon, prends une édition du Monde au hasard:
combien de pages par jour? combien de fautes?
> Dans ma petite province je lis les quotidiens et j'y trouve des fautes,
> dans les programmes télé je trouve des fautes, dans tous les magazines
> je trouve des fautes...
Le nivellement par le bas est rarement une bonne excuse.
Mais soit, j'attend avec impatience une édition en SMS vu
qu'après tout, il y a des gens qui écrivent en SMS sur les
listes de diffusion. En plus ça compresserait: on pourrait
ainsi mettre plus de contenu dans les 96 pages.
Je deteste le style SMS aussi bien dans les mails qu'en irc. Aucune
chance donc pour le voir débouler dans les page de mon magazine.
Je deteste le style SMS aussi bien dans les mails qu'en irc. Aucune
chance donc pour le voir débouler dans les page de mon magazine.
Je deteste le style SMS aussi bien dans les mails qu'en irc. Aucune
chance donc pour le voir débouler dans les page de mon magazine.
Victor Hugo écrivait des livres et ce, dans une tranche de temps
parfaitement aléatoire. Ici, nous parlons d'un magazine mensuel de 96
pages avec des impératifs de temps, de volume et de diversité.
> Il en allait de même des
> journaux avant que les ordinateurs n'arrivent et ne fassent
> penser que n'importe qui puisse être un rédacteur/éditeur/...
Mais de quels journaux parles-tu ? Et de quelle période ?
Dans ma petite province je lis les quotidiens et j'y trouve des fautes,
dans les programmes télé je trouve des fautes, dans tous les magazines
je trouve des fautes...
Victor Hugo écrivait des livres et ce, dans une tranche de temps
parfaitement aléatoire. Ici, nous parlons d'un magazine mensuel de 96
pages avec des impératifs de temps, de volume et de diversité.
> Il en allait de même des
> journaux avant que les ordinateurs n'arrivent et ne fassent
> penser que n'importe qui puisse être un rédacteur/éditeur/...
Mais de quels journaux parles-tu ? Et de quelle période ?
Dans ma petite province je lis les quotidiens et j'y trouve des fautes,
dans les programmes télé je trouve des fautes, dans tous les magazines
je trouve des fautes...
Victor Hugo écrivait des livres et ce, dans une tranche de temps
parfaitement aléatoire. Ici, nous parlons d'un magazine mensuel de 96
pages avec des impératifs de temps, de volume et de diversité.
> Il en allait de même des
> journaux avant que les ordinateurs n'arrivent et ne fassent
> penser que n'importe qui puisse être un rédacteur/éditeur/...
Mais de quels journaux parles-tu ? Et de quelle période ?
Dans ma petite province je lis les quotidiens et j'y trouve des fautes,
dans les programmes télé je trouve des fautes, dans tous les magazines
je trouve des fautes...