à quoi sert un logo sinon à permettre de contrôler ou vérifier qu'un
article est original? si certains font des contrefaçons de logos, pour
faire des contrefaçons d'articles (peu importe lesquels), comment
peut-on le savoir? surtout quand on sait que certaines contrefaçons
sont vendues par des magasins officiels (je veux dire qui vendent ou
peuvent officiellement vendre les marques originales). il y a là qq
chose de plutôt étrange et cynique: c'est le client qui doit savoir,
mais il n'a parfois aucun moyen de le faire (même le prix n'est pas un
argument: y a aussi des soldes, ou des réductions, par exemple). et si
ces grandes marques qui font la chasse au faux ne sont pas capables
d'aller chercher les faussaires, bref d'aller à la source, bein c'est
encore et toujours le citoyen qui en subira les conséquences, et ce
sera à lui de payer. et tant pis s'il était de bonne foi lors de son
achat: il devra redébourser.
imaginez que vous achetiez une voiture chez un grand fabricant de
marque française, par exemple, et qu'un jour on vienne vous voir pour
vous dire: "votre voiture est un faux modèle, nous venons la casser",
et qu'ensuite, vous n'ayez plus qu'à retourner en acheter une autre
(évidemment, l'assurance n'y est pour rien si VOUS avez acheté une
voiture de contrefaçon)
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fra
David wrote:
à quoi sert un logo sinon à permettre de contrôler ou vérifier qu'un article est original? si certains font des contrefaçons de logos, pour faire des contrefaçons d'articles (peu importe lesquels), comment peut-on le savoir? surtout quand on sait que certaines contrefaçons sont vendues par des magasins officiels (je veux dire qui vendent ou peuvent officiellement vendre les marques originales).
Dans ce cas tu as une facture et tu peux te retourner contre eux. -- Fra
David <daviddgm@yahoo.com> wrote:
à quoi sert un logo sinon à permettre de contrôler ou vérifier qu'un
article est original? si certains font des contrefaçons de logos, pour
faire des contrefaçons d'articles (peu importe lesquels), comment
peut-on le savoir? surtout quand on sait que certaines contrefaçons
sont vendues par des magasins officiels (je veux dire qui vendent ou
peuvent officiellement vendre les marques originales).
Dans ce cas tu as une facture et tu peux te retourner contre eux.
--
Fra
à quoi sert un logo sinon à permettre de contrôler ou vérifier qu'un article est original? si certains font des contrefaçons de logos, pour faire des contrefaçons d'articles (peu importe lesquels), comment peut-on le savoir? surtout quand on sait que certaines contrefaçons sont vendues par des magasins officiels (je veux dire qui vendent ou peuvent officiellement vendre les marques originales).
Dans ce cas tu as une facture et tu peux te retourner contre eux. -- Fra
Manioc
Bonjour,
(Fra) wrote in news:1ggprlh.ooj3veblyl9sN% :
David wrote:
à quoi sert un logo sinon à permettre de contrôler ou vérifier qu'un article est original? si certains font des contrefaçons de logos, pour faire des contrefaçons d'articles (peu importe lesquels), comment peut-on le savoir? surtout quand on sait que certaines contrefaçons sont vendues par des magasins officiels (je veux dire qui vendent ou peuvent officiellement vendre les marques originales).
Dans ce cas tu as une facture et tu peux te retourner contre eux.
Il faut acheter dans les magasins officiels de la marque concernée, et avec une facture.
Par contre, une longue expérience de l'Asie m'a enseigné qu'il existe deux types de contrefaçons attaquées couramment : - Les faux, fabriqués par des personnes étrangères à la marque. - Les "vrais", venant des contractants des grandes marques. Les ouvriers ne sont pas idiots, quand ils voient que l'objet ( je ne serais pas plus précis !), qu'ils fabriquent par dizaines ou centaines moyennant l'équivalent de 30 $/ mois de salaire, et avec des matières premières pas achetées plus cher, se vend dans les 900, ils en "tirent" chacun 2 ou 3, et les vendent. C'est à un tel point que quand des "experts" de certaines grandes marques ne savent plus quoi dire, ils demandent la facture avant d' "expertiser" l'objet, et si il n'y a pas de facture c'est obligatoirement un faux.
Ben oui, il y a une notion de 'Made in ..." très floue dans le commerce du luxe. C'est parfois emballé ou étiquetté en France, mais la respectabilité empêche certains contrôles...
Bonjour,
fra@alussinan.org (Fra) wrote in news:1ggprlh.ooj3veblyl9sN%
fra@alussinan.org:
David <daviddgm@yahoo.com> wrote:
à quoi sert un logo sinon à permettre de contrôler ou vérifier qu'un
article est original? si certains font des contrefaçons de logos, pour
faire des contrefaçons d'articles (peu importe lesquels), comment
peut-on le savoir? surtout quand on sait que certaines contrefaçons
sont vendues par des magasins officiels (je veux dire qui vendent ou
peuvent officiellement vendre les marques originales).
Dans ce cas tu as une facture et tu peux te retourner contre eux.
Il faut acheter dans les magasins officiels de la marque concernée, et
avec une facture.
Par contre, une longue expérience de l'Asie m'a enseigné qu'il existe
deux types de contrefaçons attaquées couramment :
- Les faux, fabriqués par des personnes étrangères à la marque.
- Les "vrais", venant des contractants des grandes marques. Les ouvriers
ne sont pas idiots, quand ils voient que l'objet ( je ne serais pas plus
précis !), qu'ils fabriquent par dizaines ou centaines moyennant
l'équivalent de 30 $/ mois de salaire, et avec des matières premières pas
achetées plus cher, se vend dans les 900, ils en "tirent" chacun 2 ou 3,
et les vendent. C'est à un tel point que quand des "experts" de certaines
grandes marques ne savent plus quoi dire, ils demandent la facture avant
d' "expertiser" l'objet, et si il n'y a pas de facture c'est
obligatoirement un faux.
Ben oui, il y a une notion de 'Made in ..." très floue dans le commerce
du luxe. C'est parfois emballé ou étiquetté en France, mais la
respectabilité empêche certains contrôles...
à quoi sert un logo sinon à permettre de contrôler ou vérifier qu'un article est original? si certains font des contrefaçons de logos, pour faire des contrefaçons d'articles (peu importe lesquels), comment peut-on le savoir? surtout quand on sait que certaines contrefaçons sont vendues par des magasins officiels (je veux dire qui vendent ou peuvent officiellement vendre les marques originales).
Dans ce cas tu as une facture et tu peux te retourner contre eux.
Il faut acheter dans les magasins officiels de la marque concernée, et avec une facture.
Par contre, une longue expérience de l'Asie m'a enseigné qu'il existe deux types de contrefaçons attaquées couramment : - Les faux, fabriqués par des personnes étrangères à la marque. - Les "vrais", venant des contractants des grandes marques. Les ouvriers ne sont pas idiots, quand ils voient que l'objet ( je ne serais pas plus précis !), qu'ils fabriquent par dizaines ou centaines moyennant l'équivalent de 30 $/ mois de salaire, et avec des matières premières pas achetées plus cher, se vend dans les 900, ils en "tirent" chacun 2 ou 3, et les vendent. C'est à un tel point que quand des "experts" de certaines grandes marques ne savent plus quoi dire, ils demandent la facture avant d' "expertiser" l'objet, et si il n'y a pas de facture c'est obligatoirement un faux.
Ben oui, il y a une notion de 'Made in ..." très floue dans le commerce du luxe. C'est parfois emballé ou étiquetté en France, mais la respectabilité empêche certains contrôles...
fra
Manioc wrote:
Les ouvriers ne sont pas idiots, quand ils voient que l'objet ( je ne serais pas plus précis !), qu'ils fabriquent par dizaines ou centaines moyennant l'équivalent de 30 $/ mois de salaire, et avec des matières premières pas achetées plus cher, se vend dans les 900, ils en "tirent" chacun 2 ou 3, et les vendent.
Dans ce cas c'est plus un faux mais un vrai obtenu illégalement. -- Fra
Manioc <Leon@ar.do> wrote:
Les ouvriers ne sont pas idiots, quand ils voient que l'objet ( je ne
serais pas plus précis !), qu'ils fabriquent par dizaines ou centaines
moyennant l'équivalent de 30 $/ mois de salaire, et avec des matières
premières pas achetées plus cher, se vend dans les 900, ils en "tirent"
chacun 2 ou 3, et les vendent.
Dans ce cas c'est plus un faux mais un vrai obtenu illégalement.
--
Fra
Les ouvriers ne sont pas idiots, quand ils voient que l'objet ( je ne serais pas plus précis !), qu'ils fabriquent par dizaines ou centaines moyennant l'équivalent de 30 $/ mois de salaire, et avec des matières premières pas achetées plus cher, se vend dans les 900, ils en "tirent" chacun 2 ou 3, et les vendent.
Dans ce cas c'est plus un faux mais un vrai obtenu illégalement. -- Fra
Didier Cuidet
Le Sat, 10 Jul 2004 17:47:08 +0200, dans fr.misc.droit, (Fra) a écrit :
Manioc wrote:
> Les ouvriers ne sont pas idiots, quand ils voient que l'objet ( je ne > serais pas plus précis !), qu'ils fabriquent par dizaines ou centaines > moyennant l'équivalent de 30 $/ mois de salaire, et avec des matières > premières pas achetées plus cher, se vend dans les 900, ils en "tirent" > chacun 2 ou 3, et les vendent.
Dans ce cas c'est plus un faux mais un vrai obtenu illégalement.
Et celui qui les leur achète est un receleur.
-- DC
Le Sat, 10 Jul 2004 17:47:08 +0200, dans fr.misc.droit,
fra@alussinan.org (Fra) a écrit :
Manioc <Leon@ar.do> wrote:
> Les ouvriers ne sont pas idiots, quand ils voient que l'objet ( je ne
> serais pas plus précis !), qu'ils fabriquent par dizaines ou centaines
> moyennant l'équivalent de 30 $/ mois de salaire, et avec des matières
> premières pas achetées plus cher, se vend dans les 900, ils en "tirent"
> chacun 2 ou 3, et les vendent.
Dans ce cas c'est plus un faux mais un vrai obtenu illégalement.
Le Sat, 10 Jul 2004 17:47:08 +0200, dans fr.misc.droit, (Fra) a écrit :
Manioc wrote:
> Les ouvriers ne sont pas idiots, quand ils voient que l'objet ( je ne > serais pas plus précis !), qu'ils fabriquent par dizaines ou centaines > moyennant l'équivalent de 30 $/ mois de salaire, et avec des matières > premières pas achetées plus cher, se vend dans les 900, ils en "tirent" > chacun 2 ou 3, et les vendent.
Dans ce cas c'est plus un faux mais un vrai obtenu illégalement.
